Je me réveillais le lendemain matin vers 6h. J’avais dormi profondemment. Je tournais la tête pour regarder autour de moi. Je n’étais pas dans mon lit habituel. J’avais dormi dans la chambre de ma mère, dans son lit. Elle dormait encore, à coté de moi.
On a fait l’amour, me dis-je, comme pour m’en persuader. Je me rappelle de la relative v******e de la veille, du refus de ma mère, qui avait finalement cédé face à mon insistence. J’avais un peu utilisé la force également. Je me souvins de ses giffles pour me repousser. Elle n’a vraiment commencé à céder que lorsque j’étais entré en elle. La question que je me posais, c’est comment elle allait régir, lorsque j’allais vouloir la baiser à nouveau. J’espérais également qu’elle ne me fasse pas un sermon ce matin.
Je l’entendis bouger un peu et se mettre sur le dos. Elle toussa légèrement. Sans attendre, je décidais de m’installer sur elle, lui retroussant la chemise de nuit au dessus de la chatte, et je plaçais ma queue sur sa fente. J’entrais en elle, sans m’allonger complétement sur elle, et je lui écartais doucement les jambes.
Elle ouvrit les yeux, sans rien dire, en me regarda dans la demi obscurité. Ma queue allait et venait dans sa chatte poilue. Je m’attendais à de la resistance, mais elle ne dit rien, et ne fit aucun geste pour m’arrêter. Je fis sortir un de ses seins de sa chemise de nuit, et le mit à ma bouche en lui mordillant le téton. Je restais un moment à avoir son visage sur son sein, tout en la baisant à bonne cadence, et en tapant bien fort à chaque fois.
Puis je me redressais. Ma mère avait les yeux fermés, et se mordillait sa lèvre inferieur. Je décidais de la baiser plus vite et plus fort. Elle garda le même faciès un moment, puis elle se mordilla davantage, avant de faire une petite grimace et commencer à haleter.
– Tu vois, tu ne voulais pas, mais ça te fait du bien, murmurai-je.
Elle ne dit rien et n’ouvrit pas les yeux. Je continuais de la baiser au même rythme, me concentrant et me retenant pour ne pas éjaculer.
– Tu en avais besoin… ajoutais-je.
D’un coup, je sortais ma queue, et la posais, gonflée à son paroxisme, dans les poils de ma mère. Le bout de mon gland arrivait presque jusqu’à son nombril. Comme je regardais, ma mère jeta également un oeil. Elle ne fit pas de commentaire, mais il devait etre clair que j’avais la plus grosse queue qu’elle avait connu. Je savais qu’elle était arrivée vierge à son mariage, et elle n’avait rencontré personne depuis la séparation.
Doucement, je reglissais mon sexe dans celui de ma mère, jusqu’à la garde, et je me remis à aller et venir en elle. Cette fois, je lui écartais les cuisses davantage, et je la baisais en mettant le poids de mon corps dans chaque coup de queue. Elle commença à gémir, et je me mis à aller vraiment vite. Elle poussa un long soupir. Je n’avais jamais entendu ma mère gémir de la sorte. Sa chatte était complétement trempée. Je tapais en elle, encore et encore. D’un coup, elle se contracta et serra un peu les cuisses en poussant un cri qu’elle essaya d’étouffer un peu. Mon sperme gicla également en elle. Elle se cambra un peu, ma queue sortit de sa chatte, et elle se recut deux autres jets de sperme sur le bas ventre.
Je m’écartais un peu sur le coté, et m’allongea sur le dos, doucement. Je reprenais mon souffle. J’entendais ma mère, à coté, respirer vite. Il fallut quelques minutes pour que sa respiration devienne plus calme et posée.
Je m’attendais à ce qu’elle me parle un peu. Mais elle resta ainsi, couchée sur le dos, les yeux mi-clos. Je sentis la fatigue m’envahire. Je me souviens qu’il n’était que 6h du matin. Je regardais le reveil. Il était 7h15. On avait baisé plus d’une heure. Je ne m’en étais pas rendu compte. Je fermis un peu les yeux. Je m’endormis.
Quand je rouvris les yeux, il était 9h20. Ma mère s’était levée, j’étais seul dans le lit. J’entendais des bruits d’assiette et de couverts dans la pièce principale. Elle devait etre en train de vider le lave vaisselle. Je me levais doucement, sortit de la chambre. Ma mère était effectivement dans le coin cuisine. Elle me jeta un oeil et me fit « coucou » quand je franchis le seuil de la porte. Elle portait une robe de chambre bleue satinée. J’allais à la salle de bain me laver les dents. Je vis qu’elle avait pris une douche, je n’avais rien entendu, j’avais vraiment dormi profondemment.
– Je te fais un café ? me demanda ma mère, tandis que je me rinçais la bouche.
J’hochais la tête dans sa direction. Je me coiffais un peu, j’avais une sale tête. Je mis juste un caleçon et un t-shirt. Je rejoignais ensuite ma mère, et m’assis à la table de la cuisine.
Ma mère me posa une tasse de café peu après juste devant moi, avec une tranche de brioche. Puis, elle retourna vers le lavabo pour essuyer quelques verres.
– Maman ?
– Oui, fit-elle.
– Arrete cinq minutes la vaisselle. Viens là, lui dis-je en lui indiquant une position à coté de moi.
Elle s’approcha, posa le torchon qu’elle tenait à la main.
– Ouvre ta chemise de nuit.
Je la vis rester un peu bête. Elle murmura :
– Ca peut attendre ce soir ? J’aimerai que le journée, je redevienne ta mère.
– Et bien justement, c’est à ma mère que je demande ça.
J’avais fait l’amour deux fois à ma mère. Ca ne rimerait à rien qu’elle refuse. Elle prit un peu sur elle, et déboutonna les quelques boutons de devant, puis defit sa ceinture. Elle ouvrit la chemise de nuit en grand, dévoilant ses seins, ainsi que sa chatte. Elle ne portait pas de lingerie. Je bus une gorgée de café, en regardant ma mère qui m’exposait son corps.
– Tu es belle maman. Je t’aime.
Ma mère fut un peu génée. Elle passa une main devant sa toison pour la cacher un peu.
– Je te sens encore un peu sur la defensive maman. Pourtant tu ne disais pas non quand on baisait, tout à l’heure.
– C’est que… j’aimerais que la journée, je redevienne ta mère.
– Mais tu es tout le temps ma mère. Quand j’ai éjaculé dans ta chatte, tu étais ma mère plus que jamais.
Ma mère continuait de cacher sa toison avec sa main, en la passant devant regulierement.
– Masturbe toi.
– Quoi ?
– Là, avec ta main que tu arretes pas de passer devant ta chatte. Masturbe toi.
– J’aimerai qu’on parle un peu, attends, c’est…
Je me levais, et mit une claque à ma mère. Comme elle resta bête, je lui flanquais une seconde giffle, dans l’autre sens.
– Je suis ton fils, mais je suis ton homme aussi maintenant. Alors tu vas te branler, si je te le demande. Et on va meme faire un truc, suis moi.
Je pris ma mère par la main, et la conduisit vers la salle de bain. Je me mis devant les toilettes, et lui dis :
– Sors ma queue, fais moi pisser.
Ma mère resta un peu interloquée. Doucement, elle baissa mon caleçon, leva le battant des wc, et prit ma queue dans sa main, qu’elle orienta. Je me mis à pisser, d’un jet fort. Je regardais ma mère.
– Branle toi.
Continuant de tenir ma queue, elle approcha son autre main de sa chatte, et doucement, de deux doigts, commença à tournoyer sur son clitoris.
– Fais toi jouir vite, dis-je à ma mère. Ne cherche pas la qualité ou à faire durer, juste à jouir rapidement.
Ma mère ne comprit pas trop. Elle accelera le mouvement de ses doigts. De mon coté, je finissais de pisser.
– Tire la chasse, lui dis-je.
Ma mère s’executa, tout en continuant de se masturber la chatte. Je vis la creme pour le corps que je lui avais acheté. J’en pris un peu sur mes mains, et commença à lui en passer sur le corps, au niveau des épaules, puis des seins. Ma mère se branlait vite, sans un mot. Puis elle murmura : « je viens… »
Je lui pris la main et la stoppa net dans son plaisir. Elle n’était pas loin de jouir, il suffisait qu’elle se touche encore un petit peu le clitoris, juste quelques secondes.
– Allez, va finir la vaisselle maintenant. Et tu n’as pas interet à te faire jouir. Je veux que ça retombe.
Ma mère était vraiment surprise, et avait envi et besoin d’en finir, l’orgasme étant si proche.
– C’est moi qui décide maintenant quand tu dois jouir ou pas. Je te ferai jouir fort ce soir, tu n’as qu’à y penser et souhaiter que ça arrive vite.
– Je…
– Quoi maman ?
– Je veux faire pipi, aussi.
– Assieds toi et montre moi. D’ailleurs, j’aimerai qu’à présent, tu m’appelles à chaque fois que tu vas aux toilettes, pour que je vienne te regarder.
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