Le soir tombait petit à petit, Annick lisait dehors sur le trottoir servant de terrasse, elle était vêtue d’un pyjama short dont le haut moulait sa poitrine généreuse et le bas relevé, car elle avait posé ses pieds nues sur une chaise située en face d’elle, dévoilait ses mollets et ses cuisses blanches et musclées. Toute cette chair blanche et comme offerte était plaisante à admirer. C’est à ce moment que moi Christian je revenais du travail, je lui souhaitais le bonsoir, nous discutâmes quelques instants puis lui déclarais que je montais prendre une douche car la journée avait été rude et chaude. En montant chez moi j’avais ressentie une envie presque immédiate de coucher avec Annick. Je ne suis pas ce qu’on peut appeler un apollon mais les femmes me trouvent encore bel homme malgré mes 52 ans, moyen de taille, mais avec un beau visage , mince pas bedonnant comme beaucoup d’hommes de mon âge, un sourire enjôleur, une voix chaude, mâle, chantante et parait-il envoutante !!! très doux dans mes propos et dans mes caresses je dois reconnaitre que je plais assez pour tenter ma chance avec elle .
Annick quant à elle belle femme mature aux formes semblant généreuses, elle semblait de plus ne pas être indifférente à mon physique. Annick est une femme mature légèrement enveloppée ce qui n’est pas dédaignable avec une poitrine lourde et blanche que je voyais poindre sous son t-shirt. J’avais aperçu au jardin sa portait sous un maillot échancré dont le décolleté masquait mal le haut de sa poitrine j’avais eu ce jour là , je dois l’avouer, une érection subite. Malgré qu’elle ait 57 ans et qu’elle ne ne les fasses pas , pas mal d’homme se retournent sur son passage.
Je pensais à tout çà sous ma douche et je pris la décision après m’être sécher de redescendre prêt d’elle et de tenter ma chance. Donc je revins m’asseoir à côté d’elle disant que cette soirée était délicieuse, que le week-end s’annonçait bien et que je venais profiter de la douceur de la soirée avant de monter me coucher. Je lui parlais de choses et d’autres et tout en discourant je matais Annick .
Ses orteils remuaient toujours par moment et j’en admirais la finesse et la douce couleur rosée, que ce devait être délicieux de les sucer tendrement, puis lorsqu’elle redressait sa jambe je pouvais voir ses coussinets plantaires, sa voute plantaire et son talon et j’avais une envie folle de me jeter à ses pieds qui me captivaient. Puis en remontant les yeux j’étais subjugué par ses mollets blancs musclés juste comme il faut , puis ensuite mon regard se porta sur ses cuisses blanches , appétissantes invitant à découvrir certainement une chatte accueillante.
Je faisais attention à ce qu’elle ne suive pas trop mon regard pendant nos discussions mais je ne pouvais ensuite ne pas être attiré par cette poitrine qui bougeait sous son t-shirt et que chaque respiration faisait monter ou descendre. Je la fixais de mon regard noir qui se reflétait dans ses yeux bleus. J’admirais aussi ses lèvres roses qui cachait de jolies dents blanches et par moment sa langue semblant charnue apparaissait lorsqu’elle riait.
Je ne savais plus quoi faire, j’avais envie d’elle et avait peur de sa réaction de refus jusqu’au moment où lui ayant dit quelquechose de drôle et d’anodin elle posa délicatement son pieds sur mon genou peut être sans le faire exprès mais là tentant ma chance je lui saisis le pied et le caressais délicatement tout ne lui faisant un massage relaxant . Elle se laissa faire tout en me souriant, je poursuivais donc mes caresses tout en remontant doucement vers la cheville, puis plus hardiment je caressais son mollet et puis le bas de ses cuisses pour m’arréter à son genou …..Elle poussa comme un soupir d’aise et aussi de déception lorsque je cessais mon massage . Je la fixais à nouveau de mon regard mais avec l’air sérieux d’un homme qui a envie d’elle, elle me fixa également et me demanda pourquoi j’avais cessé de lui faire du bien…. Je reposais son pied au sol et tout en m’approchant de son visage, je lui dit tu sais Annick je peux faire mieux si tu es d’accord mais il faut monter chez moi là on sera plus tranquille…..Attend me répondit -elle je vais voir si mon mari dort….je ne tenais plus en place et lorsqu’elle revînt quelques instant après refermant doucement la porte elle me répondit alors montons !!!!.
Lorsque je la fis entrer chez moi je lui pris tendrement la main et la conduisit jusqu’à ma chambre en me demandant si elle n’allait pas refuser d’y entrer mais non elle se laissa conduire sans réaction contraire……alors je collais mes lèvres aux siennes et lui offrit un long baiser langoureux, nos langues s’enroulaient l’une à l’autre je sentais son arôme délicat et buvait sa salive abondante. Je profitais de cet instant pour poser mes mains sur sa poitrine que j’avais hâte de découvrir ses seins et sous mes doigts malgré le tissu je palpais une poitrine ample et imposante.
Je l’allongeais sur mon lit e tout en la déshabillant tendrement je découvrais ce corps qui longtemps avait troublé mes soirées solitaires . Je ne pouvais détacher mon regard de ces mamelles blanches aux tétons rosés, ses deux seins lourds, blancs, pendants, étourdissants, flasques mais au combien troublant…..je les pris tendrement entre mes doigts, les caressait, les palpait, les pelotait, en faisait la totale découverte, puis ma bouche ma langue prirent le relais et je lui suçais les nichons pendant un temps infini…..Annick poussait de petits gémissements jouissifs démontrant que mes caresses n’étaient pas vaines……(je précise qu’Annick fait 105 de tour de poitrine et porte des soutiens gorge 95 bonnet D)
» Humm Annick tu as de ses seins hummm de toute beauté et en plus doux comme de la soie, je vais te les bouffer comme on ne te l’a jamais fait, tu vas voir ce que sais faire Christian avec une beauté comme toi » le lit craquait par moment à chacun de mes mouvements car ensuite je descendis vers son sexe et …
-« Ecarte tes cuisses j’ai envie de déguster ton minou qui est poilue comme je les aimes » et après qu’elle ait relevé ses cuisses sur je maintenais au dessus de ma tête , j’ enfoui ma tête entre ses cuisse et lécher à grands coups de langues sa chatte délicieuse, lui aspirer sa liqueur, et posant ses mains sur le haut de ses cuisses je lui dévorais sa chatte poilue………….Elle avait refermé ses cuisses sur moi et m’emprisonnait contre son sexe humide ce qui ne me déplaisait pas…., hummmm ouiiiiiiiiiiiiiii hummmm c’est bon disait Annick slup slup slup ne pouvais-je que répondre, la bouche pleine de ses lévres délicates et sa liqueur qui dégoulinait doucement.
Je remontais ensuite sur elle, présentait mon gland à l’ntrée de sa grotte, elle me saisi la queu et la fit pénétrer dans on antre d’amour et là je m’enfonçait en elle et la baisait avec une fougue telle que se mit à pousser des gémissements jouissifs qui m’excitérent au plus haut point.
Elle se cabrait sou mois, sa tête tournait de gauche et de droite sur l’oreiller, ses yeux se fermaient par moment pour mieux apprécier ce que je lui offrais d’amour, elle entrouvait aussi la bouche comme pour aspirer un peu d’air frais ……
– » Ouiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiii Christian c’est trop bon, continue, continue ouiiiiiiiiiiiiiiiiiiii frég………..at………..oui ahahaahahhhh………christiiiiiiiiiiiiiiiiiiannnnnnnn……ahahah………….fr.eeeee……………g…….ahahaha, baise moi à fond je suis à ltoiiiiiiiiiii………. »
Comment voulez vous ne pas avoir envie de la combler en attendant ses propos, lorsque je sentis que j’allais éjaculer je me serrais contre son sexe et attendit que celà cesse puis repis mes coups de boutoirs quie faisaient craquer le matelas et couinner le sommier…que la voisine entende celà m’importunait peu, je baisais Annick et voulais qu’elle conserve de moi un souvenir impérissable.
Je déversais ma semence abondante par de longs jets saccadés au fond de sa chatte, elle m’embrassa longuement pour me remercier et après quelques instant de répit je continuais à profiter d’Annick qui m’appeis par la suite être en manque et qu’elle appréciait aussi bien mes caresses sensuelles que mes coups de queues savamment portées.
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