Mon bureau se trouve dans un immeuble d’habitation. La porte immédiatement à côté de la notre est celle d’un couple et de leur fille qui est en terminale au lycée du coin. Nadia est brune aux cheveux bouclés et a de jolies formes de ce que j’ai pu voir en la croisant de temps en temps dans l’escalier.
L’autre jour en rentrant de ma pause déjeuner je l’ai dépassée sur un palier alors qu’elle était en train de rouler une pelle monumentale à un garçon de son âge qui n’hésitait pas à la peloter sans trop de subtilité. J’ai bien évidemment poursuivi mon chemin sans rien dire, ce que font les voisins ne m regarde vraiment pas, surtout dans ce genre de situation.
A cause des vacances scolaires j’étais seul au bureau et je me suis installé tranquillement devant mon PC pour regarder Facebook avant de me mettre au travail. Au bout d’une bonne demie heure j’ai entendu des cris de femme qui venait du palier. Je suis précipité, j’ai ouvert la porte et j’ai vu la petite voisine qui vociférait dans le couloir « Frimeur ! Que de la gueule ! Incapable ! Grosse merde… » en direction de son petit ami qui essayait de partir le plus vite possible en remontant son pantalon.
Ce n’est qu’au bout de quelques secondes que j’ai réalisé qu’elle ne portait qu’un haut moulant sans manches et qu’elle avait le cul couvert de ce qui ne pouvait être autre chose que du sperme. Son cul était tout blanche, bien rond, avec l’air bien ferme et je me suis retrouvé à bander comme un âne. Son « petit ami » ayant finalement disparu, Nadia c’est tue et s’est retournée pour rentrer chez elle. C’est à ce moment qu’elle m’a vu et qu’elle s’est rendu compte de sa tenue. Elle est devenue pivoine. J’ai pu voir que son haut moulait sa poitrine avantageusement, ce qui n’a rien fait pour calmer mon érection qui maintenant devenait visible sous mon pantalon. en essayant de prendre l’air le plus naturel possible je lui ai demandé si elle allait bien et si je pouvais faire quelque chose pour l’aider, s’il fallait prévenir la police.
En souriant elle m’a dit qu’il ne fallait pas que je m’inquiète qu’il ne lui était rien arrivé et qu’on ne pouvait pas porter plainte contre les éjaculateurs précoces.
J’ai ri et lui ai dit que je comprenais que ce jeunot se soit laissé emporter quand il s’est retrouvé face à un aussi joli postérieur.
Elle a eu l’air surpris et s’est mise à me regarder des pieds à la tête lentement en souriant. Il n’y avait pas de doute possible, elle ne pouvait pas ne pas avoir vu que je bandais comme un âne en la regardant.Elle s’est approchée de moi et m’a dit : « Je suis sûre que vous n’êtes pas du genre à jouir sur le cul d’une femme avant même de l’avoir touchée ». En parlant elle posa sa main sur ma queue et l’a serrée doucement. J’ai posé mes mains sur ses gros seins et l’ai poussée vers l’intérieur de son appartement en les pétrissant. Une fois la porte fermée derrière moi elle s’est mise à genoux et à sorti ma queue de sa prison.
« Ah ! Une vraie queue d’homme ! » a-t-elle souri avant d’avaler mon gland avec appétit. Je me suis mis à donner des coups de hanches pour qu’elle me prenne le plus loin possible dans sa bouche brûlante. Elle me malaxait les couilles avec dextérité tout en faisant de son mieux pour avaler ma queue de plus en plus raide. Elle faisait des bruits complètement obscènes tout en me pompant le dard avec ardeur. Au bout d’un bon, très très bon moment, même, je l’ai repoussé en lui disant que je voulais la baiser à présent.Elle s’est relevée et m’a dit » il faut que je nettoie le foutre de l’autre con avant que vous me baisiez avec votre grosse queue. Venez dans ma chambre pendant que je me fais une toilette rapide. »
Je me suis donc déshabillé sommairement puis allongé sur le lit pendant qu’elle s’affairait dans la salle de bain attenante. Au bout de trois quatre minutes elle est revenue toute nue avec une main dans le dos quand elle est arrivée au bord du lit elle s’est tournée me montrant ainsi ce que faisait sa main : elle avait deux doigts luisant de lubrifiant dans le cul. Elle a baissé le regard et m’a dit d’une petite voix : Enculez moi je garde ma chatte pour l’homme qui m’aimera. »
Je n’allais pas me faire prier et je lui ai demandé de venir s’asseoir sur ma queue pour s’empaler à son rythme. Au fur et à mesure qu’elle descendait le long de mon chibre elle ouvrait les jambes, me laissant voir sa chatte totalement rasée et visiblement inondée de mouille.je frottais doucement son clitoris tout en pinçant un téton qui était de plus en plus dur.. Quand elle s’est immobilisée, ma queue enfichée tout au fond de son cul brûlant j’ai donné un coup de hanche pour aller encore plus loin, pour bien prendre possession de ce cul délicieux. Elle est ensuite remontée en gémissant. Chaque aller retour lui procurait plus de plaisir que le précédent et elle perdait rapidement le contrôle d’elle même..après un bon quart d’heure à monter et descendre sur ma queue elle s’est laissé glissé sur le lit, dans n état second. Elle était allongée sur le ventre et poussait de petits grognements de plaisir, visiblement sous l’emprise d’un orgasme presque silencieux. Je me suis mis à califourchon sur ses cuisses, j’ai écarté ses fesses d’une main tout en guidant mon gland vers sa rondelle et je me suis enfoncé d’un coup en elle jusqu’à la garde. Elle a glapi de plaisir et a écartés ses fesses à deux mains pour me permettre d’aller plus loin encore dans son cul. Tout en la limant sérieusement je lui ai glissé à l’oreille » tu ne vas pas m’en vouloir si je me vide les couilles au fond de ton cul bientôt ? » « Non, non non donnez moi votre jus de vieux salaud ! Maintenant maintenant…. » Piqué au vif j’ai accéléré et trente secondes plus tard je jouissais à long traits tout au fond de ce cul de jeune fille salope avec un très grand plaisir.
Je suis allé dans la salle de bains faire une toilette sommaire et me suis rhabillé. Quand je suis revenu vers le lit la pauvre petite dormait comme un bébé. Je suis parti sur la pointe des pieds.
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