Visite médicale.
On va devant une porte sur laquelle est écrit « Visite médicale. » Elle toque et on entre.
Un homme en blouse blanche est debout et range des papiers sur son bureau.
Il doit avoir une 50 aine d’années et il n’a pas l’air sympa du tout.
Simone lui dit :
— Une petite nouvelle.
— Encore ! Je m’apprêtais à aller manger, reviens à 2 h.
— Regardez-la docteur, c’est le genre qui vous plait, mince avec des gosses fesses.
J’ai des belles fesses, elles ne sont pas grosses, juste… rebondies. Il me regarde d’un air dégoûtée, puis me dit :
— Mouais… retourne toi…
Il vient plaquer sa main sur mes fesses en disant :
— Bon je vais la prendre… et qui s’en occupe quand j’ai fini ?
— Si vous voulez, je vous envoie Henri, il la conduira au réfectoire.
— D’accord… il m’aidera, il aime jouer au docteur.
Simone va le chercher, tandis que le docteur va s’asseoir derrière son bureau. Moi je suis nue devant lui, j’ai encore vraiment soif. Et faim et froid.
J’hésite, puis je lui dis :
— J’ai passé 24 h dans une bassine, docteur, j’ai faim et j’ai soif, s’il vous plait, je…
Il pousse un gros soupir et dit :
— Va boire à ce lavabo tu mangeras après.
Je vais vite boire, mmmmhhh… ça fait du bien.
Quand c’est fait je retourne devant lui.
Il me pose une série de question, noms, adresse, âge, taille, poids. Ça c’est facile, ensuite :
— Vierge ?
— Non docteur.
— Qui t’a envoyé ici ?
— Mon père.
— Pourquoi ?
Là, je dis la vérité. Tout sauf la bassine.
— Je.. J’ai eu des gros problèmes avec ma belle mère et je lui ai donné des champignons que… je… savais toxiques.
— Tu voulais la supprimer ?
….
— ALORS ?
— Oui, docteur.
On toque, Henri entre. Encore lui !
Le docteur a l’air content de le voir, il lui dit :
— Ah mon petit Henri, tu vas m’aider.
— Oh oui… oui… docteur.
— Je vais la palper, ensuite tu fais comme je t’ai appris : prise de sang, urine…
Prise de sang ? Ce débile va faire ça ? Je ferme les yeux, quand je les ouvrirai, je serai dans mon lit… Je les ouvre, je suis toujours entre un docteur aussi sympa qu’un dictateur asiatique et un débile. Le docteur me palpe les seins, il les presse, pince les bouts…
— Aie !!
Il pince plus fort, en disant :
— Tu te tais.
Henri lui demande :
— Je peux aussi toucher les seins ?
— Evidemment, tu me donneras ton avis.
Le docteur lui me palpe les fesses, tandis qu’Henri vient me pincer les bouts des seins et les tirent l’un après l’autre, comme s’il voulait me traire. Je serre les dents, pour ne pas crier. Quand le docteur a fini de pincer mes fesses, il lui dit :
— Alors ces seins ?
— Doux comme des cha… des chatons. Elle est en bo… bonne santé.
— Bien, maintenant, prise de sang Henri
Il me dit :
— Ass… assied toi sur cette… chaise.
Ensuite, il met une bande de caoutchouc sur mon bras, la serre bien et prend une grosse seringue. Sans rien désinfecter, il enfonce l’aiguille dans une veine du creux de mon bras. Je ne sens presque rien. On regarde tous les deux la seringue se remplir. Il dit :
— C’est… beau.
Non c’est terrifiant… ma vie s’en va dans la seringue d’un débile !
Ah, non, il retire la seringue. Lèche un de ses doigts et le passe sur l’endroit où il a piqué. C’est de la folie ! Il dit :
— Elle a été sa… sage je peux la récompenser.
Le docteur rit et réponds :
— Allez oui, je sais que tu aimes faire ça.
Henri va prendre quelque chose dans une armoire et me dit :
— Fais la be… belle…
— Comment ça, Henri ?
— Mais co… co… comme une chienne, tiens !
D’accord, d’accord. Je me lève puis m’accroupis, les poings fermés devant mon visage, comme si c’étaient des pattes. Il a un paquet de biscuit et il me met des bouts dans la bouche en disant :
— Brave petite… ch… chienne.
Je gémis quand j’ai fini, pour qu’il m’en donne d’autres.
J’en mange beaucoup. Tandis qu’il me gratte derrière l’oreille. Il me dit :
— Maintenant tu va faire pi… pipi.
Il prends un petit seau, le met devant moi et dit :
— Pipi !
Je suis nue et je dois faire ça devant ces deux hommes ! Bon, je m’accroupis mais rien ne vient. Henri siffle, puis il fait :
— Ppsssiiiittt… psssiiiitttt…
Impossible, je suis tellement stressée, que rien ne vient.
Le docteur lui dit :
— Elle ne fera pas, on va employer le tuyau.
— Oh oui, le tu.. tu… tuyau.
Quel tuyau? Le docteur vient près de moi en disant :
— Lève toi.
Il me donne une claque sur les fesses en disant :
— Allez hop ! Sur la table.
Il s’agit de la table gynéco. Oh, mon Dieu… Je me couche et Henri me met les pieds dans les étriers et écarte bien mes cuisses. Quelle honte d’être aussi exposée, devant ce débile et ce sale type, soi-disant médecin.
Henri vient s’asseoir devant la table, entre mes cuisses, le visage à quelques centimètres de mon sexe. Il dit :
— Tous ces pppp… poils…
Le docteur lui dit :
— Pousse toi, je regarde d’abord et puis tu pourras mettre le tuyau.
— Et on regardera son… cul ?
— Après.
Il vient m’examiner. Tire sur mes grandes lèvres, pince mon clitoris.
Je pousse un cri, ce qui les fait rire tous les deux. Ensuite, le docteur enfonce un spéculum dans mon vagin et m’examine rapidement. Il dit :
— Mouais ça a l’air d’aller. Tu fais in prélèvement et puis le tuyau.
— Oh oui…
Henri, prend un morceau de gaze allongé et l’enfonce dans mon vagin puis, il le fait aller et venir. Ensuite, il le met dans un sac en plastique.
Après ça, il me montre un long tuyau relié à un réservoir en plastique en me disant :
— Tu devras être sage, si… sinon le docteur va t’attacher et te pu… punir.
— Oui Henri, mais faites doucement, je vous prie, j’ai peur.
— Mais oui…
Il suce le bout du tuyau, écarte bien mes grandes lèvres et enfonce la sonde dans mon méat.
— Aaaaiiiieee, ça fait mal…
— Mais… mais… non.
Je sens le tuyau qui me pénètre. Je m’apprête à me débattre, mais le docteur vient me caresser le visage avec les lanières en cuir d’un martinet en disant :
— Tu veux qu’on t’attache ?
— Noooon , je ne bouge plus.
Ce sont des sensations vraiment trop bizarres ce tuyau dans le canal urinaire et puis la vessie… enfin, je suppose que c’est ça.
Henri s’écrie :
— Le pipi !
— Oui, c’est bien, c’est assez.
Il retire la sonde.
— Aaaiiiiieee !!
Il me caresse la tête en disant :
— Làà… c’est fini… maintenant on va… re… garder ton derrière.
Il enlève mes pieds des étriers, tandis que le docteur me dit :
— Tu te mets à genoux, le front posé sur tes mains et les jambes écartées.
Je fais ce qu’il dit. Je suis les fesses en l’air dans la position la plus indécente qui soit. Le docteur vient m’examiner l’anus. Il le palpe, tandis que je geins, terriblement honteuse et stressée. Je le vois qui met de la pommade sur son index. Henri me dit :
— Faut… faut pas te… cri… crisper.
— Aaaaiiiieeeee !!
Le docteur a enfoncé son doit complètement son doigt dans mon derrière, tandis que je fais un bond en avant. Je suis littéralement empalée ! Henri a prévu le coup et il me maintient fermement en disant :
— Sage !
Le docteur fait un peu bouger son doigt et dit :
— Pas d’hémorroïdes…
Henri lui dit :
— Je peux ?
— Bien sur.
Mais non!
— Aaaiiieee !
Ça y est le débile a complètement enfoncé son doigt dans mon derrière. Heureusement, qu’il est bien lubrifié.
Le docteur lui dit :
— Dépêche-toi, j’ai faim.
Il fait encore un peu d’explorations, tandis que je gémis. Enfin, il retire son doigt en disant :
— On n’a pas le temps de… de… de…
— Dès qu’elle sera dressée, Henri.
Ensuite, il me donne une bonne claque sur les fesses en disant :
— On va manger, tu as faim, non ?
— Oui docteur… mais on va me dresser ?
— Bien sûr, on va te faire ramper ma belle. Comme une petite chienne qui a peur du fouet, hein Henri ?
Il y des glapissements rauques… c’est Henri qui s’est mis à rire.
Au secours !
A suivre.
Si vous voulez des renseignements concernant mes 7 livres et recevoir une photo pas convenable du tout,
envoyez-moi un mail : [email protected]
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