Erika n’était pas une adolescente comme les autres. Ce n’était pas qu’elle était laide ou stupide, loin de là ! D’une taille moyenne, une silhouette élancée, de petits seins haut-perchés, de longs cheveux noirs encadrant un visage mignon aux yeux bleus, elle faisait parfois se retourner certains garçons. Mais Erika était une fille très timide. Transparente en fait. Elle n’avait pas d’amis, ne parlait quasiment à personne, et personne ne lui parlait. Elle aurait pourtant voulu essayer, mais n’y arrivait pas : communiquer avec les autres était au-dessus de ses forces. Alors elle restait seule, toujours.
Comme elle habitait un petit village, elle allait et revenait de son école, située en banlieue d’une grande ville anonyme, en bicyclette. Un jour, alors qu’elle revenait de l’école, un bruit attira son attention. Elle était à mi-chemin entre son école et son village. Le chemin était désert, sur sa gauche il y avait la forêt, et sur sa droite un long mur, délabré, qui tournait à angle droit à une centaine de mètres devant elle. C’est de là que venait le bruit. Une sorte de petit jappement. Mue par la curiosité, Erika s’arrêta, posa sa bicyclette contre un arbre, et alla voir. Elle longea doucement le mur, le long de la route, essayant de faire le moins de bruit possible. Arrivé à l’angle droit, elle inspira une bonne fois et passa la tête. Elle ne vit rien d’anormal. Le mur continuait sur environ 500 mètres, puis retournait à angle droit, parallèlement à celui qu’Erika avait longé. Ce devait être un mur protégeant un domaine, ou une maison. Il y avait un passage herbeux qui séparait ce mur d’un petit bois, et au loin Erika voyait des champs, visiblement laissé à l’abandon.
Erika allait retourner à sa bicyclette, lorsqu’elle entendit encore le faible bruit. Elle s’engagea alors dans le petit passage herbeux. Elle ne vit d’abord rien, puis quelque chose bougea, devant elle, dans l’herbe. Une petite boule de poil qui émettait ces petits jappements. Elle s’approcha plus près. La boule de poil couina doucement. Erika s’aperçut que c’était un chiot ! Elle tendit la main, lui caressa doucement la tête, le corps. Elle se rendit compte qu’il mourrait de faim. Elle retourna à sa bicyclette, et alla chercher son petit berlingot de lait qu’elle n’avait pas bu, comme d’habitude (c’était une manie de sa mère : mettre un berlingot de lait avec son casse-croûte ! Comme si elle était encore une fillette qui avait besoin de lait !). Elle coupa avec ses ciseaux le haut du carton et l’approcha du chiot, qui commença à le laper avec gourmandise. Lorsqu’il eut tout lapé, il lécha avec reconnaissance la main d’Erika, qui frémit tant du contact râpeux de la langue sur sa main que de la reconnaissance du chiot. Erika savait qu’elle ne pouvait emporter le chiot chez elle, car son père était allergique à presque tous les animaux. Elle avait déjà voulu avoir un chien, mais ça avait été impossible. Elle confectionna donc un abri de fortune pour le chien, avec un carton qu’elle avait vu un peu avant, sur la route.
A partir de ce jour, Erika s’arrêta tous les jours pour donner du lait au chiot, le caresser, jouer avec lui au fur et à mesure qu’il reprenait des forces. Qu’il fasse beau ou qu’il pleuve, elle passait toujours le voir. Petit à petit il devint son meilleur ami. Son seul ami. Et ainsi deux années passèrent. Le petit chiot était devenu un beau et grand chien, haut sur patte, avec un pelage gris-blanc… et Erika restait solitaire. A la fête de ses 18 ans, il n’y avait qu’elle et ses parents. Elle s’était habituée à être seule, cela ne la gênait pas. Ce qui l’ennuyait plus c’était les garçons. Bien qu’elle ne les trouve pas fort intelligent, quelque chose d’indéfinissable lui manquait. Elle commençait à faire des rêves bizarres la nuit. Un homme qui la sauve. Il est beau, nu, il l’enlève de son quotidien et l’emmène sur une île déserte, où il la caresse dans tous les sens. Et chaque fois, elle se réveille, le sexe mouillé. Par timidité elle n’ose pas s’en ouvrir à sa mère. Elle raconte ces choses à son seul ami : le beau chien au pelage gris-blanc. Il lui tardait d’ailleurs de le retrouver !
Le lendemain de la morne fête, Erika arriva près du mur, posa sa bicyclette comme d’habitude et alla sur le chemin herbeux retrouver son amis. Il n’était pas là, comme c’était son habitude depuis qu’il était grand et assez fort, il se débrouillait par lui-même, mais il revenait toujours lorsqu’Erika était là, c’était une fête pour lui aussi de la retrouver ! Erika n’eut pas à attendre longtemps, il arriva bien vite et courut vers elle, et tourna autour d’elle en jappant de plaisir, son frein battant l’air. « Mais oui ! Tu es content de me retrouver hein ? Moi aussi je t’aime ! » Et elle s’agenouilla pour lui caresser la tête, le ventre, comme à son habitude. Mais ce jour-là, le chien était plus nerveux que d’habitude, il se pressait contre Erika, presque à la faire tomber sur le sol. « Mais oui mon beau ! Doucement, doucement. Mais qu’est-ce que tu as aujourd’hui ? ». Erika mit ses deux genoux au sol, et enlaça son ami. D’une main elle lui caressa la tête, de l’autre le dos, puis descendit sous son ventre, comme il l’aimait. Mais lorsque sa main arriva sous le ventre, elle sentit quelque chose d’inhabituel jusque là. Le dos de sa main avait effleuré quelque chose de pas poilu, mais de doux et de tiède. Erika regarda de quoi il s’agissait, puis recula d’horreur ! Ce qu’elle avait touché était long (certainement plus de 20 cm) avec une sorte de protubérance sphérique à sa base, et rouge vif . c’était le pénis de son chien, qui sortait de plus en plus de sa base velue, qui le cachait avant l’érection ! Sans doute avait-il voulut s’accoupler, mais ça n’avait pas dû bien se passer. Quoi qu’il en soit, il jappait au pied de la jeune fille, le sexe en érection. Erika se recula, courut jusqu’à sa bicyclette, et rentra chez elle.
Le soir, en se mettant au lit, elle trouva sa réaction stupide. Son chien avait un sexe, c’était normal. C’était un mâle, et comme tous les mâles, il avait un zizi ! Et elle se coucha sur cette pensée. Mais cette nuit là, elle ne rêva pas d’homme nu venant à son secours, mais bien d’un sexe rouge vif, dur, avec sa protubérance, sa longueur, et elle se réveilla en pleine nuit avec le sexe trempé comme jamais. « Mais qu’est-ce qui m’arrive ? » pensa-t-elle. Sa main passa sous sa chemise de nuit, sentant son sexe. « Il est tout mouillé ! » Le contact de sa main sur son sexe lui donna un frisson de plaisir. Elle se caressa alors le sexe, timidement d’abord, puis de plus en plus fort, en sentant monter le plaisir. Elle remarqua que lorsqu’elle caressait un endroit sur le haut de son sexe, son clitoris, elle ressentait plus de plaisir. Elle le caressa donc plus fort. C’était bon. Elle se rappela avoir surpris une conversation entre deux filles de sa classe, qui parlaient de masturbation. Elle fit comme elle avait entendu ces filles en parler : elle introduisit deux doigts dans son sexe trempé, et se caressa l’intérieur du sexe, jusqu’à ce qu’une explosion de plaisir contracte son corps. Elle retira doucement ses doigts, trempés de mouille, et s’endormit après son premier orgasme. Mais toujours avec les images de ce sexe rouge vif.
Le lendemain, elle retourna voir le chien. C’était son ami, et elle voulait s’excuser de son comportement de la veille. Le chien était toujours là, à l’attendre. Elle lui fit une fête, lui caressant la tête, le dos, lui murmurant des « Je t’aime, mon chien ! Tu es un bon chien, je suis désolée pour hier ! Tu m’en veux pas hein ? Gentil chien ! ». Et elle continua à le caresser. Même si elle n’osait se l’avouer, elle n’avait qu’une idée en tête : bandait-il encore ? Elle n’avait pas osé regarder avant. Doucement, tout en le caressant, sa main redescendit sous le ventre du chien. Elle sentit encore le contact doux et tiède du pénis de l’a****l. Il n’était presque pas sorti de sa base velue, mais plus Erika caressait son chien, et avec sa main qui frôlait ce pénis, plus il grossissait, s’allongeait, pour sortir totalement de sa cachette. Curieuse, elle osa le regarder de plus près. Il faisait certainement plus de 20cm, elle en était sûr, et il était rouge vif, avec sa protubérance à sa base, et son petit bout en pointe. Finalement, il ne faisait pas si peur que ça. Erika le trouvait même joli ! Elle approcha timidement la main, le toucha. le contact était doux et tiède. Elle passa sa main le long du pénis, caressant le sexe de son chien. La sensation était vraiment très douce, et le chien semblait aimer ça, Erika reconnaissait son jappement de plaisir. Elle ne savait trop que faire. elle caressait ce sexe doux, puis osa refermer sa main autour du sexe du chien, et doucement, commença à le caresser la main fermé. Erika sentit que cela l’excitait. Elle continua, branlant ce sexe rouge vif doucement, puis plus vite, au grès de sa propre excitation. et en un coup, le chien grogna de plaisir (c’est en tout cas l’impression qu’en eut Erika), et une longue giclée d’un liquide blanc, suivit d’une deuxième et d’une troisième giclée, macula l’herbe et la main d’Erika, qui en trempa sa petite culotte ! Elle se releva horrifiée, la main trempée de sperme de son chien « Mais qu’est-ce que je fais ? Je deviens folle ! » Et elle courut à sa bicyclette et rentra chez elle, le front rouge de honte.
Mais cette nuit, le désir fut le plus fort, et elle se masturba avec en tête cette image de sa main claire sur ce sexe rouge, et de la giclée de sperme, et de sa main dégoulinante de cette semence.
Le lendemain, après l’école, elle voulut voir un docteur, se croyant devenir folle. Elle alla chez un docteur près de son école, mais elle avait tellement honte d’elle qu’elle s’enfuit de la salle d’attente. Elle ne pouvait raconter cela à personne ! Sa fuite éperdue l’emmena dans un quartier qu’elle ne connaissait pas. C’était le « quartier chaud » de la ville, avec ses prostituées racoleuses, ses hôtels bons marchés et ses sex-shops. Erika pensa qu’il ne valait mieux pas traîner par ici, surtout que le soir tombait. Elle enfourcha sa bicyclette, donner le premier coup de pédale, mais son regard accrocha une vitrine, et elle vit quelque chose qui faillit la faire tomber de son vélo. Il était là, dans la vitrine ! Le pénis de son chien ! Elle s’approcha doucement de la vitrine, s’assurant que personne ne pouvait la voir. C’était un sex-shop, assez minable. Dans la vitrine il y avait bien une copie du sexe de son chien, en plastique. C’était un gode, ce que n’avait encore jamais vu Erika. N’en croyant pas ses yeux, la curiosité la fit entrer dans le magasin, après s’être assuré que la rue était toujours déserte. Le gérant du magasin, un type dans la quarantaine, assez gros, sale sur lui, l’apostropha.
– Et là toi, t’as quel âge ? Tu dois être majeur sinon, t’as rien à faire ici !
– J’ai 18 ans monsieur. fit Erika en rougissant, heu. c’est quoi le machin rose dans la vitrine ?
– Ben c’est un gode, fit le type. Troisième allée, au fond du magasin.
Erika alla dans la troisième allée, et vit un rayon avec une dizaine de godes, des gros, des perlés, des longs, en plastiques, en métal. elle en vit un qui copiait le sexe d’un cheval, et celui qu’elle avait aperçut en vitrine, qui était bien une copie de sexe de chien, le ’dog cock dildo’. Elle en prit timidement un, avec une revue qui était offerte et attachée au paquet. Elle alla vers le comptoir, payait ce qu’elle devait, le cacha dans son cartable et courut hors du magasin, prit son vélo et pédala jusque chez elle plus vite qu’elle n’avait jamais pédalé. Elle en oublia même d’aller voir son chien !
Ce soir là, Erika monte directement s’enfermer dans sa chambre, prétextant une indisposition. Elle prit son précieux paquet et jeta son cartable dans un coin de la chambre. Elle était à la fois excitée et intimidée. Elle observa d’abord l’engin de plus près.
Il était tout à fait comme le pénis de son chien, mais en plus rose. Erika le déballa, et le toucha. Il était en plastique, légèrement tiède.
Puis, sa curiosité fut attirée par le magazine qui accompagnait le gode. C’était une revue pornographique traitant de zoophilie.
Couchée sur son lit, Erika feuilleta la revue. Au début, elle vit des photos d’une dame, nue, qui approchait un étalon. La photo suivant montrait la dame qui caressait le cheval, puis une autre avec le sexe du cheval grossissant, puis une autre avec le sexe énorme de l’étalon, puis la dame qui le caresse, puis qui lèche ce sexe énorme. les dernières photos montrant la dame trempée par l’éjaculation de l’imposant a****l. Erika se sentit très excitée par ce qu’elle voyait. Elle baissa sa petite culotte pour mieux se caresser, et sentit que son sexe commençait à mouiller.
Elle continua à feuilleter la revue, et tomba sur une autre histoire en photo, celle d’une jeune fille de son âge et d’un gros chien, un grand danois. Plus loin elle vit le pénis du chien, aussi rouge que celui de son chien à elle, mais encore plus gros ! Puis les photos montraient la fille qui approche sa bouche de ce pénis rouge, et puis qui le lèche et le suce. Erika prit le gode et fit comme la fille faisait sur les photos. Elle lèche le bout pointu, puis lécha tout le gode, comme une sucette, et puis elle le mit en bouche. Cela lui procura des sensations agréables dans le bas ventre, des frissons de plaisir, son sexe qui se crispait, et elle sentait qu’elle mouillait de plus en plus. Sur la photo suivante, la fille était à quatre pattes et une main introduisait le sexe gonflé du chien dans son vagin. Erika se mit à quatre pattes sur son lit et guida le gode vers son sexe. Le petit bout pointu y entra sans mal. Erika se donna de petites sensations ainsi, jouant du bout du gode sur son vagin trempé. Mais elle sentait que son corps en voulait plus. Elle introduisit le gode plus profondément en elle. Au début quelque chose résista, mais elle poussa plus fort. Elle sentit un petit déchirement douloureux en elle, mais le gode s’introduisit dans son vagin, lui procurant une vague de plaisir comme elle n’en avait jamais ressentie. Elle n’osa pas l’introduisit jusqu’à bout, laissant la boule de la base hors de son sexe. Puis elle joua avec le gode, le faisant aller et venir, puis tourner, puis de nouveau aller et venir en elle, cherchant les bonnes sensations. Son plaisir augmentait de plus en plus, jusqu’à ce qu’elle atteigne une vague de plaisir qui fit se crisper tout son intérieur, un l’orgasme puissant et mouillé, porté par le gode et par les images de son chien.
Erika se retrouva pantelante sur son lit, son sexe trempé, un gode trempé et maculé d’un peu de sang en main, le cour qui battait à un rythme effréné. Lorsqu’elle eut repris son souffle, un peu confuse, elle alla se laver et nettoyer son gode, puis alla le cacher avec sa revue et se mit au lit directement après. Elle dormit ce soir là d’un sommeil de plomb.
Le lendemain, après l’école Erika retourna voir le chien. Il n’était pas là, et elle attendit un certain temps. Elle allait repartir, toute triste, pensant que son chien était fâché qu’elle l’ait oublié la veille, lorsqu’il arriva, sortant de la forêt. Il courut vers elle, et lui fit une fête. Elle aussi était contente, elle avait vraiment eu peur qu’il soit fâché. elle le caressa partout, il la léchait sur le visage les mains, ils se roulaient dans l’herbe. Erika se retrouva assise, son chien devant elle. Elle le caressait, et sa main s’égara vers son pénis. Elle avait encore les images du magazine lu la veille en tête. Oserait-elle le faire ? Le sexe de son chien fut très vite bandé dans la main d’Erika. Elle se coucha par terre, sa tête sous le ventre du chien. Finalement, elle trouvait ce sexe rouge très beau. plus beau que celui en plastique qu’elle avait à la maison. Et celui de son chien était plus doux et plus chaud. Timidement, elle approcha sa tête du sexe du chien. Celui-ci, nerveux, bougea un peu, et son pénis cogna les lèvres d’Erika. Il était si doux. Elle ferma les yeux, sa langue sortit doucement de ses lèvres et se posa sur le sexe du chien. Doucement, la langue de la jeune fille parcouru le pénis du chien, s’attardant sur le bout légèrement pointu de celui-ci. La sensation était tellement douce. Erika adorait ça. Sa langue attira le pénis vers sa bouche. Elle prit tous ce qu’elle pouvait du pénis en bouche, sa langue continuant à le lécher. Elle sentit son propre sexe se contracter, et sa main se glissa sous sa jupe, dans sa petite culotte pour se caresser. Le chien mouillait abondamment, une mouille liquide comme de l’eau, avec un goût de fer, pas désagréable du tout. Erika prenait un plaisir fou à sucer son chien, et à se caresser en même temps. D’ailleurs pour pouvoir mieux se masturber, elle abaissa sa petite culotte. Elle eut rapidement un orgasme. Puis elle sentit le sexe du chien un peu se rétracter et il éjacula dans sa bouche. Le sperme avait ce goût de fer, légèrement salé. Erika aimait le goût de ce sperme. Mais elle ne s’attendait pas à un sperme aussi abondant ! A moitié couchée comme elle était, elle faillit s’étouffer avec ce sperme qui coulait avec tant d’abondance dans sa gorge. !
Toussant, elle se remit sur ses genoux, et recracha un peu de sperme. Elle mit ses mains à terre et, à quatre pattes, put recommencer à respirer normalement. Elle avait été surprise, mais n’avait pas trouvé cela désagréable. Elle voulait s’exercer, pour pouvoir boire son chien sans s’étouffer ! Elle venait de remarquer qu’elle adorait ça ! Sentir ce sexe dans sa bouche, le goûter, sentir le contentement de son ami. mmhmmm.
Mais une autre surprise l’attendait. Toujours à quatre pattes, reprenant son souffle, elle avait oublié son chien. Mais lui, il avait senti l’excitation de la jeune fille, et était aussi très excité par ce qu’elle lui avait fait. Et il sentait l’odeur du sexe de la jeune fille qui l’appelait. Erika sentit son chien approcher derrière elle, mais elle n’eut pas le temps de se retourner. Elle sentit les pattes avant de son chien se poser sur ses épaules, et le ventre chaud de son chien contre son dos. « Mais qu’est-ce que tu faits ? » demanda-t-elle. Elle sentit alors le pénis tiède et surtout humide du chien taper contre ses fesses, puis contre ses lèvres intimes. Elle comprit vite ce qu’il voulait. Sans réfléchir, excitée comme elle était, sa main guida le sexe de son chien à l’entrée du sien. Erika n’avait pas pensé que faisant ainsi, elle lui laissait tout le contrôle de l’action. En quelque coup de bassin, le sexe du chien s’insinua dans la vagin d’Erika. Elle en éprouva un plaisir fou ! Son chien lui faisait l’amour ! Erika gémissait de plaisir. Le pénis rouge de son chien allait et venait de plus en plus vite en elle, et elle mouillait de plus en plus. C’est là que les choses se gâtèrent un peu. Avec sa mouille, et les mouvements du chien, tout le sexe entra en elle, la boule à la base y compris. Erika cria, un peu de douleur, beaucoup de surprise. « Oh non, c’est trop gros ! » Elle voulut faire un mouvement pour se détacher de son chien, mais ce fut impossible, la boule à la base du sexe de l’a****l était coincée dans son vagin. Elle devait attendre que le chien finisse son ’ouvrage’, la boule diminuant de taille avec l’éjaculation, pour qu’il puisse se retirer. Mais Erika n’eut pas le temps de paniquer, car la douleur de cette ’grosseur’ diminuait, par contre, son plaisir commença à augmenter. Les sensations de son vagin remplit par ce sexe chaud lui donna un orgasme, et son plaisir alla encore en augmentant. Surtout que la grosseur de la boule créait des sensations à la fois vaginale, qu’à son clitoris. Erika cria encore, mais de plaisir cette fois. Son chien la besogna pendant plus de vingt minutes, et Erika connut quatre orgasmes successifs. Finalement, le chien grogna, son sexe se fit plus rapide, plus profond, et il éjacula. Son sperme, plus chaud que du sperme humain à cause de la température de l’a****l, inonda le vagin d’Erika. Elle sentit cette chaleur au plus profond d’elle, et connut un plaisir comme elle n’en avait jamais eu avant. Le sperme abondant du chien se mélangea avec sa mouille, et lorsque le chien sut enfin se retirer, le mélange coula hors du sexe de la jeune fille, dégoulinant le long de ces jambes.
Pantelante, Erika se coucha à terre. Ses jambes étaient en coton, son sexe était en feu, était trempé, mais elle n’avait jamais connu un tel plaisir. Et son chien qui jappait avec bonheur et contentement près d’elle ! Quel plaisir, quel bonheur !
A partir de ce jour, Erika vint tous les soirs voir son chien, et explorait avec lui toutes les facettes du plaisir, le suçant (boire le sperme de son chien était un de ses plaisirs préférés !), le branlant, se faisant lécher le sexe par sa langue râpeuse, faisant l’amour avec lui dans diverses positions, en levrette (sa préférée), elle couchée au sol et le chien sur elle, le chien couché au sol et elle sur le chien, s’empalant sur lui, cul contre cul.et connaissant de multiples orgasmes. Petit à petit ses parents observèrent un changement chez elle, ils la trouvèrent mieux, plus heureuse, plus épanouie.
Un soir, Erika arriva à l’endroit habituel, mais son chien n’y était pas. Elle attendit un peu, légèrement inquiète, puis entendit au loin son aboiement, ce qui la rassura. Son chien arriva, mais pas seul. Il était accompagné d’un autre chien, de la même espèce mais légèrement plus grand que lui. Il ouvrait la marche, et l’autre suivait. Arrivé près d’Erika, il se retourna et aboya sur l’autre chien, qui partit vers la forêt. Erika ne fit plus attention à l’autre chien, et fit une fête à son chien, à son chéri à elle. Comme c’était devenu une habitude entre eux, elle se déshabilla complètement, et le caressa partout. Ce jour là, Erika avait encore envie de boire son chien, c’était devenu sa « gourmandise ». Elle adorait le goût du sperme de son chien. Elle se mit donc à quatre pattes, poussa sa tête en dessous du ventre de son chien et vit bien vite l’objet de sa convoitise sortir petit à petit de sa cachette de poil, toujours aussi rouge, de plus en plus gros au fur et à mesure de ses caresses, de ses coups de langue. Puis, lorsqu’il fut tout à fait sortit tout à fait gonflé, elle aimait le prendre à pleine bouche, sentir ce sexe tiède aller et venir entre ses lèvres, sentir le pré-sperme inonder sa bouche. Elle sentait son propre sexe se crisper, mouiller, odorer. elle adorait ça !
Tout occupée à sucer le sexe de son chien, elle n’entendit pas le léger bruit derrière elle. Elle était tout au plaisir de sa fellation lorsqu’elle sentit une langue rugueuse lécher son sexe. Cela électrisa son plaisir, et elle suça son chien de plus belle. puis s’arrêta ! Dans la position où ils étaient, son chien ne savait pas atteindre son sexe avec sa langue ! Elle tourna la tête et vit que le second chien était revenu, attiré par son odeur femelle. Et elle voyait bien que c’était un mâle ! Elle aurait pu le chasser, mais cette langue râpeuse sur son clito et son sexe. elle adorait ! Comme cela ne semblait pas gêner son chien, elle retourna vers sa fellation, laissant l’autre chien la lécher. Elle reprit le sexe de son chien à pleine bouche, sa langue titillant le bout du pénis, lorsqu’elle sentit le second chien arrêter ses lèches, puis poser ses pattes avant sur son épaule. elle savait ce qui allait arriver, mais ne fit rien pour l’en empêcher. Elle sentit quelque chose de raide de mouillé et de tiède buter contre son sexe, puis revenir se nicher entre ses lèvres intimes, et au troisième coup de boutoir le sexe du second chien la pénétra. Elle gémit de plaisir. Le sexe de ce chien était légèrement plus gros que celui de son chien. Mais elle était tellement mouillée qu’après quelques coups de boutoir ce sexe pénétra complètement en elle, et se coinça en elle à cause de sa grosse protubérance à sa base.
Ce plus gros sexe lui donna encore plus de plaisir, et elle reprit le sexe de son chien en bouche, le suçant tout en gémissant de plaisir. Elle le suçait de plus en plus rapidement, au fur et à mesure que la cadence des va-et-vient du chien qui lui défonçait le sexe accélérait. Erika, prenait son pied ! Elle sentit un orgasme arriver, et son chien éjacula en même temps dans sa bouche. mais son orgasme fut si violent qu’elle cria de plaisir, lâchant le sexe de son chien qui éclaboussa son visage, son menton,. Elle était remplie de sperme, et de sa main elle l’étalait sur son visage, sentant un second orgasme faire crisper tout son bas-ventre. puis le chien éjacula en elle, elle sentit ce sperme la remplir, la protubérance à la base du pénis du chien se vider, et doucement le chien se séparer d’elle. Les deux chiens partirent gambader joyeusement alors qu’elle reprenait son souffle, le visage et le sexe mouillés de sperme canin.
Les jours suivants, le second chien se joignit de temps en temps à Erika et son chien. Elle en suçait toujours un pendant que l’autre la prenait en levrette. Quel plaisir ! Elle adorait ça ! Mais un jour, alors qu’elle était vraiment très très excitée, une idée saugrenue lui passa par la tête, suite à une photo qu’elle avait vue dans le magazine reçu avec le gode. Elle était occupée à sucer son chien avec gourmandise lorsque le second arriva. Elle arrêta sa fellation et fit coucher le second chien sur le sol, sur le dos. Comme il n’avait pas encore fait ce jeu avec Erika, le chien grogna un peu au début, ne se laissa pas faire. Puis, après plusieurs essais il obtempéra, se coucha sur le dos et se laissa caresser le ventre ainsi offert par Erika. Puis elle fit sortir son sexe, le rendit dur de ses caresses et de sa bouche de plus en plus experte, puis lorsqu’il fut bien raide, elle s’empala doucement dessus. Le chien fut d’abord surpris, mais se laissa faire. Puis, Erika s’aplatit sur le chien, comme si elle lui faisait l’amour en position du missionnaire et offrant le bas de son dos à son chien. Celui-ci arriva pour la prendre en levrette, mais ne put évidemment le faire, vu que le sexe d’Erika était déjà occupé. En bougeant, le sexe du chien ne pouvait qu’effleurer les fesses de la jeune fille. Et c’est ce qu’elle voulait. Sa main guida doucement le sexe du chien vers son anus. Comme elle l’avait sucé avec gourmandise, il était mouillé du pré-sperme du chien et de sa salive. Le sexe du chien s’engouffra entre les fesses d’Erika et buta contre son anus. Le chien, sentant une ’ouverture’, pressa ses coups de boutoirs, et son pénis entra dans l’anus d’Erika. Elle cria au début, car ce fut assez douloureux. Quelle idée avait-elle encore eue ! Et de la façon dont elle était mise, elle ne pouvait rien faire, elle était mal mise pour faire descendre son chien. Elle ne pouvait que subir. La douleur était contrebalancée par le plaisir de la queue de l’autre chien dans son sexe. douleur-plaisir. plaisir-douleur. assez vite son anus et son rectum se firent à cette intrusion, et la douleur disparut pour ne laisser place qu’au plaisir. et il fut royal ! Erika, prise par deux chiens, un pénis canin dans son sexe, un autre dans son anus, jouit comme jamais ! Et lorsque les deux chiens éjaculèrent, à quelque minutes d’intervalles, qu’elle sentit ses orifices abondamment trempés de sperme tiède, qui sortait de son vagin et de son anus, dégoulinant le long de ses jambes, elle eut un tel orgasme que la tête lui tourna et qu’elle faillit s’évanouir.
Erika retourna ainsi retrouver ses chiens dés qu’elle le pouvait, pour des exquis moments de plaisirs.
Mais un jour elle dut quitter l’école pour aller à l’université. L’université étant éloignée de son village, dans une autre ville, elle co-loua avec d’autres étudiantes un petit appartement dans cette ville. Elle ne rentrait chez elle que pour les vacances scolaires. Après plusieurs mois d’absences, elle ne retrouva pas ses amis. elle en fut très attristée. mais pas inconsolable ! En effet, entre-temps, étant plus ouverte vers les autres, jolie, et bonne étudiante, elle avait trouvé son prince charmant, un étudiant vétérinaire de son université. Et après leurs études, ils se marièrent. et même si son mari, pourtant bon amant, fut un homme bien occupé, cela n’embêta jamais Erika, qui avait toujours plusieurs chiens à la maison !
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