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Hommage à Leslie BCBG (4)

Hommage à Leslie BCBG (4)



Les affaires fonctionnent très bien pour Leslie. À la tête de sa propre agence immobilière depuis dix ans, elle s’est constituée une solide réputation, à la fois sérieuse et efficace. Mais, dans le milieu, Leslie jouit aussi d’une autre image. Celle d’une salope insatiable qui n’hésite pas à baiser avec ses clients, d’une pompe à foutre qui suce ses collaborateurs, d’une catin des beaux quartiers qui travaille sans culotte. La bourgeoise assume totalement.
Aujourd’hui, elle a rendez-vous sur un chantier à proximité de Bercy. Encore des nouveaux immeubles, des nouveaux logements, des nouveaux bureaux dans ce secteur dynamique de la capitale. Et de nouveaux clients à convaincre.
Afin de réussir la vente, Leslie mise sur son discours mais aussi sur sa tenue. Son uniforme de combat. Pour une fois, elle a décidé de la jouer autrement, optant non pas pour une jupe mais pour un tailleur-pantalon gris un peu spécial… Dessous, la bourgeoise n’a rien changé. Sa guêpière blanche, des bas couture gris. Un collier et un bracelet de perles, une paire de Louboutin noirs vernis pour parfaire l’ensemble.

La belle salope prend le métro à proximité de l’École Militaire. Dans la rame, les regards des hommes sont dardés sur ses fesses. Le tissu colle tellement à son cul qu’il est facile de deviner qu’elle ne porte pas de culotte. On peut néanmoins y discerner les jarretelles de sa guêpière. Elle opère un changement à la Motte-Piquet, la chatte déjà bien imbibée.
Le métro la dépose au pied de la gare de Bercy. Son abricot est en feu. Dans la rame de la ligne 6, plusieurs mecs n’ont pas hésité à se frotter à elle. Leslie a senti des bites dures contre son fessier, des mains avides qui lui ont flatté les hanches. Son magnétisme naturel a, une fois de plus, agi.
En sortant du sous-terrain, elle a passé la main sur son cul humide. Du sperme sur son pantalon. Leslie ne cherche pas à essuyer la tache et se lèche les doigts avec délice. Le goût du foutre est incomparable pour elle.
Le chantier se trouve au sud de Bercy, à quelques encablures du boulevard des Maréchaux. Cela nécessite un peu de marche. Les talons de la bourgeoise claquent sur les trottoirs, suscitant quelques regards sans ambiguïté. Faire ainsi le parcours lui fait du bien. Elle a besoin de sentir ses mollets bien tendus. En revanche, Leslie ne peut dissiper l’inondation de sa chatte. Elle sent que son jus imprègne déjà le tissu de son pantalon.

La putain des beaux quartiers parvient sur le chantier après un quart d’heure de trajet. Le chef est déjà là. C’est un homme qu’elle connaît bien. Il l’a enculée il y a trois semaines sur un chantier du côté de Vanves. Une grosse bite qui lui a laissée une conséquente dose de foutre. Après un salut de connivence, elle suit l’homme à travers le dédale du chantier. La garce n’a pas manqué de surprendre le regard du chef sur sa tenue. Satisfait, il s’est palpé l’entrejambe.
Ils pénètrent dans l’immeuble dans un silence juste troublé par le martèlement des talons de Leslie. Au bout du bâtiment, un ascenseur de service. Ils grimpent dans la cabine qui s’agite doucement. N’écoutant que son instinct, la salope se plaque contre l’ouvrier, défait le zip de sa cotte et en sort une verge déjà bien tendue. Un doigt sur le panneau de commande, elle bloque la molle avancée de la cabine et s’agenouille.
Elle ouvre grand la bouche et tente de gober le pieu épais. Avec gourmandise, elle parvient à en avaler la moitié et commence à imprimer un lent et savant va-et-vient. Le chef savoure la caresse buccale et, plaquant sur le haut du crâne de la belle, commence à imprimer son propre rythme.
– Mon Dieu, ce que t’es gros ! lâche Leslie avant de reprendre l’engin en bouche.
Son poignet accélère la cadence. Elle a envie qu’il jouisse dans sa bouche de pute. Ainsi branlé, il ne tarde pas à décharger sa semence à longs jets brûlants. Leslie avale tout. Elle a horreur d’en perdre une goutte.
La patronne de l’agence immobilière d’un geste habitué et se remet debout. L’ouvrier remet l’ascenseur en marche. Ils parviennent au quatrième étage où sont essentiellement stockés des sacs de ciment. Quatre ouvriers, les mains dans les poches, attendent les consignes.
– Messieurs, voici Leslie, fait le chef, fier de présenter la bourgeoise. Elle dirige l’agence immobilière qui supervise l’avancée des travaux.
Pour cette salope affamée de sperme, ce ne sont pas quatre employés chargés de lui faire la visite. Du reste, elle constate que le chantier a bien avancé. Non, ce qu’elle veut, c’est essorer ses quatre bites.
Elle s’avance vers la palette autour de laquelle ils se sont regroupés. Après avoir regardé avec envie les quatre hommes, elle défait la fermeture Éclair de son pantalon. Une ouverture spéciale, réalisée rien que pour elle par sa couturière particulière, qui lui permet d’être prise par la chatte et par le cul sans avoir à retirer la pièce de tissu. Un système ingénieux.
Leslie prend place à même les sacs de ciment. Sa bouche est exactement à la bonne hauteur pour sucer, aspirer, lécher les bites durcies. Les ouvriers ont capté le message et, de concert, chacun sort sa verge de son bleu de travail.
Leslie va réaliser un fantasme : elle n’a jamais été prise par quatre bites noires. Le chef de chantier fait exception mais il n’a rien à envier à ses subordonnés. Face à ses cinq queues énormes, la salope ne sait plus où donner de la tête. Tour à tour, elle tente de gober ce qui présente à elle. Des pieux monstrueux, aux veines très apparentes qu’elle tente de sucer avidement, d’enfoncer aussi loin que possible dans sa bouche.
Des mains s’aventurent aussi sur sa chatte inondée de jus. Une autre tente de se glisser dans la raie de son cul bouillante. Leslie, qui dégouline véritablement, n’en peut plus :
– Baisez-moi ! Défoncez-moi ! Remplissez mes trous ! Faites de moi votre pute !
Pour les hommes, impossible de refuser. Leslie se retourne sur les sacs de ciment et présente son fessier. Un premier homme vient se placer sous elle et pénètre sa chatte fiévreuse, un autre s’active sur son cul dans lequel il rentre sans le moindre effort. Le troisième la tient par les aisselles pour se faire sucer pendant qu’elle branle les deux derniers.
Dans sa chatte et son cul, on s’active à tour de rôle, on n’hésite pas à s’échanger les places. Il en est de même pour ses mains et sa bouche qui, à force de pomper, commence à baver. Leslie gémit de plaisir, de bonheur, de plaisir.
Devant comme derrière, le rythme s’accélère. La chatte et le cul complètement trempés, la salope veut sa dose de foutre. Elle sent que les hommes sont prêts à décharger. Ils se retirent de ces trous bouillonnants tandis que la putain se rassoit sur les sacs de ciment, le cul en feu.
Le premier qui l’a sodomisée crache des jets épais de sperme sur son visage. Ses collègues l’imitent et déchargent à leur tour. Le foutre vient s’abattre sur la bouche, les joues, les lunettes de Leslie. Une inondation de foutre. La garce est comblée.
Heureusement, le chef de chantier a tout prévu. Il tend plusieurs feuilles d’essuie-tout afin qu’elle puisse s’essuyer le visage. Puis elle prend le temps de refermer son pantalon.
– Merci à tous ! Vous m’avez gâté. Je reviendrai, fait-elle avant de rejoindre l’ascenseur.
Le chef la raccompagne. Il a deviné à son regard lubrique que la catin a encore envie de sperme. Il s’engouffre dans la cabine avec elle et bloque l’ascenseur entre le deuxième et le troisième étage. Quand Leslie s’agenouille, l’homme sort sa queue redevenue raide.
– T’es encore plus cochon que moi, mon salaud ! glisse-t-elle avant d’avaler le pieu tendu.
Il ne lui faut pas longtemps pour faire décharger le chef…

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