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Brève N°17 Une femme un soir dans un b

Brève N°17  Une femme un soir dans un b



Brève N°17

Une femme un soir dans un bar.

   Parfois on fait des rencontres qui sont éphémères. Au point qu’on ne sais même pas qui on a rencontré. On ne connais pas son nom, ni même son prénom. Delà m’est arrivé plusieurs fois. En particulier dans un bar de nuit assez branché et coquet. Ce n’est pas vraiment mon habitude de traîner les bars mais j’aimais bien celui là. Mi bar, mi boite de jazz c’était un endroit agréable. Excellents cocktails, excellent scotchs et de la bonne musique un endroit à partager avec une amie. Mais parfois il arrive qu’on soit seul.
   C’était l’été, beaucoup de gens en vacances sur les plages, ici plus grand monde une sorte de désert. Et quelques âmes en peine à la recherche de quoi? Oh rien un moment agréable. Je n’avais même pas en tête de trouver de la compagnie pour la nuit.  Mais des fois le destin en décide autrement. Et ce soir là le destin avait la quarantaine, brune, des jolis yeux bleus je crois. Bien faite, élégante et sexy, un peu trop sexy peut être pour être seule.  Nous étions a peine plus d’une demi douzaine dans ce bar. Comme toujours je sirotais un Knockando, en fumant une blonde.

   Elle était assise sur la banquette, à une table d’écart, dans un angle. Je n’avais pu que remarquer les jolies jambes qu’elle montrait ostensiblement. Jambes croisées relevant sa jupe assez haut pour qu’on devine la naissance de la dentelle de ses bas, de vrai bas car on distinguais parfaitement les petits plis en arc de cercle que font naître les attaches du porte -jarretelle.

   On engageait la conversations sur des choses parfaitement anodines, je lui offrait une cigarette qu’elle accepta avec un sourire enjôleur. Lui proposant ma flamme, de briquet dans un premier temps, je ne pouvais éviter le regard qu’elle me lançait tout en tirant sur la cigarette. Immanquable également, l’arrondi de ses lèvres quand elle expira la première bouffée. Je lui offrit un verre. On parla de choses et d’autres. On se rapprochait imperceptiblement.  Elle sentait bon, son corsage ouvert laissait entrevoir des seins opulents, je ne pouvais que remarquer les tétons qui pointaient sous le tissus léger dont la transparence montrait l’absence de soutien gorge et les sombres et larges aréoles.  

   Elle ne faisait pas mystère qu’elle cherchait de la compagnie, nos mains se frôlaient, sa peau était douce. Elle décroisa les jambes. N’y tenant plus je posais ma main sur sa cuisse, mes doigts caressant son bas, le crissement audible de mes doigts sur le voile noir cessa quand j’atteignis au delà de la dentelle une peau d’une douceur infinie.

   Elle ne parlait, plus ses yeux brillants de désir me scrutaient. Ses dents mordaient sa lèvre inférieur alors qu’elle laissait échapper un soupir sans équivoque. Mes doigts sur sa peau nue, semblaient avoir mis le feu au poudre. Avec un sourire narquois, elle lança sa main sur ma propre cuisse et laissa ses doigts partir en exploration, elle buta sur mon sexe déjà gonflé. Sans honte je sentis ses doigts se refermer  sur ma virilité.

« Je ne suis pas la seule a avoir des envies on dirait? » dit elle

« Non c’est certain et tu est très jolie, libre ce soir? »dis-je avec un sourire

« Toute a toi si tu le veux, chez toi? Chez moi? » dit elle enjôleuse.

« Et si je dit, ici et maintenant? » dis je en plaisantant à demi

« Chiche!! » me dit elle en plantant ses yeux bleus dans les miens!!

   Joueuse la belle..

« En bas? Les toilettes? » dis-je

« Oui j’arrive » dit elle.

   Je me levais la précédant, je descendait les marches qui menaient aux toilettes, l’établissement étant sélect, les toilettes étaient aussi propres et agréables qu’un autre endroit, un parfum certes artificiel de lavande ou un truc dans le genre donnait une touche agréable.

J’attendais quelques minutes et j’entendis ses talons sur les marches. J’étais appuyé sur le plan des lavabos, la salle carrelée d’un rouge sombre était étincelante sous la lumière crue des néons. Elle franchi les quelques mètres nous séparant avec un déhanché qui aurais fait frémir un eunuque. Je tendais le bras, passais ma main au creux de ses reins. L’attirait vers moi, elle plaqua son bas ventre contre ma bosse. Inclina la tête entrouvrit ses lèvres rouges. Je plaquais ma bouche sur la sienne, lançant ma langue à l’assaut de la sienne. On s’embrassait fougueusement, mon autre main parcourait son dos, ses fesses. Elle avait glissé ses mains sous ma veste et me caressait les flancs et la poitrine. Un mouvement lascif de ses hanches frottait son sexe contre le mien.
Elle et moi étions bouillants.
Mes mains s’étaient maintenant affairées à dégrafer son chemisier, et j’écartais les pans de tissu, dévoilant des seins lourds, chauds et doux aux pointes tendues brunes et granuleuses comme je les adore. Passant mes pouces sur les tétons, elle rejetait la tête en arrière dans un soupir, offrant un cou gracile à mes baisers, à ma langue qui laissait une trace de salive sur sa peau légèrement salée.

Passant mes mains sous ses fesse, je la mettais à ma place, assise sur le plan des lavabos. Son chemisier ouvert d’où jaillissaient ses seins, sa jupe troussée jusqu’au dessus des hanches, m’offrait le spectacle d’un sexe offert, un fente rebondie, pas de culotte, un petit triangle de poils noirs surmontant la blessure. Les préliminaires seraient pour après. Elle et moi avions besoin de nous prendre mutuellement. J’étais totalement excité. Ma queue gonflée. Je fouillais dans ma poche pour prendre un préservatif (je m’en sert quasiment jamais mais j’en ai toujours sur moi).

La belle me le prend des mains le jette au sol.

« Prend moi!! prend moi vite!! »

   Ma queue est tendue, ma braguette la laisser s’échapper. J’installe ma belle au mieux. Elle est juste a la bonne hauteur. Tout en nous mangeant la bouche, je laisse mon sexe trouver seul le chemin, son sexe est brûlant. Je la pénètre d’un coup, c’est chaud, soyeux humide, bien plus humide que je n’aurais pensé trouver ce sexe. Elle est vraiment en manque.

Elle pousse un cri quand je pénètre en elle, cambrée elle s’offre a mes coups de rein. Serrant ses mollets autour de ma taille. Elle rythme ma pénétration. Ses mains glissées sous ma chemise, affole mes tétons. Elle se rend compte que j’aime et en profites. JE vais et viens en elle. Mon sexe en quelques allez retour est déjà trempé. Mes mains cajolent ses seins. Puis je laisse ma droite descendre entre nos deux corps imbriqués, mon pouce trouve le bouton au haut de sa fente. Elle frémis, pousse un petit cri quand je touche le petit bout de chair tendre. La belle est sensible du clito.
Nous sommes presque violents. Je la prend avec force, dans la précarité du lieu. Avec la possibilité d’être surpris d’un instant à l’autre. On se voit dans les grands miroir  c’est d’autant plus excitant. Elle et moi avons le rouge au joue.  On ne parle pas on agit. C’est a****l nous n’avons pas besoin de sentiment ou de tendresse on a envie de baiser, un point c’est tout.

   Je réussi à la faire jouir pour de bon, ce qui n’est pas forcément facile avec une inconnue. Elle prend son pied agrippée à moi, mangeant ma bouche. Gémissant contre mes lèvres Je sent l’humidité de son entre cuisse grimper en flèche. Elle se calme un peu je suis au bord de l’explosion, de l’apoplexie. Elle me repousse un peu, un instant je crains qu’après avoir pris son pied elle me laisse en plan.
Non elle se laisser glisser à bas de son perchoir, s’accroupit et englouti ma queue vraiment trempée. Oh moins d’une minute après je jouis , elle me retiens, me fait me déverser dans sa bouche, ses yeux rivés au mien, elle adore recevoir mon sperme c’est une évidence. Elle à une mine de chatte devant un pot de crème.
Pour moi c’est fort, violent, je me libère de toute la tension accumulée. J’en ai les jambes qui tremblent. Bon sang que c’est bon!!

Elle finis de manger ma semence, s’essuie les lèvres, me plante un petit bisous tandis que je me rajuste.

   « Hum c’est bon.. Chez toi ou chez moi pour faire connaissance et continuer? » dis-je

   « Chez moi si tu veux c’est a deux pas, je ne suis pas sure de pouvoir attendre longtemps avent de recommencer. »dit-elle en minaudant.

Nous ressortons des toilettes des hommes au moment ou un brave monsieur descend. Il nous regarde un peu surpris. Je ne sais pas si il c’est rendu compte. Mais quand nous le croisons, ma belle amie lui glisse un petit « Trop tard…  » très narquois.

Ensuite nous sommes allés chez elle. Passé la nuit ensemble. Au petit matin elle partait à son bureau, on c’est embrassés elle m’a fait un petit signe de main dans la rue. Et là je me suis dit, mais au fait c’est quoi son prénom? Je ne le savais pas ne le saurais jamais je ne l’ai jamais revue. Pourtant plusieurs soir j’ai tenté de voir si elle traînait dans ce bar.

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