J’ai craqué pour la fille d’un de mes meilleures copains, ancien collègue de travail d’une administration que je ne citerais pas. Il ne comprendrait pas et d’ailleurs, je n’y comprends rien moi-même, alors comment en pourrait-il autrement pour lui. Je n’ai rien vu venir.
Sa fille Johanna a vingt ans. Elle est incroyablement belle, elle respire la joie de vivre. Quand elle arrive quelque part, sa silhouette et son visage d’ange attirent irrésistiblement les regards. Pour les hommes c’est souvent de l’envie, du désir. Pour les femmes, ce serait plutôt de la méfiance car elle est très certainement perçu comme une menace. Je n’ai vraiment pas le cœur à la bagatelle aussi, personne n’aurait jamais pu prédire ce qui vient d’arriver.
Pour en revenir à Johanna, elle a décidé de suivre les traces de son père dans la profession qu’il exerçait et tout naturellement, ayant occupé un poste dans cette administration, c’est vers moi qu’elle s’est tournée pour avoir le petit plus qui pourrait faire la différence.
C’est un peu comme ma fille. En réalité je ne le suis pas mais comme je vous l’ai dit, ses parents sont des proches et nous avons passé de nombreux week-ends en famille. Je la connais depuis sa naissance et nous nous sommes toujours très bien entendus.
La concurrence est sévère lors de l’oral. J’ai fait parti des jury d’examen durant plusieurs années jusqu’à la fin de ma carrière. Je connais donc bien le fonctionnement des commissions et surtout la façon d’analyser et de noter des membres de jury dans ce corps de métier aussi, je me suis appliqué à la conseiller dans le choix de ses lectures et de ce qu’elle aurait à connaître sur le bout des ongles pour cet exercice sans filet.
Bref, elle a passé haut la main, le cap des oraux du concours d’entrée et cerise sur le gâteau en y terminant à la 1ère place.
J’ai été la 1ère personne qu’elle a appelé avant même ses parents, pour la bonne nouvelle. Il est vrai que nous avons passé de nombreuses heures ensemble pour cette préparation et cela nous a encore un peu plus rapprochés.
Le soir même de la nouvelle, elle débarque à la maison. Il est un peu tard aussi, je suis un peu étonné de sa visite à une heure aussi tardive. Elle m’explique avoir fêté çà avec ses amis mais qu’elle voulait absolument me voir pour me remercier. Je remarque vite qu’elle a un peu bu aussi, je la gronde gentiment d’avoir pris le volant et lui demande ses clés de voiture pour lui signifier que pour ce soir, elle avait déjà pris trop de risque. Soit qu’elle appelait un de ses copains pour venir la chercher si elle avait envie de poursuivre la fête, soit elle resterait dormir ici, dans la chambre d’amis. Elle sait que je fais çà pour son bien car dans le métier qu’elle a choisi, il n’y a pas de seconde chance avec ce genre d’écart.
Elle a toujours été très câline avec moi aussi, pour se faire pardonner elle vient se blottir dans mes bras en s’excusant de s’être laissée emportée par la joie de cette réussite. Elle m’embrasse sur la joue en se serrant contre moi comme la petite fille qu’elle était il y a plusieurs années. Elle va finalement rester dormir ici. Je sens ses seins fermes contre ma poitrine, son cou offert à quelques centimètres de ma bouche, mon cœur s’emballe, je n’ose pas la repousser de peur qu’elle ne se méprenne sur la signification de mon geste. Nous restons un bon moment ainsi sans qu’il ne passe quoi que soit de répréhensible si j’ose m’exprimer ainsi puis, je lui mets une claque sur les fesses en lui disant d’appeler ses parents pour les prévenir qu’elle ne rentrerait pas afin qu’ils ne s’inquiètent pas.
Elle m’embrasse à nouveau, saute sur son téléphone et fait le nécessaire puis file vers la salle de bains de la chambre d’amis. Je l’entends me crier de lui prêter un de mes grands t-shirts car elle n’a rien pour se changer.
Je rigole en lui disant qu’à son âge je dormais nu comme un ver. Elle passe la tête par l’encadrement de la chambre en me disant :
T’es un coquin. Tu sais bien que je dors toute nue mais je vais pas me balader dans la maison à poil quand même.
Oups….. j’avale ma salive en me demandant ce qui m’a pris de lui dire çà. Quel imbécile, comment a-t-elle interpréter ma remarque. J’essaie vite de sauver les meubles en lui assurant :
T’as raison, ça ferait désordre, une aussi belle jeune fille complètement nue dans ma maison.
Je ne sais pas ce qui lui passe par la tête à cet instant car je la voie tout à coup sortir de la chambre avec une toute petite serviette ne cachant pratiquement rien autour de la poitrine. Elle vient à nouveau se blottir contre moi pour me dire :
Moi je t’ai toujours trouvé très beau tu sais.
Elle m’embrasse une nouvelle fois en posant ses lèvres tout près des miennes puis me tourne le dos en courant vers la salle de bains, m’offrant une vue imprenable de la courbe parfaite de ses reins et de ses fesses magnifiques que la trop petite serviette n’arrive pas à cacher.
Je la regarde, les bras ballants s’en aller, le pas léger comme une jeune biche. Elle s’aperçoit de mon trouble en jetant un dernier coup d’œil vers moi avant de disparaître.
Ferme la bouche, parrain. T’as le menton qui touche par-terre. N’oublies pas le t-shirt s’il te plaît.
Quel imbécile je fais. La gamine se fout de moi en plus. Ma tête bourdonne, je ne sais plus quoi penser. Mes neurones sont en ébullition. Je ne peux pas croire que Johanna soit en train de m’allumer. Elle ne se rends sans doute pas compte de l’effet qu’elle me fait. J’essaie de chasser de mon esprit, ces pensées indignes des sentiments que j’ai pour cette gamine de vingt ans.
Je lui apporte le plus grand t-shirt que je possède, et le dépose sur le lit. Je l’entends chantonner sous la douche. Tout paraît normal. Je m’éclipse pour prendre une douche. Il me faut reprendre mes esprits.
Quand j’ai terminé, j’enfile mon habituel caleçon avec un t-shirt et je me rends au salon pour voir ce qu’il y a à la télé. Johanna doit encore être dans sa chambre. Je l’appelle, pas de réponse. Je décide d’aller voir ce qu’elle fait et là, je la trouve sur le lit, elle a l’air de s’être assoupie. Je la couvre bien vite avec le drap car elle s’est mise en chien de fusil et le t-shirt ne cache rien de son anatomie. J’ai vite détourné mon regard du spectacle offert mais malgré moi, j’ai eu tout le temps de voir son chaton, complètement glabre. Je me dis qu’elle doit s’épiler ou se raser car brune comme elle est, c’est une toison bien fournie qui aurait dû m’apparaître.
Je suis très troublé encore une fois mais je me reprends bien vite en chassant les mauvaises idées de mon esprit. Je cours presque vers le salon pour m’installer devant la télé. Les images défilent devant mes yeux mais je n’arrive pas à me concentrer sur le film d’ailleurs inintéressant que je regarde quand tout à coup je sens une présence derrière moi. Je me retourne. Johanna est là avec son t-shirt finalement bien trop petit pour m’empêcher d’imaginer ce que j’ai encore tout frais à l’esprit.
Elle vient se blottir contre moi dans le canapé en se plaignant de ne pas arriver à dormir. Nous restons un moment comme çà puis elle décide de s’allonger sur le dos en posant sa tête sur mes cuisses en prétextant que le film n’était pas terrible.
On peut discuter ?
Bien sûr. Tu sais bien que je suis toujours là pour toi. Qu’est-ce qui te tracasse ?
Tu m’aime bien ?
Bien sûr que je t’aime.
Tu me trouves belle ?
Tu le sais bien, mais à quoi rimes toutes ces questions ?
Tu sais, moi aussi je t’aime.
Elle hésite un peu puis poursuit :
Mais je ne t’aime peut-être pas comme je devrais.
Qu’est-ce que tu veux dire par là ?
Tu ne voudrais pas me faire un câlin ?
J’hésite à mon tour car je sens bien qu’il est en train de se passer quelque chose de pas tout à fait innocent.
Elle se retourne sur le ventre en insistant.
Allez, fais-moi un câlin sur le dos, les épaules comme tu le faisais avant quand j’étais petite. Tu te souviens ?
Comment veux-tu que je ne m’en souvienne pas ?
Une de mes mains commence doucement à caresser ses épaules où je m’obstine à y rester mais elle insiste pour je descende m’occuper de son dos aussi. Je lui obéis en descendant progressivement jusqu’à atteindre ses reins. Je me surprends à regretter ce tissu qui m’empêche de sentir directement sa peau sous mes doigts. Johanna ronronne comme une petite chatte que l’on caresse.
Hummmmmmmmmmmmm. C’est trop bon.
J’essaie de me concentrer sur le film de la télé quand tout à coup, Johanna se redresse légèrement pour tirer sur son t-shirt et le faire remonter jusque sur ses épaules. Je me prends une décharge d’adrénaline en découvrant ses fesses à quelques centimètres de ma main. Elle est vraiment très belle.
Je proteste mais bien trop mollement pour être convaincant :
Mais qu’est-ce que tu fais ? Redescend tout de suite ce t-shirt ou j’arrête de te faire des câlins.
J’essaie de le redescendre moi-même mais elle m’en empêche.
Arrêtes. On fait rien de mal. On fait juste des câlins. Allez, s’il te plaît. Continue. C’est trop bon.
Je ne sais plus quoi faire, que penser. Ma main reprends les caresses sous les ronronnements de johanna. Je sais bien que tout cela n’est pas une situation normale. C’est en train de dé****r mais ai-je vraiment envie que ça s’arrête. Je me contente néanmoins de dispenser mes caresses sur les épaules, les flancs et dans le creux des reins de ma petite chérie quand à son tour, elle se met à protester.
Mes fesses aussi. C’est trop bon sur les fesses et puis je sais bien que t’en as envie toi aussi.
Ce n’est malheureusement pas faux. J’abdique donc en commençant à caresser les globes dont la peau frémit au contact de mes doigts. Johanna, pousse un long soupir de satisfaction.
Hummmmmmmmmmmm. Tu fais çà bien mieux que mes petits copains.
Ah bon. Parce qu’il y en a beaucoup, qui t’ont tripoté les fesses ?
Mais non, t’inquiètes pas. J’me laisse pas tripoter pas n’importe qui mais je ne suis plus vierge si c’est çà que tu veux savoir.
Allons bon. De mieux en mieux. Et tu fais ça souvent ?
J’aime bien mais non, j’fais pas çà souvent parce que j’ai plus personne en ce moment. On peut pas s’préparer à un concours et puis s’occuper d’un mec. Ils veulent que tu leur consacre de plus en plus de temps et ça me gave.
Mes doigts continuent de lui caresser les fesses et sans m’en rendre compte, sans doute par habitude, ils descendent dans sa raie entre les deux globes, de plus en plus bas vers l’entrée de sa chatte, frôlant à chaque passage son petit œillet serré. Johanna m’encourage en m’assurant que ça lui fait un bien fou.
Ses paroles m’électrisent. Je sens mon sexe de plus en plus à l’étroit dans mon caleçon. Je réalise tout à coup qu’il se trouve à quelques centimètres du visage de Johanna mais avant même que je n’ai le temps d’esquisser le moindre geste, je sens une de ses mains me saisir entre ses doigts. L’autre, doit être en train de libérer le seul bouton qui empêche ma braguette de s’ouvrir car elle réussit à m’extirper du caleçon en moins de temps qu’il ne le faut pour l’écrire.
Ma verge se dresse fièrement devant ses yeux. Elle la regarde en déclarant qu’elle avait choisi son cadeau pour la réussite à son concours puis se met la lécher en poussant des gémissements des plus excitants. Tout s’est enchaîné tellement vite qu’il ne pouvait pas alors être question de raison, réfléchir etc. etc.
Johanna fait glisser ses lèvres autour de mon gland pour se mettre à me sucer en léchant dans le même temps mon frein, si sensible. Elle est douée comme pour tout le reste d’ailleurs. Le premier geste de ma main que j’avais eu vers sa tête pour la repousser se transforme en caresses dans ses cheveux. Elle lève les yeux vers moi et malgré le sexe qui lui encombre la bouche, je vois dans ses yeux qu’elle est heureuse et qu’elle me sourit. Elle me « désembouche » d’ailleurs quelques secondes, le temps de me dire, qu’elle était heureuse de pouvoir faire ce qu’elle avait envie depuis déjà si longtemps, me demandant de la laisser faire et de bien en profiter jusqu’au bout.
Je n’étais déjà plus en état de refuser quoi que ce soit. Sa langue et ses lèvres avaient fait sauter les derniers verrous qui résistaient encore. Je réussissais à me tourner un peu sur le canapé pour arriver à passer ma jambe de chaque côté de son corps et pouvoir mieux la voir me sucer et, la caresser en même temps.
Je n’aurais jamais pu imaginer qu’elle sache se servir de sa bouche aussi bien pour une gamine de son âge.
Je regardais ce visage d’ange penchée entre mes jambes, en train de me donner un plaisir que je n’avais jamais imaginé venant de sa part. Quand elle se mit à me presser doucement les couilles tout en me branlant d’une manière à la fois douce et ferme pour m’amener à la jouissance, je sentis monter inexorablement en moi, les prémices de l’orgasme. Elle me surveillait du regard, guettant la montée du plaisir, sûr d’elle. Lorsqu’enfin elle vit mes yeux s’écarquiller et tous mes muscles se bander, je vis dans ses yeux qu’elle voulait que je me libère dans sa bouche ce que je fis en manifestant bruyamment mon orgasme. Les yeux rivés dans les siens, je la vis avaler ma semence au fur et à mesure des spasmes libérateurs, profitant jusqu’à la dernière giclée de la chaleur de sa bouche. J’étais vidé, épuisé lorsque finit de me nettoyer le gland puis s’allongea à son tour, face en moi en écartant les jambes dans une invite sans équivoque, un grand sourire aux lèvres :
A moi. J’ai une grosse envie à cause de toi.
Je n’ai plus vingt ans mais le spectacle de ses cuisses fermes grandes ouvertes pour moi et cette petite fente surmontée d’une fine touffe de poils bruns en forme de flèche indiquant le chemin du plaisir, me fit oublier ma fatigue naissante. Je m’agenouillais entre ses jambes pour poser mon nez sur son ventre et humer avec délice ses odeurs intimes, m’en tapisser les muqueuses jusqu’à ce que la tête m’en tourne.
Tu aimes mon odeur ?
J’adore ma chérie. J’ai envie de te dévorer la chatte.
Oh oui. Oui. Fais-moi ça. Dévore-moi l’abricot.
J’obéissais et rapidement je me mis à la lécher. D’abord tout autour sans plonger directement vers sa fente puis, au fur et à mesure, des gémissements de plus en plus impératifs qu’elle poussait en signe d’encouragements, je me suis approché de son bouton pour le débusquer de sa cachette et découvrir une vraie petite bite en pleine érection. Elle était trempée et gémissait en permanence, boostant mon désir de la faire jouir à mon tour. Je me mis tantôt à la sucer, tantôt à la lécher comme elle me l’avait fait quelques instants auparavant, puis j’ai glissé d’abord un doigt puis un deuxième dans sa fente en commençant des « va-et-vient » aussi profonds que possible. Je sentais le plaisir en elle, prendre forme et quand enfin j’entendis sa voix devenir plus rauque, son ventre se tendre et ses jambes commencer à trembler, je sus qu’elle allait jouir.
Ahhhhhhhhhhhhhhhhhhhhh. Ouiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiii. Je jouis, je jouiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiis.
Je la laissais profiter longuement de son orgasme jusqu’à ce qu’enfin, elle se laisse retomber, inerte sur l’accoudoir du canapé, les yeux mi-clos, le visage encore déformé par le plaisir. De longues minutes passèrent ainsi avant qu’elle n’ouvre les yeux puis, se redresse et vienne se blottir dans mes bras, pour me redire dans le creux de l’oreille, qu’elle ne s’était jamais senti aussi bien de sa vie.
Les jeunes ont tendance à beaucoup exagérer leurs sentiments et leurs ressentiments mais tout ce qu’elle me disait avait l’air tellement sincère qu’il ne me semblait judicieux de lui montrer autre chose que le même plaisir d’avoir fait ce que nous venions de faire.
Après un long moment emprunt de tendresse, Johanna se redresse, me fait une petite bise sage tout près du coin de mes lèvres et s’en va en direction de sa chambre. Elle dit en riant :
Merci. Je vais me coucher maintenant mais si tu veux, tu peux venir dormir avec moi.
Je lui réponds d’arrêter de me tenter et de filer se coucher avant qu’elle n’ait droit à une bonne fessée. Elle éclate de rire et disparaît.
Je me retrouve seul avec mes incertitudes. Je sais que ce que nous avons fait n’aurait jamais dû arriver mais nous sommes majeurs tous les deux et nous l’avons fait sans contrainte. J’essaie de me persuader qu’il n’y finalement rien de mal. Je finis par me décider à aller prendre une douche et aller me coucher. Je passe devant la chambre de Johanna qui l’a laissé grande ouverte. Sa veilleuse est restée allumée ce qui permet de l’admirer une dernière fois car elle s’est endormie complètement nue sur son lit. Je rentre dans la chambre, lui fait une petite bise sur la joue. Elle dort profondément. J’éteins la lumière et je l’abandonne aux bras de Morphée.
J’ai le sommeil agité, peuplé de cauchemars où je suis mis au banc de la société par mes amis, ma famille pour ce que j’avais fait. Après m’être réveillé plusieurs fois dans la nuit, je finis par m’endormir comme une souche.
Au petit matin c’est un rêve beaucoup plus agréable qui peuple ma fin de nuit. La sensation de plaisir est tellement intense que je finis par me réveiller et découvrir en ouvrant les yeux qu’il ne s’agit pas d’un rêve mais la pure réalité. Johanna est à genoux entre mes jambes. Elle tient dans ses mains mon sexe dressé et me lèche le gland en m’adressant un de ses sourires auxquels je n’arrive pas à résister.
Bonjour. Bien dormi ?
Bonjour ma chérie. Mais qu’est-ce que tu fais encore ?
Tu plaisantes j’espère ?
Non c’est pas çà mais hier on pourrait dire que c’est un accident. Si on recommence aujourd’hui, ça ne l’est plus et on aura plus d’excuses.
Ah bon, t’as besoin d’une excuse toi ?
Je ne sais plus trop quoi dire d’autant qu’elle s’y prend tellement bien que mes bonnes résolutions ne font rapidement plus, le poids. Je décide finalement de la laisser faire de moi ce qu’elle veut.
C’est bon comme çà au réveil, non ?
C’est un peu surprenant mais c’est très bon. Et tu fais çà souvent ?
Très souvent. J’adore ça en fait. Enfin quand je suis avec quelqu’un bien sûr.
Quand elle estime que je bande assez fort, elle remonte lentement sur moi en me faisant sentir son corps ferme contre moi. Quand elle arrive à la bonne hauteur, elle saisit ma verge pour la faire glisser dans l’entrée de sa vulve. Elle plonge son regard dans le mien puis me demande de me laisser faire ; rajoutant qu’elle avait très envie de faire çà avec moi depuis très longtemps déjà.
Elle se redresse alors et se laisse retomber doucement sur mes cuisses. Je sens mon chibre s’enfoncer dans son ventre, écarter ses chairs intimes. La sensation est exquise, je ferme les yeux pour mieux savourer la douceur de sa petite chatte. Ce n’est plus la petite fille que j’ai tant et si souvent choyée qui me chevauche. C’est une femme, ravissante, belle même avec qui je n’aurais jamais imaginé ne serait-ce qu’une seconde, faire l’amour. Elle se met en mouvement, ses mains posées à plat sur ma poitrine. Elle bouge son bassin d’avant en arrière, mon pieu a pris ses marques dans ce corps magnifique. Quand j’ouvre les yeux, elle me regarde en souriant. Elle semble tellement heureuse que j’en oublie presque le plaisir que me procure ses chairs serrées autour de mon sexe. Mes mains courent sur son ventre plat, musclé à souhait, pétrissent ses petits seins en forme de poire. J’en pince tendrement les mamelons dont les pointes en érection appellent mes lèvres malheureusement trop éloignées pour pouvoir les happer.
Elle ferme les yeux en poussant des gémissements de plus en plus rauques. J’adore cette mélodie qui s’échappe de sa gorge. Ses coups de reins se font plus impérieux, elle s’empale sans ménagement sur mon soc tandis que je continue à caresser ses flancs et ses seins. Elle me secoue de plus en plus fort, je sens le plaisir monter dans mes reins, se propager de mon bas-ventre à mes cuisses puis remonter le long de ma colonne vertébrale. Elle va jouir. J’essaie de retarder mon propre plaisir mais dieu que sa chatte est bonne. Je guette sur son visage le moment suprême où à mon tour je pourrais cesser de résister à l’orgasme qui menace. Quand enfin, elle ouvre ses yeux, les écarquille en poussant un ouiiiiiiiiiiiiiii jusqu’à s’étrangler dans sa gorge, je jouis moi aussi en la saisissant aux hanches pour mieux plonger au plus profond de son ventre. J’ai l’impression de sentir chaque spasme de mon sexe en train de se vider en longs jets épais. La sensation est énorme. Ma tête explose, mon regard se voile, je me laisse retomber sur la couche, vaincu par le plaisir. Johanna se couche sur mon torse, en ronronnant, la tête posée sur ma poitrine. Nous restons un long moment sans parler, échangeant juste quelques tendres caresses. Quand elle se redresse, elle me murmure :
C’était bon n’est-ce pas ?
Très bon ma chérie.
Bon je file, je suis un peu à la bourre. Je peux repasser dans la journée n’est-ce pas ?
Il n’était pas utile de répondre. Un simple sourire était suffisant. Elle savait très bien qu’elle était ici comme chez elle.
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