Je l’ai bien cherché !
Marié depuis de nombreuses années, et malgré une entente sexuelle que je qualifierais de normale, j’ai toujours eu conscience que le sexe entre hommes exerçait une obsession sur moi. Idée que je m’efforçais de rejeter loin de moi, tout ceci étant contraire à la morale que l’on m’a inculquée.
Une chose est sûre, je suis très sensible analement et ce côté m’a toujours un peu obsédé. Je n’hésite pas à me donner du plaisir par cet orifice dès que je le peux, mais penser à passer à un sexe d’homme m’a toujours fait peur.
J’ai aujourd’hui cinquante-deux ans et ce qui m’est arrivé l’été de mes quarante-trois ans a fait basculer ma vie sexuelle. Tout ce qui va suivre est authentique et me laisse un souvenir encore mêlé de la tension et l’excitation qui furent miennes.
Durant cet été, comme bien d’autres, nous avions loué au bord de l’océan, sur la côte atlantique en Charente-Maritime. Les plages y sont bordées de dunes où l’on peut à loisir se rincer l’œil.
Un jour où femme et enfants avaient décidé de faire quelques courses en ville, j’en ai profité pour aller seul à la plage, mais plus spécialement dans les dunes pour mater quelque femme nue ou surprendre quelque couple en pleine action. Je savais que le coin était aussi un lieu de rencontre homo et mater deux hommes ensemble n’avait rien pour me gêner.
Mes pas me permirent de surprendre ce jour un couple d’une trentaine d’années qui s’était éloigné de la plage pour se donner un peu de plaisir. Après avoir bien préparé son homme de sa bouche, madame se mit à quatre pattes, et ce dernier n’eut aucun mal à trouver un chemin bien humide. Elle était bien faite, jolis petits seins biens fermes et pointus, des fesses bien rondes et lui arborait une verge très raisonnable, qui avait l’air de bien satisfaire madame vu ses gémissements. L’accélération de son rythme et son souffle me précisèrent le moment où il se libéra en elle à grands coups de reins.
Je m’étais bien branlé en les regardant mais je n’avais pas encore joui et décidai donc de continuer à me rincer l’œil.
Bien loin de la plage, au détour d’un bosquet, j’ai surpris deux mecs qui étaient en train de se caresser mutuellement. Pas plus de trente ans, l’un blond assez svelte pratiquement imberbe et l’autre, de type méditerranéen, carré et assez velu.
Ils se roulaient une pelle en se caressant le corps, ils étaient tous deux en maillot de bain. Le brun mordillait les tétons de son complice qui poussait des petits gloussements de satisfaction.
Mon excitation était à son comble, il fallait que je m’approche pour mieux les voir sans être vu.
Maintenant les maillots de bains tombaient, dévoilant pour le blond, une longue verge assez fine, au joli gland décalotté, qui se dressait déjà fièrement. La verge du brun était un monument, épaisse et de bonne taille, un gros gland violacé, deux grosses couilles velues.
Le blond ne tarda pas à s’en saisir pour la caresser et très rapidement la mit au chaud dans sa bouche.
Tout ceci était extraordinaire pour moi, je restai très excité par ce que je voyais, et du coup je me montrai un peu moins discret que je n‘aurais dû. L’un deux m’aperçut et me fit signe de la main de passer mon chemin et de les laisser tranquilles, ce que je fis promptement.
Mais je ne pouvais en rester là, ceux qui ont déjà joué les voyeurs le savent bien, il faut toujours en voir plus.
Toujours est-il que je me suis à nouveau approché discrètement, et je pouvais voir une main brune s’égarer sur les fesses blondes et un doigt fureteur s’insinuer entre elles. C’est le moment que choisit une brindille pour se casser sous mon pied et les alerter de ma présence.
De nouveaux signes d’énervement me firent comprendre de m’éloigner et de les laisser à leurs ébats. C’est ce que je fis, mais pour peu de temps, l’envie de revenir discrètement pour les regarder faire étant la plus forte.
Je m’approchai donc à nouveau après avoir fait semblant de m’éloigner, et je ne trouvai que le mec blond, seul et allongé nu sur le sable, je me dressai un peu pour mieux voir, quand une sensation de présence me fit me retourner et je me trouvai nez à nez avec le brun à poil, moi en short de bains.
• — Alors, on veut se rincer l’œil. Eh bien, tu vas avoir ce que tu veux, me dit-il.
Plus grand d’une tête par rapport à moi, il me poussa sans ménagement face à son pote qui se leva alors.
• — Tiens, voilà notre emmerdeur de voyeur, je pense que puisqu’il veut voir, tu peux lui montrer de près ce qu’il cherche à voir de loin.
Le blond était face à moi, debout, et arborait un sexe fermement dressé. Le brun m’appuya sur les épaules pour me faire mettre à genoux mais je résistai, aussi usa-t-il de plus de fermeté pour m’obliger à plier les genoux et tomber face à la verge de son copain.
J’étais perdu, je ne maîtrisais plus rien. J’avais voulu jouer mais je n’étais plus maître de la situation.
Le sexe s’approcha de ma figure :
• — Alors tu vois mieux là, regarde-le bien, il n’attend que ta bouche, dit le brun.
Je répondis qu’il n’en était pas question et que je voulais partir, je les laisserais tranquilles. Mais une main plus ferme me poussa la tête vers le membre tendu. J’avais le gland rose contre les lèvres, et son odeur forte diffusée vers mes narines. J’étais à genoux dans le sable, tenu fermement par derrière, une bite dressée devant mes lèvres.
À la fois résigné mais tenté, j’ouvris légèrement la bouche et le blond en profita pour exercer une plus grande pression qui fit rentrer son gland dans ma bouche puis le reste de son membre. La sensation de ce membre chaud dans ma bouche, à la fois doux et ferme, m’excitait de plus en plus et mon sexe se trouvait de plus en plus à l’étroit dans mon short.
Les mouvements qu’il donna alors à son corps faisaient aller et venir doucement sur toute sa longueur son sexe dans ma bouche. Pour une première expérience homo, j’étais servi et je trouvais malgré tout la situation très excitante.
• — Mais c’est qu’elle aime ça, la salope, dit le brun en rigolant. S’il en veut, il va en avoir, regarde, ça le fait même triquer, dit-il en baissant mon short, ce qui libéra ma verge.
Certes modeste à côté des leurs, sa fermeté montrait que la situation ne me laissait pas de marbre.
Et la main du brun commença à me branler, pendant que le blond me remplissait toujours la bouche, et montrait des signes de plaisir à faire aller et venir sa verge bien au fond de ma gorge me donnant parfois un haut-le-cœur quand il me l’enfonçait trop loin. Le brun me claquait parfois les fesses, puis reprenait la branlette de ma queue. À ce rythme-là, je n’allais pas tenir longtemps…
J’étais là, à genoux dans le sable avec une belle verge dans la bouche que je m‘efforçais de sucer au mieux malgré mon inexpérience. Je la sentais coulisser et frémir dans ma bouche tandis que l’autre derrière moi continuait à me branler de sa main et se laisser aller parfois à quelques palpations plus appuyées sur mes fesses, voire quelques claques et parfois même aventurait un doigt entre ces dernières.
Je ne savais plus où j’étais, ce que je faisais, j’avais franchi les limites du raisonnable pour un homme marié, mais le désir était là et je sentais que ce dont j’avais rêvé maintes fois se réalisait enfin.
Pourquoi faire machine arrière, la nature m’avait fait ainsi, je devais assumer. J’étais là, vulnérable, mais pas décidé à quitter les lieux.
C’est alors que derrière moi, le brun s’éloigna. Que faisait-il ? Je le vis farfouiller dans un sac de plage et en sortir un préservatif.
Pourquoi, il n’allait pas en plus de cette première pipe, s’occuper de moi plus profondément ?
Mais il fallut me rendre à l’évidence et je compris très vite ce qu’il avait dans la tête (ou ailleurs) quand le bruit de l’étui qu’on déchire me confirma qu’il comptait bien l’utiliser.
Il enfila alors la capote sur sa verge en pleine forme et me regarda avec un regard moqueur en arborant son sexe fièrement équipé.
Pour ma première, ça risquait d’être la totale, et un moment de lucidité ou de peur me commanda d’arrêter, mais le pouvais-je encore ?
J’arrêtai momentanément la fellation que je pratiquais pour dire quelques mots ;
• — Non, s’il vous plaît, je ne pense pas être capable d’aller plus loin, je ne l’ai jamais fait.
Seuls, quelques rires confirmèrent que la partie était perdue d’avance, et le blond me reprit la tête avec véhémence afin de continuer mon ouvrage sur sa verge toujours tendue.
À nouveau le brun repris sa position derrière moi et me claqua les fesses avec plus de force que les fois précédentes. Sous cette claque je me crispai et une seconde s’abattit dans la foulée, mais cette fois la main resta en place sur mes fesses, et je sentis alors un doigt fureteur s’insinuer entre mes fesses. Écartant mes deux lobes, ce doigt commença à me caresser la pastille qui, très sensible, me produisit de nombreux frissons de plaisir bien que la crainte de la suite ne se soit pas encore dissipée.
Ce doigt inquisiteur chercha doucement mon orifice et malgré moi je me détendis sous son contact et il m’appuya plus fermement sur l’anneau qui accepta sans peine la première phalange.
Le propriétaire de cette intrusion remua légèrement son doigt de manière à le faire progresser plus profondément jusqu’à me le mettre en entier. C’était agréable malgré ma gêne d’être là, à leur merci, soumis, et je me laissai aller à cette intrusion.
Puis au bout de quelques instants de ce doux traitement le doigt sortit de mon anus et je sentis alors quelque chose couler entre mes fesses jusqu’à ma rondelle qui venait ainsi d’être graissée par de la salive. Je compris que le moment redouté mais dont je rêvais bien souvent ne pouvait qu’arriver sous peu.
J’avais vu sa verge épaisse au gros gland violacé et je savais que le pauvre doigt que j’avais reçu n’était rien à côté de ce qui m’attendait et j’en frémis un peu d’appréhension. Je ne dis rien compte tenu que ma bouche était pleinement occupée par l’autre membre qui donnait des signes d’excitation intense en gonflant de plus en plus et en générant chez son propriétaire de légers soupirs indicatifs d’une jouissance prochaine.
C’est alors que deux mains fermes me prirent les fesses et les écartèrent de manière à rendre plus accessible encore mon orifice. Quelque chose de tiède et de bonne consistance se posa alors sur mon trou et commença à exercer une pression.
Voilà j’allais y passer, devenir véritablement la femelle d’un mec, et malgré ma crainte j’en éprouvais aussi un certain plaisir.
Ce plaisir s’estompa rapidement quand le gland força mon anneau et commença à m’ouvrir l’anus. La douleur que je ressentis lors de l’entrée de ce gros gland ne peut-être décrite avec précision, une douleur aigue irradiait mon fondement et je me surpris à libérer quelques larmes liées à la douleur générée par cette effraction.
La progression du membre dans mon trou du cul s’arrêta et celui qui occupait ma bouche s’activa de plus en plus et me prit soudain fermement la tête pour se libérer en longs râles de plaisir, il inonda ma bouche, je sentais très nettement ces spasmes libérateurs m’arroser la gorge. J’avais la bouche pleine du sperme d’un homme, et des haut-le-cœur me firent me libérer la bouche de ce sexe pour recracher cette semence qui m’avait inondé.
L’autre, excité au plus haut point par ce qui venait d’advenir, repris sa progression dans mon anus, réactivant la déchirure de mes entrailles, me faisant pousser de forts gémissements. Bientôt la toison de mon bourreau toucha mes fesses et je compris alors que la totalité de sa verge occupait mon cul. J’avais l’anus en feu et, me tenant fermement les hanches, le brun commença à aller et venir dans mon trou en soupirant de plaisir. Mon anus novice et serré ne pouvait que satisfaire son gros membre qui y coulissait maintenant suivant un bon rythme.
Je poussais toujours des gémissements à chaque poussée de son membre, la douleur irradiait toujours mais se faisait moins violente, mon anus devait certainement se détendre et s’habituer à ce visiteur. Ma verge qui avait perdu sa contenance lors de la rentrée du gland dans mon cul, reprenait doucement forme, preuve que cela me procurait malgré tout un certain plaisir. Je ne pus m’empêcher alors de porter la main à ma verge et de me branler au rythme des coups de butoir qui remuaient mon corps.
Serrée comme elle l’était dans mon fourreau anal, je sentis sa bite se raidir encore, gonfler encore, et alors que ma verge se libérait de sa semence provoquant des contractions de mon anus, je sentis le membre m’investir à fond et se libérer par poussées successives générant de forts grognements à son propriétaire.
Satisfait et vidé, il sortit sa queue de mon cul, la capote pleine de sperme témoignant de son plaisir et me dit que j’avais voulu voir ce qu’était le plaisir entre hommes et qu’ils avaient dû réussir à satisfaire ma curiosité et que je pouvais décamper maintenant.
Je réajustai le peu de vêtement que j’avais et quittai les lieux un peu sonné de ce qui venait de m’arriver.
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