J’ai rêvé toute la nuit que je partouzais avec plusieurs hommes, femmes et travestis et qu’à la fin je recevais mon offrande de sperme sur la figure, les seins, le ventre et les fesses.
C’est dans cet état que je me suis réveillé ce matin. Il me fallait absolument évacuer la tension ; je décidai donc d’aller vers midi au Châtelet, d’abord dans une cabine de cinéma porno avec vitres pour voir et être vu, puis, une fois bien excité et les couilles pleines à déborder, au sous-sol d’une autre salle ou j’avais mes habitudes. J’espérais en fait que j’y retrouverais Claude, qui savait si bien me faire les seins et me sucer et qui sera ravi de la provision de foutre que j’ai en réserve.
En attendant, je me prépare soigneusement. Je me rase les couilles pour qu’elles soient bien lisses et sensibles. Après, je me lave le cul. Je mets de la crème Nivéa sur ma bite pour qu’elle soit légèrement grasse et je me mets une noix de crème dans le cul pour le cas ou je me ferais doigter l’anus. Toute ce cérémonial de préparation me fait bander très fort et il me faut beaucoup résister pour ne pas me branler tout de suite. Je termine cette étape de préparation en enfilant ma bague de caoutchouc noir sur la base de ma bite et en entourant mes couilles d’un bracelet de cuir noir qui les met bien en évidence. Ensuite, je choisis ma tenue. Pour l’extérieur, puisque je dois aller travailler d’abord, c’est le costume cravate classique. En dessous, je choisis de mettre des bas noirs, un porte-jarretelles noir et un string de femme noir. J’adore le contact des bas sur mes jambes et du string sur mon sexe et mon cul. Ma bite et mes couilles sont à peine cachées par le string. Cela m’excite très fort.
Onze heures du matin arrive. Si je pars maintenant, je serai au Châtelet à onze heures trente. C’est la bonne heure pour choisir une cabine avec une vitre à droite et à gauche, ce que je fait. Je m’installe, retire costume, pantalon, chemise, ne gardant que mes dessous noirs.
Pour l’instant, la cabine de gauche est vide et l’occupant de celle de droite n’a pas ouvert sa fenêtre.
Comme d’habitude, je zappe rituellement et dans l’ordre sur les films montrant les travestis ou souvent je retrouve mon préféré, un brésilien superbe avec un cul rond et très ferme, des seins très beaux avec des tétons longs et tendus et surtout une bite d’au moins vingt centimètres qui lui sert indifféremment avec des partenaires hommes ou femmes ou même autres travestis. Je l’ai vu de multiples fois et je ne m’en lasse pas. Quand il jouit et lance ses flots de foutre blanc, j’imagine que je les reçois et je jouis aussi.
Après les travestis, je zappe sur les films montrant des noirs montés comme des dieux et fourrant des chattes blondes et des culs blancs de l****as en chaleur. Là aussi, je vois souvent mon préféré, un noir de près d’un mètre quatre-vingt-dix, cent kilos de muscles, des pectoraux qui lui font presque des seins de femme et une queue de plus de vingt-cinq centimètres de longueur et dont la taille est si grosse que sa petite partenaire peut à peine prendre le gland dans sa bouche.
L’incroyable est que cette monstrueuse bite, il la lui met dans la chatte en levrette, si loin dans le ventre qu’on a l’impression de voir le gland vouloir sortir au niveau du nombril de la fille. Elle bave son plaisir avec cet énorme membre qui la pénètre et qui va et vient dans sa chatte baveuse.
Plus fort encore, il l’encule ; là, tout rentre et ses énormes couilles viennent s’écraser sur les fesses de la blonde. A la fin, il lui donne sa bite à sucer ; la fille est à la limite de dégueuler tant son gland est gros. Puis il lâche tout son jus ; presque le contenu d’un verre qui s’échappe de chaque côté de la bouche de la fille qui s’écroule, anéantie. Je rêve d’une queue comme celle là, à ma disposition, qui m’arroserait de foutre chaque fois que j’en demanderais.
Je reprends mon zapping ou je l’avais laissé et je cherche maintenant quelques films « spéciaux ». J’en retrouve un que j’apprécie particulièrement. Il met en scène une haltérophile superbe, très grande et très musclée. Elle a des seins superbes, très durs avec des petits tétons tout raide. Elle a la chatte complètement rasée et son clitoris, très développé, ressemble à une petite bite d’enfant. Elle fait l’amour avec un nain équipé d’une vraiment très grosse et très longue queue. Quand il bande, son gland arrive presque au niveau de ses tétons. Il arrive même à se sucer la bite. La fille est sur le dos, sur un banc de musculation incliné. Le nain est debout et son sexe est juste à la bonne hauteur pour baiser la salope qui prend les fesses du nain pour lui donner la cadence qui lui plais. Elle lui gueule :
« vas-y comme ça, petit salaud ; je veux que tu me foutes ta grosse queue dans la chatte. Ahhh, vas-y, je sens tes couilles ; vas-y, baise-moi salaud, fais-moi jouir comme une pute. »
Comme il la baise, elle se caresse d’une main le clitoris qui bande ; de l’autre main, elle se pince les tétons. Elle prend un pied phénoménal en gueulant :
« vas-y, prend moi par derrière ; baise-moi comme une chienne ; fais-moi jouir avec ta grosse queue. Ahhh, elle me rend folle ! »
Après, elle se met à quatre pattes et le nain la prend par derrière, toujours debout. Sa queue rentre complètement dans la chatte dégoulinante. Au moment de jouir, le nain sort sa bite et se la suce. Il récupère tout son foutre dans sa bouche et le crache sur les fesses de l’haltérophile.
Tout cela me met dans un état de tension telle qu’il faut absolument que je trouve un partenaire. Je décide de rejoindre ma deuxième escale.
Je choisis la cabine numéro sept que je sais assez grande. Le film au programme montre plusieurs hommes faisant l’amour avec un couple de naines. Je descends et fait un premier tour de repérage dans les salons. Déception, pas de Claude, pas de partenaire déjà rencontré, pas de couple. Je rentre dans ma cabine et je commence à me branler doucement.
Je sens que je ne vais pas résister longtemps. Je ressors faire un tour dans le salon du fond. J’y repère un homme, pas mal, assis, qui se caresse discrètement. Je m’approche. Je mets la main dans la poche de mon pantalon et je me caresse à côté de lui puis je retourne dans ma cabine. Je m’assoie, sort ma bite et la caresse.
A l’écran, deux des hommes sont en train de baiser une des naines. Un est sur le dos, la naine a sa bite dans la chatte. L’autre l’encule. Je suis très excité. Tout doucement la porte de ma cabine s’ouvre et je vois l’homme que j’ai repéré debout, qui regarde l’écran et qui me regarde me caresser. Je continue à me branler et j’ouvre un peu plus mon pantalon. Il peut voir mon string et mon porte-jarretelles. Il sort un peu plus sa bite qui m’apparaît de bonne taille et bien bandante. Je le regarde et j’approche ma main pour le caresser. Il semble d’accord, entre dans la cabine et ferme la porte. Il me dit :
« tu as un joli string ; tu dois être une bonne salope. », puis
« ma bite te plaît ? Tu veux la sucer ? » Je réponds :
« oui, je suis excité comme une salope ; ’ai très envie de ta grosse bite. »
Je me déshabille, ne gardant que les bas, le porte-jarretelles et le string d’où je sors complètement ma bite et mes couilles pour me branler. Lui retire son pantalon et son slip. Je vois sa bite qui est bien raide, avec un beau gland décalotté rose et lisse. Je n’y tiens plus. Je lui dis :
« je veux ta grosse queue, je veux ton foutre, je veux que tu me jouisses dessus. »
Je prends sa bite dans ma bouche et très vite, j’ai de la bave plein la bouche. J’en laisse couler sur ses couilles que je malaxe avec ma main gauche, pendant qu’avec la droite je me pince les tétons. Il me dit :
« je vais te faire les seins petite salope, pendant que tu me suceras et que tu te branleras. Je veux que tu jouisses en même temps que moi. Allez, vas-y, petite pute, suce-moi bien la pine. »
Fou de désir, je m’exécute. Je me branle ; ma queue est très grosse et pleine. Je tends mon cul en arrière au maximum comme pour me faire enculer ; je me mets un doigt dans le cul. Pendant ce temps, lui me fait les seins ; il me pince bien les tétons comme j’aime. Je gémis :
« Ah, c’est bon, vas-y. Je sens ton foutre qui monte. Tes couilles sont pleines. Donne-moi ton foutre. Jouis-moi sur la gueule. »
Je le sens prêt à exploser. Je gémis de plus en plus.
« Ah, encore, enfonce ta bite au fond de ma gorge. Je vais jouir. Regarde comme je bande. Regarde comme mon cul demande une bite. Vas-y, balance-moi ton jus sur mes seins. »
Il n’y tient plus non plus :
« Ah, salope, tu aimes vraiment la bite. Je vais te jouir dessus. Je suis prêt, vas-y, je veux te voir cracher ton foutre sale pute, maintenant. »
Je ne résiste plus, je décharge plusieurs longs jets de sperme en gémissant :
« Ah, ouiii, ah, c’est bon, vas-y, jouis-moi dessus, donne-moi ton foutre. »
Il prend sa queue pleine de toute la bave que je lui ai mis et il la branle. Aussitôt, il explose ; je prends tout son foutre sur la figure et les seins. J’étale son jus sur mon ventre. Il se met derrière moi et frotte sa queue encore grosse entre mes fesses. Nous nous regardons en souriant :
« Putain, que c’était bon. »
Nous échangeons des mouchoirs en papier pour nous nettoyer puis il se rhabille et sort de ma cabine. Je ferme la porte pour regarder un peu le film et récupérer un peu. A l’écran cette fois, il y a deux hommes et un travesti. Celui-ci a un corps très fin et un visage de petite salope pleine de vice. Ses petits seins sont tout ronds et durs ; il a une petite bite longue dure et pointue qui m’excite à nouveau. Un des deux hommes lui suce la bite pendant que l’autre lui caresse les seins et les fesses qui sont rondes et bien fermes. Le premier homme se met à quatre pattes et s’écarte les fesses, invitant le travesti à l’enculer. Celui-ci ne se fait pas prier et enfile sa bite dans l’anus bien ouvert qui s’offre à lui. Cela me fait bander à nouveau ; je me caresse le cul et je me doigte l’anus en disant :
« vas-y, prend mon cul, je te le donne. Fous-moi ta bite dans le cul, je suis ta salope ; ahh, nique-moi bien le cul, c’est bon. »
Pendant ce temps, l’autre homme se met derrière le travesti et branle une bite large et très grosse qu’il utilise pour fouetter le cul qui est devant lui. Il enduit sa queue de vaseline et pousse très fort sur l’anus du travesti qui résiste, puis s’ouvre, engloutissant le membre en entier.
C’est à cet instant que je découvre qu’il y a un trou dans la cloison qui sépare ma cabine de la numéro 8 et qu’un homme nu, de type indien, me regarde en se caressant la bite et les couilles. Il ma vu me doigter le cul et m’a entendu. Je suis fou d’envie et sa bite longue et fine m’excite terriblement. Je mets mon visage face au trou et ouvre la bouche en bavant et le lui dit :
« viens, j’ai envie de ta queue. Viens me faire l’amour, j’ai envie de toi. »
Il m’a compris, prend ses affaires et me rejoint dans ma cabine que j’ai ouvert entre temps. Deux hommes qui se caressaient dans le couloir regardent mon futur partenaire entrer dans ma cabine. L’un des deux est celui avec qui je viens de jouir précédemment. L’autre est un noir avec une énorme bite qui sort de son pantalon. Après quelques secondes de discussion, nous nous enfermons tous les quatre dans ma cabine. A l’écran, le travesti, enculant l’un et enculé par l’autre a maintenant en plus une énorme bite noire dans la bouche qu’il suce comme un forcené. Nous décidons de jouer la même scène. Je me mets à quatre pattes, toujours avec mes bas, mon porte-jarretelles et mon string. L’indien, qui jouera le rôle du travesti, enfile un préservatif, qu’il lubrifie abondamment ainsi que mon anus. Rien que de sentir son doigt me doigter l’anus me rend fou. Je me fais les seins très fort en gueulant :
« vas-y salope, encule-moi ; dépêche-toi ; je veux ta bite toute raide dans mon cul. Vas-y fait moi jouir ! prend moi comme une pute ! »
Il pose son gland sur mon anus et pousse doucement. Je m’écarte largement les fesses en tendant mon cul pour lui offrir mon trou avide de sexe. Il rentre facilement et commence à bouger doucement. Il a la bite très longue et dure et je sens ses couilles qui m’appuient sur les fesses à chacun de ses coups de rein. Mon premier partenaire, qui se caressait pendant ce temps et qui masturbait l’énorme membre du noir, rebande à nouveau très fort. Il enfile lui aussi un préservatif et met une bonne dose de lubrifiant dans le cul de l’indien. Il pose son gros gland sur son anus et pousse très fort. Je sens sa poussée jusque dans mon cul. Son gland puis toute sa bite rentre dans le cul de l’indien qui gueule. Je sens que pendant quelques instants, il débande sous la surprise de la taille de la queue qu’il a dans le cul. Puis, petit à petit sa bite durcie à nouveau et je la sens qui regonfle dans mon cul. Bientôt, tous les trois, nus, sommes en cadence. C’est comme si deux bites m’enculaient. Le noir, lui, nous dit qu’il a besoin de pisser car il a bu beaucoup de bières. Comme par transmission de pensée, tous les trois lui demandons :
« vas-y, pisse-nous dessus ; arrose nous la gueule avec ta pisse. »
Là, il n’y tient plus, il nous asperge abondamment, nous arrosant à tour de rôle de sa pisse claire et chaude. Il a vraiment très envie ; il nous remplit plusieurs fois la bouche et finit en nous pissant sur le corps. Quand il a finit, nous reprenons en cadence nos enculades en bavant la pisse du noir. Celui-ci, soulagé, bande maintenant très fort en se caressant. Il se met devant moi et me fout sa bite dans la bouche en me disant :
« maintenant, salope, tu vas me vider les couilles ; j’ai autant de foutre à cracher que de pisse tout à l’heure. Suce-moi, putain, pendant que tu en prends plein le cul. »
Je réponds :
« Oui, maintenant, je veux tout les foutre de toutes les bites que j’ai dans le cul et la bouche ; je veux que vous crachiez tout votre sperme sur mes fesses, mes seins et ma gueule. »
Mon premier partenaire se retire du cul de l’indien et n’y tenant plus, arrache son préservatif et me crache un flot de sperme blanc et chaud, à moitié sur la bite du noir que je suce comme un malade et sur mes seins, en gueulant :
« Ahh, quelle salope ! j’ai rarement jouis comme ça ! putain, que c’est bon ! »
Comme il commence à faire très chaud dans la cabine, il ouvre et sort pour se rhabiller dans le couloir. Comme nous avons gueulé depuis un certain temps, la plupart des clients sont devant la porte, en train de se caresser, soit seul, soit mutuellement. Il y a au moins six queues prêtes à cracher à l’entrée de la cabine. Pendant ce temps, l’indien qui me prend toujours le cul me dit :
« Ahh, je vais jouir ! je vais tout lâcher ! »
Je lui dis :
« vas-y, balance-moi tout ton jus sur les fesses ; je veux sentir ton foutre me couler sur le cul, salope ! »
Il se retire, arrache sa capote et branle sa queue entre mes fesses ; d’un seul coup, je sens ses jets de spermes gicler sur mes fesses. Il sort à son tour. Comme je sens la queue du noir grossir encore dans ma bouche, je me mets sur le dos pour pouvoir le recevoir sur mes seins et pour pouvoir me branler. Comme je suis sur le dos, je dis aux autres clients :
« venez me jouir sur la bite, le ventre et les seins ; je veux me branler avec votre foutre. »
Le noir lui n’y tient plus. Il dit :
« Ahh, je vais te noyer de foutre petite pute ; tu vas voir tout le jus que j’ai ! »
Et là, je vois qu’il dit vrai ; pendant presque une minute, il me balance des longs jets de foutre crémeux que j’étale sur mes seins en me branlant. Il est rejoint par les autres clients qui en quelques minutes et à tour de rôle, se vident les couilles sur ma queue et mes seins. Dans un dernier cri de jouissance, je gicle à mon tour. L’écran, comme moi, affiche « Fin ». Je referme ma cabine et me rallonge dans une marre de foutre et de pisse pour récupérer.
Comme je suis entrain de m’étaler du foutre sur mes seins et mon ventre, l’écran s’allume à nouveau ; un nouveau client a sans doute mis des pièces dans la même cabine. Il a choisi un film pour zoophile. J’adore ça aussi ; à l’écran, il y a une femme nue qui caresse le sexe d’un petit âne. Il a des couilles grosses comme des oranges et une queue d’au moins quarante centimètres de long et huit centimètres de diamètre.
La fille lui branle la bite en se caressant la chatte. Elle frotte la queue de l’âne entre ses fesses et commence à introduire l’énorme gland dans son sexe trempé. Elle est très large du sexe car cela rentre petit à petit. Je suis de nouveau très excité ; j’ai une envie folle d’une queue de cette taille à sucer pour boire le foutre à flot qu’elle doit contenir.
Comme je suis bien entrain de bander et de me branler, le client ouvre la porte de la cabine. Surprise, ce n’est pas un client mais une cliente en uniforme de vigile et elle est là avec son berger allemand en laisse. Comme je suis encore nu avec mon string trempé de pisse et de foutre, mes bas et mon porte-jarretelles, elle entre dans ma cabine avec son chien et ferme la porte en m’intimant l’ordre de ne pas bouger. Elle me dit :
« si tu ne fais pas ce que je veux, je lâche mon chien Ralf sur toi ; met toi à quatre pattes que mon chien te nettoie ; tu vas aussi me lécher la chatte et après tu seras mon âne ; je veux ta queue. »
Le chien lui obéit et je sens sa langue chaude et râpeuse qui me lèche les fesses, le cul, les couilles ; cela m’excite très fort et me fait bander très dur. La fille a retiré pantalon et veste d’uniforme ; dessous, elle n’a qu’un minuscule string en cuir qui ne cache rien de son sexe roux et humide. Ses seins petits et très durs n’ont pas besoin de soutien-gorge. Elle les caresse en appuyant son sexe sur ma bouche. Elle me dit :
« Suce-moi à fond ; je veux ta langue dans ma chatte avant ta bite. »
A l’écran, la fille a maintenant la bite de l’âne dans son sexe ; celui-ci lâche son foutre par grandes giclées qui coulent de chaque côté. Je bois le jus qui coule du sexe devant moi pendant qu’elle gémit :
« vas-y, c’est bon, tu va voir, mon chien aime me voir jouir, il va t’en foutre plein le cul ; tu verras, il baise bien et il est insatiable. »
Je sens effectivement qu’il bande et sa grosse queue s’agite entre mes fesses ; il est comme fou et je sens son foutre qui gicle par saccades et m’arrose les couilles. Comme j’ai l’anus encore gras de vaseline et de foutre, je n’ai pas de mal à le guider dans mon cul. Dès qu’il sent que ça rentre, il est pris de frénésie et m’encule à grands coups de bite très rapide. C’est fou ce que c’est bon ; je sens la bite du chien qui grossit encore et qui me rempli toujours le cul puis tout à coup sa queue fait comme une grosse boule qui gonfle et que se bloque dans mon cul.
J’ai une boule brûlante dans le cul ! Le chien se tourne vers sa maîtresse, avec toujours sa queue dans mon ventre. Il faut plusieurs minutes pour que tout son sperme qui gicle presque sans arrêt me remplisse le cul et pour que sa queue sorte enfin !
Le sperme coule à flot sur mes cuisses et mes couilles. A l’écran, la fille a retiré la queue de l’âne de sa chatte. Le sperme dégouline à grands flots. Comme l’âne bande toujours et a encore les couilles pleines, la fille le prend dans sa bouche pour le sucer et le boire.
Moi, je sens toujours le foutre qui coule de mon cul ; je bande à nouveau très fort et j’ai envie de mettre ma queue dans le cul de la fille. Elle a une autre idée ; elle me dit :
« allonge-toi par terre ; tu vas me baiser et Ralf va m’enculer ; il t’a bien rempli le cul de foutre ; il mérite sa récompense avec le cul de sa maîtresse. »
Je m’exécute ; je recrache toujours le foutre que j’ai dans le cul ; c’est incroyable ce qu’il m’a mis. Ralf me lèche le cul pour me nettoyer ; il est vraiment insatiable ! Aussitôt après, la fille met ma queue dans sa chatte et me baise en se caressant les seins ; elle est incroyablement mouillée et excitée ; elle branle Ralf et le suce puis elle lui montre son cul en lui disant :
« viens Ralf, vient prendre le cul de ta chienne ! Viens enculer Zohra ! »
Ralf est manifestement habitué car aussitôt il se met en position et sa bite très grosse et très rouge arrose les fesses et l’anus de Zohra avant de l’enculer. A nouveau, je sens la cadence infernale et je sens la bite de Ralf qui frotte la mienne à travers le cul de la fille. Je sens les giclées de sperme qui comme à moi tout à l’heure lui remplisse le cul.
Elle jouit d’un seul coup très fort et je sens son sexe qui se referme autour du mien en le serrant. Je ne résiste plus et je jouis à mon tour. Ralf aussi se retire. Je sens son sperme qui sort à flot du cul de la fille et qui me coule sur les couilles pendant que Ralf nous nettoie tous les deux avec sa langue.
Puis Zohra se met à genoux, approche son sexe plein de mon sperme de mon visage et entreprend de me pisser dessus ; elle est aussitôt rejoint par Ralf qui en fait autant ! Après ce dernier arrosage, elle se rhabille et sort, suivi de Ralf qui lui renifle le cul, me laissant allonger dans une mare de sperme et de pisse. Il me faudra un bon quart d’heure pour récupérer et sortir à mon tour, complètement épuisé ! Ce jour là, j’ai eu ma dose pour un moment !
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