Après l’amour, le sexe
Aimer
Lisa le regarde dans les yeux, elle vient de succomber une fois de plus, en lui donnant un long baiser….
Allongée sur le dos, cuisses repliées, elle se laisse faire…
Après l’avoir déshabillée, il descend sa culote, jusqu’aux chevilles et l’aide à s’en défaire, d’un sourire.
Il se glisse entre ses cuisses, nu. Il la contemple…
Il va la pénétrer tendrement, après avoir léché sa vulve intensément, c’est ce qu’elle aime, sentir sa langue chaude fouiller son intimité, tourner autour de son clitoris, là elle sait qu’elle se sentira partir, sans réfléchir, comme si son corps s’ouvrait à lui, lui obéissait, et qu’elle assistait à la scène…
La langue continue sa ronde, entre presque dans son vagin détrempé, les lèvres innocentes, luisantes de salive… Il la prépare avec tendresse….
Rémy est un bon amant, elle aime sa façon de faire, de progresser dans l’intensité et comme toujours, il lui présentera sa verge pour un échange de bon procédé…
Elle le suce un moment, tranquillement, surveillant qu’il ne soit pas sur le point de se laisser aller… Elle sait qu’il grognerait, c’est déjà arrivé…
Mais non, elle mène sa caresse à terme, il a suffisamment profité, en caressant ses seins…
Elle reprend sa place, au milieu du lit, remonte un peu pour lui faire de la place, il se met en position, le sexe droit, tendu… Il prend appui sur ses bras…
En le voyant, elle sent les picotements caractéristiques dans son ventre et lorsque le sexe la touche, presque au bon endroit, elle soupire, monte ses bras derrière la tête, croise les doigts, monte son bassin vers lui en s’écartelant…
Elle le sent arriver, ouvrir ses petites lèvres en remontant dans sa vallée… et la magie opère, le gland ouvre sa porte, c’est délicieux, elle tremble de désir, comme pour saluer son arrivée…
– Oh ! Oui… Viens !… Que c’est bon !… Prends-moi… J’ai envie de toi, je t’aime…
La verge fait son passage, écarte la paroi vaginale, en plusieurs fois, elle prend tout l’espace, elle jouit, quand il reste au fond d’elle, tapi dans son plaisir…
Il la prend tendrement, sans à-coups, parfois il cherche ses yeux, elle lui sourit, ravie, belle comme un cœur avec ses cheveux entourant son visage…
Il accélère un peu, quelques coups de reins plus appuyés…
Elle soupire, se crispant en serrant ses doigts…
D’autres fois, elle gémit doucement, feule son plaisir avec de doux « Heu » infinis, modulés, très sensuels, qui lui donnent envie de la prendre plus fort pendant un moment…
Elle sent une onde arriver, la submerger, elle jouit de nouveau, plus profondément, plus intensément…
Puis il revient à sa cadence…
Elle ouvre ses cuisses et l’enserre avec ses jambes…
Elle devient un puits de tendresse, il prend son pied en la pourfendant…
C’est le moment de changer de posture, il aime la prendre en levrette.
Elle se met en position, sans parler, sans un regard, le visage enfoui entre ses bras…
Il la reprit…
Que c’est bon de s’enfoncer dans ce fourreau détrempé, il va et vient en la tenant par les hanches, et ressent son plaisir à elle, autant que le sien, cette moiteur indicible, cette tiédeur, cette infinie douceur qui créé un étui dans lequel il jouit en se retenant…
Elle se remet à gémir, plus fort, parfois elle se lâche avec des mots crus, sans suite, se traitant de noms d’oiseaux ou gémissant un orgasme plus intense, elle écarte ses fesses avec ses mains pour qu’il vienne taper contre elle, qu’elle le sente au plus profond…
– Plus fort… Viens !… Encore… Je t’ouvre ma chatte… Baise-moi… Baise ta chienne !
Alors il attend le moment…
Il se retient, elle lui donne le top du final, il la prend avec fougue, sentant son sexe se contracter, se raidir, son ventre expulser sa semence, à travers son membre plongé en elle…
Il rage parfois, puis retombe sur elle, l’écrasant de son poids, elle le reçoit en fermant les yeux, où perlent quelques larmes, gardant son plaisir secret, cette plénitude qui l’envahit, elle ressent son corps se détendre, l’acte terminé.
Elle vient de jouir une dernière fois d’une façon intense, en recevant sa semence, elle peut jouer son rôle de futur mère, béate, le sexe détrempé de sperme…
Faire l’amour est vital pour elle, elle se sent femme, comblée, aimée, parfois leurs lèvres se joignent, ils s’enlacent et s’endorment…
Elle écoute la pluie qui cingle la baie vitrée, qui éclate en autant de perles brillantes, sous la lumière de la rue, déchirant l’obscurité de la chambre…
Il se tourne vers elle en dormant, il la cherche par réflexe…
Elle est heureuse.
Lisa est célibataire, 28 ans, elle vient de terminer ses études de droit et pour son premier emploi, elle est entrée dans la plus grande banque de la région.
Elle a assuré son avenir plus que son plaisir, car en 10 ans, elle n’a eu qu’une dizaine d’amants, dont seuls trois ont compté, quelques flirts en soirées arrosées, des propositions indécentes, des occasions gâchées, une mise en train somme toute idéale pour maintenant pouvoir choisir et se ratt****r…
Rémy est ingénieur, 30 ans, célibataire par choix, il s’en va très souvent aux 4 coins du monde faire des expériences, des tests en situation, de trains à grande vitesse…
Oui, son domaine, la vitesse, il passe ses soirées à refaire ses calculs, puis il pense à moi, et voilà le résultat…
Il dort…
Je l’ai connu dans un bar, il prenait son café tous les matins, j’y prenais le mien…
Sourires, invitation pour le midi suivant, j’étais libre, lui aussi…
L’après-midi même, il était dans mon lit, expresso matin, express à midi, expression corporelle ensuite, on en riait encore après cette première fois, étreinte par tout son corps, j’ai joui à merveille, je le notais dans les meilleurs…
C’était il y a deux ans.
On n’habite pas ensemble, il reste ici parfois, tout le week-end.
N’importe comment, le lundi, il s’en va, et moi je reprends ma vie de célibataire, jusqu’à ce qu’il se manifeste, je ne fais jamais le premier pas…
Là, cela faisait un mois… Il était à Londres…
J’ai deux amies, deux femmes de mon groupe et une de mes années de fac, célibataires aussi, cherchant activement pour l’une, les deux autres, comme moi, avec ma devise, prendre la vie comme elle vient…
Mes amis du sexe fort, sont, soit des ex-amants, mais lorsqu’on se revoit, la passion est passée, reste l’amitié, enfin, moi, je le crois… Les deux ou trois autres, des relations de travail, des garçons en mal d’amour, qui nous servent de gardes du corps…
Ma vie sexuelle est donc remplie modérément, assez pour mon équilibre, et des jours comme aujourd’hui, j’en prends pour le mois suivant…
Ah, oui, j’oubliais, je suis assez ouverte à d’autres expériences, femmes en particulier, mais je ne butine qu’avec la crème, évitant la vulgarité des scènes de rupture, la nuit étant passée…
Non, j’exagère… parfois c’est un peu plus, mais sans vivre ensemble, femme mariée, d’autres en mal de sexe, et autres divorcées, soit toutes les mêmes…
La totalité sans critère d’âge, mais plus autour du mien pour les garçons. Et pour les filles quelques dames venues se divertir, en mal de conquête, agréables expériences en vacances cet été…
Rencontres
Vous avez connu Rémy, une rencontre urbaine, la vie de tous les jours…
Certaines de ces rencontres ont été générées par la réserve de mâles de mon lieu de travail. Les repas de groupe, les formations, les fêtes internes facilitant le rapprochement du personnel…
Bref, rien de bien affolant, des câlins en voiture, des bisous au ciné, des caresses en balade, et seuls deux ou trois ont franchi ma porte, et celle de ma chambre…
Ah, j’oubliais un voisin, lorsque j’ai emménagé, un bon électricien, j’en ai profité…
Sa femme était absente, en ce mois de juillet…
Il m’a branchée aux boîtes aux lettres, je lui ai parlé de ma lampe de chevet récalcitrante, il est venu la voir…
Il m’a éclairée, puis éblouie, je l’ai remercié, j’ai pu voir son anatomie et il a vu la mienne…
Au mois de septembre, après deux mois sans lui, j’ai pris l’ascenseur avec sa femme, elle manquait de sel…
Elle m’a suivie jusque dans ma cuisine pour en prendre un paquet…
J’ai rajouté le poivre, et notre après-midi s’est épicée…
Elle a regardé la lampe dans ma chambre, je l’ai allumée, elle a brillé, j’ai adoré…
Depuis, elle est remontée plusieurs fois, pour recharger ses batteries, me dit-elle…
Son mari lui avait parlé de la nouvelle voisine, qui était très jolie, pas farouche…
Il avait ajouté, par inconscience, que mon intérieur était très accueillant…
Alors elle m’a attendue en bas de l’ascenseur, un jour de RTT, pour se rendre compte par elle-même…
J’adore ces rencontres, entre gens du même monde.
On s’amuse avec les mots, le regard vient les aider, la conversation dérive, les gestes suivent, on se comprend, on se désire, on se déshabille, on fait l’amour, on fait le sexe, on prend le temps, on jouit, on revient sur terre, on se rhabille, se dit au revoir, à demain peut-être…
Le temps passe, change nos routes…
Laurent, lui c’est lors d’une fête au bureau.
Apéritif dans la salle de conférences, lunch traiteur sucré et salé, vins et beaucoup de monde…
On découvre des nouveaux, on rit sous cape, certaines se déhanchent un peu trop, d’autres montrent ce qu’elles ont à offrir, et les plus sobres sont mariées et fidèles… Elles partent les premières…
Quelques danses lorsque les patrons nous ont quittés, des plaisanteries grivoises, on se lâche un peu plus…
On fume à l’extérieur, on revient se réchauffer, puis mes yeux croisent les siens, et la conversation démarre. Il est beau, agréable, vient d’une agence, n’est pas ici souvent…
Mon cœur se serre, dommage, c’est maintenant ou jamais…
On sort prendre le frais, nous ne sommes pas les seuls, la vue est agréable, les lumières sont diffuses, je lui fais visiter mon cadre de travail, un petit jardin, il me prend dans ses bras, pour laisser passer un couple… Nos lèvres se trouvent, le baiser est appuyé, son ventre aussi…
Ce bosquet est idéal, dans un recoin discret, ses mains en profitent… Un banc est occupé…
Les bruits deviennent orgasmiques, soupirs, gémissements, haletants, torrides…
On respecte leur intimité, je m’appuie contre un chêne, il va bien y arriver…
C’est insoutenable, il joue avec mes nerfs, ses doigts ont fait glissé ma culotte !…
Ils me pénètrent, je m’envole, j’ai des ailes…
Le couple à côté atteint les nuages, j’ai aperçu son visage, je la connais… Mais c’est vague…
On change de position, arcboutée contre l’arbre, cuisses écartées, il pousse son dard dans ma chatte en fusion, me baise avec passion, prenant mes seins entre ses paumes…
Je ne peux retenir quelques râles…
Ils nous regardent…
Elle se met à jouir, sans l’ombre d’une gêne…
Il me défonce de plus belle, je jouis à mon tour en entendant les râles, et mes onomatopées ponctuent ses coups de reins…
Au bout de vingt minutes, je n’entendais plus rien, empalée par son dard, Laurent m’a dépoitraillée, et me baise avec fougue, il va me faire crier avec sa bite énorme qui laboure mon sexe…
Il me soulève par les fesses, je me tiens à son cou, je sens qu’il va jouir, je pars avant lui, tremblante et ravie… Je suis rivée à lui…
Doucement, il me relâche… Je touche pieds à terre, je sens couler son jus…
Un mouchoir fait l’affaire, le banc est déserté, dommage, ça me plaisait d’être partagée avec leurs yeux…
De retour dans la salle, je fonce dans les toilettes, me refais un visage, et pare au plus urgent.
Rafraîchie et pimpante, je m’apprête à sortir retrouver mon amant qui doit m’attendre au bar…
Elle se remet du rouge, je suis juste derrière, elle m’aperçoit, se retourne…
Marlène, une ancienne collègue, perdue de vue… Compta ou Commercial ?
Elle me répond Compta, depuis près de 20 ans, je travaille au siège…
On discute un instant…
On s’isole, prenant une table vide, lorsque notre conversation oblique vers des sujets brûlants…
– Ah, oui, Patrick, le commercial avec qui j’ai flirté… Les occases sont rares, et j’aime la rapidité, pif, paf, et aurevoir… Et toi ?
– Un mec d’une agence, Laurent, petit nouveau, mais d’expérience…
– Oh, tu me mets l’eau à la bouche, Lisa… Tu vois je suis coquine… J’aime me faire sauter, sans regarder derrière…
– Là, tu étais à l’aise, sur ton banc, allongée… Nous c’était limite, j’étais en équilibre, lorsqu’il devenait avide…
– Oh, tu es poétesse à tes heures… Mais je t’ai vue, tu aimais ce qu’il te faisait, tu aimes le sexe ?
– Oui, comme toi…
– Tu aimerais le mien ? Maintenant que je suis rassasiée, j’aime l’amour tendresse.
– J’aime tout dans la vie, elle est trop courte pour rater une expérience…
Elle me regarde dans les yeux…
– Tu me plais, Lisa…
– Toi aussi…
Elle n’a pas sa voiture étant venue avec une voisine dans l’après-midi, on n’a pas attendu nos chevaliers d’un soir…
Sitôt dans ma voiture, elle se jette sur moi, toutes lèvres dehors, et ses mains à la suite…
J’écarte mes cuisses et ses doigts font le reste, les miens glissent dans sa culotte, largement entrouverte…
Quelques râles, trois baisers, on coule nos désirs… On flirte avec délice, un peu échevelées…
– Viens, on va chez moi… Tu peux rester un moment ?
– Oui, personne ne m’attend… Et toi ?
– Personne non plus, tout le week-end pour toi…
Nous buvons un jus de pomme délicieux. Elle se raconte…
Elle a divorcé l’an passé, c’est dur de recommencer à zéro, on se sent en faute, on a envie de lui, mais pas comme l’autre…
Elle était trop effacée, trop amoureuse, et lui a concédé un peu trop de liberté…
3 ans de pur bonheur, puis un premier accro, découvert par hasard…
Elle en a fait le constat, face à face, elle la connaissait, il ne l’a pas désavouée, et lui a demandé pardon, que ce n’était que de sa faute, un attrait insensé, un désir de sexe…
Alors elle s’est détachée peu à peu, le ressort était cassé, jusqu’à, un peu comme ce soir, une occasion dans une fête d’entreprise, un peu trop arrosée…
Un tourbillon, de belles têtes, des avances déguisées, un premier contact innocent, puis un corps à corps sur la piste de danse, et l’envie qui revient, qui s’impose, et qui tourne au déshabillage en règle, sur la plage, pour un bain de minuit avec le troisième…
Elle a fini chez lui jusqu’au lendemain midi, pour un crac-crac de rêve…
Son mari a compris, lui non plus n’était pas rentré de la nuit, et pas avec la même…
Ma chambre nous attend, nos habits s’envolent, et nues, enlacées, nous reprenons nos rôles…
Sa chatte est toute rose, un délice tout rasé, des seins en forme de poire, un ventre très léger, elle fait du sport en salle, et on se lèche en 69 de femmes, écartelées pour l’autre, vibrant nos expériences, son clitoris se gonfle, elle part en vocalises quand mes doigts la possèdent, emplissant son vagin… Elle se donne sans réserve, dans toutes les positions, et on échange nos rôles, pour me faire exploser à mon tour…
J’obéis à ses demandes, nous croisons nos cuisses et frottons nos sexes à en devenir dingues, jouissant ensemble, par cet acte lesbien…
Puis les variantes arrivent, j’explore tous ses secrets, découvre ses préférences, l’intimité de ses fantasmes, je prends un gros jouet et on reprend la forme, vibrant, criant, explosant nos orgasmes, jusqu’à en perdre le nord…
Ses baisers m’enflamment, brûlants, stimulant et ses caresses lesbiennes m’emportent au paradis, elle sait manier le gode autant que le stimulateur, nous voici en parade, échangeant nos positions, sans demander la permission, du sexe pour le sexe, elle jouit autant que moi, aussi fort et en redemande…
Epuisées après tant d’efforts, enlacées, ravies, je lui fais un café, et bois un jus d’oranges, avec quelques biscuits…
Le soleil nous réveille, je fais un vrai déjeuner, elle me suit pas à pas, caresse ma poitrine, glisse ses doigts ça et là, elle est très tactile… J’aime son appétit…
On va prendre une douche, on en rit, on se caresse, on fait l’amour encore, debout, puis assises, chatte contre chatte, on se refait jouir…
On fait des sextos, on les envoie sur tweeter, on rit car on ne voit que nos parties intimes, nos pubis rasés, nos chattes épilées, luisantes de désir…
Marlène est une fleur qu’il suffit de cueillir, et elle s’ouvre dans vos bras, comme pour un papillon, offrant tout son calice…
Elle a testé les femmes, il y a quelques mois. Elle s’est laissé séduire, après plusieurs expériences ratées, elle a aimé la tendresse, elle a aimé le sexe, cette complicité.
Elle cherche l’amour sans préjuger le sexe, en liberté totale…
Marlène quitte ma vie, après une nuit intense, presque sans aurevoir…
Elle m’écrit un peu, des mails étourdissants, elle cherche encore au bout de quelques mois…
Puis un soir, elle sonne, monte pour l’apéro, je suis seule à dîner, nous voici habillées pour une virée en ville…
Deux femmes dans la ville
Après un apéro près du port, devant un superbe coucher de soleil au son des guitares, le restaurant s’impose pour Lisa et Marlène… Poissons, vin blanc, joues roses…
Discothèque ? Ciné ?
On a le temps, nous prenons le frais sur la jetée, les passants nous regardent, comme deux amies intimes, on vient de s’embrasser…
Puis on croise un groupe de fêtards, regards, commentaires, on les remet en place…
– Espèces de gouines, allez vous bouffer la chatte, à moins que vous vouliez connaître ma queue de rêve… Un bon coup à chacune, ça remet les idées en place…
– Ta gueule le minet, des cocus dans ton genre, on en fait tous les jours, pendant qu’on prend vos femmes pour leur faire l’amour… On les entend jouir, sous nos doigts de salopes, on leur fait oublier vos pines insipides, par nos langues coquines et nos doigts de velours….
On continue sans attendre, ils nous croient ivres, pas encore…
On entre dans un bar, il fait frais maintenant…
Un chocolat s’impose, pour nous réchauffer.
Quelques groupes bavardent, quelques yeux nous regardent, nous découvrons l’ambiance, la décoration, très reposante, la musique sympathique, de la house en ce moment…
– Bonsoir, je peux vous inviter à notre table ? Qu’est-ce que vous prenez ?
– Le frais d’abord, et la tranquillité ensuite… Vous voyez, on a des goûts simples mais bien arrêtés…
– Cela n’empêche pas de rire et de passer un bon moment avec des nouvelles têtes, on discute, on se sent moins seules. Nous cherchons juste un brin de compagnie féminine pour égayer notre soirée, sinon, ce sont les bières qui vont nous mettre au lit…
– Oh, je vois… Vous chercher à nous séduire, pour nous coucher ensuite ?
– Je n’irai pas jusque-là, nous avons de la retenue, le rôle d’un garçon n’est-il pas de faire la cour aux dames ?
– Oh ! bien dit, cela se perd… La cour !!! Tu entends ça Marlène, tu veux qu’on te fasse la cour ce soir ?
– La cour ou le jardin, j’aime la nature… Vous êtes combien ?
– Je suis avec mon copain de travail, on se sent un peu seuls… Mais nous pouvons aussi vous emmener danser, voir un film ou promener…
– Non, merci, pour la promenade, je me sens bien ici…
– Moi aussi, ce bar est assez festif, j’y ai vu parfois des groupes de musique…
– Oui, c’est nous le groupe… Mais pas ce soir, on fait relâche… Juste le week-end.
– Venez ici alors, j’aime cette vue, le port, et les sièges accueillants…
– Je prends mes affaires et mon copain….
Quel pied ! Mon dieu, il est beau comme un dieu, l’autre aussi, ils sont sympas et pas trop bêtes, pourquoi pas ? Marlène me sourit, je lui demande ce qu’elle pense, elle approuve, elle n’a pas sommeil, encore moins maintenant qu’elle les voit de face…
– Voilà, moi, c’est Jim et voici Paul…
– Lisa et moi Marlène, et à part la musique ? Vous jouez de quoi au fait ?
Voilà c’est parti, la drague sans souci, on avance doucement, ils nous font rire, nous détendent, on passe un bon moment…
Marlène est au Gin-Fizz, moi c’est Vodka-Orange, l’alcool nous rend plus tendre et baisse nos défenses…
Ils sont un peu plus jeunes, 28 / 30 ans…
Ils ont bourlingué partout, en France, puis à Londres, et même aux Etats-Unis, mais ce qu’ils voulaient faire n’a pas marché, joindre un groupe de folk, un truc très Yankee…
Sans le sou, ils sont revenus et ont démarché les bars en premier…
Ils ont des contacts avec des groupes, ils aimeraient vivre de leur passion…
Jim est bassiste et guitariste, il joue de la batterie et de l’harmonica, Paul c’est le piano, le synthé, les cuivres, il aime le saxophone, la trompette et la clarinette…
Ils sont autonomes ici, guitare et synthétiseur, ampli, micro et jeux de spots, payés par leurs maigres cachets pour l’instant…
Ils animent les hôtels, surtout de Pâques à Octobre, là ils gagnent leur vie, enchaînant les spectacles, chaque soir…
Leur but, percer, faire un album, comme leurs ainés, qui sont parvenus au top, et grimper dans la sphère du succès… Il suffit d’un coup de chance, de croiser quelqu’un…
Ils ont une maison isolée pour pouvoir répéter, des potes aux 4 coins du monde, une voiture pour deux, des idées plein la tête…
Marlène me regarde, je ne sais que penser, ils sont croquignolets, des pousses en devenir…
Leur jeunesse attire, Marlène bade Paul, blondinet hirsute…
Leurs mains se rencontrent, puis leurs lèvres aussi, Jim embrasse mes mains, regarde mes ongles peints, véritable œuvre d’art…
Il faut partir d’ici, leur maison est hors de la ville, je propose ma voiture, ils acceptent d’emblée…
Finalement, comme on passe devant chez moi… C’est plus simple…
Bon, on ne va pas se mentir, si on en est là, ce n’est pas pour conter fleurette…
Je sors des boissons, libre-service d’alcool, je ne veux pousser personne au vice… Quoique…
Et puis les choses s’enchaînent…
Marlène a choisi Paul, je n’avais pas de préférence, je pense que cela ne fait rien, j’y aurai droit aussi…
Lentement, il me dessape, à force de m’embrasser, Marlène est presque nue, il est entre ses cuisses en train de la travailler et ses soupirs se transforment en gémissements trop prenants pour rester derrière et Jim s’affaire alors, avec ses doigts de fée, sa langue habituée à siffloter, un vrai régal, deux duos dans mon salon, en cadence, sa chose me traverse, je monte de trois tons…
Marlène a choisi, c’est elle qui se fourrage, écartée sur son vit, elle chevauche à loisir, belle comme un cœur, les seins battent la mesure, il suit avec talent, massant ses seins de rêve…
J’aime cet intermède, il me prend par derrière, sa bite dans mon cul m’envoie au paradis…
– Allez, vas-y, c’est ce que tu voulais, une bonne bouffarde et un cul accueillant, allez, viens, prends ton pied, tu vois j’aime ça aussi…
– Oh oui, vas-y, j’aime la sodomie, quand après minuit les enfants sont couchés, je monte au paradis en rêvant de l’enfer… Oui, baise-moi, comme Lisa, fais de moi ta chienne, je veux crier comme elle, en sentant ton pieu me défoncer… Que tu es malicieux, tu me prends comme une bête…
Elle trépigne, s’offre, se fait déchirer de ce fait, de l’avoir excité, elle masturbe sa chatte tandis qu’il la fourre à la mode hussard…
Elle monte son bassin et relève ses fesses, il la prend par les hanches, la baise à la française, jusqu’à ce qu’elle crie, jusqu’à ce qu’elle explose, orgasme garanti, elle va s’en souvenir !…
Il est bien plus discret, mais je sens la même chose, je le griffe de désir, de rage, de partage…
Il me prend plus sauvage, change de position, me renverse, tête en bas, calée contre le canapé, comme un poirier, et baise ma chatte, en s’enfonçant si fort que j’ai un nouvel orgasme en faisant le grand écart, comme une nymphomane survoltée par l’exploit…
Il n’a qu’à s’abaisser et sa bite s’engouffre, tendue vers le sol, droite, il profite de moi, et il va et vient, savourant sa proie, position obscène, un peu avilissante, mais je me fiche de ça, je jouis en furie devant nos partenaires qui s’en donnent à cœur joie pour tenter l’expérience…
La fatigue me gagne, car c’est inconfortable, la tête à angle droit, je reprends de l’altitude, et m’étends sur le sofa, ouverte comme une huitre, une bouche de métro, il est infatigable… et ça continue…
Marlène est à l’apogée, en plein orgasme, c’est un rouleau compresseur, un virtuose, lui aussi…
Ses vocalises nous enchantent, elle lui offre sa rondelle, il la prend en cadence, normal pour un musicien…
Ses seins battent la mesure, ses coups de reins deviennent des boom-boom de tambour, comme une grosse caisse, elle vibre de toutes parts, et son orgasme explose, en un parfait accord.
Alors mon chéri, s’en va aider le couple, il ne résiste pas à continuer cet adagio prenant, et s’invite à la fête, en fourrant la minette délaissée par Paul, qui se concentre sur la porte dérobée, déjà investie juste avant…
Les deux amis se déchaînent, et Marlène applaudit, oui, elle aime la baise, être prise ainsi, les ressentir en elle l’emporte au paradis…
Trio magique pour un concert libertin, les deux sexes s’enfoncent en cadence, la portant à l’extase, sans se précipiter, la laissant exploser, attendre des sommets, crier sans s’arrêter…
Je caresse ses seins, l’embrasse avec passion, lui donne ma chatte, m’ouvrant près de sa bouche, en frottant mes seins contre leurs torses de mâles…
Festin de chauds lapins, avec deux libertines, qui sont venues pour tâter de la pine, se faire éclater, des deux côtés de leur anatomie, sans rechigner, en s’offrant à leurs folies…
La voyant perdre la raison, partir dans des orgasmes, les yeux révulsés, les membres qui tremblent, je les calme, et je suce leurs bites, puis me mets à sa place, recevant à mon tour, cet hommage à la femme, un partage au sommet de ce récital diabolique…
La verge s’infiltre dans mon anus déjà visité, puis mon autre amant, ouvre ma douce chatte, dilatée, et il plonge tendrement, goûtant à mon fourreau, plantant sa verge excitée, dans un vagin détrempé…
Une harmonie parfaite, les deux sont dans mon corps, et ils profitent alors de me donner pareil que pour Marlène, leur belle prestation, comme pour un jour de fête, pas besoin du son, c’est moi qui vocifère, et résonne dans la maison…
Marlène vient contre moi, se frotte et m’accompagne, vers un doux émoi, quand je sens leur verdeur arriver à terme, et suis arrosée, par un déluge de sperme, dont elle profite, en ouvrant ses cuisses pour se faire inséminer, se ruant à la fin sur leurs sources divines, puis suçant avec délice le nectar entre mes cuisses…
Passion, liberté, sensualité, et ce sexe extrême, qui nous cherchions ce soir, car toutes deux dans un contexte particulier, où nous nous vautrons comme deux nymphomanes, débauche de folie, revanche de la femme, puisant dans ce contexte, de quoi subir les fantasmes les plus rudes, de libertins toxicomanes…
Nous goûtons, à l’Enfer, quelques touches sensorielles, inhalées, quelques fumées aux senteurs exotiques, des rêves initiatiques, et des boissons lénifiantes, calmant nos appétits, et nous offrant un repos platonique…
Puis nous reprenons notre chemin, dès le matin, bercées de lumières aveuglantes et de rêves étourdissants, mais conscientes de l’avoir osé…
Mon chez moi nous accueille, sans dommage sur le parcours routier, et nous gagnons la salle de bains ensemble, bain en commun, face à face, tendre repos, juste ce qu’il faut pour oublier nos corps, soigner nos bleus, s’endormir ensemble, quitter le merveilleux, redevenir des anges, deux femmes dans la ville, après une nuit de sexe…
Quelques semaines plus tard, je reçois un message…
Jim et Paul donnent une fête, leur premier contrat professionnel, cela va changer leur vie…
Lorsque je rappelle, c’est Jim qui me dit combien il est heureux d’entendre ma voix, il me demande des nouvelles de Marlène, et de nos amours… Puis il passe à eux, beaucoup de travail, et surtout une tournée prochaine, suivie d’un DVD et d’un contrat avec un producteur de talents…
Samedi en 15, en soirée, il y aura du monde, comme nous aimons, pas trop rigides sur la morale et aimant la fête en groupe…
Marlène est d’accord, évidemment, bien qu’elle ait approché un gentil voisin, mais juste quelques jeux coquins, quand sa femme travaille…
Torride
Pas mal de monde, des voitures garées dans tous les sens, on se faufile…
Nous croisons des beaux garçons, des couples enlacés, et tombons sur nos amants d’un soir…
Paul et Jim ont la pêche, heureux et décontractés, ils nous présentent, puis un lunch se met en place autour de la piscine, et la soirée commence, dans un désordre bon enfant…
De belles jeunes filles, des femmes en robe de bain, presque déshabillées, déjà…
La piscine est prise d’assaut, les corps se dénudent au fil de la soirée, et l’alcool coule dans nos verres
…
Je suis en maillot, la chaleur est épouvantable en ce soir de juin, et nous goûtons à tout…
Un corps me renverse…
– Pardon, Camille, je suis de Nice et toi ?
– Ici, de la région… Tu connais Jim et Paul ?
– Oui, je bosse avec, je suis bassiste… Voici Germaine, la boom-boom de l’orchestre… Là-bas c’est Jill, dans les bras de son mec de ce soir, je ne le connais pas, et puis Andie, au synthé, que des filles… Et vous ?
– Juste des copines de rencontre…
– Oh, elles sont nombreuses qui nous suivent… Dans chaque ville, chaque port, on est assez volages, si vous voyez ce que l’on veut dire…
– Oui, nous voyons, merci pour tes confidences, toi aussi tu nous plais…
Réaction immédiate, elle fait la distance et me gratifie d’un baiser intense, et ses doigts virevoltent dans ma culotte de bain…
Ses seins frottent les miens, et Germaine frotte Marlène…
La piscine devient un lupanar, beaucoup de filles, mais pas que, car je sens une autre chose que je reconnais…
– Casse-toi, laisse-nous, va baiser ta pute là-haut, Max… Excuse, c’est parce qu’on a été intime un soir de manque… Ils se croient arrivés…
– Il est musicien ?
– Non, il nous fait la mise en place, les lumières, le son, dans les fêtes… Tu le veux ?
– Oh, non, je ne disais pas ça pour ça…
– Si tu aimes les queues, on ira là où il faut. Laisse-toi partir, tu me plais, ta chatte s’ouvre…
– La tienne aussi, il serait temps d’aller ailleurs, je n’ai pas mon brevet de natation synchronisée…
– Viens, on y va…Avec Marlène ?
– Elle peut venir… Ça ne te fait rien de partager ?
– Non, on fait connaissance, Marlène aime autant le sexe que moi…
Elle fait un signe et elles nous suivent dans le jardin… On sent le printemps, mais aussi d’autres substances moins répandues…
– Tu veux un joint ?
– Non, pas l’habitude et je n’en ai pas besoin… Plus tard peut-être…
Des couples allongés, de tous sexes, matelas, herbe, feulant leurs ébats…
On trouve un coin et on s’installe toutes les 4…
Elles enlèvent tout, nous aussi, et on s’allonge…
Marlène se fait dévorer en premier, j’accepte et plonge dans un rêve éveillé… Elle est partout !
Les gens passent sans nous regarder…
On prend confiance, on se lâche…
Bientôt le jardin est un concert de chuintements, de feulements, de geignements et de râles…
Sa langue va et vient, et puis nous voici toutes les 4, ensemble, échangeant positions et partenaires, et puis on se mélange, on se cherche, on s’embrasse, Marlène jouit, écartelée devant Camille, et nos seins se frottent, nos sexes fusionnent, nos doigts s’enfoncent déclenchants des orgasmes, elles sont comme nous, elles aiment la femme…
– C’est bon… J’aime les femmes, mais pas que… Après j’aime bien me faire baiser par une belle queue. Et toi ?
– Oui, on a été amantes de Jim et Paul… Un soir d’hiver… de tristesse, ils ont su nous faire oublier…
– J’ai mieux, mais pas autant tendres… Plus vigoureux…
On se d**** dans un paréo et on monte, on boit, on rencontre d’autres personnes, puis dans une salle, un peu obscure, un couple sur un lit semblent attirer l’attention du public essentiellement féminin…
Elles regardent, les yeux dans le vague, ce couple hors norme qui est sur le lit, bien éclairé, comme une scène de théâtre…
Quand je vois ce qui lui sert à honorer les dames, je comprends…
Plus de 20 cm c’est sûr, un monstre, comme on dit…
Et celle qui en profite semble habituée à la taille, et se fait plaisir en le minaudant dans toutes les positions, se tordant en avalant cette chose tout en nous montrant sa chatte luisante de désir, puis le léchant comme un cornet de glace au chocolat, des bourses jusqu’au gland impressionnant…
Je coule de désir en la reluquant, quand elle gémit de plaisir en s’écartelant au-dessus sur lui…
Devant nous, le sexe attend, dressé comme un dard… Puis le gland écarte les petites lèvres et s’insinue doucement dans la source…
Elle soupire, gémit, souffle, nous sourit…
Enfin, le dard s’enfonce lentement… Elle se mord les lèvres en râlant, et s’écartèle de plus belle, face à nous, nous offrant le plus excitant des spectacles…
Une femme à ma droite semble hypnotisée, comme un serpent voyant un lapin…
Elle a une main dans son short, pinçe ses lèvres, nos regards se croisent, elle salive sa langue…
– C’est chaud, non ?
– Absolument irrésistible…
– On est une bonne dizaine à le vouloir…
– Il décharge chaque fois ?
– Bien sûr, c’est pour cela qu’on est là ! Tu ne le connais pas ? Son spectacle fait partie du show pour adulte, dans les théâtres XXX…
– Tu l’as déjà eu ?
– Non… Ma fille m’en a parlé… J’ai eu envie de venir pour voir… Je suis en divorce… Tu es d’où ?
– D’ici, je ne connais que les musiciens, Jim et Paul.
– Ah, oui, moi aussi, ils sont super ces jeunes… Ils t’ont baisée aussi ?
– Oh, oui…
– Regarde, il va la prendre…
La fille se positionne en levrette et l’énorme sexe entre de nouveau devant nos yeux, cette fois il la sodomise…
Ma voisine se met à jouir… D’autres aussi, et moi, je me doigte avec deux doigts rageurs…
Alors, elle se tourne vers moi et m’embrasse, puis se colle contre moi, et son pubis tape le mien… Je ne peux résister, et mes doigts remplacent les siens dans sa chatte, short baissé… Elle me rend la caresse, et nous voici à nous masturber réciproquement avec force gémissements…
Les autres filles sont dans le même état, seins nus pour la plupart, en slip, et font l’amour entre elles, debout…
Camille est tout contre moi, Marlène lui parle à l’oreille, je ne vois plus Germaine…
– Tu en veux ?
– Je ne dis pas non…
– C’est Carla, la chanteuse, ils font les chœurs… James et son copain Andy… 2 blacks avec des voix extras… Et pas que les voix, tu as vu…
– Elle se fait la voix comme ça…
– Parfois elle partage, car pour le sucer c’est coton, faut être deux…
– Carla, j’ai des amies… Elles aimeraient…
– Ouais, je vous le laisse, Andy est occupé, je vais y aller, il va venir… Vous allez vous régaler les filles, c’est du délire, il est en forme ce soir… Mais faites attention, il est vraiment énorme…
– Vous faites un spectacle ?
– Oui quand on passe dans certaines salles réservées aux adultes, des soirées privées…
Ma voisine est montée sur le lit, invitée par Carla, et elle a ôté son slip de bain… Elle offre le même spectacle, en s’enfilant la bite démesurée, puis elle ondule son bassin, et devient hystérique quand le membre pénètre jusqu’au fond de son vagin distendu…
Le spectacle continue, c’est Camille qui vient se frotter tendrement, puis elle cherche ma chatte et commence à tourner mon clito avec un doigt connaisseur…
Devant nous, mon ex-voisine fulmine son plaisir, rageant sur un sexe qui l’envahit de plus belle et la porte rapidement à un superbe orgasme sonorisé…
Je jouis avec elle, puis Camille m’entraîne sur le lit…
Andy me sourit, je suis la 3ème…
Ma langue frôle le dard, ma main le soupèse, belle pièce, et mes lèvres glissent jusqu’à ce que je ne puisse plus… Alors ma langue les remplace et je mordille ses bourses, ce qui le fait trembler, et grossir de plus belle, j’en profite pour lui proposer une levrette, et il me prend avec douceur, lentement et délicatement, puis accélère…
J’ai senti un plus, très plus, un plus de dingue, puis un plaisir de folie… Je jouis avec lui, grognant mes délires, le membre semble repousser mes possibilités vaginales, et je fonds d’un plaisir peu commun…
Je le laisse faire, je ne m’en prive pas, et il accélère, je sens son émoi, je jouis encore quand la sève monte et gicle en moi, une petite fontaine qui s’échappe de moi…
Il me prend dans ses bras et me donne un long baiser de tendresse…
– Tu es qui ?
– Lisa…
– Lisa, viens me rejoindre vers minuit dans la chambre, là-haut, je suis Andy…
Une autre me remplace sur cette scène torride, et le spectacle continue…
Marlène attend encore lorsque je repasse la porte d’entrée…
Je découvre alors le panneau : ‘Femmes seulement’… 10 personnes maximum…
On doit être une centaine…
Je recroise ma voisine…
– Tu l’as eu ? Alors ?
– Dément, une expérience à vivre…
– Tu en veux encore ? On est pareilles, viens avec moi dans le vase clos…
– C’est quoi ?
– On danse et on baise, puis on fait l’inverse…
– Ah ?
Là plus question d’attendre, on fait ce que l’on veut, draguer une autre fille, caresser une queue, se laisser prendre en dansant, et puis s’allonger sur un canapé… Jeunes et moins jeunes se côtoies, c’est torride, alcoolisé, droguisé…
Je vois une jeune fille cuisses ouvertes, allongée sur une table basse, se prendre 20 cm d’un chibre de concours… Ses seins sont butinés par ses amies qui se font prendre par derrière, par des jeunes gens particulièrement bien dotés…
Mes seins sont empaumés, il est derrière moi, et sa queue ne demande que ça…
Coco, c’est ma voisine, est dans le même état, un black est dans son dos et la tiens très serré…
Je sens la dureté, passer entre mes cuisses, , il me serre dans ses bras, me soulève, puis me descend, et sa bite me transperce… Il est déjà bien gros, doucement, il va au bout, mais je sens de la réserve, je ne suis pas ouverte…
Il m’emporte aussitôt, vers une salle ouverte, des coussins et matelas font une couche immense, où les couples s’adonnent au sexe et au partage…
Dès que je suis allongée, il me baise franchement, par devant, par derrière, en levrette, mes seins sont malmenés, Coco nous a suivis et c’est la même histoire, elle vagit en cadence, explosée de toutes parts.
Le sexe de son amant dépasse la limite, elle jouit de plus belle, lorsqu’il pointe l’anus…
Je passe aussi par-là, et je me donne à lui, complètement ouverte, un membre de combat, qui me porte à l’extase sans l’ombre d’une gêne…
Quand on en termine, quelques râles plus tard, je sens sa semence envahir mon minou, apeuré par sa bête…
Je m’écroule, exténuée, en sueur, à plat ventre, écrasée par son poids…
Coco à quatre pattes, face à moi, sent arriver la fin, il la prend en cadence en agrippant ses hanches, il la pourfend vraiment, de coups de reins rageurs, elle griffe la toile, ses yeux sont révulsés, elle s’allonge vers moi, cherche une bouée, et me donne un baiser…
Son corps est magnifique, ses seins sont fermes, pleins, les tétons sont dressés, rougis et je vois son amant sortir son matériel, je me précipite pour lécher le surplus, avec un grand sourire sur ce visage sombre…
Coco, essuie le mien, lèche, minaude, ma main entre ses cuisses découvre sa douceur, on termine entre nous, quelques minutes féminines, des langues de velours, calmant nos orifices…
Marlène me trouve, me voit, vient me rejoindre, puis Camille, et notre groupe grossit et les occasions se multiplient, je ne résiste pas à goûter aux délices, jusqu’à ce que Jim, me prenne dans ses bras, et m’envoie au paradis, une nouvelle fois…
Jusqu’à l’aube, j’alterne les partenaires, Andy, puis James qui m’offrent un sandwich dont je me souviendrai…
Plantée par James qui refaisait son show, son membre en érection dans ma chatte tuméfiée, Jim qui me possède traitreusement, par derrière et ils m’emportent à deux dans un concert puissant, deux verges de cette taille, rarement éprouvées, je suis anéantie, sans force, devant les gens qui nous regardent, et qui jouissent aussi, de positions bizarres, en trios inouïs, des chattes malaxées par des mains égarées…
Un lupanar princier, une orgie des sens, Marlène vient me chercher, il grand temps de rentrer, il fait jour depuis l’aube… Alors j’ouvre les yeux et l’embrasse avec fougue…
Je ne retrouverai ni culotte, ni peignoir, ni paréo, juste une petite robe en éponge qui me sert de prétexte, dissimulant les traces de ce combat orgiaque…
Marlène prend le volant, je dors sur son épaule…
Ce qu’elle vient de connaître, c’est une première fois, la plus forte aventure qu’elle ait jamais connue…
J’avoue que moi aussi, ces soirées VIP, ces débauches de sexe, ne m’avaient jamais tentée…
Mais je me souviendrai de James et de Jim, quelle intensité ce trio de folie, cela pour moi aussi fut le summum sans contexte de cette nuit de luxure…
Elle m’a emmenée chez elle, m’a allongée dans un bain parfumé…
C’était magique, idéal, et elle à nettoyé mes parties les plus douces, je me suis laissé faire, par tant de tendresse… Endormie et sereine…
Je me suis réveillée dans son lit, en forme, détendue, un brin courbaturée, mais on fait l’amour, jusqu’à ressentir ensemble, l’extase de la femme, cette vague soudaine qui nous emporte loin, au pays de nos rêves…
Nous sommes retournées voir nos premiers amants, Jim et Paul, nous étions enchantées, une idylle de quelques mois en a suivi, pendant laquelle on aura connu nombre de musiciens, avant une tournée.
On a pu regoûter au suprême, en petit comité, aux délices du sexe et de la liberté….
Sans se prendre la tête, on a vécu des moments riches, des moments forts, de partage, et nous avons passé l’été chez eux, les accompagnant dans quelques fêtes de villages, animant les bals, dont ceux du 14 juillet.
Parfois, James et Andy venaient répéter chez eux, nous passions la soirée à les écouter, et la nuit à chevaucher leurs queues…
Jim et Paul nous rejoignaient ou restaient avec Carla ou Coco devenue notre amie…
Ce furent des instants riches et intimes ; ce qui me rapprocha de Marlène.
Nous avons habité ensemble, chez elle ou chez moi, pendant quelques années…
Le groupe répétait toujours, ils s’appelaient les Torrides…
FIN
Marika842010
février 2019
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