Je poussais un long gémissement quand la langue de Rex se faufila entre mes cuisses, élevant un peu plus haut mon bassin pour mieux ressentir les effets de cette fouille intime. Julie semblait avoir remarqué mon trouble car elle me tira à nouveau vers sa chatte luisante de cyprine. Je goûtais sa liqueur au goût très sucré tandis que le chien lapait mon entre-deux-jambes devenu beaucoup trop sensible au cours des derniers jours. Je me tortillais dans tous les sens, submergée par les vagues de plaisir.
– Continue, me supplia Julie entre deux souffles.
J’écartais les pans de son sexe afin de m’enfoncer davantage, agitant ma langue dans les moindres recoins. Cela paraissait plaire à mon amie car son nectar se fit encore plus abondant. Je posais mes lèvres contre sa vulve, ne perdant pas une goutte de ce précieux hydromel qui me donnait des vertiges. Au bout d’un moment, je m’attardais près de son petit trou, plongeant ma tête dans son anus pour le mouiller puis le doigter copieusement.
– Tu vas me tuer. C’est trop bon.
Pendant ce temps, Rex me grimpait dessus, prêt pour un deuxième tour de piste. Un large sourire se dessina sur mon visage lorsqu’il essaya de façon très maladroite de pénétrer mon jardin secret, glissant sur mes fesses. Finalement, je sentais son engin s’enfoncer dans ma fente, cognant à tort et à travers de manière très brusque.
Quelques minutes plus tard, je me déhanchais comme une folle pour essuyer les va-et-vient implacables de Rex, criant mon bonheur à tue-tête alors que sa verge continuait de croître.
– Je l’aime ton chien. Je l’aime vraiment !
J’ouvrais grand les yeux quand le nœud commença à se former, élargissant mon vagin comme jamais auparavant. Je prenais beaucoup de plaisir à sentir son sperme chaud tapisser les parois de mon vagin, me remplissant à ras bord.
– Aaaaaah !
Rex me tira vers lui avec beaucoup d’entrain, déterminé à quitter mes entrailles malgré la fusion de nos deux sexes encore bouillonnants. Cela me procura un autre orgasme, vacillant légèrement sur le côté du fait de la fatigue. En fin de compte, après ce qui semblait être une éternité, il abandonna ma grotte puis se posa dans un coin afin de prendre un peu de repos. De son côté, Julie en avait profité pour se glisser sous mon ventre et lécher ma chatte toute gonflée, se régalant de la semence canine.
– Je t’en veux de m‘avoir laissée au secret si longtemps.
– J’espère que tu me pardonneras un jour, fit Julie en quittant mon entrejambes.
Elle se blottit contre moi, me lançant un grand sourire.
– C’est déjà oublié.
Je déployais ma langue sur le visage de ma comparse, rendue méconnaissable à cause du sperme qui la barbouillait, lui adressant un baiser langoureux afin de sceller notre amour. Je finissais par m’assoupir à ses côtés, bercée du rêve de cette toute nouvelle relation.
Nous avons continué les jours suivants, prenant énormément de plaisir à nous découvrir mutuellement. Et bien sûr, le chien était ravi de participer à nos ébats. Je vivais un véritable conte de fées. Je pensais vivre le bonheur parfait lorsqu’une autre aventure bouleversa ma vie…
Mes grand-parents organisaient un repas de famille le samedi soir. Ils ont tellement insisté qu’il me fut impossible de refuser leur invitation. J’allais donc en profiter pour rendre visite à Caramel et m’excuser de mon absence prolongée. Je faisais un brin de toilette afin d’être présentable devant mon bel étalon, savourant d’avance ce qui allait se produire dans l’écurie familiale. Je me regardais dans le miroir, vêtue d’une robe plutôt jolie qui aura tôt fait de quitter mes épaules.
– Tu es très belle, déclara ma mère en entrant dans la salle de bain.
Je rougissais légèrement, examinant sa tenue sous toutes les coutures. Elle épousait parfaitement ses formes, exhibant sa poitrine aux contours impeccables.
– Merci. Toi aussi tu es magnifique.
Par la suite, je descendais les marches pour rejoindre le hall d’entrée, prête à monter dans la voiture qui attendait sur le bord de la route. Mon père se trouvait déjà à l’intérieur, installé au poste de conduite. Il démarra quand tout le monde fut présent.
Le dîner se déroula de façon très ordinaire. J’écoutais les conversations d’une oreille distraite, bien trop excitée à l’idée de fêter mes retrouvailles avec Caramel. Au bout d‘un moment, je profitais du manque d’attention des personnes autour de la table pour m’éclipser discrètement vers la sortie, prenant la direction de l’écurie. Il faisait plutôt sombre mais mon compagnon à crinière me repéra immédiatement, laissant échapper un hennissement satisfait.
– Tu es adorable, répondis-je après avoir allumé la lumière.
Je m’approchais de son enclos à grandes foulées, incapable de résister plus longtemps à l’appel de la chair, délaissant mes vêtements pour sentir la chaleur a****le réchauffer mon petit corps de femme. Je me pressais contre lui avec beaucoup de sensualité, laissant échapper des gémissements quand mes tétons durcis par l’excitation éraflaient ses poils drus.
– Je vais bien m’occuper de toi.
Je me penchais en avant pour voir son membre sortir du fourreau et atteindre une taille très respectable. A vrai dire, je n’arrivais plus à tenir en place, manifestant ma gourmandise en me pourléchant les lèvres. Je prenais possession de son engin, le saisissant à deux mains pour en explorer la surface puis le branler fougueusement.
Par la suite, je m’agenouillais tout près de sa verge pour lui prodiguer une fellation dans les règles. Je tentais d’avaler son énorme gland en forme de champignon, cependant, ma bouche se révélait bien trop étroite pour l’accueillir dans sa totalité. Je posais alors mes lèvres sur sa tige pour la lécher sur toute sa longueur, la recouvrant de salive. Ah, quel bonheur ! J’étais à deux doigts de le recevoir dans ma chatte quand la voix de maman résonna dans l’écurie.
– Céline, tu es là ? J’ai vu de la lumière…
J’ai failli pousser un cri d’exclamation, rassemblant mes affaires en toute hâte, effrayée à l’idée que ma mère puisse me voir dans cet état.
– Tu es là ma chérie ?
Je sentais mon cœur faire des bonds dans ma poitrine, au bord de la crise cardiaque. Finalement, je trouvais une cachette derrière un tas de foin, peu de temps avant la venue de maman. Elle entra dans le compartiment de Caramel mais fut contrainte d’écourter ses investigations quand l’a****l vint lui réclamer une friandise. Ouf ! J’étais sauvée !
Je restais parfaitement immobile, tâchant de faire le moins de bruit possible. Les minutes défilaient dans ma tête. En fin de compte, je décidais de braver le danger, jetant un coup d’œil vers l’enclos. Ouah ! Je manquais de griller ma couverture, plaquant mes deux mains contre la bouche, abasourdie par la vision qui s’offrait à mes yeux. Je voyais ma mère accroupie près du sexe de Caramel, le branlant avec beaucoup d’entrain. Je venais de rater un épisode ou quoi ? Je bouillonnais de rage, privée de mon amant et cantonnée au rôle de simple spectatrice.
– Tu es vraiment bien monté, mon salaud, déclara maman en fixant le service-trois-pièces du cheval. La tentation était vraiment trop forte. Et puis, ce n’est pas comme si je trompais mon mari.
Je la regardais ôter sa robe, libérant cette poitrine que je jalousais tant pour y faire coulisser la verge raidie de Caramel. Le malheureux était prisonnier du désir de cette femme qui m‘avait mise au monde, coincé entre ses deux obus fièrement bandés. A mon tour, je finissais par céder. Je calais deux doigts dans ma chatte tandis que ma mère faisait coulisser le gland de mon étalon contre sa vulve dégoulinante de mouille. Elle gémissait à n’en plus finir, affichant un immense sourire.
Pour ma part, je titillais mon petit bouton avec frénésie, prenant un malin plaisir à échafauder des plans pour punir cette trainée. J’étais bien décidée à jouir en même temps que maman, accélérant le mouvement quand Caramel lâcha une grosse giclée sur le ventre de sa nouvelle pouliche. Je serrais les dents pour ne pas être démasquée, touchée par une vague de bonheur sans précédant alors que ma mère gisait sur le sol, recouverte de sperme a****l.
– Aaaaah ! cria-t-elle en introduisant de doigts dans sa chatte. Tu me rends folle.
Elle se cambrait violemment, plongée dans un état second. Oh, je méprisais cet orgasme qui aurait du être mien. Et en même temps, je trouvais cette situation terriblement excitante.
En comparaison, le reste de la soirée fut assez calme. Je faisais semblant de faire celle qui ne savait rien, tâchant de ne pas croiser le regard de ma mère au risque de me trahir. Au moins, je n’avais plus à craindre sa réaction si jamais elle me surprenait avec Caramel… Je regrettais même que ça ne soit pas déjà le cas.
Peu de temps après, nous étions de retour à la maison. Papa bricolait quelque chose dans le garage. Pour ma part, je me trouvais devant la chambre de ma mère. La porte était grande ouverte et je pouvais la voir étendue sur le lit, à moitié nue, assoupie. Mon bel étalon en était certainement la cause. A moins que ça ne soit l’alcool… Bref, je tenais là une occasion unique de me venger. Une minute plus tard, je me faufilais entre ses jambes pour lui retirer sa culotte, observant sa chatte complètement lisse. J’écartais ses lèvres intimes afin de glisser ma langue sur son clitoris gonflé, goûtant la semence encore fraiche de Caramel. Hum, je me délectais de ce curieux mélange à base de sperme et de mouille. Je risquais de devenir rapidement accroc à cette mixture.
– Tu as vraiment bon goût, salope.
Je décidais alors de planter un doigt dans sa grotte, effectuant des mouvements de va et vient. Au bout d’un moment, je levais les yeux pour constater qu’elle dormait toujours. J’introduisais un second doigt. Puis un troisième.
Finalement, je l’entendais pousser un gémissement.
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