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Histoire de slips.2

Histoire de slips.2



Slip kangourou ou mini-slip (2).

Le jour suivant, Guy arriva nettement plus tôt. Je sortais tout juste de la salle de bain en mini-slip. Directement il attaqua « Hummm, agréable et excitant » me dit-il. Il ne lui fallut que quelque seconde pour se retrouver dans la salle de bain et prendre directement une douche. Après quelque minute il apparait en slip kangourou taille basse et lâche « Ainsi nous sommes à égalité et nous pouvons reprendre notre discussion interrompue hier soir. Je t’en remercie grandement ».
– « Bon si tu veux, Je dois te prévenir en premier lieu que très peu de gars dans notre métier sont aussi tolérant que moi et qu’il faut donc faire très attention lorsque l’on parle de ses choses-là. Mais raconte moi un peu plus sur toi aussi. Hier soir je t’ai fait une confidence à toi maintenant »
– « Ben tu vois quand j’ai eu 15 ans, j’avais un bon copain avec lequel on faisait plus ou moins les quatre cents coups d’ado. Un jour que nous étions assez excités, il me demanda tout à coup de regarder dans son cou pour voir s’il n’avait pas un insecte dans son cou. Me plaçant derrière lui, je regardais dans son cou. Au même moment je sens sa main sur ma braguette qui me tâte la bite. Comme je bande, il sent bien ma bite dure. Ne voulant pas le vexer, je le laisse faire. Après quelques secondes il me dit « J’avais bien vu que tu bandais ». Je lui réponds du tac au tac « Je crois que toi aussi ». « Tu veux que je regarde dans ton cou si tu n’a pas de petite bête dans ton cou » est sa réponse. Je saute sur l’occasion en lui répondant oui, il y avait si longtemps que je voulais connaître et tâter une autre bite. Et voilà qu’il se met derrière moi et regarde dans mon cou. Je laisse aller ma main sur sa braguette et là je sens comme un morceau de bois. Il ajoute « Vas-y branle moi de haut en bas ». J’imprime à ma main un mouvement de haut en bas. Après quelques aller retour de bas en haut il me dit « T’a jamais branler un copain ». Non fut ma réponse. Attend viens ici je vais te montrer. Il met sa main sur sa braguette enserre sa bite en effectuant un va et vient de haut en bas. Tout à coup il me dit « J’y tiens plus » et plonge sa main dans sa poche. Je vois alors sa braguette déformée par la main qui s’astique la queue. Il me regarde et souri « T’as pas un trou dans ta poche, chez moi il y en a un grand comme cela je peux caresser ma bite sur mon slip ou même baisser mon slip pour me branler. Tu veux sentir comment c’est ». Et de sortir sa main de sa poche. « Allez n’ai pas peur ca ne mord pas ». Il prend ma main et la fait entrer dans sa poche. Je me prends au jeu et je ma place légèrement derrière lui pour pouvoir entrer plus facilement ma main dans sa poche. Ma main glisse dans le tissu et effectivement au fond, la poche est défoncée et j’aboutis sur son slip. Entretemps il n’est pas resté inactif sa main à glissée vers l’arrière et à empoignée ma bite au travers de mon pantalon. « Caresse-moi, vas-y n’aie pas peur, j’ai envie que tu me branle à fond. Tu sens le dessus de slip est légèrement humide car je mouille du bout ». Et de me masser plus fort la braguette. Je fais aller ma main sur son slip. « Oui, vas-y, fait moi jouir dans mon slip ». J’astique maintenant sa bite que sens nettement dans ma main. De mon côté je sens que la pression monte dans mes couilles. Tout à coup, il me dit « Ouuiii ca vient, continue, je jute, tu sens ma bite tressaute. J’en met plein mon slip ». Ma main sur son slip ressent à ce moment une chaleur et plusieurs contractions de l’engin. Le slip commence à s’humidifier, mon copain vient effectivement de juter dans son slip. De mon côté le fait de sentir l’humidité dans ma main, me fait monter le jus dans ma queue et je lâche également toute la purée dans mon slip. « Tu vois, qu’est-ce que tu préfère la branlette sur le pantalon ou bien sur le slip comme tu as fait chez moi » me dit-il. Je lui réponds que je vais devoir faire un trou dans ma poche pour lui permettre de me branler de cette façon. « J’y compte bien » me dit-il. Voilà, c’est grâce à cela que j’ai pris l’habitude de me branler dans mon slip. Même maintenant j’ai toujours une poche de mon pantalon qui n’a pas de fond ainsi je peux me branler quand je veux ».
– « Tu n’a pas eu des problèmes avec ta mère car tes slips devaient avoir de fameuses tâches de sperme ».
– « Non ma mère n’a jamais rien dit. Je crois que mon père jutait également dans son slip et que ma mère aimait bien cela. J’avais entendu plus d’une fois ma mère dire : Vas-y lâche tout dans le slip, le siens ou celui de mon père, je ne sais pas, mais j’avais trouvé dans le panier à linge le slip de mon père rempli de jute ».
– « Tu l’a fait avec ton copain après ».
– « Oui assez souvent, on mettait chacun une main dans la poche de l’autre et on se branlait ainsi dans notre pantalon sur notre slip. Même qu’un jour, en été, il faisait noir et il m’a demandé de le branler en prenant sa bite en main en baissant son slip dans son short. Ce que j’ai fait. Il a juté dans son short. Puis il m’a montré la jute qui coulait le long de sa jambe. Avec son doigt il en a pris une goutte et à léché son doigt pour connaitre le gout sa jute. Il m’a demandé si je voulais goûter mais j’ai refusé ».
–  » Tu aurais du car ce n’ai pas mauvais ».
– « Il ya quelque chose que je voulais te demander : est-tu homo et as-tu déjà goûté du jus ».
– « Ben oui j’en ai goûté, le mien pour en connaître goût. J’ai également goûté le jus transparent qui suinte par goutte lorsque l’on est excité. Et non je ne suis pas homo, mais j’adore de voir des bites et même un peu plus puisque je me branle. J’adore le sexe entre homme mais pas d’être enculé. Je ne m’en fais pas une obligation mais lorsque l’occasion se présente de pouvoir voir ou tâter une queue je ne la décline pas tout comme une moule aussi. C’est le cas durant ce séjour, tu te branlais et cela m’excitait alors je me suis branlé. Comme hier avec toi mais il n’y aucune obligation et comme tu voulais en savoir plus on va faire en sorte que tu en découvre plus aujourd’hui. Si cela te gêne ou t’ennuie tu le dis et on arrête et on en parle plus ».
– « Au contraire pour moi ça me vas. Je n’ai jamais rencontré quelqu’un d’aussi ouvert avec lequel je peux parler et aussi apprendre si tu veux bien. Je me sens bien en ta compagnie, nettement mieux que lors des autres missions ».
– « Je crois que cela se voit à ton slip, je vois que tu bande à nouveau. Moi aussi comme tu peux voir, la conversation n’y est pas pour rien et mais les souvenirs font bander ».
– « Je peux toucher ».
– « Qu’est-ce que tu attend, approche toi. Viens on va s’asseoir côte à côte c’est plus facile. A moins que tu préfère que je reste debout en face de toi ainsi tu pourra mieux mater mon slip ».
– « Si tu le permet, j’aimerai mieux que tu reste debout devant moi. Je m’assieds comme cela je suis juste à la hauteur de ton slip pour mater ».
– « Sans problème. Je vois que la poche de ton slip est déjà fameusement déformée ».
– « Oui je bande à fond, je sens que j’ai les couilles bien remplies.
– « Ta bite ne doit pas être à l’aise dans ton mini-slip recourbée comme elle est. J’ai l’impression que tu mouille déjà du bout ».
– « Bien vu. Allez touche puisque tu veux. Fait remonter ma bite vers le haut pour qu’elle soit relax. Oui comme cela fait pivoter doucement, voilà tu vois la tête se trouve juste sous l’élastique ».
– « Je vois surtout qu’elle grandi encore. On dirait que ton gland sort de son capuchon ».
– « Je crois que oui, regarde de plus près si tu veux ». Guy se baisse un peu plus pour se rapproché du mini-slip. Il a mon slip à trente centimètre devant lui. L’effet sur moi est complet ma queue se déploie totalement et elle se met à émettre des gouttes de liquide transparent qui apparaisse sous la forme d’une auréole humide juste sous le bord de l’élastique.
– « Eh bien tu en lâche de la mouille, ton slip va être trempé ».
– « Tu veux pas gouter, moi si je serai de toi j’aurai fourré mon doigt sous l’élastique. Mets-toi debout que je peux aussi te toucher la bite à mon tour ». Ce que Guy fait directement attendant probablement que je prenne l’initiative. Je m’agenouille. Mon visage est maintenant juste à hauteur de la poche déformée de son slip. Je pose ma main sur la poche et me mets à caresser la poche qui se gonfle un peu plus sous mon contact. Délicatement je fais effectuer à la bite une rotation pour lui donner une position plus confortable. Ce geste arrache un soupir de plaisir à Guy. Je penche un peu plus et pose mes lèvres sur le slip juste à hauteur du gland. Un grand « Ouaah » sort de sa bouche. Je sens que sa bite fait des soubresauts, je me recule et laisse son slip tranquille car je sens que si je continue il va juter.
– « Je vois que tu es déjà prêt ».
– « Oh oui c’est la première que j’ai cette sensation, mais que c’est bon ».
– « Occupe-toi un peu de ma bite » dis-je en me redressant ainsi « Ainsi la pression diminuera un peu chez toi. Je crois que rien que le fait de te toucher ta bite me ferait bien jouir aussi ». Entre temps je lui ai mis une main sur les fesses pour voir s’il va se retirer. Il ne bouge pas. Et moi j’avance le bas-ventre. Par ce mouvement mon gland franchi le bord du mini-slip.
– « Vas-y touche moi le slip et sort ma bite ». Guy hésite, puis tend la main, touche du doigt mon gland juste sur le méat, une goutte de jute transparente sort à ce moment-là et s’étale sur son doigt. Il regarde le liquide et je lui dis « Vas-y goûte, c’est l’occasion ». Je vois qu’il hésite mais finalement son doigt prend la direction de sa bouche et le suce. Je crois que c’est gagné on pourra aller plus loin.
– « Tu as raison, c’est très bon. Le tien quand même ». Sur ce, il revoie son doigt vers mon gland et se met à le caresser provoquant d’office le sortie de plusieurs autres gouttes qu’il recueille et porte à nouveau vers sa bouche.
– « Assied-toi comme cela tu seras juste à hauteur de ma queue et tu pourras mieux voir ce que tu fais ». Guy s’assied sur le bord du lit. Je me mets entre ses jambes écartées ainsi il est juste face à ma bite « Qu’en penses-tu. Il te plait mon gland. Il est temps que tu baisse un peu mon slip pour sortir ma bite. Vas-y prend-la entre tes doigts et baisse mon slip ». Ma bite entretemps continue à dégorger, je vois que de temps à autre du bout d’un doigt il ramasse le jus et le porte à sa bouche comme pour déguster un nectar. Comme je le pousse à baisser mon slip finalement je prends l’initiative, porte mes mains sur les deux côtés de mon mini-slip et baisse doucement le vêtement sans qu’il ne s’en aperçoive. Le début de la tige apparait avec le gland dans son entièreté bien décalotté. Guy semble tétanisé par le spectacle. Je continue doucement mais à un moment donné ma bite bascule vers l’avant en direction de son visage. Guy a un léger recul mais semble apprécier la bite devant sa bouche. Il a posé ses doigts sur la tige et caresse le corps de ma queue. C’est tellement doux que je lâche un « Hooo ». Il me regarde en souriant. Je me retrouve devant lui le slip à hauteur des genoux. « Ta bite est bien douce mais qu’est-ce que tu mouille ». Et de prendre ma queue en main en l’entourant complètement ». Je lâche un « Hummm » de contentement. « Je peux te branler un peu » me demande-t-il.
– « Oui, certainement, je t’arrêterai lorsque je sens que cela vient ».
– « Tu peux juter si tu veux » me répond-t-il.
– « Non pas maintenant il y a encore tant de chose à découvrir ». En pensant à sa queue toujours dans son slip et raide comme un piquet. De son autre main libre, je vois qu’il se caresse la braguette de son slip. J’avance encore un peu mon bas ventre vers son visage. Comme il recule son visage, il ne peut se retenir et bascule sur son dos lâchant ma bite. J’en profite pour tendre ma main et lui caresser la poche de son slip que sa main vient de quitter. J’y sens un véritable morceau de bois tendu avec sur le bout un renflement. Il me laisse libre de le caresser. Ma main glisse alors vers l’élastique du slip avec l’intention cette fois d’abaisser le sous-vêtement. Ma deuxième main rejoint la première sur le bord du slip kangourou et je commence à baisser tout doucement le bord du sous-vêtement avec un début d’apparition du gland à moitié recouvert de son prépuce mais suintant de liqueur transparente.
– « Vas-y » me dit-il tout à coup en soulevant les fesses. Il ne me faut pas plus comme signal et je dégage le slip l’amenant jusqu’à hauteur des ses genoux. Une magnifique queue de 16 centimètres se dresse dans toute sa splendeur. Elle est légèrement plus mince que la mienne. Le gland toujours recouvert à moitié de son prépuce montre un bel ovale avec un méat assez grand qui distille une belle liqueur transparente. Ma main ne peut s’empêcher de se diriger vers le bas ventre et se poser immédiatement sur la hampe juste sous le gland, d’un geste doux entre le pouce et l’index, j’abaisse doucement le prépuce dégageant totalement le gland. Remontant légèrement mes doigts un flot de mouille sort par le méat. Voyant cela je me baisse et pose mes lèvres sur la pointe du gland et aspire doucement toute cette liqueur. L’excitation de Guy est à son comble sa bite se met à tressauter. J’ouvre ma bouche, avale son gland et suce, l’effet est immédiat. Je sens un premier jet sur ma langue, suivit de plusieurs autres. Un grand « Ouaaaah » sort de sa bouche. J’avale doucement tout le jus qu’il distille en plusieurs gros jets tout en suçant toujours son gland. Son nectar est vraiment délicieux, un vrai régal. Je le nettoie complètement le gland de son jus en léchant sa bite qui ne débande pas.
Afin de lui laisser reprendre ses esprits, je retire mon slip et me couche sur le lit tout nu la bite dressée vers le plafond. Je me caresse doucement afin d’entretenir ma raideur. Revenant à lui, il me dit tout à coup « Tu veux que je te branle, tu n’as pas encore pris ton pied ce soir ».
– « Oui, tu peux bien, mais ne me fait pas jouir, j’ai encore envie de goûter à ta bite qui comme je le vois est toujours bien raide ».
– « Oui, je bande encore. Rien que le fait d’être à côté de toi à poils avec ta bite entre mes doigts me fait bander ». Je le laisse me branler doucement. Il utilise le pouce et l’index pour juste prendre mon prépuce et le faire monter et descendre tout doucement. Je mouille et lâche régulièrement une grosse goutte de liqueur transparente. Après quelques minutes ainsi je tends ma main afin de lui caresser la cuisse. Pour me faciliter la tâche, il se remonte un peu sur le lit. Moi j’en profite pour me retourner complètement et me retrouver face à ses pieds.
– « Qu’est ce que tu fait ».
– « Comme ça tu ne dois plus tendre la main puisque ma bite est à hauteur de ton visage. J’ai envie que tu me suce un peu comme moi il y a quelques instants ». Je vois qu’il hésite car tout est nouveau pour lui déjà le fait de se mettre à poils devant un autre homme, de s’être fait sucer et d’avoir jouis dans sa bouche. Finalement je le vois ouvrir sa bouche et poser ses lèvres sur mon gland.
– « C’est bon » me dit-il.
– « Vas-y continue, c’est bien, rentre bien le gland dans ta bouche. Suce. Fais aller tes lèvres comme quand tu me branle doucement. Voilà c’est bien. Maintenant lèche bien le gland avec ta langue, puis dans le pli du gland. Hummm c’est bon. Continue, je vais te sucer aussi ». Et j’embouche sa bite. Nous sommes maintenant en position 69. Sa queue est archi-dure et suinte abondamment. Deux, trois minutes se passent ainsi.
Il ouvre en grand la bouche et lâche « Je vais juter ». Je lui réponds « Moi aussi ». Je sens ses lèvres sucer plus fort sur ma bite et je reçois un premier jet de crème dans la bouche. Il n’en faut pas plus pour que moi aussi je lâche tout. Comme je n’ai toujours pas jouis la quantité est énorme. Je lui lâche au moins dix gros jets dans la bouche. Je sens qu’il avale consciencieusement la liqueur que je lui ai distillée. De mon côté trois gros jets ont atterri dans ma bouche que j’ai dégusté avec plaisir.
– « Alors mon jus t’a plu à ce que je vois; Tu as tout avalé ».
– « Oh oui, excellent, je ne m’attendait pas à cela ».
– « Tu vois, je crois qu’aujourd’hui tu as découvert beaucoup de chose ».
– « Certainement, surtout que deux hommes peuvent se faire d’énorme plaisirs ».
– « Oui et tout cela sans être pour cela pédé, mais par contre bien aimer le sexe et les hommes en général ».
– « Oui c’est surtout aussi parce que ton ouverture d’esprit est grande ».
– « Simplement un peu de respect mutuel pour ce que l’on est ».
– « Merci à toi ».
– « Si maintenant on se reposait un peu, nous avons encore une bonne journée de travail demain. Ensuite on verra bien, c’est le week-end ».
Ainsi fut fait pour cette soirée là.

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