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Une promotion pour mon mari

Une promotion pour mon mari



Je ne me doutais pas de ce qui allait m’arriver.
Alain me dit :
« Mon boss nous invite à dîner chez lui.  Dans le cadre d’une dynamique de cohésion, il souhaite rencontré les conjoint de ses collaborateurs. »
Comme Alain à la dent longue et qu’il souhaite grimper dans la hiérarchie de l’entreprise, il a bien sûr sauté à pied joint sur cette occasion.
Pour cette soirée, Alain m’a offert une robe que je trouve un peu trop sexy en me disant :
« Tu sera à croquer dans cet écrin ma chérie. »
Le soir, au moment de partir, il m’embrasse amoureusement en me palpant les fesses sous ma courte robe. Puis il me susurre à l’oreille :
« Fais moi plaisir mon ange, j’aimerais te savoir nue sous ta robe. »
Je le regarde, l’œil pétillant et en le regardant droit dans les yeux, j’enlève mon string en lui disant :
« C’est tout ce que j’avais dessous. »

« Huuuum tu es exquise mon ange. J’ai envi de t’en demander un peu plus. Tu veux bien ? »
Là, je m’inquiète. Déjà aller chez son patron nue sous ma robe et maintenant il m’en demande plus ?; Je m’attends au pire avec mon cochon de mari.
« Parles toujours ! Mais tu m’inquiète ! »
C’est alors qu’il me tend un collier ressemblant à un collier de chien en me disant :
« J’aimerais que tu porte ce collier pour montrer à mon patron qui est le Maître. »
Je fais un pas en arrière et le regardant furax, je lui lance :
« Mais t’es complètement tordu ? Que va-t-il penser de moi ? C’est toi même qui m’a dit que je lui faisais bonne impression ? »
« Justement ma chérie et puis ça nous fait un petit scénario à « l’histoire d’O » ? »
Je fais la boudeuse mais le laisse me mettre ce collier. Je commence à subodorer ce que ce repas risque d’être. Malgré ma contrariété, j’ai des fourmillement dans mon ventre.
En montant les marches de cette maison bourgeoise, je me sens vulnérable et appréhende la réaction de son boss. Lui semble plutôt sûr de lui. Il me dit en matant les marches :
« Ma chérie, je suis sur la sellette pour une devenir Directeur adjoint de la boite. Donc ce soir, nous devons briller de tout feux. J’ai besoin que tu donnes de ta personne ce soir et tu ne le regrettera pas ! »
Je ne dit rien. Mais c’est avec une boule au ventre et une étrange sensation d’excitation que j’entends e marteau retentir sur la porte monumentale de l’entrée. En attendant que le major-d’homme nous ouvre, Alain se retourne vers moi avec un sourire qui se veut rassurant et sort de sa poche une laisse qu’il accroche au collier. Même si à la maison, il me dominait dans des jeux et qu’à ces moment intimes j’étais son jouet, ace soir la donne est différente. Sa promotion est en jeuyx et je vais en être l’enjeu.
Je ravale ma fierté et regarde mon mari en le fusillant du regard mais aussi en lui faisant un signe de tête en guise de soumission. Quand la lourde porte s’ouvre, je suis tenue en laisse comme une vulgaire chienne. Le major-d’homme nous mène au salon sans être choqué par ma position. Son patron, nous accueille jovialement avec un grand sourire.
« Bonjour ! Enfin je vais mieux connaître votre épouse ! »
Il me baise la main très gentleman et nous propose de nous installer devant l’âtre dans de confortables et profond fauteuil le temps que le major d’homme nous serve le champagne. Puis s’adressant à moi il me dit courtoisement :
« C’est un plaisir de vous recevoir, Michèle. Je suis ravi que vous ayez accepté de participer à cette soirée. »
Je réponds par un sourire de convenance sachant pertinemment comment risque de tourner cette soirée. S’installant face à moi et plongeant dans mon décolleté, il me dit :
« J’espère que vous appréciez ce champagne ? Il vient directement de mes vignes personnelles. »
Je lui fais un large sourire comme simple réponse. Puis, sans plus se soucier de moi, les deux hommes se mettent à parler travail. Le champagne me détend et je rêvasse pleinement consciente d’être tenue en laisse devant cet inconnu. De temps à autre, son patron jette un œil sur moi. Il doit remarque mes tétons qui percent le fin tissu de ma robe.
Son patron rempli à nouveau ma coupe. Le champagne commence à me monter à la tête. Après la quatrième coupe, je commence à être à l’aise. Une douce chaleur envahit mon ventre quand une traction sur la laisse me sort de ma torpeur. Les deux hommes me regardent avec un sourire bizarre. Un frisson me parcoure le dos quand Alain me dit :
« Lève-toi ! »
La tête me tourne quand je me lève. Alain se met derrière moi alors que le patron me déshabille du regard. Lentement, Alain fait glisser les bretelles de ma robe sur mes épaules et je me retrouve totalement nue devant son boss. En admirant mes courbes, il hoche la tête d’un air approbateur.
Sans un mot son patron continue de me détailler en buvant sa coupe de champagne. Malgré l’humiliation, je sens mon intimité devenir humide. Alain me prend alors les seins et le malaxe doucement. Je vois le patron sourire et Alain va plus loin en me tordant les tétons jusqu’à ce que je grimace de douleur. Gênée et, humiliée, une vague de plaisir commence à m’emporter. Le patron se lève à son tour, fait le tour de la table basse et saisit à son tour un téton pour le tordre. Il y met plus de vigueur que mon mari et souhaite certainement m’entendre crier et le supplier d’arrêter car il me regarde droit dans les yeux. Il arrive à ses fins et en grimaçant je lâche un cri de douleur qui semble le satisfaire.

Puis il se met à sucer et aspirer mon mamelon me faisant maintenant me tortiller de plaisir. Vague après vague, le plaisir monte en moi pendant que le patron continue d’explorer mon corps sous les yeux de mon mari. Deux doigts épais me pénètre la chatte trempée de mouille. Je me met à haleter comme une chienne aux mains de cet homme. Emportée par une vagues de jouissance, j’exprime à haute voix le plaisir qui me submergeait. Alain est aux anges de me voir aussi réceptive et me glisse à l’oreille :
« Je t’adore chérie. T’es une bonne salope !  Continue comme ça et demain tu couchera avec le directeur adjoint. »
A ce moment, un orgasme me tétanise. Il est si violent que je jutte carrément ma cyprine dans la main du patron. Surpris par un tel débordement, il dit à Alain :
« Vous ne mentiez pas en disant qu’elle était très expansive ! »
Il me met à quatre pattes le cul en l’air et je reçois plusieurs claques sur les fesses, m’arrachant quelques petits couinements. Ses gros doigts glissent à nouveau dans ma chatte baveuse. Alain c’est assit dans un fauteuil et a sorti sa queue pour que je vienne le sucer. J’ouvre la bouche pour l’accueillir et, me prenant par les cheveux, il me l’enfonce profondément.
L’énorme bite de son patron me fourre la chatte. J’essaye de reprendre mon souffle, mais le sexe de mon ma ri m’en empêche.
Embrochée de la sorte, je n’ai aucun contrôle et ils m’utilisent sans se soucier de mon plaisir. Le chibre du boss ressort de ma chatte pour mieux y replonger plus profondément. Dans cette position, j’ai peur que son patron me prenne le cul. J’entends tout à coup :
« J’vais jouir au fond de sa chatte ! »
Il se cale bien profond dans mon vagin et gicle intensément en meuglant comme un veau.
Il reste un instant et se retire quand Alain se lâche à son tour dans ma bouche. Je prends son sperme avec plaisir et avale tant que je peux. Son bosse alors me présente son engin ramolissant et couvert de sécrétions en me disant courtoisement:
« Voulez-vous bien me nettoyer la hampe chère amie ? »
C’est demandé si gentiment que je m’exécute avec plaisir.
Pendant que je nettoie sa bite, Il demande à mon mari :
« Devons-nous la terminer? »
« Mais comme vous voulez Monsieur. Elle se fera un plaisir de vous satisfaire. »
Il sourit et lui répond :
« Oui. Merci. Mais je crois qu’elle l’a bien gagné. »
Le patron m’ouvre les cuisse et plonge sa tête sur ma chatte pour me faire un cunnilingus extraordinaire. Je pousse des feulement et roule des yeux sous cette divine caresse. J’atteins un orgasme d’une v******e inégalée et m’écroule demie évanouie comme sur un nuage, le regard vide et un sourire béat. J’entends vaguement le patron rire avec mon mari en disant :
« Vous avez une bonne petite chienne ! Maintenant nous pouvons nous tutoyer puisque j’ai un nouveau Directeur ! Mais comme ta femme est prédisposée à servir de chienne…..Nous pouvons faire d’elle une plus-value dans notre entreprise pour emporter des contrats  Qu’en dis-tu mon ami ? »
Alain acquiesce sans me demander mon avis et rajoute :
« Tu es un visionnaire patron ! Je pense qu’elle ira loin dans l’entreprise ! »
« Pshhit Pas de patron qui tienne ! Appele moi Christian ! Maintenant nous partageons tant de choses ! »

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