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La femme de l’employé

La femme de l’employé



L’histoire que je me propose de vous raconter s’est réellement passée. A l’époque j’étais une jeune femme que l’on disait fort appétissante, beaucoup sollicitée mais malgré tout fidèle car j’aimais mon mari. Il gagnait confortablement sa vie, ce qui me permettait de ne pas travailler pour m’occuper des enfants et, occuper mon temps de libre en pratiquant du golf, du tennis ou encore fitness etc. etc.. Bref, j’avais une vie dorée.
Un jour pourtant, tout s’est écroulé quand son patron s’est aperçu qu’il se permettait des avantages en nature non prévu dans son contrat de travail. Ce n’était pas des sommes très importantes mais en remontant sur 5 années, il est clair que nous n’avions pas les liquidités nécessaires pour rembourser la société de ses indélicatesses et à moins de trouver rapidement un arrangement, l’avenir ne s’annonçait pas des plus sereins.
Paul, son patron m’avait déjà fait des avances discrètes et il profita de la situation pour proposer à mon mari de tout faire pour trouver une solution et lui éviter de perdre son emploi sans aucune compensation à condition que j’accepte de l’accompagner lors de son prochain voyage d’affaires, précisant que je serais embauchée et rémunérée comme secrétaire particulière pendant toute la durée du séjour soit une semaine mais qu’il fallait que nous nous décidions vite car le départ était prévu quatre jours plus tard.
Mon mari partagé entre l’envie de lui mettre son poing dans la figure et la perspective d’anéantir la petite possibilité d’échapper à la prison, baissa les bras quand Paul sentant le dilem auquel il avait à faire face, lui dit que s’il faisait ce qu’il avait en tête au lieu de rentrer chez lui et bien réfléchir, il perdrait définitivement tout moyen de trouver un arrangement. Bloqué dans son élan, il tourna les talons en réprimant sa rage.
Le soir, il fut bien obligé de tout m’expliquer et après avoir longuement discuté, essayant en vain de trouver une solution pour se sortir de cette situation j’ai pris ma décision malgré les réticences de mon mari. Je lui dis que s’il m’avait parlé de cette solution c’est que lui-même avait déjà admis l’idée que j’accompagne son patron pour ce voyage. Lui et moi, savions bien ce qui allait arriver mais dans l’immédiat il n’y avait pas d’autre solution à ce que j’accepte de l’accompagner. Pendant toutes ses années j’avais vécue sans aucun souci grâce à lui, grâce à mon mari et, il me semblait que je pouvais à mon tour payer de ma personne pour sauver notre train de vie.
Il faut dire aussi que depuis quelques temps, je ne me sentais pas très bien dans mes baskets à cause d’une conversation à la salle de gym où une amie, m’avait fait remarquer que toutes les femmes mariées, elle comme moi, qui ne travaillaient pas en se faisant payer cours de tennis, squash, golf, gym etc. etc. n’étions en fait pas très éloignées des prostituées à la différence que nos hommes ne nous donnaient d’argent mais tous ces avantages en nature pour s’assurer une maison bien tenue, des enfants bien élevés et une femme à la maison, prête à satisfaire ses envies sexuelles.
Cette conversation m’avait beaucoup ébranlée et je commençais à nourrir l’envie de travailler pour subvenir moi aussi aux dépenses de la maison. Bref, j’étais à ce moment précis dans un état d’esprit assez particulier.
4 jours plus tard, je débarquais à Sydney en Australie à l’autre bout de monde pour un séjour d’une semaine en compagnie de Paul. Notre rencontre de préparation du voyage s’était super bien passée malgré ma nervosité bien naturelle. Officiellement j’avais été embauchée comme secrétaire pour la durée du séjour à un salaire incroyablement élevé. Le voyage malgré les nombreuses heures de vol pour rejoindre cette ville que je ne connaissais que de nom, s’était passé sans problème. Paul avait été charmant et n’avait pas cherché à profiter de moi, durant le vol comme je le redoutais. Je commençais à me détendre si tant est que je puisse le faire en sachant que nous allions bientôt arriver à l’hôtel et que là, son attitude n’allait peut-être pas être la même. J’essayais de me conditionner pour le moment où je devrais faire ce pour quoi j’étais là, c’est-à-dire m’offrir à lui.
Il y avait bien longtemps qu’un autre sexe que celui de mon mari ne s’était frayé un chemin dans mon ventre. Un fantasme que je nourrissais bien avant mon mariage me revint en mémoire, celui de la « call-girl » que l’on paie pour obtenir ses faveurs. J’étais en train de le vivre en vrai car c’est bien de ça dont il s’agissait. J’avais accepté de me laisser baiser pour de l’argent et l’avantage en nature pour mon mari que son patron accepte de trouver un arrangement amiable.
Presque sans m’en rendre compte, je me retrouvais devant le réceptionniste de l’hôtel qui nous remit à chacun une clé magnétique de chambre. Un peu étonnée d’avoir ma propre chambre, je me retournais vers Paul qui sourit en voyant mon étonnement. Il me suggéra d’aller me reposer et que nous nous retrouverions le lendemain pour le petit déjeuner.
Malgré la fatigue, je passe une nuit agitée, peuplée de rêves torrides où Paul me prend sans ménagement en levrette puis me force à le sucer jusqu’à ce qu’il éjacule tout son sperme épais dans la bouche et me le fasse avaler comme le veut mon mari à chaque fois que je le suce. Quand je me réveille, je suis trempée et presque mécaniquement, je me procure un orgasme reposant qui me fait repartir au pays des songes.
C’est le téléphone qui me réveille. Je jette un œil sur l’horloge de la table de chevet. Il est presque 10 heures du matin. C’est Paul :
Bonjour Chloé, c’est Paul. Bien dormi, je vous réveille ?
Non, non. Enfin oui je me suis rendormie. Désolée vous voulez que je vous rejoigne quelque part ?
Prenez une douche et descendez prendre un petit déjeuner. Je vous attends.
Je fais ce qu’il m’a dit et le rejoint prendre un copieux petit déjeuner en sa compagnie. Il vient de rentrer de son premier rendez-vous. Il me dit qu’il est « vanné » et un peu tendu car pour son prochain rendez-vous, c’est un gros contrat qui va se jouer. Il me laisse prendre des forces puis me dit qu’il va aller se faire masser pour se détendre un peu avant d’y aller. Je sens qu’il me tend une perche qu’il ne me faut pas refuser aussi, je lui propose de le faire moi-même si cela lui convient. Il accepte bien sûr sans aucune hésitation si bien que nous nous retrouvons quelques minutes plus tard dans sa chambre, juste à côté de la mienne. Il ôte sa chemise et s’installe dans le canapé du salon. Le massage commence, je m’occupe de sa nuque, ses épaules, lui masse le cuir chevelu jusqu’à ce qu’il me dise :
Vous savez, il y a bien quelque chose qui me détendrait complètement dans un moment comme çà.
Ah bon ! Dites toujours.
J’imagine facilement ce à quoi il pense car mon mari me fait souvent la même demande avant des rendez-vous importants. Il m’appelle même pour je passe à son bureau en coup de vent.
Ce que vous faites à votre mari avant certains de ses rendez-vous !
Comment êtes-vous au courant de çà ?
Nous avons des groupes de travail en commun dans la société et chacun des participants exposent aux autres des trucs pour progresser dans leur travail. Votre mari en a parlé au cours de l’une d’elle et c’est arrivé jusqu’à moi.
Je suis abasourdie que mon mari ait pu dire à ses collègues que je passais à son bureau pour le sucer lorsqu’il était stressé. Déstabilisée je ne sais trop quoi répondre si bien que Paul, essaie de minimiser la portée de cette révélation en précisant :
Mais ne vous inquiétez pas. Il n’a jamais précisé que c’était à vous qu’il faisait appel dans ces cas-là.
C’est tout juste si j’entends ce qu’il vient de me dire. J’essaie de reprendre le contrôle quand il rajoute :
Vous croyez que vous pourriez…
Je m’entends alors lui répondre :
Vous savez, vous n’avez pas de gants à prendre avec moi. Nous savons vous et moi pourquoi je suis là. J’ai accepté de vous accompagner en sachant parfaitement ce que vous attendiez de moi. Si vous voulez que je vous suce, ordonnez-moi de le faire et je le ferais.
Ça serait plus facile pour vous si je ne vous laissais pas le choix, c’est çà ?
Oui, c’est exactement çà. Ne me laissez pas croire que j’ai le choix. Nous savons tous les deux que ce n’est pas le cas. J’ai accepté d’être à vous pendant tout le séjour.
Sur ces mots, je change de position pour m’agenouiller entre ses jambes. Je dégrafe son ceinturon puis fais glisser son pantalon à ses pieds. Mes yeux se posent sur son bas-ventre pour découvrir une imposante masse cachée sous le fin tissu de son sous-vêtement. Me voir à genoux devant sa queue, l’excite car déjà, son sexe réagit et s’étire jusqu’à tendre à l’extrême l’élastique de son slip. Je lève mon regard vers le sien au moment où il m’ordonne de le prendre en bouche.
Je tire sur l’élastique, la verge libérée se dresse à quelques centimètres de mes lèvres, frappant nerveusement son ventre. J’approche mon visage du gland circoncis, vérifie son odeur puis commence à le lécher d’une langue que j’ai pris soin de couvrir de salive. Sa peau est douce, il sent bon heureusement car je n’aime guère quand mon mari ne sent pas très bon. J’ouvre la bouche, le gland tressaille juste avant que je l’engloutisse entre mes lèvres, je lève mes yeux vers ceux de Paul qui fixe mes lèvres glisser autour de son chibre. Je commence à le faire coulisser, ma langue s’active autour du gland, insiste sur le frein, tète le gland comme je l’aurais fait avec un esquimo. Paul n’arrive pas à retenir ses gémissements de satisfaction.
Ouiiiiiiiiiiiiiii. Pas trop vite, ne me faites pas jouir trop vite. C’est trop bon !
Hummmmmmm !
Moi aussi, je dois bien reconnaître que j’aime çà. J’aime bien sucer mon homme et le faire exploser dans ma bouche. Ce sexe n’est pas le sien, mais il me procure les mêmes sensations sur ma langue, entre mes lèvres. J’adore ce mélange de douceur de la peau combiné à la dureté, la puissance d’un sexe de mâle en pleine érection. Mes mains s’égarent. La première accompagne ma fellation, mes doigts glissent sur la tige au rythme de mes lèvres tandis que mon autre main part vers ses bourses que je saisis pour les presser doucement.
Ahhhhhhhhhhhhhhhhh. Tu fais çà trop bien. Je vais jouir si tu continues. Je vais jouir.
Paul sans s’en rendre compte, s’est mis à me tutoyer. Il est vrai qu’avec sa queue dans ma bouche, comment pourrait-il en être autrement.
J’accélère mes aller-et-retours, ma salive coule sur mes doigts pour mieux les faire glisser sur la hampe qui n’en peut plus de vibrer et se contracter de plus en plus rapidement. Il va lâcher prise, s’abandonner. Ses jambes se tendent, son ventre, ses abdominaux durcissent en même temps que sa queue se raidit. Il est à ma merci, me supplie de ralentir en me prévenant qu’il va jouir mais je n’en ai cure. Une folle envie de sperme m’envahit, j’en ressens le goût dans ma bouche avant même qu’il ne jouisse. Je sollicite son anus avec un de mes doigts. C’en est trop. Il explose bruyamment.
Ahhhhhhhhhhhhhhhhhhh. Ouiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiii. Ouiiiiiiiiiiiiiiiiiiiii. Je jouiiiiiiiiiiiiiiiiiiiis.
La verge se tend. Une première giclée frappe mon palais. J’hésite, il est déjà trop tard, une deuxième la rejoint, le sperme m’envahit la langue. Je déglutis sans plus réfléchir car la troisième arrive. Il me déverse une incroyable quantité de sa semence. Mon homme ne m’en a jamais autant donné même au début de notre mariage. J’ai du mal à tout avaler mais je ne m’avoue pas vaincue. Je déglutis encore et encore jusqu’à ce qu’enfin la source se tarisse cinq ou six giclées plus tard. Le calme revient doucement. Je le nettoie, lèche les dernières gouttes en soutenant son regard, ses yeux dans les miens, un long moment quand il se redresse, repu. Je m’essuie négligemment le coin des lèvres du revers de la main ce qui le fait sourire.
Ça vous a plu ?
Il en a de la chance votre mari.
Je repense tout à coup à lui. A lui que je viens de tromper en laissant un autre homme que lui se répandre dans ma bouche. Je me lève pour m’enfuir précipitamment dans la salle de bains reprendre mes esprits et faire le point sur ce qui vient de se passer. Je passe de l’eau sur mon visage puis me regarde dans la glace. Je m’en veux d’avoir accepté ce marché. Ça y est, le pas a été franchi, je suis devenue une pute, une fille que l’on paie pour obtenir ses faveurs.
Paul a senti qu’il fallait mieux me laisser seule quelques instants. Quand je ressors, il est parti. Un petit mot est posé sur la table à côté de mon sac à main.
Merci pour cet agréable moment. J’ose espérer qu’il ne sera pas le dernier. A ce soir, j’ai plusieurs séances de travail après mon rendez-vous de début d’après-midi.
Je rentre à ma chambre pour y prendre un bain et me reposer un peu. Le décalage horaire me joue des tours. Je passe l’après-midi dans les nombreux magasins de centre ville à flâner et faire quelques achats. Il est déjà temps de rentrer.
Lorsque j’arrive à l’hôtel, Paul vient juste de rentrer. Je découvre juste avant de me déshabiller pour me glisser dans mon bain, un magnifique bouquet de roses rouges avec sa carte. Il me rejoint dans ma chambre alors que je me prélasse dans la baignoire au milieu des effluves d’huiles essentielles. J’avais bien sûr laisser la porte de communication ouverte. Il ne me l’avait pas demandé mais je suis censée être disponible alors…
Il pénètre dans la salle de bain comme si nous étions un couple. Ne lui avais-je pas demander de ne pas prendre de gants avec moi. Il me regarde, me détaille même. Son regard semble apprécier ce qu’il voit et d’ailleurs il me le dit sans détour.
Vous êtes vraiment très belle. J’aurais beaucoup aimé vous rencontrer dans d’autres circonstances.
Je suis flattée mais ce qu’il me dit me trouble. Je suis troublée malgré moi des petites attentions qu’il a, à mon égard alors qu’il pourrait très bien me sauter vite fait à chaque fois qu’il en a envie.
Il tombe sa veste, remontre ses manches et entreprend de me masser la nuque, les épaules. Ses mains courent sur ma peau, la sensation est agréable. Je ferme les yeux pour mieux apprécier. Je ne peux m’empêcher de lui dire :
Hummmmmmmm. C’est très agréable. Merci.
Encouragé, il s’occupe maintenant de mes bras, frôle mes seins qui réagissent aussitôt. Je me laisse aller petit à petit. Il est patient, ne me brusque pas et j’apprécie. Mes mamelons se contractent faisant pointer mes tétons hors de l’eau. Il insiste. Je laisse échapper un petit gémissement de plaisir. Je sens ses doigts sur le bout de mes seins, ils malaxent les tétons, les pincent doucement. C’est une caresse qui me fait mouiller instantanément. Des picotements familiers envahissent le bas de mon ventre. Je ne réagis pas quand je sens ses doigts descendre pour le caresser. Ils progressent encore pour arriver à la fourche de mes cuisses. Il me souffle au creux de l’oreille :
Écartes.
Le mâle est de retour. Le ton de sa voix est sans appel. Je suis bien obligée d’admettre que ça m’excite. J’ouvre mes cuisses. Ses doigts trouvent rapidement ma fente, glissent entre mes lèvres, les écartent doucement. Un doigt joue dans l’entrée de ma vulve. Je le laisse faire docilement. Il me pénètre doucement sans aucune brutalité. J’apprécie qu’il n’agisse pas comme en terrain conquis bien qu’il soit en train de marquer de son empreinte son territoire. Il ressort, descend vers mon anus, sans doute pour me tester. Je ne bronches pas. Il revient vers ma fente, trouve mon clitoris qui commence à durcir rapidement. Je soupire doucement pour lui faire comprendre que j’apprécierais qu’il s’en occupe plus longuement. Il comprend le message et se met à me masturber tantôt en titillant mon bouton, tantôt en le faisant rouler sous son doigt. Je gémis doucement, me laisse glisser un peu plus dans le fonds de la baignoire pour écarter mes jambes le plus largement possible. Son autre main rejoint la première, un doigt puis deux me pénètrent profondément puis se replient pour gratter mon point sensible. Il sait y faire. Mes gémissements augmentent en intensité. J’ai envie qu’il me mène à la jouissance. Mon corps le lui fait comprendre en allant au-devant de ses doigts. Ma chatte ne m’appartient plus, mon ventre non plus tandis que je sens les spasmes de plaisir dans mon ventre augmenter en fréquence et en intensité. Je vais jouir je ne suis plus qu’un sexe au bord de l’explosion. J’ouvre les yeux juste avant le moment fatidique, il me regarde, nos yeux s’accrochent juste avant que les miens basculent et que je perde toute notion du temps. Une énorme vague m’emporte. Un longue plainte s’échappe de ma gorge. Que c’est bon de jouir, peut importe à ce moment qui en est l’artisan. La tête dans les nuages je savoure les vagues qui déferlent et parcourent mon corps sans en oublier la moindre parcelle. Un long moment plus tard, quand j’ouvre les yeux, il est là à côté de moi, souriant. Il me murmure :
Merci pour cette jouissance. C’est mon plus grand plaisir que de pouvoir faire jouir une femme surtout quand elle est aussi belle que vous en prenant son plaisir.
Je ne m’attendais vraiment pas à tant d’attentions. Je me sens toute bête et me voilà à rougir comme une gamine à son premier rendez-vous. Il m’aide à me lever, m’enveloppe dans un drap de bain et me porte vers mon lit. Je sais qu’il va me prendre maintenant et exercer son droit de cuissage. Je suis prête à l’accueillir dans mon ventre et je dois reconnaître qu’il me plaît avec ses manières hors du temps.
Il me pose sur le lit puis se redresse face à moi. Il me regarde allongée devant lui, ses yeux plongent vers mon intimité, insistent et je comprend à un discret mouvement de ces derniers ce qu’il attend de moi. J’ouvre mes cuisses. Il en veut encore plus. Je cède à ses exigences en soulevant mes jambes pour les replier et les tirer en arrière après les avoir crochetées avec mes coudes au niveau des genoux. Mes exercices d’assouplissement réguliers dans une salle de fitness me permettent des prouesses fort appréciées par mon mari lorsqu’il me le demande. C’est la première fois que je permet à un autre homme que lui de me voir ainsi offerte d’une manière aussi indécente. Ça lui plaît, me sourit tandis qu’il se déshabille en prenant tout son temps, les yeux rivés à ma chatte offerte.
Tu vas me donner ta petite chatte et après, tu vas me faire jouir dans ta bouche et, tu vas tout avaler comme tout à l’heure.
Il me domine et j’aime çà. Je me découvre des prédispositions à la soumission. Sa queue se dresse contre son ventre, majestueuse, il se la caresse, fait coulisser sa main sur la hampe à plusieurs reprises avant de s’agenouiller devant moi.
Tu mouilles. T’as envie de ma queue on dirait.
Je ne réponds pas, me contentant d’ouvrir un peu plus ma chatte en mettant en action les muscles de mon ventre. Je sais combien c’est excitant pour un homme lorsque je fais ces exercices de contraction des muscles de mon vagin. Je dégage une de mes mains pour glisser un de mes doigts dans l’entrée. Je suis trempée, que dis-je, inondée.
Il pose son sexe devant mon trou, y fait entrer juste le gland, s’arrête. Je lève les yeux vers lui.
Demandes-moi de t’enfiler. De te la mettre. Je sais que tu en as envie.
C’est vrai. Ce n’est plus une obligation qui m’anime. J’ai envie qu’il me tringle, qu’il me possède et qu’il me fasse jouir encore. De toute manière, mon mari ne saura jamais que ce que je voudrais bien lui dire de ce qui s’est passé pendant ce séjour que sa conduite m’a obligé à accepter.
Mettez-là moi. J’ai envie de votre queue dans mon ventre. Vous m’avez fait jouir mais j’en veux encore.
Oui, c’est bien. Lâches-toi. Lâches-toi et tu ne le regretteras pas.
Arrêtez de parler. Allez-y je suis prête. Mettez-là moi bien profond.
Le mâle jubile. Il sait que je serais son esclave sexuel pendant toute cette semaine avec lui. D’un coup de reins, il s’enfonce en moi, son gland progresse facilement entre mes chairs intimes m’arrachant au passage un long gémissement de plaisir. Il arrive en butée contre ma matrice, je sens contre mes fesses, ses bourses bien pleines de cette semence avec laquelle j’ai déjà fait connaissance. Je m’excite en pensant qu’il va bientôt me remplir la chatte de tout son foutre et qu’il en sera ainsi pendant plusieurs jours. Il me tient par les cuisses, son autre main sur mon bas-ventre, son pouce part à la recherche de mon clito. Il est gros, je le sens bien envahir mon fourreau pour s’imposer dans mon ventre. Je suis à lui. Il a fait de moi sa femelle. Une folle envie de jouir encore m’envahit.
– Plus fort. Baisez-moi Paul, faites-moi jouir.
L’homme m’assène de véritables coups de boutoir. Tout l’intérieur de mon ventre vibre sous l’assaut. Je lui crie de ne pas arrêter, que c’est bon de sentir sa grosse bite me défoncer. Son pouce trouve enfin mon bouton à jouir. Il le fait rouler avant de le prendre entre deux de ses doigts. C’en est trop. Un nouvel orgasme m’emporte. Je jouis en criant mon bonheur.
– Oh ouiiiiiiiiiiiiiiiiii. Ouiiiiiiiiiiiiii. Je jouiiiiiiiiiiiiiiis.
En pleine orgasme, je le sens me retourner sur le ventre.
– A ton cul maintenant. Donnes-moi tes fesses !!
J’hésite, il est gros. Une claque s’abat sur mon postérieur.
– Donnes-moi ton cul !
Je soulève mon arrière-train. Aussitôt un doigt s’engage dans ma rosette. Il me lime quelques secondes avant qu’un deuxième ne le rejoigne. Il me fait un peu mal mais j’aime sa domination. Il me prépare à la sodomie. J’écarte mes deux globes avec mes mains.
– Tu vas voir comme tu vas adorer de te faire enculer.
Je sens déjà sur mon anus le contact de son gland. Ma rosette s’ouvre quand il appuie de tout son poids. Il s’enfonce rapidement, une douleur fulgurante me transperce l’anus. Instinctivement j’essaie d’échapper à la saillie mais il me retient. Une nouvelle claque s’abat sur une de mes fesses.
– Ne bouges pas. Écartes tes fesses et pousses comme il faut.
J’obéis en séparant mes deux globes à deux mains. Il ressort, enduit mon anus et son gland de salive puis le repose dans l’ouverture.
Allez pousses maintenant.
Je pousse et d’un coup, la bite s’enfonce dans mes chairs. Mes sphincters cèdent, il est en moi jusqu’aux couilles. La douleur est intense, je mords à pleines dents l’oreiller pour ne pas crier. Heureusement il reste sans bouger. Je m’habitue vite à son imposante présence.
Trop bon ton petit cul bien serré. Je vais jouir maintenant.
Paul me tient par les hanches et commence à bouger doucement. La douleur revient. J’ai l’impression qu’il va m’arracher l’anus. Je gémis. Il s’arrête, revient, ressort encore doucement. Ça me fait moins mal. Je le sens rajouter de la salive autour de sa verge et sur les bords de ma corolle. Il s’enfonce encore. Je gémis encore mais cette fois-ci la douleur est beaucoup moins vive, c’est une autre sensation de plénitude entre mes reins qui me submerge. J’accepte la souffrance, j’en ai envie même, sans doute l’excitation d’assumer mon statut tout récent de call-girl. Je creuse mes reins, la bite me pourfends, je ne sais plus qui de la douleur ou qui du plaisir est le plus fort. Les mots me manquent pour décrire ce que je ressens, l’air aussi d’ailleurs, l’air que j’aspire à pleins poumons.
Les sensations sont tellement fortes, décuplées par cette situation où moi, une femme normale, rangée et jusqu’à présent fidèle, je me retrouve en train de me faire sodomiser en levrette pour de l’argent, par un homme auquel je n’avais jamais prêté la moindre attention. C’est complètement dément. Tous mes principes ont volé en éclats en quelques jours et en plus, j’aime çà. J’aimee ce que je suis en train de faire, ça m’excite, ça m’excite tellement fort que j’en jouis.
Je sens l’homme entre mes fesses s’emballer, il arrive au bout du voyage, sa queue grossit encore, ses coups sont plus puissants, plus rapprochés, il va jouir, se vider les couilles et remplir mes intestins de son jus d’homme. La simple évocation de son éjaculation imminente dans cet endroit intime que seul mon mari avait eu le droit de visiter jusqu’à présent, me fait exploser.
Aaaaaaaaaaaaaahhhhh.
Je me ramasse sur moi-même, tous mes muscles se tétanisent, la jouissance m’emporte. Les vagues de plaisir se succèdent, irradient mon corps avant de prendre possession de ma tête pour l’occuper toute entière. Je jouis. Je jouis et c’est bon. Je me laisse porter par les endorphines qui se répandent en moi. Plus rien n’existe, plus rien ne compte, juste cette sensation de plénitude incomparable crée par l’orgasme. Mon amant ne résiste pas au spectacle de la femme en train de jouir. Il explose bruyamment à son tour. Je le sens comme dans un rêve me saisir plus fermement aux hanches puis les spasmes de son vit dans mon anus tandis qu’il éjacule au plus profonds de mes fesses. Les forces m’abandonnent, la tête me tourne, c’est trop fort, trop puissant. Je me laisse retomber sur ma couche, épuisée, vidée. Je ne sais combien de temps s’est écoulé lorsque j’ouvre les yeux. Nous sommes toujours accouplés. Paul est allongé contre moi, en chien de fusil. Il me caresse doucement, ses mains parcourent mon corps, les sensations sont agréables. Je ne peux m’empêcher de pousser un discret soupir de contentement.
Merci. C’était………parfait !
Je ne réponds pas tout de suite, la tête encore dans les nuages, puis sans réfléchir :
Je suis ici pour çà non ?
C’est vrai mais, ça pourrait ne pas se passer aussi bien et puis…
Et puis ?
Et puis, je prends deux fois plus de plaisir quand ma partenaire est aussi douée pour le plaisir que vous l’êtes.
Vous me flattez ou c’est juste comme çà ?
Non, non, c’est sincère. Vous m’excitez et j’ose espérer que vous aussi, vous saurez tirer le meilleur de ce séjour avec moi.
Sur ces mots, il dépose un baiser sur mon épaule et se retire doucement de mes reins. Un grand vide se fait sentir tandis qu’il se lève et s’en va vers ses appartements en me demandant de me préparer car nous étions invités à manger avec un de ses clients.

Le soir même, comme il me l’avait demandé, j’accompagne Paul dans un restaurant très médiatique de Sydney implanté dans une tour dominant la ville. La vue est magnifique, je vis des moments que ne n’aurais jamais imaginé malgré le bon niveau de vie que j’avais avec mon mari.
Je ne maitrise pas très bien l’anglais mais je comprends néanmoins que Paul me présente comme une de ses collaboratrices de l’ombre chargée de donner un avis souvent avisé sur sa décision finale bref, je deviens quelqu’un de relativement important aux yeux de ses interlocuteurs. Ainsi durant notre séjour, j’assiste ainsi à plusieurs déjeuners dans des lieux qu’il ne m’aurait jamais été possible de voir sans ce deal surréaliste.
Paul m’apparaît comme quelqu’un de charmant et apprécié par ses clients ou futurs clients. A deux ou trois reprises, on me fait des avances discrètes que je rejette tout aussi discrètement. Le séjour se passe comme dans un rêve.
Paul me fait l’amour jusqu’à trois fois dans la journée ou me demande de le détendre avec une petite gâterie qu’il apprécie de plus en plus. Je dois avouer que non seulement je me suis habituée à le laisser me posséder à chaque fois qu’il en a envie, mais surtout il me fait énormément jouir. Il sait y faire avec les femmes. J’en suis même à m’étonner qu’il ait eu recours à ce chantage pour emmener une femme avec lui au bout du monde. Les trois derniers jours, il reste carrément dormir avec moi dans ma chambre comme si nous étions un couple légitime. Je sens que notre relation est en train de basculer et je ne sais pas trop comment réagir. Je suis en train de devenir clairement sa maîtresse. Cela se confirme lorsqu’en rentrant de son dernier rendez-vous on ne peut plus satisfait, il me propose de fêter çà, prétextant vouloir me faire plaisir car c’était aussi grâce à moi qu’il avait pu concrétiser sur le papier ce pour quoi il était venu.
J’apprends alors qu’il se propose de repousser notre retour de cinq jours pour me faire découvrir la Gold Coast, un coin paradisiaque pour la citadine que je suis. Je sais que je ne reviendrais jamais plus dans ce pays du bout du monde et toute manière, mon infidélité a été consommée depuis longtemps aussi, j’accepte sa proposition.
Le soir-même, je reçois un appel de mon mari qui a été prévenu par la secrétaire de son patron. Celle-ci lui a communiqué le nom de l’hôtel où nous nous trouvions. Il est furieux de ce prolongement de séjour et me demande des explications. Paul qui vient de rentrer dans mon appartement, comprends vite ce qui se passe. Il vient derrière moi et commence à me caresser tout en me déshabillant. J’essaie de le repousser mais rien n’y fait d’autant que j’essaie de rester discrète afin de ne pas heurter mon mari plus qu’il ne l’est déjà. Je me retrouve vite complètement nue tandis qu’il me soulève dans ses bras pour me poser sur le lit à sa merci. Je le supplie du regard de ne pas faire ce qu’il a en tête mais il n’en tient aucun compte. Déjà il écarte mes jambes et plonge sa tête vers mon entrejambe. Sa bouche, ses lèvres, sa langue ne tardent pas à me faire mouiller. Il me pénètre de la langue et des doigts. Mon clitoris est léché, sucé tant et si bien que le plaisir monte malgré moi dans mes reins. J’essaie de ne rien laisser paraître mais mon mari se rends compte malgré tout que je ne suis pas dans mon état normal. Il finit par me demander ce qui se passe, insiste si bien qu’à bout d’arguments je finis par lui dire que Paul était en train de me baiser lorsqu’il a appelé et qu’il n’a pas l’intention d’arrêter pour lui. Je lui dis que j’allais raccrocher pour le rappeler un peu plus tard mais à mon grand étonnement, il me demande de rester en ligne. Je lui rétorque qu’il était fou, que ça ne pouvait que lui faire du mal et là, il m’avoue que ça l’excite de savoir qu’un autre homme est sur le point de me baiser alors que je lui parle au téléphone. Je tombe des nues mais je réalise alors que moi aussi, cette situation hors du commun m’excite et sans plus me poser de question je lui demande d’une voix assez forte pour que Paul m’entende :
– C’est vrai, ça t’excite ? Tu veux que je te raconte ce qu’il me fait ? C’est çà ?
Mon mari me réponds que oui. Qu’il voulait que je lui dise ce qu’il était en train de me faire. J’entends distinctement au son de sa voix qu’il est effectivement excité, sa respiration s’accélère, si ça se trouve il est en train de se masturber.
– Tu te caresses ?
– Oui, ça me fait mal mais en même temps ça m’excite.
– Tu veux vraiment que je te dise qu’il est en train de me lécher la chatte. Il m’a fait écarter les jambes pour les replier sur ma poitrine pour mieux me sucer le bouton.
– Aaaaaaaahhh salope. Tu vas me le payer lorsque tu vas rentrer.
– Il me tète le bouton et….. m’a mis deux doigts dans la chatte. C’est bon tu sais. Il fait ça super bien.
– Il t’a fait jouir ?
– Oui, à chaque fois, je jouis.
– Tu l’as laissé te prendre par derrière ?
– Oui, il me sodomise presque tous les jours depuis notre arrivée.
– Et tu aimes çà ?
– Il me fait jouir. C’est vraiment bon.
– Et là, qu’est-ce qu’il te fait ?
– Il s’est redressé. Il est à genoux entre mes cuisses. Il me montre sa grosse queue. Elle est plus grosse que la tienne. Il la pose dans l’entrée de mon chaton. Il va me la mettre. Ça t’excite. C’est ça que tu veux. Tu veux qu’il me la mette bien profonds ?
– Oui. Ouiiiiiiiiiiiiiiiii. Dis-moi quand il s’enfonce en toi.
– Ça y est. Son gland s’enfonce doucement. Il écarte mes chairs. Il est gros. Il me défonce le chaton tellement c’est gros.
J’aime sa grosse queue. Elle me fait du bien dans la chatoune.
– J’aurais jamais cru t’entendre me dire çà un jour.
– Et ça te plaît ?
– Non, ça ne plaît pas mais ça m’excite par contre. T’es vraiment une petite salope qui m’a bien caché son jeu jusqu’à présent.
– A qui la faute ? C’est pas à cause de toi que j’en suis arrivée là ?
– Si bien sûr.
– Assumes alors. Et écoutes ta femme en train de se faire baiser.
Mon mari gémit de plus en plus fort. Il ne va pas tenir jusqu’à ce que je jouisse moi-même. J’en rajoute. Je pousse à mon tour des gémissements de femelle en rut en encourageant mon amant à me tringler plus fort. Quand il ressort pour poser son gland sur ma rondelle. Je l’encourage encore :
– Oh ouiiiiiiiii. Mets-là moi par là aussi. Encules-moi.
J’utilise sciemment des mots crus, orduriers que mon mari n’a pas l’habitude de m’entendre prononcer. Il n’en peut plus, souffle comme un phoque, au bord de l’apoplexie. Finalement il se met à jouir en poussant un long cri rauque sorti du fin fonds de sa gorge. Il m’insulte une dernière fois, me dit qu’il m’aime, qu’il ne savait pas m’aimer autant puis raccroche.
Pendant ce temps, Paul m’ouvre les fesses à grands coups de reins. Il va jouir lui aussi, une de mes mains glisse vers mon entrejambe pour s’attaquer à mon clito. Deux à trois pressions suffisent à me faire partir tant l’excitation a été intense. Je crie ma jouissance en entrainant avec moi, mon amant qui se plante au plus profonds de mon arrière-train en me tenant solidement par les hanches. C’est trop bon de se faire enfiler comme çà, à la hussarde. Nous nous laissons retomber sur mon lit, à plat ventre, soudés l’un à l’autre, épuisés, repus de plaisir.
Un long moment se passe avant que Paul ne se redresse. Il sort de moi puis m’embrasse dans le cou avant de m’abandonner en me caressant l’arrière train avec un air particulièrement satisfait.
– Hummmmmm, je l’adore ce petit cul musclé. Merci ma chère pour cet agréable moment.
Je suis épuisée, il m’a vidée. Ce mec est vraiment ce qu’on appelle un excellent coup entre nanas. Je reste un long moment amorphe, les bras en croix sur le grand lit, offerte. Je me demande ce qui m’a pris d’entrer dans ce jeu cruel il est vrai mais tellement excitant.
Le reste du séjour se passe sans autre incident. Mon mari sans doute très affecté après coup par ce qu’il avait entendu, n’a plus tenté de me joindre. Le conte de fée se poursuit sans anicroche mais lorsque nous ré-embarquons dans l’avion pour le retour, je ne me peux alors m’empêcher de penser au moment où nous serons face à face, mon mari et moi.

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