Enfin voici les vacances. Nous allons quitt notre campagne Normande pour les alpes. Je présents quelques semaines de soleil, d’amusements, de sorties nocturnes jusqu’au petit matin, de rencontres … les vacances, quoi !
Je vais quitter pour quelques semaines mes copines et nos petits jeux entre filles.
Les vacances sont toujours des occasion de découvrir d’autre aspects de mes dérives sexuelles. Nous voilà parti sur la route des vacances avec Alain. Le trajet est long et nous faisons plusieurs haltes sur le parcours. Sur un parking un peu à l’écart, Alain se gare entre deux poids lourds. Je vois des routier qui s’approche de la voiture. Je regarde Alain, inquiète et à sa réaction, je comprends rapidement qu’il vient de me piéger. Ma portière s’ouvre et je suis tirée hors de la voiture. Alain leurs dit :
« Voici le dessert ! Profitez bien ! »
Le vieux d’entre eux lui répond :
« Merci mon gars, appétissantes ta femme ! »
L’un d’eux me dit devant mon air angoissé :
« T’inquiète on est pas là pour te faire du mal, bien au contraire ! »
Un autre reprend :
« Si t’es gentille on va te faire hurler de jouissance ! »
Je me retrouve au milieu de six lascars avec mon homme qui observe confortablement installé dans la voiture. Le vieux m’ordonne :
« Fout toi à poil ! »
Résister ne sert à rien sinon à recevoir une correction et puis comme c’est Alain qui m’a mis dans leurs pattes……
Comme il fait chaud je n’ai pas grand chose sur moi et me retrouve rapidement nue devant ces camionneurs. Une sorte de clameur s’élève
en me voyant dans la tenue d’Eve.
« Voyez-vous ça, la cochonne se ballade sans culotte et soutif ! » dit un chauffeur.
« Elle a des loches comme une vache laitière ! » Dit un autre.
Par pudeur, je cache comme je peux mon sexe de mes mains, ce qui entraîne un nouveau coup de gueule d’un mec :
« Tes mains sur la tête ! Qu’on se régale. ! »
Je m’exécute et m’expose totalement devant eux rouge d’humiliation. Les vacances commencent forts.
Le plus vieux se met derrière moi et passant ses bras entre mes cuisses il me les écarte de force. Je ne peux m’empêcher de mouiller à être traitée ainsi. Deux mecs s’approchent, baissent leurs shorts et en me tendant leurs érections ils me lancent :
« Suces ! Salope ! »
Comme j’ai un temps de réaction, L’un d’eux me prend par les cheveux et enfourne sa bite dans ma bouche. Aprés deux ou trois va et viens, il me fout à quatre pattes et me refiche son engin dans la bouche pendant que l’autre s’enfonce sans ménagement dans mon intimité. Cette situation me fait de plus en plus d’effet, mon entrejambes devient de plus en plus humide, ce qui n’échappe pas aux autres routiers.
« Ça t’excite salope de te faire baiser devant ton mari ! »
« Regardez les mecs elle est trempée cette pute ! »
Pendant que je me fait mettre les queues se succèdent dans ma bouche. Celui qui me baise éjacule et il est aussitôt remplacé par un autre. Mes cuisses sont luisantes de foutre. A un moment j’en enttends un qui dit :
« J’vais essayer son cul ! »
Il crie victoire quand il est au fond de mon cul. Puis, il commence à me pistonner. Je suis secouée par ses coups de butoir. Il me pistonne dur alors que d’autre s’amusent avec mes gros seins. Je gémis tant de douleur que de plaisir,. Je mouille de plus en plus et dans un grand râle, je prends mon pied… Ce qui n’échappe pas aux mâles en rut qui disent :
« Elle est fameuse cette salope ! Elle joui comme une chienne ! »
Alain qui est sorti de la voiture, se moque de moi :
« Dis leurs que tu aimes ça, salope ! »
« Oui, ouiiiii, ouiiii ! J’aime ça ! Je veux que vous défonciez tous ! »
Ils ne se le font pas dire deux fois et s vident les un en moi, d’autres sur moi.
Une foi leurs couilles vides, le vieux de la bande me dit :
« T’es une brave femelle. Tu as bien rempli ton office de sac à foutre ! On pourrait te louer à la tenancière du relais routier ? Qu’en pense ton mec ? »
Alain est aussitôt partant et top la avec le type. Je suis intérieurement folle de rage. Mais bonne soumise, je suis aux ordres de mon mari. Tu parles de vacances…..
Nous roulons quelques kilomètres et arrivons au relais. L’ancien nous fait entrer dans la salle de restaurant. Elle est vide à cette heure tardive de la nuit. Le tenancière nous reçoit. C’est le stéréotype parfait de la maquerelle dans sa robe moulante rouge.
« Bonsoir Karla ! Regarde la belle marchandise que je t’apporte ! »
« Bonsoir mon choux ! Wouai ! Il est pas mal du tout ! »
« Mais non ! J’te parle de la salope !! »
Déçue elle me toise en répondant :
« Ha ? Ben oui on peu en faire quelque chose. Mais le mec qui t’accompagne je lui f’rais bien des choses ! » Dit-elle en mettant la main au paquet de mon homme.Alain lui aussi est subjugué par cette pute. Ca agace le routier qui interpelle Karla :
« Ho ! Karla ! Tu veux que j’déballe la marchandise ? Ou tu suces son mec tout de suite ? »
« Ouais ! Ca va ! J’m’occuperais de toi plus tard mon choux ! »
D’un geste, le routier arrache presque ma robe et me voilà nue devant la tenancière qui tourne autour de moi en me palpant pour se donner une idée de mon potentiel. Elle dit au vieux routier :
« En effet, les clients vont aimer baiser une femelle comme elle avec les grosses mamelles qu’elle a. »
Le vieux surenchérit :
« Cette salope aime la baise, elle fait tout ! »
La tenancière, l’œil mauvais, répond :
« Ha oui ? Et bien voyons ça ! Abdoul ! Viens voir ! Y a d’la viande fraîche a tester ! »
Un grand black se pointe et elle lui dit :
« Essaye la ! Pendant ce temps j’vais m’amuser avec son homme ! »
Il se plaque à moi et d’emblée, me fouille la chatte et malaxe mes seins. Je mouille comme une grosse salope sous ses doigts. Le vieux c’est servi une bière et regarde les événements. La pute du bar routier a sorti la bite tendu de mon mari et lui soupèse les couilles en le masturbant. Il semble très satisfait de sa position et se laisse faire sans soucis. Abdoul me lance en sortant une queue d’une dimension surprenante :
« A genoux et suce moi la barre ! »
Je reste stupéfaite en voyant l’engin monstrueux et j’hésite un instant en me disant que c’est beaucoup trop gros.
Je n’ai le temps de rien, qu’il me prend par les cheveux, me relève et m’ assène cinq coups sur les fesses en criant :
« Prends-la dans la bouche, maintenant ! »
Le cul brûlant, je m’agenouille devant lui et engouffre comme je peux son énorme verge. J’entends Alain qui gémit non loin en se faisant pomper par la maquerelle.. Après quelques minutes de pompage en règle, il me retourne et d’un grand coup de rein me pénètre le con. De surprise plus que de douleur, je hurle sous cette dilatation brutale de mon vagin détrempé. Aussitôt Abdoul commence son pilonnage. Il semble infatigable. Il me bourre pendant au moins quinze minutes. A certain moment sous ses coups de rein, mes pieds décollent du sol. Pendant ce temps, mon mari encule la maquerelle qui couine comme une grosse pute. Puis, dans un grognement, Abdoul décharge dans ma chatte. Du sperme me coule le long des cuisse tant ces giclées sont abondantes. Le vieux routier s’approche avec sa canette de bière en disant à Abdoul :
« C’est con ! Tu l’a même pas enculé ! »
Tout en disant ça, il m’enfile la bouteille dans la chatte et aussitôt la retire et m’encule avec. Abdoul vient devant moi en présentant sa queue devant mon visage et me lance :
« Fais ma toilette pendant que tu de fait démonter le cul avec la bouteille ! »
Me voilà en train de lécher sa grosse bite molle. Qui aurait pu me dire que mes vacances commenceraient en étant humiliée et devenant le jouet de tels pervers ?
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