Après avoir raccroché avec Maman, je suis allée chercher une bouteille d’Ice Tea d’1,5L pour me mettre en suite sur la canapé devant la TV. Au moment de m’installer, j’ai fait attention avant de prendre ma position allongée car debout je sentais le liquide mi mollet. Même si Maman n’aurait pas été d’accord, j’avais mis les pieds sur le canapé en prenant soin de monter les genoux. Je faisais attention à ne pas déplier trop mes jambes, pour éviter que mon pipi passe au-delà des genoux. Tout en buvant mon Ice Tea et regardant la TV d’un œil, j’étais aussi avec mon téléphone. Au bout d’une demi-heure, sans bouger je me soulageais. Non seulement c’était amusant, mais en plus c’était pratique. Au même moment j’ai ma meilleure copine qui m’appelait.
Linda est ma super copine, mais elle a juste un défaut majeur, quand elle est partie on ne peut plus l’arrêter. Elle voulait me raconter les derniers potins du collège et surtout qu’elle sortait enfin avec Romain. C’est elle qui parlait le plus, et cela faisait déjà une heure. Je ne suivais pas trop la TV, mais par contre, j’avais bu presque toute la bouteille. Je commençais à avoir de nouveau envie. Comme depuis le matin je ne me retenais pas quand j’avais envie, je fais de même pendant que je discutais avec Linda. Tout en l’écoutant j’étais quand même concentré sur mon envie car je n’avais pas eu le temps de lever avant. Toute mon intimité et mes fesses baignaient de plus en plus. Je commençais à avoir peur que cela déborde derrière. J’essayais de me retenir mais sans succès.
Je me suis levée et j’ai senti un flot descendre au niveau de mes jambes. Linda me pose en même temps une question à laquelle ne je ne répondis pas immédiatement.
– Tu es toujours là ?
– Oui !
– Comme tu ne me répondais pas je doutais.
– Tout en parlant, je me suis renversé de l’Ice Tea sur moi.
– Comment tu as fait ça ?
– Je suis vautrée sur le canapé et je n’ai pas fait attention.
Je n’allais pas lui dire ce que je faisais, même si je pense qu’elle m’aurait dit que cela ne l’aurait pas étonnée avec tout ce que je pouvais lui raconter sur Maman et Angélique. Ce qui a été amusant, c’est que Linda a mis fin à la conversation, car elle avait une envie pressante et j’en ai d’ailleurs rigolé.
Le niveau avait fortement augmenté et je sentais maintenant que mes genoux étaient limite d’être immergés, m’obligeant un peu à rester debout.
De retour dans ma chambre, j’ai vu à travers la porte fenêtre que la neige s’était remise à tomber et il commençait à y en avoir une bonne couche sur le balcon. J’ai ouvert la porte et j’avais envie de faire des boules de neige avec. Pour me refroidir, je me suis dit que je pourrais ouvrir un peu la combi, mais sans plus. La neige sur mes mains me refroidissait et là je me suis dit que je pouvais en mettre sous mon kway.
J’ai commencé par faire une première boule de neige et au niveau de mon torse je l’ai déposé. C’était très froid et elle fondait très vite. Je sentais l’eau froide dégouliner entre ma poitrine, puis sur mon ventre et passer doucement dans le pantalon du kway pour arriver avec le reste. Fort de cette première expérience, je fais une boule beaucoup plus grosse pour la mettre non pas sur mon torse mais directement dans mon pantalon. Elle était tellement grosse, qu’aurait pu presque croire que j’étais enceinte. J’ai fermé la porte car je n’avais plus très chaud et aussi remonté le zip de la combi jusqu’en haut. Pour diminuer le volume, j’ai écarté un peu les jambes pour ensuite appuyer sur la boule. A ce moment je l’ai senti se mettre s’éclater et envahir mon intimité. C’était la première fois que je ressentais un tel froid sur mon intimité et ça me brûlait un peu. J’ai eu comme réflexe de serrer les jambes. J’avais mes mains entre mes cuisses et à travers la combi j’appuyais encore plus sur la neige.
Sans le vouloir et pour la première fois, j’ai fait pipi mais sans contrôler mon envie. J’ai senti que c’est parti d’une traite sans s’arrêter. Au bout de 10 minutes, toute la neige avait fondue faisant monter le niveau au-dessus de mes genoux. A ce niveau je n’osais plus m’assoir. J’étais resté à côté de la porte fenêtre regarder la neige tomber mais aussi accompagné de la nuit. Comme Maman m’avait demandé, la nuit tombée, j’ai fait le tour de l’appartement pour fermer tous les volets.
Vu l’heure, je me suis dit qu’il fallait que je me change, car si Maman rentrait plus tôt je ne serai pas quoi lui dire. Une fois dans la salle de bain, je voulais commencer par enlever la combi. La partie haute était très facile, mais pour la partie basse j’étais confronté à un problème : comment passer les pieds sans que cela déborde. Je me suis dans la douche et je me suis collé contre le fond de la douche. Tout en gardant les jambes tendues, j’essaye doucement de passer sans un premier temps le talon de la cuissarde à travers la jambe de la combi. La souplesse de la danse m’a beaucoup aidé, car j’arrivais mettre mes mains au niveau de mes pieds tout en restant droite.
Non sans mal, je réussi à dégager une première jambe de la combi, et il ne me restait plus qu’à faire de même pour la seconde. Au bout d’une demi-heure j’avais enfin réussi à me libérer de la combi. Au final j’avais réussi sans avoir aucune fuite de la journée. Mais avant de me déshabiller pour prendre ma douche, j’ai fait mon dernier pipi de la journée. Pour vider les cuissardes je lève la jambe comme à la danse pour poser le talon sur le mur face à moi. Un flot jaune sorti de la cuissarde et inonda la douche et en même temps la seconde jambe. C’était drôle de ne plus avoir de liquide dans la jambe. J’ai fait de même pour l’autre jambe, avant de prendre ma douche et tout laver.
Une fois nue pour prendre ma douche, je me suis lavé ainsi que les affaires. Une fois sortie de la douche, je me suis essuyée. Une fois sèche, j’ai commencé par aller ranger ma combi de ski, avant de nettoyer mon kway et de le sécher. Comme je n’arrivais pas à bien l’essuyer, je l’ai suspendu dans mon armoire. Il fallait aussi que je m’occupe de sécher au mieux les cuissardes, car le matin elles étaient légèrement humides, et que je supposais qu’Angélique penserait les trouver sèches le soir. Avec le sèche-cheveux pendant un quart, j’arrive enfin à les sécher avant de les remettre à leur place.
Il fallait que je me dépêche, car il était déjà 18h30. Même si Maman ne m’avait pas encore envoyé de SMS pour me dire qu’elle était dans le TGV, je supposais que cela n’allait pas tarder. D’ailleurs je ne me trompais.
– Ma puce, c’est Maman.
– Oui je sais.
– Je monte dans le TGV avec Angélique et nous serons à l’appartement vers 19h45.
– D’accord Maman. Tu veux que je prépare le dîner ?
– Je veux bien. Tu peux aller dans la cuisine que nous regardions rapidement.
– J’y vais, dis-je et me disais qu’heureusement que Maman ne me voyait pas toute nue me diriger vers la cuisine.
– Je pense qu’il doit y avoir au congélateur des patates au lard que j’avais préparé le week-end dernier.
J’ouvre le congélateur et moi qui avait eu chaud toute la journée, j’étais en train de me congeler la poitrine le temps de chercher.
– Je les ai.
– Tu peux les mettre doucement à réchauffer dans la sauteuse a feux doux. Pas plus de 3 ou 4. Et en entrée nous pourrons faire une soupe pour nous réchauffer, car il ne fait pas chaud sur Paris.
– D’accord Maman.
– A tout à l’heure, Bisous ma puce.
Toujours sans tenue, je mets à chauffer. Prise d’une nouvelle envie de pipi, je passe par les toilettes avant d’aller dans ma chambre. Je prends rapidement un legging, tee-shirt et sweat et mes tennis pour reste à l’appartement. De retour dans la cuisine avec mes vêtements pour surveiller la sauteuse que j’entendais s’exciter. Je l’avais mis à 7 pour commencer, mais il fallait réduire rapidement à 4. Une fois fait, j’enfile mon tee-shirt, mon legging et mes tennis. Quand j’ai mis mon leggin, mon intimité qui était en contact avec le haut de la cuissarde toute la journée, l’avait rendu sensible et le contact avec le tissu me le rappelait.
J’ai fini de préparer la table et le dîner avant que Maman et Angélique.
– Coucou ma Puce.
– Coucou Axelle
– Coucou.
– Alors çà été ta journée ?
– Tu vois je me suis débrouillée et sans problème.
– C’est ce que je vois.
Comme tous les soirs, quand maman rentre du de déplacement, nous aimons bien nous prendre dans nos bras et maman aime me faire de gros bisous. C’est amusant, car maman m’a passé sa main sur mon dos et mes fesses et elle a dû sentir que je ne portais pas de sous-vêtement. Elle ne m’a rien dit, mais elle a bien compris que je commençais à avoir les mêmes habitudes qu’elle.
Je sais que je reste son bébé, mais en même temps je deviens aussi une jeune femme. Mes envies de femme de son de plus en plus forte chaque jour, mais je veux aller à ma vitesse sans me forcer ni me restreindre. Maman le comprend bien, et j’espère que cela va durer.
Je vais quand même en discuter avec ma Maman de cette expérience, car je suis sûr qu’elle peut m’apporter d’autre idée et surtout de ne plus être obligé de me cacher.
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