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Un gode monstrueusement jouissif

Un gode monstrueusement jouissif



Alain me demande de venir à son travail pour lui donner un coup de main sur un épineux problème informatique. Avec plaisir je m’y rends. Le problème résolu, Alain me dit :
« Michèle, Je vais abuser de toi mais Ben aurait besoin d’un coup de main pour l’inventaire des stock dans le hangar. »
Dubitative je lui réponds :
« Mouai….. Si c’est pour me faire sauter devant des caméras comme la dernière foi non merci ! »
« Non non ! Mais tu vois ou ça nous mène ce retard d’inventaire ? C’a entraîne plein de bug informatique. »
« Ok ! Mais c’est vraiment pour te faire plaisir et ter rendre service. »
Je ne peux rien lui refuser et nous voilà parti vers le hangar. Malgré moi, je me rappelle l’orgie que nous avions un peu déclencher avec Sofia dans ce grand hall. Tout en marchant, Alain me pelote les fesses en me disant :
« Tu es magnifique ma chérie. Je te sauterai bien sur place tellement tu me fait bander ! »
Je savoure ses parole et ne dit rien mais je sens mon minou s’humidifier. Alain me connais bien et insiste :
« Je suis sur que tu es entrain de fantasmer sur Ben et les autres quand ils te tronchaient dans le hangar. »
Agacée, je lui lance :
« Oui… Et alors ? Toi tu t’es bien fait plaisir aussi à regarder les vidéos ! Et tu t’es fait un max de fric avec ! »

Arrivés dans le hall de stocage, Ben nous accueil jovialement et m’embrasse sur la bouche en me roulant une pelle gourmande à laquelle je répond avec plaisir.
« Michèle c’est super sympa de passerme voir ! »
Alain me coupe la parole pour lui dire :
« Elle a insister pour venir te donner un coup de main pour l’inventaire. »
« C’est chouette ! C’est trop gentil Michèle. Justement, tu tombe bien. Regarde ce que j’ai trouvé ! »
Il sort d’une boîte un énorme godemiché qu’il me brandit sous le nez. J’ai un mouvement de recule et il me dit :
« Toi qui est une connaisseuse, prends le et dis moi ce que tu en penses. »
Me voyant un peu fébrile devant l’objet, mon mari m’encourage à m’en saisir. Je suis impressionnée par le ressentit au contacte de mes doigts. Ce gode offre une souplesse remarquable. Au touché, ça donne l’impression qu’il s’agit d’une peau véritable. Les veines, avec les creux et les bosses ajoutent du pipent à la réalité de l’olisbos. Je ne vous parle pas de la taille hors norme de l’engin. Il fait au moins trente centimètres de long et il faut mes deux mains pour en faire le tour. Je reste sans voix et je sens des fourmillements bien connu qui bouillonnent dans mon ventre. Alain dit à Ben :
« T’a dégoté un sacré truc là ! Mais ça ne remplace pas une bite vivante ! »
Ben sourit et lui répond :
« Oui ça c’est certain. Mais manié avec dextérité et avec deux homme pour compléter la chose, je suis convaincu que Michèle y prendrait un plaisir fou ! »
Sans attendre mon avis, Alain lui dit :
« On pourrait l’essayer. Michèle, penche-toi ! »
« Attend Alain on va mettre du lubrifiant ! »
« Non pas la peine je suis sûre qu’elle mouille déjà abondamment ! »
Je m’insurge pour la forme et me penche en écartant les jambe bien trop contente d’essayer ce truc devant eux.
Ben vérifie que mon vagin est bien trempé et me prépare en jouant de ses doigts et en me fouillant allégrement. Je ne peux retenir un gémissement de plaisir et frissonne en pensant à ce qui va suivre. Il retire sa main et c’est mon mari qui pose le gland de siliconne de l’énorme engin à l’entrée de mon vestibule vaginale. Il le fait glisser lentement de mon vagin à ma rosette, pour ensuite le frotter sur mon clito dardé comme un petit sexe. J’ondule de la croupe en émettant des feulement de chatte en chaleur. J’ai envie de sentir ce gros gros investir ma chatte et ces préliminaires me semble une éternité. Puis c’est Ben qui prend les commandes. Le gros bout noir écarte mes petites lèvres. Il le fait pénétrer de quelques centimètres dans ma vulve en forçant un peu. Je pousse un petit cri de surprise tant le truc est monstrueux. Je suis prête pour cette pénétration, mais il retire le phallus factice et me caresse la fente en titillant mon clitoris. C’est très agréable mais je suis un peu frustrée de na pas découvrir les sensation de ce gros gode noir dans ma chatte dégoulinante de désir. Malgré tout je le laisse faire car ce petit jeu m’excite de plus en plus et joue avec mes nerfs. Alain me regarde me pâmer et profite d’un moment où j’ouvre grand la bouche pour y mettre zob. La situation est certainement d’un érotisme fou. J’ai les mains appuyées sur un bureau, le bassin bien cambré à subir les attouchement de Ben et Alain qui me fourre la bouche fait doucement balancer mes seins libre dans le vide. N’y tenant plus, me dégageant momentanément de la verge de mon mari, je cris presque à Ben :
« Bon sang ! Mais enfonce-le-moi, je t’en conjure ! Fourre le moi dans la chatte ! »
Alors qu’Alain me refourre son vit au fond de ma gorge, Ben cette foi me pénètre sans ménagement et sans douceur avec le gros olisbos noir. Il est si gros que j’ai peur d’être déchirée par un tel engin. Mais heureusement mon vagin est très lubrifié et d’une souplesse à toute épreuve. Ben commence aussitôt des allers et retours mepourfendant avec vigueur. A chaque coup de boutoir, la bite d’Alain frappe le fond de ma gorge. Des larmes coulent sur mes joues et j’en ai des haut le cœur malgré mon habitude de ces pratiques.
L’ambiance est particulière dans ce hall où nos cris résonnent en écho.
Défoncée par le gode et la bouche fourrée par Alain je sens une vague de plaisir m’envahir quand j’entends une voix courroucée dire :
« Et bien !!! C’est à ça que je vous paye ? »
Je sens mes joues s’empourprer. D’autant que je savais ce don il était capable et que sa réputation de chaud lapin n’était pas une illusion.
Il s’approche de nous. Mais les deux mâle qui s’occupe de moi continuent leurs activités sans aucune gêne devant le boss. Une montée de pudeur m’envahit et je suis tétanisée. Son regard ne quitte pas mes seins qui ballottent sous les saillis. Malgré une certaine honte d’être découverte dans cette fâcheuse posture, je désire au fond de moi que le boss vienne aussi s’occuper de moi. Je sens ma cyprine couler le long de mes cuisses largement ouverte. Le patron se met à me malaxer les seins. Puis de ses lèvres il butine mes mamelons. Ses dents mordillent délicieusement mes téton dardés. C’est à ce moment là que Ben choisit de me sodomiser. J’ai la sensation d’être remplie comme jamais et un pensée va vers Sofia que j’avais vu se faire enculer par deux grosses queues de black.
Ces trois mâles qui abuse de moi me rende folle de plaisir.
« Putain qu’elle est bonne ta femme Alain ! Retire toi que j’essaye sa bouche ! »
Mon mari obéi à son patron et la queue du boss vient remplencer cel de mon homme. J’en profite pour encouager Ben :
«  Vas-y, mets moi le gode et ta queue à fond ! Défonce moi bien !!! »
Ben ayant du mal à m’enculer et de manier l’énorme phallus, Alain se fait un malin plaisir à prendre le relais et se met à manier l’olisbos avec dextérité. Je perd la notion du temps. Je me retrouvais au centre d’un volcan éruptif prête à exploser. Les hommes de concert m’insultent et me traite de tout les noms. Ca ne fait qu’exacerber mon plaisir.
« Salope, grosse pute ! »
« T’es un vrai garage à bites ! »
« T’es une vide couilles de première grosse chienne ! »
J’explose alors dans un orgasme impressionnant. Son patron se lâche au fond de ma gorge en exultant :
« Avale grosse pute ! »
Je déglutis tant bien que mal toujours secouée par Ben et le gros manche manié par mon mari.
Ben n’en peut plus et crache son venin au trèfond de mon cul dans un grognement bestial. Alain lâche le gros gode et vient éjaculer sur mon viage et fourre sa bite dans ma bouche en lançant :
« Nettoie ma queue salope ! »
Terminant de déverser son sperme dans mes fesses, Ben eléve brutalement le gros gode de ma chatte faisant jaillir un flot de cyprine par mon vagin dilaté. Je hurle de surprise et de jouissance quand ben à son tour vient se faire nettoyer sa verge souillée.
Aprés cet inventaire dantesque, je suis anéantie et dans un état pitoyable. Les trois hommes délicatement m’emmène dans les douche et prennent un tel soin à me laver que je joui une foi de plus.
Que j’aime donner un coup de min à mon mari.

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