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Julie ou julien (09)

Julie ou julien (09)



Nous voilà en route. Les filles ne savent pas où nous allons. Pour le moment on circule en ville. Je m’assure que Julie, assise à côté de moi ait sa jupe suffisamment relevée pour exhiber ses bas. A quelques arrêts feux rouges, des automobilistes reluquent. A un autre feu, c’est un poids lourd, à notre droite qui se rince les yeux. Je passe alors ma main sur la cuisse de Julie, lui faisant écarter les jambes, mais sans dévoiler son trésor caché. Le chauffeur routier semble apprécier. Il klaxonne en redémarrant et nous fais un signe de remerciement.
Je continue de rouler, et me dirige vers l’autoroute. La première étape de notre soirée, sera l’aire d’autoroute à laquelle je sors. Celle-ci à la réputation de permettre aux hommes de se soulager. J’ai choisis d’emmener les filles ici pour qu’elles s’occupent de deux ou trois mecs. Pour Julie notamment, je veux qu’elle comprenne que ce n’est pas une relation amoureuse standard que nous vivons. Elle doit comprendre sa place et que je me sers d’elle comme d’un jouet. Je veux également qu’elle goutte à d’autres queues rapidement.
Je me gare donc sur le parking, non loin du bloc sanitaire. Quelques voitures sont garées, des camions également. Quelques lumières sont visibles dans les habitacles. En coupant le moteur je leur dit
– On descend
Sans un mot elles quittent la voiture. Nous nous dirigeons vers le bâtiment, attirant le regard sur nous. Du moins surtout les filles. Dans le bâtiment, une vingtaine de cabine WV. Sur quelques-unes on remarque des tags habituels, divers et variés, mais aussi des capotes dessinées, telles que ou bien barrées. Je fais rentrer les filles dans une cabine avec le dessin de la capote non barrée, et rentre avec elles. Le dessin signifie que tous rapports se fait safe. Je veux les asservir mais pas mettre leur santé en jeu, je veux les conserver en bon état !
Bien sûr, il ne faut pas longtemps pour que nous entendions des pas et des portes se fermer proche de nous. Apparait d’un coup, par le trou d’une des cloisons une queue encapuchonnée. Je regarde Julie et lui dit
– Au travail
Elle s’agenouille, un peu hésitante, saisie la bite et commence à la branler. Je pousse sur sa tête. Elle comprend aussitôt que sa bouche aussi doit travailler, et gode la queue. Elle est relativement petite, un peu trapue, elle n’a pas de mal à la prendre entier en bouche. C’est un précoce à priori car en quelques coup on entend le gars à côté râler et se répandre dans sa capote. La bite se retire aussitôt. Une autre apparait par l’autre cloison. De plus gros calibre. Julie me regarde, et d’un regard je lui fais comprendre mes attentes. Elle se tourne et s’occupe de cette nouvelle bite. Sophie regarde sa sœur à l’œuvre, un peu envieuse. Je lui murmure
– T’en fais pas, tu en auras aussi
Elle me répond par un simple sourire. Julie n’a pas encore terminé sa seconde queue, qu’une troisième apparait par le trou de la première. Je lui fait remarquer, et elle la saisie de sa main libre. Suçant et branlant une première d’un côté, branlant l’autre de sa seconde main. Elle change de position pour pouvoir sucer la seconde tout en branlant encore la première. Elle passe de l’une à l’autre, les faisant gicler les deux presqu’en même temps. Les deux bites disparaissent. Julie se lèche les lèvres, elle semble avoir l’appétit ouvert. Une nouvelle queue apparait, celle-ci c’est une autre histoire. C’est une queue de black, de calibre limite surdimensionné. un peu apeurée, Julie me regarde. A nouveau d’un simple regard a son attention elle comprend et se met au travail.
Elle a beaucoup de mal à la faire rentrer dans sa petite bouche serrée. Je l’aide en forçant à l’arrière de sa tête, et la contraint à aller en profondeur. Vu le calibre de la bête, je ne force pas de trop, je ne veux pas abîmer mon jouet. Elle s’occupe de cette queue énorme lorsqu’une autre surgit. Je fais signe à Sophie, qui sans hésiter, s’agenouille et la dévore. Gabarit normal à priori. Sophie y met tellement d’ardeur que le gars ne met pas longtemps à cracher. Julie, à l’aide de ses deux mains, s’active sur la queue du black un long moment. Bien monté et endurant, le type tient le temps que Sophie s’occupe elle de 2 autres types. Quand le black finit par craquer, on voit la capote gonfler et gonfler en se remplissant de sperme laiteux. C’est impressionnant la quantité qu’il lâche. Je le cache pas, je voudrais être équipé comme lui et capable de telle giclées…
Chose assez surprenante, à un moment à l’un des trou apparait une chatte. Une nana dans la cabine d’à côté doit avoir coller son cul, qui semble assez gras à la paroi pour faire déborder sa moule par le trou. C’est du côté de Sophie, ça tombe bien, je veux qu’elle développe sa gouinerie. je lui fais donc signe de s’en occuper. Elle y va du bout de la langue et grimace. A priori la dame n’est pas de première fraicheur. Elle y va malgré tout, plus généreusement de sa langue, allant jusqu’à aspirer les grosses lèvre de chatte de la dame, de façon plutôt bruyante. ça semble plaire à la dame qui finit par jouir dans un long râle. On la voit soudain regarder par le trou et dire
– Je voudrais juste savoir à qui je dois ce plaisir. Monsieur, madame ?
– Je place le visage de Sophie face au trou pour que la dame ait sa réponse. mais dans le même temps, je sors ma queue et la place devant le visage de Sophie.
– Ho, on a du choix ce soir, dit-elle. Tu veux me la mettre ?
– Ok, je lui réponds
puis en m’adressant à Sophie
– mets moi une capote.
Elle en att**** une dans son sac à main et me l’enfile sans trop de mal, étant déjà très excité par le contexte. La dame n’a pas l’air d’un canon, mais je me suis jamais tapé une chatte grasse de ce type.
Je passe alors ma queue par le trou, et c’est avec sa chatte que la dame m’accueille, se l’engouffrant directement. Je pénètre donc une chatte, plus qu’élargie, et qui semble juteuse. Elle est pas à son premier kilomètre celle-là. Ma queue nage complètement dans cette chatte. C’est une sensation bizarre. Mais j’y trouve mon plaisir, pas immense mais tout de même.
C’est elle qui fait tout le boulot, venant éclater son cul gras contre la paroi. Elle ne met pas longtemps à venir, et je fais en sorte de la suivre. Je me vide dans la capote avec la queue au fond de sa moule. De son côté sa chatte dégouline, une semi fontaine… Je sens d’un coup ma queue attrapée. Elle s’est retournée, me tient la queue, me retire la capote. Je la vois se la vider dans la bouche. Elle racle le fond jusqu’à la dernière goutte
– Humm trop bon, merci mon mignon
Je me rend compte que Julie s’occupe d’une nouvelle bite avec l’aide de Sophie. Elle se la prête, complices comme jamais. Elle termine cette dernière, faisant gicler dans sa capote un nouvel homme heureux.
On semble avoir fait le job, plus rien ne se présente. Je fais donc signe aux filles de se lever et de sortir. Elles ont réussis à bosser sans trop ruiner leur maquillage, une ou deux petites retouches et ce sera OK. En sortant du bâtiment, une voie de femme nous interpelle
– Hé mon mignon. ha ben dis donc, tu t’ennuies pas ! Bon, je pense pas avoir beaucoup de chance, mais j’ai bien aimé ta queue et ton sperme. Si ça te dit de sauter une vielle en manque, tiens voilà mon numéro. Et hésite pas à ramener tes copines
Je l’observe. Elle est effectivement assez en chaire, mais reste potable. une paire de nibards énormes qui débordent d’un décolleté un peu étroit. On doit pouvoir en faire des choses avec ! Je prends le papier qu’elle me tends sur lequel est inscrit son numéro, son email une adresse qui semble à quelques rues de chez moi je crois. Et en bas son prénom : Liliane
– OK lui dis-je. On verra ça. Et nous remontons en voiture.
C’est pas mon plan le plus canon, mais passons. Les filles retouchent un peu leur apparence dans la voiture. Quand elles ont terminé, je démarre et reprends la route.
– Alors ? je leur demande
– Ben plus de doute, j’aime la bite hahaha réponds Julie. Mais c’est la vôtre que je préfère, me dit-elle en posant sa main sur ma queue au repos.
– Moi j’en ai jamais douté. Et toi Sophie ?
– Ben moi je savais déjà que j’aimais la queue lol ! Mais j’en ai jamais vu et eut autant en si peu de temps ! Franchement le black, je suis contente que c’est toi qui l’ait eut. Et heureusement qu’il nous a pas baisé parce qu’il nous aurait déchirées ! ton ptit cul aurait pas tenu le coup hahah
– Je suis sûr qu’elle aurait encaissée moi
– ha et bon, la meuf, bof. Je dis pas, bouffer une chatte pourquoi pas, au point où j’en suis, mais pour une première on peut faire mieux non ?
– Tu me diras ça la prochaine fois.
Nous continuons la route, Julie garde sa main sur ma queue, simplement posée. Nous retournons en périphérie de la ville, en direction de notre prochaine destination. On approche de la discothèque où je prévois de les emmener. C’est un club classique, mais réputé pour accueillir essentiellement des gens au physique appréciable. je me dis qu’avec la compagnie que j’ai, j’augmente mes chances d’être autorisé à entrer. Nous nous garons sur le parking.
– Cool, on va danser ?! dis Sophie
– Oui, si tu veux. On va passer une soirée ensemble, nous amuser.
– Heu, moi et la danse c’est pas vraiment ça, dit Julie
– Julien n’était pas doué pour la danse. Toi, Julie, sensuelle et sexy tu vas faire fureur
Elle me regarde, sceptique. Nous sortons de la voiture. Je passe mes bras à chacune de leur tailles. elles aussi m’enlacent. On arrive vers l’entrée et faisons la queue. Du monde veut rentrer. Je vois le videur faire le tri, laissant rentrer essentiellement des nanas canons en tenue pour certaines sexy, ou encore des mecs, style beau goss absolu, le genre de type qui m’énerve. Il refoule les autres, les nana les moins sexy, les gars seuls…
Arrivés devant lui, il nous regarde. Il me détail, regarde les filles qui se collent à moi pour bien montrer qu’elles sont avec moi. Il nous fait signe de passer. Quand je passe à côté de lui il me dit un petit
– Veinard
Je continu mon chemin en lui faisant un petit clin d’œil. On entre dans la boite, plongée dans le noir, uniquement éclairée des spots et autres éclairages d’ambiance. La musique bat son plein. La piste est bondée et effectivement, c’est principalement des petites bombes qui se trémoussent sur la piste. Nous nous dirigeons vers le bar.
– commandez ce que vous voulez
Elles prennent toutes les deux un cocktail, qui semble corsé, je ne connais pas. Pas grave, ce soit elle peuvent boire et s’amuser. Pour ma part je me contente d’une bière, je suis SAM! On cherche un coin ou se poser et trouvons un coin canapé libre. On s’y installe. Les filles, chacune d’un de mes côtés, se collent à moi et sirotent leur cocktails. Julie, me regarde, pleine de tendresse. Je l’attire à moi et répond à son attente en lui dévorant la bouche. ma main se balade le long de sa cuisse sans discrétion. je veux clairement afficher qu’elle est mienne. De son côté Sophie se contente de poser sa main sur ma cuisse, très proche de mon entre-jambe.
Je libère la bouche de Julie, me tourne vers Sophie et lui offre le même traitement. Tout comme Julie, elle s’abandonne à ma bouche. Là aussi, ma main remonte sa cuisse, mais à l’intérieur, au plus haut. Comme je m’en doutait elle est humide. Je chatouille rapidement son abricot, ce qui la fait se tendre et intensifier son baiser. de son côté Julie a elle posé sans discrétion sa main sur ma queue qui se tend légèrement, la caressant en douceur.
Je libère la bouche de Sophie, et sa chatte. Je goutte mes doigts puis att**** ma bière. A priori notre petit manège a été remarqué, quelque personnes, hommes et femmes nous jettent des petits regards. Certains avec un sourire entendu.
– Aller, allons danser.
je me lève en prenant leur main. Un peu effrayée, Julie en retrait résiste très légèrement. elle s’approche de moi, se colle à mon oreille
– j’ai peur…
– Je suis là. Continue de me faire confiance, moi je crois en toi
Je l’entraine donc vers la piste, avec Sophie. Sophie se lâche de suite, se mettant à danser au rythme de la musique. elle semble une habituée des pistes de danses. Julie, plus timide, remue légèrement sur ses hauts talons. Le la saisie par la taille et l’entraine au rythme. Je suis pas un fin danseur, mais ça suffit à la motiver. elle finit par bouger d’elle même, remuant son corps sexy en rythme. A un moment, une nouvelle fois, plus de différence entre les sœurs. Elles dansent de la même manière, libre, déchainée. Je les vois se rapprocher, se prendre par la main toutes souriantes. Elles dansent comme ça un moment, complices comme elles ne l’ont jamais été. Puis Sophie tire Julie vers elle, et tout en me lançant un regard de défi va coller sa bouche à la sienne. Elle se lance toutes les deux dans un baisers sensuel et gourmand. Attirant forcément les regards sur elles.
Elles se quittent et viennent vers moi. Sophie de plaçant dans mon dos, collée à moi, Julie devant moi, dos à moi, collée aussi. Elles dansent alors contre moi, se frottent à moi. Elles affichent clairement que nous sommes trois à danser ensemble, et pas que sur la piste. La sensualité qu’elles mettent dans leur danse, s’affichant ainsi, m’excite forcément. Julie doit sentir mon érection car elle appui de ses fesses contre ma queue, me branlant avec son cul à travers mon pantalon. Je passe ma main devant elle, la place à hauteur de son pubis que je presse pour faire plaquer son corps contre le mien. cela relève un peu sa robe et dévoile ses bas quasi totalement. Nous dansons ainsi un moment, alternant celle qui se frotte à moi et finissons par retourner à notre coin tranquille. Mon pantalon étant léger, difficile de masquer la trique qu’elle m’ont donné. Sur le chemin vers le canapé, une nana me regarde intensivement, baisse les yeux à hauteur de ma queue, relève les yeux et tout en me faisant un clin d’œil se lèche les lèvres. C’est une petite bombe, brune, cheveux bouclés type espagnole, vêtue d’une robe blanche au décolleté plongeant dévoilant une poitrine plus que généreuse. la robe qui lui arrive à mi-cuisse, serrée, la moule parfaitement, mettant en valeur un cul bombé mais ferme. la lumière me laisse douter sur la présence ou non de sous-vêtements. Je passe à côté d’elle, la dévorant du regard, et continu mon chemin.
De retour au canapé, les filles descendent leur verre d’une traite. elle sont comme deux puces, à danser assises. Je crois comprendre, elles en profites pour stimuler leur petit rosebud. Je me tourne vers Julie, m’approche de son oreille
– Alors ?
– J’adooooore, merci merci merci merci merci
Et elle m’embrasse à pleine bouche. Je la décolle et en la regardant
– Ne doute plus jamais quand moi je crois en toi, compris ? Je lis en toi, et vois tes capacités.
– Promis !
En m’adossant, je rapproche les filles de moi et leur dit
– Maintenant, amusez-vous. Trouvez-vous chacune un mec, allumez-le, faites ce que vous voulez mais ils ne repartent pas les couilles pleines.
– mais et vous ? me demande Julie
– Je crois que j’ai ce qu’il me faut
– ha… elle répond un peu déçue
– N’oublie pas, tu es à moi, mais tu n’es pas unique
– oui, ok
– Moi je crois que j’ai déjà trouvé ma cible. Le type là-bas, le brun, canon. Il me matte depuis avant. A tout à l’heure.
Elle se lève, j’en profite pour lui claquer les fesses, puis me tourne vers Julie
– Et toi ?
– Heu.. je sais pas, j’en ai bien repéré l’un ou l’autre qui me matait aussi. Mais j’ai jamais abordé un mec… Je sais pas comment m’y prendre
– Tu sauras, tu trouveras. Vas, amuses toi. Mais attention, rappel toi que ce que tu es, parfois certains ne l’accepte pas. Assures toi que ça ira avant d’aller trop loin.
– Comment ?
– tu trouveras, laisse ton corps parler pour toi. Choisis ta cible et fonce.
Elle me claque un bisous sur la joue et se lève, prenant un claque au cul également au passage. Je repère Sophie, déjà collée à sa cible, à danser en l’allumant. le type a ses mains sur ses hanches. Bien. je vois Julie aller, d’un pas assuré et sensuel vers un type et danser avec lui.
A regarder les filles je n’ai pas vu ma brune de tout à l’heure s’approcher. Elle est près du canapé et d’un regard me demande si elle peut s’assoir. Ce que je lui confirme évidement. Elle s’assoit, très près de moi, sa hanche contre la mienne. Elle porte son verre à sa bouche en me regardant par-dessus.
– Tu n’as pas l’air de t’ennuyer toi me dit-elle à l’oreille
– Non ça va merci, et toi ?
– Moi… eh bien, je suis venue avec des amis… mais bon, je m’ennuie un peu
En me disant ça elle pose un main sur mon bras.
– Tes copine t’ont un peu chauffé tout à l’heure où je me trompe ?
– Non, en effet, elle s’y sont donné à cœur joie.
– Et là elles s’amusent sans toi ?
je regarde vers la piste et voie Julie pendue au cou d’un autre type que tout à l’heure, collé serré. J’aperçois au fond Sophie partir, main dans la main avec son beau goss
– Oui, elles ont le droit
– ho, elles doivent avoir ta permission ?
– Oui
– Ho, je vois. Donc toi tu n’as pas besoin de la leur ?
– c’est ça
– Intéressant, dit-elle en posant cette fois sa main sur ma cuisse.
Je la regarde un peu plus en détail, elle a des yeux d’un bleu pâle et clair extrême, une peau très bronzée, plutôt lisse. je pose moi aussi une main sur sa cuisse, constatant la douceur satinée de sa peau
– Et toi, tu as besoin d’avoir la permission de quelqu’un ?
– Non me répond-elle en s’approchant de mon visage.
Je m’approche également et elle m’offre une bouche chaude et suave, une langue gourmande et agile. Son rouge à lèvre ou gloss a un parfum de fruit rouge sucré, augmentant la gourmandise de ce premier échange fluide. Elle profites de notre rapprochement pour passer sa main rapidement sur ma bite. Quand elle cherche à l’enlever, je la retiens dessus.
– Attends, soyons un tout petit peu plus discret qu’avec tes copines stp
– Non, garde ta main, je lui dis tout en reprenant sa bouche profondément.
Elle se donne à ce nouveau baiser. Ma main remonte sa cuisse, par l’extérieur, jusqu’à arriver au bas de ses fesses. Elle quitte mes lèvres et me dit
– Allons danser, tout en se levant.
Elle prend ma main, et me guide derrière elle, nous menant à la piste. Elle se place alors face à moi et se met à faire onduler son corps sensuellement, contre le mien. Malgré ses talons vertigineux, elle est plus petite que moi, j’ai donc une vue plongeante sur ce décolleté. ses seins, volumineux, pleins de vie, remue à son rythme sous mes yeux.
Je place ma main dans son dos, au-dessus de ses fesses. Je la laisse descendre, la caressant doucement. Je sens au travers de la robe qu’elle porte bien quelque chose dessous. Je passe ma main sur ses fesses. Mes deux mains viennent saisir ses fesses fermement, la plaquant contre moi. Son ventre contre mon bassin, vient à la rencontre de ma queue tendue et libre sous mon pantalon. Elle accentue la pression contre, et me regarde satisfaite du résultat. Elle ondule le bassin contre moi, frottant ma queue.
Je la fait tourner sur elle-même, la mettant dos à moi, plaquant ma queue dans le bas de son dos. Je place ma main droite sur son ventre, juste au-dessus de son puit de chaleur. De ma gauche je saisis son sein à pleine main. Elle penche la tête en arrière et me tend sa bouche que je mange. je continu de palper son sein, dodu, généreux, et de me frotter dans son dos.
Nous dansons ainsi un moment, mes mains parcourant son corps, découvrant ses formes. Sa main se perd elle aussi à plusieurs reprise sur ma queue, la massant discrètement à travers le pantalon. Tout en dansant, je parcours à plusieurs reprise la piste du regard, à la recherche des filles, sans les voir. Ma belle brune, face à moi, se tend vers mon oreille
– Au fait je m’appelle Sandra..
– Et moi Jérôme
– Bien, maintenant que les présentation sont faites, suis moi
Elle passe devant, me tenant la main et nous dirige vers un couloir. Je crois deviner qu’elle nous mène aux WC. Elle s’arrête et me dit
– Attends-moi là, et disparait au fond du couloir.
Elle revient 1 minute plus tard
– Je connais bien ceux qui bossent ici, suis moi
toujours passant devant, elle me conduit au fond du couloir. On passe effectivement devant les WC. en passant devant ceux des hommes, la porte s’ouvre au passage d’un gars, et j’aperçois au fond, une petite blonde, à genoux, une queue en bouche. Un autre type semble attendre son tour. Ma petite Julie à l’air de faire fureur… Je me demande ce qu’il en est de Sophie…
Je suis la belle Sandra, qui nous conduit vers un bureau. Elle ouvre la porte entre, je la suis. c’est effectivement un bureau, classique. Un bureau, une chaise, un PC et quelques papiers occupent le bureau. Elle ferme la porte, se met dos contre elle, et la verrouille à clé.
– On sera tranquille ici et c’est plus sympa que des WC.
Elle vient alors ers moi, faisant rouler sa carrosserie de compétition, en me regardant d’un regard brulant, gourmand. Elle vient se coller à moi, m’enlace et colle sa bouche à la mienne, fouillant de sa langue à la recherche de la mienne. Sans quitter sa bouche, je nous fais tourner, la mettant dos au bureau, la fait reculer jusqu’à ce qu’elle soit contre. Le l’aide à monter et à s’assoir dessus. Je me retrouve entre ses cuisses, ses jambes m’enserrant et me collant à elle.
Elle commence à déboutonner ma chemise, doucement, bouton après bouton. Arrivée au dernier, elle l’ouvre, et me l’enlève. Elle passe ses mains sur mon torse
– Hum, j’aime les hommes comme ça. Un peu velu, comme un vrai mâle. Pas ces types qui se rase le torse, on dirait des gosses.
Elle passe ses mains sur mes hanches. Je ne suis pas l’apollon absolu, et j’ai une toute petite ceinture, qu’elle saisit.
– Un homme… miam, dit-elle en me prenant les hanches et me collant à elle.
Je me jette sur sa bouche, la dévorant de façon presque bestiale. Je passe un main dans son dos pour faire glisser la fermeture de sa robe. Je descends la tirette jusqu’au bas. La robe se détend, laissant apparaitre un peu plus sa poitrine. Je dégage ses épaules de la robe et la baisse sur sa taille. Elle descend du bureau, debout pour laisser glisser la robe le long de ses jambes; Puis levant un pied après l’autre s’en dégage.
j’ai à présent un bien meilleur vue sur ce Corp. Je la détail de bas en haut. Toujours chaussées de ses sandales à talons vertigineux, des jambes fermes, cuisses généreuses. Elle porte un string tout ce qu’il y a plus de minimaliste, découvrant d’un petit capuchon juste son abricot, dont on distingue toute les forme au travers, aidé par une trace d’humidité. De fines ficelles remontent sur ses hanches, et je devine que c’est autant qui se loge au creux de ses fesses lorsque je la fait tourner sur elle.
Ses fesses, fermes dans l’ensemble sont aussi généreuses, pulpeuses. Elle n’est pas du modèle svelte et athlétique, mais loin d’être grasse ou grosse. Sous ventre, essentiellement plat laisse voir qu’elle a une corpulence généreuse. Sous soutif est en réalité un redresse seins. Il les englobe par le bas, les redressant de manière effrontée, tout en laissant libre l’avant. Ses tétons, pointes sur des aréoles brunes larges. La générosité de ce corps appel à la gourmandise sans retenue.
Elle s’approche de moi, tel un a****l en chasse, se colle à moi en saisissant ma ceinture, me murmure
– Tu apprécies ?
– Pas qu’un peu… tu n’as qu’à vérifier
Ce qu’elle s’empresse de faire en ouvrant ma ceinture, ma braguette et mon bouton de pantalon, le faisant glisser le long de mes jambes, ma queue se dresse devant elle
– En effet, tu as l’air d’apprécier
Elle me saisit par la queue, en se collant à moi, écrasant sa poitrine contre mon torse. Et démarre une lente masturbation. Elle embrasse mon torse, lèche mes tétons, puis tout en se baissant fait courir sa langue sur mon entre. Puis sur ma queue. Du bout de la langue, elle lèche et chatouille ma queue, du gland à la base, les couilles. Puis me l’engouffre à pleine bouche, démarrant une pipe gourmande, baveuse et profonde., A coup de bouche, de langue et de poignet elle astique ma queue généreusement pendant un long moment. Allant la faire taper au fond de sa gorge.
Elle se redresse, et place ma queue au creux de sa voluptueuse poitrine pour démarrer une délicieuse branlette espagnole. Quelle délice au milieu de ces seins sublimes. elle finit par remonter, me donner sa bouche. Je la repousse contre le bureau, descend à mon tour du bout de ma langue le long de son coup, vers ses seins que je vaux téter, mordiller, lécher généreusement. Je mord ses tétons afin de voir sa limite. Elle semble sensible, je ne vais donc pas trop fort.
Je descends ensuite le long de son ventre vers ce micro string. j’en hume le parfum humide, sucré. Je la fais s’assoir sur le bureau et lui retire ce minuscule bout de tissus.
– tant qu’à mettre si peu, autant ne rien porter lui dis-je
– Si je n’avais rien porter, ça aurait couler le long de mes cuisses quand je te matais avec tes copines. Vous m’avez excitée, je les auraient bien croquée aussi. En toute honnêteté, en temps normal je t’aurais pas trop regardé. Mais tes nanas sont canons, et je me dis donc que tu dois avoir un truc de spécial. déballé, t’es mignon, ça me plait, t’as un belle queue, mais montre-moi ce que tu sais faire…
A peine a-t ‘elle terminé sa phrase, je me jètte sur son abricot juteux et gonflé. Pas le moindre poil autour. Je la dévore a pleine bouche, buvant son jus abondant. de toute évidence ma prestation lui plait, à en juger à ses râles de plaisir et à sa manière de m’agripper les cheveux.
– Baise moi maintenant
Je me redresse et la voit se pencher vers un tiroir du bureau et en sortir une capote. Elle semble bien connaitre les lieux. Elle la déballe et me l’enfile. Une fois équipé, c’est moi qui l’enfile, d’une seule traite, la faisant grogner de plaisir. Je la lime à tous rythme en profondeur, penché au-dessus d’elle. Je me dégage d’elle, lui fait retoucher le sol et la tourne pour pouvoir la prendre par derrière. Je réinvestis sa chatte d’un coup. Tout en la baisant je glisses mes doigts sur son œillet. Il semble serré mais elle ne proteste pas. J’insère un doigt pour tâter le terrain. Son couinement me fais comprendre qu’elle apprécie. Je quitte donc sa chatte et vient étaler sa cyprine sur son anus encore fermé. Elle se retourne et me regarde
– D’habitude je laisse pas grand monde entrer là, mais comme tu m’as bien excitée, vas-y
Je pousse alors mon gland en elle. Elle est presque aussi étroite que Julie. Mais en douceur, ma queue finie au fond d’elle et je peux démarrer un long va et vient. Elle finit par avoir un orgasme, criant son plaisir profondément. Je sens couler de sa chatte une jouissance abondante, puissante. Une fontaine à priori. Elle semble sentir que je suis sur le point d’arriver aussi, se dégage et à genou me termine à la bouche en ayant retiré la capote. elle me fait venir en facial, visant son visage avec ma queue pour que je l’éclabousse. C’est toute souriante, et couverte de ma crème blanche qu’elle nettoie ma queue. Puis de son doigt elle racle le sperme sur ses joues, son front et passe le tout dans sa bouche.
– Plutôt pas mal, me dit-elle
– Toi aussi, t’es bonne
Elle finit de se nettoyer un peu le visage. Puis commence à se rhabiller. Quand elle va pour ramasser son string, je lui prend et le glisse dans la poche de mon pantalon que je viens de remettre
– En souvenir
Elle se contente d’approuver d’un sourire. Elle prend un papier sur le bureau et y griffonne ses coordonnées.
– Appel moi à l’occas, avec tes copines, j’aime bien les nanas aussi
Nous sortons du bureau. dans le couloir elle m’enlace pour un dernier baiser où je sens le gout de mon sperme.
– A bientôt
Je retourne à notre coin et y retrouve les filles qui semblent épuisées.
– On y va ?
Elle me font juste signe de la tête, se lève et nous sortons. Julie marche un peu bizarrement. Un fois dehors je lui demande
– Le cul en feu
– Oui un peu… ils y sont pas allé doucement
– Combien ?
– de ?
– t’ont sauté
– quatre…
– Et toi ?
– seulement un
– rentrons
Sur le trajet, les filles d’endorment dans la voiture. Arrivés à l’immeuble je les réveilles. Nous montons chez moi.
– aller vous déshabiller, démaquiller et tout et rejoignez moi dans la chambre.
Pour ma part j’y vais directement, me glisse dans les draps nu. Les filles arrivent aussi, nues également. Elles se glissent sous les draps chacune d’un côté et viennent se coller à moi
– Julie, tu as à priori assez prit, donc je vais m’occuper de Sophie
– Oui, j’en peux plus…
– Moi aussi je suis claquée, dit Sophie.
Sans tenir compte de ce qu’elle dit, je me tourne sur elle, me glisse entre ses jambes, et c’est dans la position la plus classique du missionnaire que je lui fait l’amour. sans brutalité, sans v******e, plein de tendresse, c’est ensemble que nous jouissons. je me repends en elle
– garde tout ça pour la nuit
Que je me tourne je constate que Julie s’est endormis. Je vérifie et constate que comme Sophie, chez qui je l’ai sentie en la sautant, elles ont gardé leur rosebud.
Nous nous endormons ensemble, épuisé de cette longue journée

***A SUIVRE***

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