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A trois pour le troisième mois.

A trois pour le troisième mois.



La nuit vient de tomber. Nous sommes rentrés comme à l’accoutumée aux alentours de 17h30. J’ai préparé un feu pendant que tu prenais un bain. Alors que ton troisième mois s’achève, tu prends de plus en plus de plaisir à t’immerger dans une eau chaude et moussante presque tous les soirs. A chaque fois, je fais couler l’eau, y ajoute ton savon préféré. Tu me donnes toujours un baiser, me souris, puis te glisses dans la baignoire comme dans un écrin.

Ce soir, nous recevons quelqu’un. (Pour les besoins du récit, je ne préciserai pas si nous connaissons cette personne, ni de près ni de loin, ni d’hier ou d’avant-hier) Une simple invitation à laquelle « on » a répondu. Un apéritif sur les coups de 20h.J’ai prévu du saumon et des blinis, du whisky pour le gentleman campagnard que je suis, du vin rouge et de la bière sans alcool. Même si tu ne dois pas boire, j’espère secrètement que tu te laisseras tenter par un verre, même un fond. T’imaginer porter ce nectar rubis à ta bouche à quelque chose de sensuel, peut-être parce que tu as une façon de tenir ton verre particulière, presque nonchalante, presque hautaine, terriblement sexy.

« Tout va bien mon Amour ? Me lances-tu depuis la salle de bain.
– Tout va bien ! »
Je suis dans le fauteuil, satisfait du feu qui crépite dans le poêle, du liquide tourbé qui coule dans ma gorge et de la fumée de ma cigarette qui ressort régulièrement de mes narines. J’ôte mes chaussures, défais ma ceinture. Si toi tu manges pour trois, j’ai aussi pris un ou deux kilos pour t’accompagner… Je joue régulièrement au tennis, certes, et mes jambes ont gagné en tonicité, mes bras se sont légèrement épaissis, mais ton rythme alimentaire ne me laisse pas sécher !

19h20 à l’horloge.
« Je peux prendre une douche ma L ? Dis-je en me dirigeant vers la chambre.
– Oh oui, je finis juste ma page et tu peux prendre ma place !
– Parfait. »
Je jette mon t-shirt sur le banc, enlève mon pantalon et mes chaussettes. Mon caleçon date de ce matin, je le remettrai après. J’entre dans la salle de bains. D’emblée, tes yeux se posent sur mon boxer, qui dissimule ma queue au repos.
« Tu es beau… »
Je souris. Je te tends ton peignoir, tu as eu le temps de laver tes cheveux. Tu sors toute mouillée de la baignoire alors que je baisse mon caleçon. Tu viens te plaquer contre moi et m’att****s délicatement les couilles dans un soupir. Je te laisse faire quelques secondes, avant de gentiment me décoller en t’embrassant sur le front. Je tire le rideau, tu quittes la pièce.

L’eau chaude sur ma peau me fait un bien fou. De profil, je regarde mon corps dans le miroir. Il est plus dense, plus mature qu’il y a juste quelques années. Mes poils sont là, et bien là. Partout. Mes fesses aussi sont présentes. Plus musclées, mais tout aussi « dans la place » qu’avant. Je rentre un peu le ventre, contracte mes abdos, un peu discrets sous cette calotte hivernale. Je jette enfin un œil à mon entre-jambes, comme pour achever la check-list. Ma queue est souple et lourde sous l’effet de la chaleur, mes couilles pendent agréablement. Tout est OK, c’est bien moi.

Après quelques minutes, je sors. J’entends que tu t ‘affaires dans la chambre. Je t’imagine déjà avec ton jogging Star Wars, un petit haut sans soutien-gorge et un gilet pour te tenir chaud. Je me sèche précautionneusement. Partout. J’inspecte mon gland et le débarrasse de toute humidité. Malgré l’usage de mon gel douche, ça sent déjà la bite. Oui. On y peut rien. Telle est notre condition d’homme. On se parfume, on prend soin de nous, et pourtant, en bas, ça sent toujours la bite. Il paraît que la mienne sent bon. Un bref « Et si je sentais l’odeur d’une autre bite un jour… » me traverse l’esprit. Je secoue la tête et essuie la buée sur le miroir.

Je renfile mon caleçon, m’applique un peu de déodorant, juste pour la nuit. Lorsque je te rejoins dans la chambre, j’hausse les sourcils de surprise. Tu as mis ta jupe rouge, tes collants en laine gris, et tu ajustes ce nouveau soutien-gorge presque sans tissu que je t’ai offert il y a deux semaines, celui qui laisse voir tes tétons. Je me souviens à ce propos de la réaction amusée de la vendeuse lorsque je lui ai présenté l’article en question. « Vous avez besoin du string assorti ? » m’avait-elle demandé. « Non, merci, pas besoin ! » avais-je répondu en lui souriant. L’idée même qu’elle ait pu imaginer pourquoi tu n’avais pas besoin d’un string supplémentaire m’avait déclenché une demi-molle. S’en était suivi un encaissement un peu long durant lequel son excitation à elle était flagrante. Elle m’avait lâché un « bonne journée » dans un souffle, j’avais hoché la tête en forçant un peu mon regard, pour qu’elle comprenne que malgré ses jolis seins et son beau petit cul, j’avais mieux en stock. J’étais parti en roulant un peu des fesses, afin de la déconcentrer pour le reste de l’après-midi.

Tu me regardes en souriant.
« Ah oui, vraiment ?
– Oh, je serai très bien comme ça ! J’avais envie de me faire bonne. La bouche entrouverte et les yeux perçants, tu enfiles une petite chemise noire.
– C’est réussi…
Ton sourire est flamboyant, autant que tes cheveux sont encore dégoulinants.
– Ok, si tu vas par là…J’avais pensé mettre mon accoutrement médiéval mais bon… »
Mes jambes rentrent vite fait dans mon slim, et je mets mon polo noir. Tu viens poser tes mains sur mon torse. Je t’embrasse.
« A tout de suite… dis-tu en te dirigeant une nouvelle fois vers la salle de bains avec ton air de ne pas y toucher.
– Ah oui, carrément ! Genre bonne… Bonne ?
– Oh oui ! Bonnasse même ! »

Ok. Bon. Peut-être que tu as envie de me chauffer avant que notre invitée n’arrive, comme pour me laisser sur ma faim, exprès, et me voir exploser une fois que nous serons seuls. Je suis même certain que c’est ça.

Je file à la cuisine pour mettre les blinis à chauffer et préparer le saumon. 19h50. Je décide de laisser les volets ouverts, pour qu’il n’y ait pas de malentendu quant à la maison occupée. Et puis c’est chaleureux de voir de belles lumières allumées dans une maison, alors qu’une odeur de feu de bois s’en échappe.

Tu me rejoins. Tu es magnifique.
« Ouais… Bonnasse. »
Je te sers contre moi. Mes mains descendent sur tes fesses, qui continuent de prendre du volume avec les semaines. Ma queue enfle contre ton ventre. Tu m’embrasses et me laisses à mes blinis.

Dix minutes plus tard.

« Ah ! Ca y est ! » Je le sais, j’avais entendu la voiture avant toi.
Bruits de pas dans les graviers. Tu sors sur le perron.
« Salut.. ! ». Deux bises. La porte se referme.
« Tu peux mettre ton manteau sur cette chaise si tu veux.
– Putain il fait un froid, j’ai cru que mon pare-brise allait geler sur la route ! »
Vous riez un instant et je vous rejoins.
« Salut ! dis-je de manière un peu trop préparée pour sembler parfaitement naturel.
– Tu vas bien ? me demande-t-elle.
-Très bien…
Bise.
– Et toi ?
Bise.
– Ca va ! Ca fait plaisir ce feu ! Et cet éclairage, c’est tellement cosy !
Je retourne à la cuisine, satisfait de ma mise en scène d’hôte irréprochable.
– Ouais, mais je vais aller fermer les volets pour garder la chaleur, parce qu’on ne chauffe pas la nuit. »

Je sors dehors. Je prends le temps de humer l’air frais et parfumé de la campagne déjà endormie.

Volets fermés, je sers un verre de vin à notre invité. Nous l’appelleront… Sarah. Tu me fais signe que toi aussi tu veux bien un fond. Ce sera un deuxième whisky pour moi.
« Les blinis sont dans le four, c’est prêt dans cinq minutes, dis-je en vous rejoignant dans le salon.
– Parfait ! réponds-tu avec gourmandise.
Nous trinquons. Sarah est vêtue chaudement, ce qui contraste avec ta tenue plutôt légère de toi- bonnasse. Elle dénoue un foulard, libérant ses cheveux auburn mi-longs. Elle a le teint un peu rosi par le froid et agite les jambes pour se réchauffer. Le jean moulant quand ça pèle, ce n’est pas l’idée du siècle.
« Bon alors, quoi de neuf ? dis-je histoire de lancer la conversation. Il n’y a en effet pas de réelle complicité entre nous, du moins pas énorme, pour démarrer un débat sur la saison 8 de Walking Dead d‘entrée de jeu.
– Oh pas grand-chose… Ah si ! J’ai démissionné la semaine dernière ! J’en avais trop marre.
– Aïe le chômage…ajoutes-tu d’un air désolé.
– Non c’est bon ! On a fait une rupture à l’amiable. »

S’en suit une discussion banale mais somme toute agréable. Oui, agréable. Je suis chez moi, dans mon fauteuil, le « mec de la maison », en compagnie de la femme de ma vie et bientôt future mère de mes enfants, et en non moins charmante compagnie de Sarah, qui, il faut bien l’avouer, est « tout à fait carrément pas mal, voire super correcte. »
« Je vais chercher la bouffe » dis-je en me levant. Vous ne parlez plus. Je jurerais que vos regards respectifs se sont braqués sur mes fesses quand je me suis retourné pour me diriger vers la cuisine.
« Donc, oui, le souci avec les horaires décalés… » enchaîne-t-elle très vite.

Je m’applique à disposer équitablement les morceaux de saumon sur les petites galettes, et reviens m’asseoir un peu plus près de la table basse.

Une bonne heure se passe, j’en suis à mon troisième whisky, elle à la fin de son deuxième verre de vin. Même avec un seul verre dans le sang, je vois bien que tu es est plus joyeuse que d’habitude.
Soudain le visage de Sarah se fige.
« Qu’est-ce que c’est que ça ?! » s’exclame-t-elle, les yeux écarquillés, en prenant lentement un livre posé négligemment sur l’étagère. « Osez…20 histoires de plan à 3…
– C’est mon cadeau d’anniversaire ! » Tu l’as coupée de manière décontractée et amusée, hochant la tête et les épaules comme quand tu es enjouée, un large sourire forcé aux lèvres.
– Tu veux dire que…
– Non. Le livre est son cadeau d’anniversaire. Enfin l’un de ses cadeaux, dis-je avec un ton d’universitaire.
– Ah ! Oui, d’accord ! Ok. Non parce que je me disais… Quand même, avec les bébés… Enfin…
– Non, non, certainement pas ! T’imagine un peu le malaise ? renchéris-tu.
– Oh bah ça ne se voit pas tant, si ?
Je prends la parole :
– Non pas vraiment, c’est juste qu’elle n’a pas forcément la tête à ça, et ça se comprend.
– Oh mais c’est sans compter avec le mois de la petite salope ! »
Je te regarde, incrédule. Tu as dit ça avec tellement de légèreté qu’elle est moi sommes abasourdis devant tant de franc-parler.
« Le mois de la…
– Apparemment c’est le cinquième, où les hormones sont au beau fixe », lui expliques-tu, toujours sur un air de fête.

J’enchaîne sur la relative médiocrité de l’ouvrage, sur le fait qu’il y ait bien trop souvent deux mecs et une nana, et qu’ils finissent toujours par se sucer entre eux. Nous bavardons de l’idée du plan à trois un moment. Elle nous apprend qu’elle l’a déjà fait. Deux fois. Deux fois avec un mec (son copain de l’époque) et une fille. Fifty/fifty en termes d’expérience… Tu l’écoutes avec une attention étonnante, tandis que je sens, bien évidemment, ma bite qui commence à se réveiller.

« Et c’est quelque chose que vous avez vraiment envisagé ou… ?
– Mmm… Potentiellement. Mais quand je serai…prête. J’imagine.
– Oui, normal. »
Un silence s’installe un instant. Nous sommes tous les trois immobiles, chacun à notre place, comme si nous défendions des positions. Je décroise puis recroise mes jambes, gêné par ma queue bandante et repliée sur elle-même dans mon jean.
« Mais, attends, T’en es au quoi… Quatrième ?
– Fin du troisième.
– Fais voir ! » dit-elle en désignant ton ventre du regard.

Tu déplies les jambes, de façon à être presque allongée sur le coin «méridienne » du canapé. Un peu engoncée dans ta jupe, tu la descends à peine pour être plus à l’aise, d’un ou deux centimètres. Son regard n’a pas quitté ton ventre alors qu’elle s’approche. Tu remontes ton chemisier, comme si tu allais révéler l’emplacement du trésor des templiers…
« Ooooh ! Mais c’est tout mignon ! Elle a les yeux qui brillent. Tu souris :
– Ah oui ? »
Ton ventre à peine rebondi est juste un peu plus gros qu’il y a quelques temps. On ne pourrait pas encore soupçonner que tu portes un enfant, deux encore moins ! Sarah se retourne vers moi et mon air attendri, la main posée sur le lieu de développement des mes enfants.
« Vous êtes magnifiques tous les deux… Vous allez voir les plus beaux enfants du monde !
– Pas de doute ! » lui dis-je avec un humour emprunt de sérieux.

Je remarque alors qu’elle s’est presque machinalement mise à caresser la ligne discrète de poils qui orne l’espace compris entre ton pubis et ton nombril. Etrange. De ton côté, tu regardes ses doigts qui te caressent doucement avec de grands yeux, presque dans le vague.
« Tu es obligée d’attendre le cinquième mois… ? » te demande-t-elle alors qu’elle se penche sur toi. Elle a rangé une mèche de cheveux derrière son oreille. Dans mon fauteuil, je suis comme un félin qui guette sa proie. A l’arrêt. Prêt à bondir. Sur quoi je ne sais pas, mais quand elle s’est rapprochée de toi, son pantalon s’est tendu et j’ai aperçu le haut de son string bleu-marine qui dépassait.
« … (tu as un bref soupir) J’imagine que… non.. ? »
Elle se rapproche de plus en plus. Tu dois pouvoir sentir son souffle qui s’échappe des sa bouche. Qu’est’ce que ça te fait ? Que se passe-t-il ? En as-tu envie ? Sens-tu son parfum ? Y a-t-il eu un contact entre ses seins et les tiens ? J’ai déjà l’impression de penser avec ma queue.

Doucement, délicatement, avec la beauté d’une rencontre imprévue, vos lèvres finissent par se rejoindre. La mienne est instantanément mordue par mes incisives. Tu places ta main dans ses cheveux, toujours allongée. Vous vous embrassez, lentement et avec appétit. Sa main à elle remonte jusqu’à tes seins, sous ta chemise. Je vois presque ses doigts te caresser les tétons.
Je m’éclaircis la voix :
« Je…
– Viens », me lances-tu entre deux baisers. J’entends ta langue plonger à nouveau dans sa bouche.

Je m’avance, m’assoies à côté de tes jambes étendues, au bord du canapé. Ton autre main glisse sur son dos, pour finir sa course sur ses hanches. Le bruit de vos lèvres entremêlées me rend dingue. L’odeur qui s’échappe de sous ta jupe trahit ton désir énorme. J’entreprends de t’enlever tes collants, en continuant de vous regarder.

Je t’avais souvent imaginé embrasser une fille, mais c’est tellement plus beau en vrai. Mon excitation est presque à son comble. Tes jambes libérées, Sarah relève ta jupe. Sa bouche quitte la tienne. Elle t’écarte tendrement les cuisses, pour observer et respirer ta chatte qui mouille déjà abondamment. Tu lui souris, et à moi aussi. Sarah se lèche la lèvre supérieure, je devine que tu lui fais terriblement envie. Je lui laisse ma place et t’enlève ta chemise. Tu me regardes intensément et laisses soudain échapper un souffle plus prononcé. Ca y est, Sarah a donné son premier coup de langue. Tu fermes les yeux et bascules la tête en arrière. Je malaxe tes seins en la regardant te lécher, puis les prends en bouche.

Ta main vient se poser sur mon pantalon, à l’endroit où une bosse indique que je suis un homme. Tu commences à gémir. Sa langue dans ta chatte est un délice, elle sait s’y prendre.
Je déboucle ma ceinture, défais ma braguette . Pas de doute, ça sent la bite. Tu te relèves un peu et descend immédiatement mon caleçon, celui de tout à l’heure. Elle, toujours entre tes lèvres, ouvre les yeux et regarde ma queue enfin libre, dressée et gonflée comme jamais. Tu me prends tout de suite dans ta bouche en la regardant du coin de l’œil. Elle relève la tête, commence à vouloir s’essuyer les bords de sa bouche. Rapidement tu me lâches et arrêtes son mouvement en venant l’embrasser. Vous échangez ta mouille sous mes yeux. Je reste planté là, à vous regarder.

Tu finis par me reprendre en main et amène Sarah jusque sous mes couilles.
« Lèche-les… » lui demandes-tu à voix basse.
Je sens sa langue qui s’insinue sous moi, puis qui virevolte entre mes testicules. Tu l’observes faire, en te mordant les lèvres. Las, je prends ta tête entre mes mains et engouffre mon sexe dans ta bouche.

Je me fais sucer par deux filles. Putain.

Elle remonte le long de ma queue avec sa langue et te demande si elle peut. Elle peut. Mon gland change de bouche et rentre dans la sienne. Elle suce bien. Divinement bien. Vous échangez ma bite régulièrement, en faisant quelques haltes pour vous embrasser. Je sens déjà un peu de liquide poindre au bout de mon pénis.

Tu la fais s’allonger à son tour, se déshabiller et lui écartes les jambes. Elle est un peu plus grande que toi, les hanches plus marquées aussi, Ses seins sont à peine moins gros que les tiens et sont fermes. Tu la dévores des yeux. Face à elle, tu te cambres et te diriges vers sa chatte, entièrement épilée. Tu n’y vas pas par quatre chemins en l’aspirant d’un coup. Elle gémit à son tour et commence à onduler.

Je me lève et vient me placer derrière toi. Sarah me regarde approcher ma queue de tes fesses tenues Je plonge mon sexe dans le tien, sans préavis. Tu es trempée. Bientôt, mes couilles claquent contre ton clitoris, et tes gémissements se mêlent aux siens. Elle pétrit ses seins pendant que tu lui bouffes la chatte. Ca t’avait (quand même) un peu manqué.

Elle change soudainement de position et se met à quatre pattes. La vue sur ses fesses m’excite encore davantage. Son petit trou est lisse, sa chatte juteuse dégouline. Tu écartes ses fesses, introduis un doigt en elle et entreprends de lui lécher l’anus.

Je n’en peux plus. Je vais jouir très vite. D’ailleurs, nous jouissons tous les trois, en même temps. Moi au fond de toi, toi emplie de moi, et elle de tes doigts et de ta langue.
Je me retire. Vous continuez à vous embrasser Mon sperme coule entre tes cuisses. Elle le recueille dans sa main et le porte à ta bouche. Tu lapes délicatement mon jus, puis l’embrasse. Je t’imagine lui faire goûter avec ta langue.

Quoi qu’il en soit, ma bite est toujours dure. Sarah s’en aperçoit et te chuchote un mot à l’oreille. Tu as l’air d’approuver, vu la manière dont tu hoches la tête en me regardant. Je comprends. Je comprends que je vais la baiser, à son tour.

Cinq minutes plus tard

Cette capote me serre., mais moins que sa chatte qui est un véritable étau. Nous avons basculé dans la chambre. Elle est allongée sur le dos, toi au dessus d’elle, elle te baise avec sa bouche. Moi entre ses cuisses ses jambes légèrement repliées. Il y a quelques secondes, j’avais ma langue en elle. Avec toi. Nous l’avons léchée tous les deux, mon index s’activant sur son clitoris pendant que tu le prenais le cul avec le tien. Elle a déjà joui, et en voulait encore.

Je continue, ma bite aspirée dans ses tréfonds. Je me redresse un peu pour t’embrasser, mais nous y parvenons à peine tant ton corps se tord dans tous les sens, tant ta bouche est incontrôlable. J’entends ses coups de langue. Ils sont rapides, profonds. Tu vas jouir. Elle te fait jouir avec sa bouche. Prise d’un spasme immense, tes cuisses se resserrent autour de son visage. Elle à l’air d’aimer ça, à l’entendre.

C’en est trop. Je vais venir. Une seconde fois. Ma queue sort de son fourreau temporaire, je retire précipitamment le préservatif. Je me branle fort au dessus de ses seins, alors que tu t’approches de ma bite pour la voir gicler.
« Tu vas jouir mon Amour… Tu vas jouir sur ses seins… »
En hochant frénétiquement la tête , je sens la jouissance monter. Tu l’embrasses à nouveau. Puis vous me regardez toute les deux en vous caressant mutuellement. Vos mains qui s’entrelacent, vos corps en sueur… Vos yeux brulants de désir… Ca y est. Je retiens deux secondes l’éjaculation afin de jouir plus fort et plus loin. Les premières gouttes de sperme chaud tombent sur ses seins, puis viennent les suivantes. J’inonde Sarah de ma semence, qu’elle commence à étaler sur sa poitrine. Tu te précipites la langue tendue pour tout lécher sur sa peau. Je me branle encore. Elle me prend les couilles et les malaxe, en me suçant une dernière fois, pour me pomper les dernières gouttes.

Enfin, tu m’embrasses à pleine bouche. Tu n’as pas avalé. Je reçois mon sperme sur la langue.

Nous nous allongeons tous les trois sur le lit, toi au milieu. Sarah et moi continuons d’effleurer tes formes tendrement.

Une demi-heure plus tard

La voiture s’éloigne. La vaisselle est finie. Nous allons nous coucher.
« Je te l’avais dit. Aucune fille ne pourrait résister à l’envie de te lécher ou de te sucer en voyant ta queue sortie comme ça…
– T’avais raison. Elle n’a pas résisté.
– Elle suce bien ?
– Pas mal. »
Je te colle contre moi sous la couette, mon visage dans ton cou.
« Tu résisterais, toi, à une bite dressée devant toi ?
– Tu sais bien que non, si c’est la tienne ! me réponds-tu à voix basse.
– Et si c’était un autre ?
– … Tu veux dire… Si je résisterais à l’envie de sucer une autre grosse bite qui bande et qui sent comme ça ?
– Oui…
– A voir… Plus qu’un mois à attendre. »

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