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Fabien, sa mère et sa cousine (Vu sur le ne

Fabien, sa mère et sa cousine (Vu sur le ne



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Le lendemain matin, ma mère arriva dans la cuisine alors que je préparais le repas du midi. Elle vint se coller à moi par derrière et m’embrassa dans le cou:
Que fais tu mon chéri?
Ca te branche un pique-nique ce midi?
Super idée! où allons nous?
Je sais pas, on trouvera bien t’inquiète
Il faisait un temps magnifique, nous partons en voiture vers l’arrière pays, j’avais bien une idée mais rien de certain. Au bout de 30 mn de route, je trouvais ce que je cherchais, un coin reculé au bord d’une route où personne n’allait jamais, et à quelques mètres, des arbres qui faisaient de l’ombre et surtout qui nous cacheraient d’éventuels promeneurs. Mais je n’étais guère inquiet car nous étions hors vacances scolaires et en pleine semaine. Je stoppais la voiture sous un arbre et nous nous dirigeons vers le coin que j’avais repéré. La route était en contrebas ce qui faisait que personne ne pouvait nous voir, les arbres nous donnaient de l’ombre, nous étions seuls. Je plaçais une couverture sur l’herbe et je me mis en maillot tandis que ma mère fit de même, se retrouvant en maillot 2 pièces qui moulait son opulente poitrine. Je la matais avec gourmandise et elle s’en aperçut:
Tu les aimes hein? petit salopiaud!!! regarde comme ils sont beaux
Elle les caressa à travers l’étoffe, les soupesa. Je ne répondis rien et m’allongeais sur la couverture, elle s’installa à coté de moi. Je sentis sa bouche sur mon oreille, sa langue me faisait frissonner. Je tournais la tête et happais sa langue, ma bouche engloutit la sienne comme si j’allais l’avaler.
Elle recule en riant:
Gourmand va!
Dis que tu n’aimes pas!
Elle ne répondit pas et enroula sa langue autour de la mienne. Je dégrafais son haut de maillot, libérant ainsi sa poitrine gonflée. Je glissais une main sur un sein. Elle soupira:
Mmmmmmmmmmhhhhhhhh!!!
Mes doigts jouait avec son téton qui durcissait sous la caresse. Puis je glissais ma main sur son ventre et mes doigts se faufilèrent sous son maillot, allant à la rencontre de sa toison. Je glissais un doigt dans sa fente déjà mouillée et cherchait son point G, j’arquais mon doigt en elle pour titiller cet endroit. Elle jeta sa tête en arrière:
Mmmhhhh! mais c’est génial!!! tu fais ça si bien!!!
Je glissais un autre doigt, ce qui la fit gémir encore plus. Elle se redressa, enleva son bas de maillot et se mit sur moi en 69. Elle tâtait ma bosse, jouant avec mon sexe à travers le tissu. J’écartais ses lèvres et glissais ma langue dans sa chatte pour aller et venir en elle comme avec mon sexe. De son coté, elle me libéra de mon maillot et engloutit ma verge avec vigueur. Ma langue la fouillait avec ardeur, je sentais sa mouille inonder ma bouche et couler sur ses cuisses.
Tu aimes ce que je te fais! hein ma salope de maman?
Elle me répondit tout en me masturbant
Oh oui mon amour chéri! tu fais ça si bien!!!
Elle me repris en bouche, sa langue jouant sur mon prépuce. Elle gémit de plaisir:
Je jouis! vas y, ne t’arrête pas!!! oui c’est bon!!! ouiiiiiiiiiiiii!!!
Elle eut un premier orgasme. Mais cela ne lui suffisait apparemment pas… et à moi non plus. Elle se redressa, pivota sur elle même pour se mettre face a moi et s’empala sur ma bite luisante de sa salive. Elle eut un râle en sentant mon gland toucher le fond de sa cavité utérine. Je la tins par les hanches tandis qu’elle allait et venait sur moi. Ses seins ballotant sous mes yeux, ma bouche s’empara d’un téton, ma langue joua un moment avant de s’occuper de l’autre. Nous faisons l’amour longtemps, Je la faisais stopper ses mouvements quand je sentais que j’allais venir. Elle eut ainsi plusieurs orgasmes de plus en plus rapprochés. Elle me complimenta:
Tu es un véritable étalon! je ne sais pas qui t’a apprit tout ça mais c’est génial! je n’ai jamais connu tant de plaisir dans les bras d’un homme, pas même avec ton père!
C’est normal maman, tu m’excites tant! j’ai envie de te faire jouir pour te prouver à quel point je t’aime!
Sa bouche avala la mienne. Mes mains empoignèrent ses globes charnus que j’aimais tant, ses globes durcis pas la jouissance. Après un moment, elle jouissait à nouveau puis elle déclara forfait en roulant sur le coté et en respirant bruyamment:
Je suis morte, tu m’as tué!!! mais comment fais tu petit coquin?
Pardonne moi mais tu es tellement belle, tu m’excites à un tel point que j’ai juste envie de te donner du plaisir! je t’aime maman!
Moi aussi mon amour, moi aussi je t’aime, et moi aussi je veux te donner du plaisir! viens là, viens sur moi
Je m’installais à califourchon sur elle et glissais mon pieu entre ses seins qu’elle tenait serrés l’un contre l’autre. Elle me branlait avec sa poitrine, me regardant avec un petit air coquin.
Tu aimes mes seins hein? vicieux! obsédé! cochon!!!
A ces mots, je ne pus me retenir plus longtemps et je me libérais sur sa poitrine, giclant mon sperme sur sa bouche, son visage, son cou et ses nibards. Elle avala toute la semence qui se trouvait à portée de langue et étala tout ce qu’elle avait sur elle avec ma queue. Quelle cochonne!
Je restais un moment a ainsi sans bouger puis je me redressais. Nous avions apporter de quoi nous laver et après un brin de toilette nous avons remis nos maillots et nous avons mangé. Rassasiés et épuisés, on s’endormait sur la couverture, il n’y avait que le vent les oiseaux et la nature autour de nous. Nous étions tranquille. Je me réveillais 2h plus tard, la tête de ma mère sur mon épaule. Elle reprit ses esprits un peu plus tard et voyant que je la regardais elle sourit.
A quoi penses tu? me dit-elle
A des coquineries! des choses peu avouables!
Ah! tu veux pas me raconter? je pourrais peut être t’aider qui sait!
Ma mère avait décidément le chic pour assouvir tout mes fantasmes.
J’aurais voulu savoir ce que toi tu aimerais, car depuis quelques temps nous n’assouvissons que mes désirs et rien d’autre! tu en as peut être?
Oui mais ils ne sont guère avouable eux aussi! et peut être que tu ne voudras pas!
Je ne peux pas le savoir si tu ne me dis rien
Ok mais tu risques d’être surpris je te préviens!
Ah? tu attises ma curiosité
Eh bien j’aimerais faire l’amour avec 2 hommes
Quoi? c’est tout?
Ben c’est déjà quelque chose! tu imagines si j’avais dis ça à ton père?
Oui d’accord mais là c’est à moi que tu en parles, et j’ai peut être la solution
Sans le savoir, ma mère allait réaliser mon phantasme en même temps que le sien. Elle eut l’air étonnée:
Tu voudrais? tu connais quelqu’un hein? vicieux va!
Oh oui je veux, et je connais quelqu’un! et je suis certain que la personne en question acceptera
Qui est ce? je la connais?
Oui tu la connais bien? c’est quelqu’un de la famille!
Décidément! qui? dit moi ne me fait pas languir
Ma cousine Josie

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