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Mirna et Pablo (cinquième partie)

Mirna et Pablo (cinquième partie)



Mirna et Pablo (chapitre 5)

Mirna s’était préparée consciencieusement pour aller au bal. Elle avait mis une robe très courte avec un décolleté à couper le souffle. Elle s’était maquillée comme jamais je ne l’avais vue. Une bombe !
Moi, pour ma part, j’avais mis une robe très légère, un string et mes sandales à talon. Je n’avais pas les mêmes objectifs qu’elle…
Nous avions eu un mal de chien à convaincre Pablo de venir avec nous. Il faut dire, qu’après la séance de « call of sex » de l’après midi, je serais, aussi, bien restée à la maison avec lui. Mais, Mirna avait lourdement insisté pour qu’on y aille, avec elle. Finalement, sa mère lui avait permis de prendre sa console, tout en lui promettant de ne pas trop tarder à rentrer.
Un repas froid et rapide, et nous voilà partis vers l’inconnu.

– Vous êtes ravissantes ! s’exclama Marc en nous voyant arriver.

Il nous embrassa –un peu trop de nos bouches- et il serra la main de Pablo. Il portait un jean délavé et une chemise blanche, aux manches retroussées qui accentuait son bronzage. Il était fortement séduisant. Il me prit par la taille, prudent de ne pas trop froisser la susceptibilité de Pablo. Il faut rappeler que, le matin, pendant notre courte conversation au centre commercial, je l’avais mis un peu au courant de la nature de la relation entre mère et fils ; évidemment, sans trop entrer dans les détails.

Une fois dans l’enceinte où se déroulait le bal, Marc nous avait indiqué une table et nous demanda de nous y installer pendant qu’il allait commander les boissons. On lui fit remarquer que Pablo ne buvait pas d’alcool mais que nous, on aimerait une bonne sangria. On le regarda s’éloigner, autant elle que moi, le dévorant du regard. Pablo sortit sa console et se mit à un extrême de la table.

– Sandra, tu ne trouves pas que je fais un peu pute ?
– Non, je ne trouve pas, ma chère… Tu l’es !
– Pas plus que toi, en tout cas ! Tu es chaude, Sandra ?
– Macarelle ! Comment veux tu que je ne le sois pas ! Il y a 24 heures que je m’occupe de vous faire jouir et personne ne s’est occupé de moi… Touche-moi, va !

Je lui pris la main et l’accompagnai jusqu’à mon sexe. Ma petite culotte était déjà trempée. Mirna faufila quelques doigts sous le tissu de mon string et se mit à me caresser mon pubis en descendant jusqu’à ma fente :

– Ne commence pas ce que tu ne vas pas finir. Lui dis-je en écartant sa main.
– Moi, aussi, petite salope, je suis une vraie bouilloire ! Touche !

Je répétai le même geste et ma surprise fut majeure en découvrant qu’elle était lisse, pas un seul poil sur sa chatte :

– Putain, Mirna ! Et après tu dis que c’est moi la salope !

Marc arriva avec une carafe de Sangria et un coca pour Pablo. Nous nous mîmes à remplir les verres et à trinquer pour cette soirée, qui se présentait oh combien excitante. L’orchestre jouait des morceaux de swing, avec beaucoup de cuivres. Ce n’était le meilleur orchestre du monde mais ça mettait une sacrée ambiance de fête. L’endroit était bondé et plusieurs couples de danseurs se tortillaient aux rythmes de Glenn Miller et compagnie.

– Qui veut ouvrir le bal ? Proposa Marc à notre adresse.
– Vas-y-toi, Mirna… Je suis nulle pour ce genre de musique, mentis-je.
Mirna n’hésita une seconde et prit la main que Marc lui offrait. Ils partirent à l’autre bout de la piste et, pendant quelques minutes, je les perdis de vue. Je m’approchai de Pablo et me suis mise à lui parler :

– A quoi joues-tu ?
– Tu veux jouer ? Je peux mettre deux joueurs…
– Non, merci. Je ne veux jouer qu’à une seule chose, avec toi… Lui dis-je espiègle, tout en caressant sa cuisse.
– Hi, hi, hi… Je sais, je sais…
– Tu sais, coquin ?
– Oui, oui… « call of sex »…
– Waouh ! Un garçon fort intelligent, tu es… Mais…
– Mais ?
– On passera au niveau 2… Ma main glissa vers son paquet.
– Et c’est comment, le niveau 2 ?
– Tu verras, tu verras…

Un homme s’était approché de notre table et me demanda si je voulais danser avec lui. Il n’était pas trop grand, plus jeune que moi et assez baraqué. Je murmurai à l’oreille de Pablo, lui demandant la permission, je bus presque la totalité de mon verre de sangria et je suis partie avec lui, tout en rassurant Pablo que dans quelques minutes je serais à nouveau à ses côtés.

Le cavalier inconnu non seulement il était un sacré bon danseur, mais aussi un dragueur de première. Il parlait avec ses mains ! Aux compas de « La valse à mille temps » de Brel, version arrangée swing, il me pelota sans vergogne… Une fois c’était une main sur mes fesses, une autre sur ma robe à hauteur de mes seins…

– Qui c’est, ce garçon ? Me demanda-t-il, tellement près de mon oreille qu’un chatouillement électrique me fit gémir de plaisir.
– Le fils d’une amie…
– J’avais cru …
– Vous aviez cru… quoi ?
– Non, rien…

Difficile de discuter dans de telles conditions. En plus, j’avais très envie de voir, de plus près, Mirna et Marc. Je lui pris la main et l’emmenai vers la zone de la piste où je croyais qu’ils étaient. Entretemps, j’appris qu’il s’appelait Fred, qu’il était divorcé et qu’il nous regardait depuis un petit moment, et, même, qu’il avait perçu quelques gestes intimes de ma part envers ce jeune garçon :

– Nous y voilà… Tu vois ce couple qui danse, avec la fille à la robe noir ?
– Oui, je vois… Elle a l’air de bien s’amuser !

Marc et Fred ne se connaissaient pas, mais ils avaient, les deux, les mains très pulpeuses. L’un, me serrait par la taille, glissant sa main, comme qui ne veut pas la chose, sur mes fesses. L’autre, la tenait aussi par la taille et, à chaque fois qu’il la faisait tourniller, la robe se levait, laissant à la vue des curieux ses grosses fesses, la ficelle de son string ne pouvant rien cacher.

Nous nous mîmes à danser juste à côté d’eux. Nos regards se croisèrent, complices. Néanmoins, Mirna, dans un moment de lucidité, s’adressa à moi :

– Où est Pablo ?
– Il joue à son jeu…
– Je devrais aller voir… Il m’inquiète…
– Pourquoi ? Lui demandai-je. Il ne va s’échapper, non ?
– Ça ne serait pas la première fois… On ne sait jamais ce qui peut lui passer par sa tête…

Marc et Mirna prirent congé de nous et s’en allèrent vers la table. Je me suis sentie un peu coupable. Fred me regardait attendant une sorte d’explication :

– C’est trop compliqué… Viens avec moi. Si j’ai le temps, je te raconterai.

En arrivant à notre table on avait vite constaté que Pablo n’était plus là. Mirna le cherchait du regard, affolée. Après quelques instants de panique, nous l’avions vu. Il était avec un autre jeune, dans un coin du bal, assis par terre, en train de discuter tranquillement. Mirna s’était approché de lui et l’avait grondé. J’avais laissé les hommes pour m’approcher de mon amie :

– Ne le gronde pas, Mirna… Tu vois qu’il est bien, là… Aller, retournons à la table !

Nous sommes retournées au point de départ, après que mon amie lui eut donné quelques conseils, à son fils. Nous nous sommes assis et terminé la sangria, tout en discutant. On avait fait les présentations. Fred était un motard invétéré. Il me plaisait beaucoup. Marc, aussi, d’ailleurs ! Les deux hommes se sont plus de suite, et la conversation était devenue très animée. Soudain, l’orchestre se mit à jouer des morceaux lents, des slows. Marc prit la main de Mirna et l’emmena, de nouveau sur la piste. Fred me surprit avec un commentaire très direct :

– Tes amis vont coucher ensemble, n’est-ce pas ?
– Oui, je crois… Bon, je l’espère bien…
– Et toi ?
– Comment moi ?
– Toi, oui… De quoi as-tu envie ? Tu me parais très, comment dire, chaude…
– Ah, bon…
– Oui. Et j’ai très envie de toi !
– Mais… tu ne me connais pas ! Tu ne trouves pas que tu n’y vas pas de main morte, là ?
– Excuse-moi ! Je ne voulais pas t’offenser.
– Allons danser, va… Tu ne m’offenses pas ; au contraire…

Et nous voilà, en train de danser, collés et aussi chauds l’un que l’autre. J’avais tellement envie de baiser que j’aurais été capable de le faire sur place, débout, devant tout le monde. Je n’avais pas tardé à reconnaitre son érection contre mon ventre. Je me suis frottée contre lui, fermé les yeux, senti son odeur de mâle excité. Lui, il avait tout compris. Vieux renard, ses mains se baladaient à travers mon dos, cherchant mes hanches, trouvant mes fesses…

– Tu la sens, chérie… Me murmura-t-il à l’oreille, en poussant son bassin contre moi.
– Ouf ! Oui, je te sens très dur, Fred… Tu verrais comme je mouille, là…
– Je veux te baiser, chérie… Et il glissa une main en dessous de ma robe, par devant, et posa deux de ses doigts sur ma culotte, à la hauteur de ma fente.
– Mmm ! Oui, oui, oui…
– Tu es trempée, cocotte… J’ai ma voiture garée à quelques mètres. Il réussit à déplacer le tissu de mon string et à se dérober un chemin vers mon vagin.
– Hum ! Ahhh ! Ouiiii ! Je gémissais en serrant mes cuisses comme un étau sur sa main.

Au moment où un de ses doigts se faufila dans mon minou, je crus que j’allais jouir sur place. J’ouvris grands les yeux et me trouva, à un demi-mètre de nous, avec le regard allumée de Mirna :

– Eh ! Oh ! Les coquins ! ça va ?

Fred sortit sa main des profondeurs humides de mon entrejambe et, sans que se fut sa volonté, ni la mienne, stoppa net ce magique début d’orgasme.

– Nous, on y va ! Nous déclara, guillerette, la maman i****tueuse.
– Vous… Vous allez, où ?
– A la maison, ma belle… Marc et moi nous avons pas mal de choses à discuter, n’est-ce pas ?

Je ne comprenais plus rien. Cette salope, voulait rentrer et baiser avec Marc sans se soucier ni de moi, ni de Pablo. Et moi, je me trouvais devant un dilemme monumental.

– Et Pablo, alors ? Lui demandai-je, sentant toujours la main de Fred bien collée à mes hanches.
– Il va rentrer avec toi, non ? N’oublie pas tes promesses… Dit-elle en regardant Fred
– J’ai raté quelque chose ? Me demanda, à son tour, mon nouvel ami.
– Donnez-moi une demi-heure, leur dis-je.
– Pourquoi faire, ma belle ? Ajouta Mirna, se servant un autre verre de sangria.
– Fred veut me montrer sa voiture… N’est-ce pas ?
– Ah, bon ? Je croyais que tu avais une Harley…
– J’ai une moto, certes… Mais, ce soir, je suis venu en voiture, répliqua Fred.

Mon excitation était en train de descendre brusquement, laissant sa place à un certain agacement :

– Ecoute, Mirna… Attendez-nous ici, d’accord ? Je reviens le plus tôt possible.

Je n’avais pas attendu sa réponse. Je pris Fred par la main et nous sortîmes du bal. Une fois dehors, comme si lui, il sentait qu’il fallait faire quelque chose pour renouveler l’excitation de quelques minutes auparavant, me plaqua contre le mur d’une maison, à quelques mètres du bal et se mit à m’embrasser et tripoter avec une fougue impropre d’un homme de son âge.

– Attends un peu, petit taureau ! Il y a trop de monde, par ici !
– Je m’en fous ! J’ai une folle envie de toi !
– Elle est loin, ta voiture ?
– Non, non…
– Alors, allons-y !

Je me voyais déjà en train de baiser dans une quelconque voiture, comme un couple de jeunes, avec le côté inconfortable et le regard lascif de quelques voyeurs. Bon, cette dernière éventualité, loin de me déplaire, m’excitait davantage.

– Nous y sommes !
– Waouh ! C’est un camping car !
– Eh, Oh ! Tu me vexes, là… C’est une Volskwagen California !
– Oups ! Pardon, monsieur !

Nous nous sommes installées à l’intérieur, sur une très large banquette, plus confortable que le canapé de mon salon. Il ferma les portières, aux vitres tintées. Alluma une petite lampe et me proposa à boire.

– J’ai soif d’autre chose, lui dis-je.
– Madame est pressée, hein ?
– Tu ne peux même pas l’imaginer !

Je suis restée assise. Il enleva sa chemise, laissant apparaitre son torse épilé. J’ai vite remarqué les piercings sur ses tétons. Je me suis débarrassé de ma robe, de mon soutien-gorge et de mon string, à la vitesse de l’éclair. Lui, il avait fait de même, avec son pantalon et son boxer :

– Bonté divine ! Me suis-je exclamai, en regardant son sexe. Un anneau de considérables dimensions ornait son gland et plein d’autres, plus petits, étaient accrochés à la peau de ses testicules, qui pendaient comme les boules d’un étalon.
– Ça te plait, Sandra ?
– C’est… c’est, comment dire… Différent !
– Viens… approche !

En fait, c’est lui qui m’approcha sa queue, pas encore complètement raide, à ma bouche. Je la pris dans ma main et appréciai sa grosseur, tandis que ma langue lui lapait le gland. Il posa un pied sur la banquette canapé :

– Lèche-moi les couilles, beauté !

Très peu de conversation avait suivi cette demande. Ma langue s’était promenée un bon moment, lui léchant tout ce qu’elle rencontrait à son passage : ses boules, son gland, sa verge toute entière… Je lui avais sucé jusqu’à sentir l’anneau argenté au plus profond de ma gorge ! A un moment donné, il s’était retourné et m’avait offert ses fesses, tout en les écartant de ses mains, aux multiples bagues :

– Maintenant, lèche-moi le cul, bébé !

Et savez-vous ce qui m’est passé par la tête, en ce moment ? Et bien, que j’étais, à nouveau, en train de donner du plaisir à un parfait inconnu, qui me plaisait beaucoup, certes, mais qui, finalement, ne s’occupait pas de moi… Comme Mirna, comme Pablo… Je me suis mise à lui lécher l’anus, mais, avec une main libre, je me suis masturbée…

– Oh, putain ! Tu sais faire, toi ! Oh, oui, oh, oui ! Mets-moi un doigt !

Tant pis, pensai-je, je me ferai le petit Pablo, après. Et je lui défonçai sa petite rondelle avec un, deux et trois de mes doigts… Et un, deux et trois doigts dans ma chatte !
Quelques minutes plus tard, il se retourna et se branlant frénétiquement, il se vida sur mon visage :

– Oh, putain, que tu es bonne ! Tiens, mon foutre ! Tiens !

Je jouis presque en même temps que lui, mes cheveux et mon front aspergés de son sperme. Il profita que ma bouche était mi-ouverte, dans mon rictus orgasmique, pour me l’enfoncer à nouveau.

– Ouf ! Je veux te baiser, ma beauté !
– Trop tard, mon vieux… Lui dis-je, en m’essuyant le front avec mon string. Je dois y aller, maintenant.
– Donne-moi ton adresse, bébé… ça n’a été qu’un début…
– Désolée, Fred…

Je me suis rhabillée et je suis partie, pressée de rencontrer Pablo, plus chaude que jamais !

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