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Ch. 9 : Lettre à Laura (3)

Ch. 9 : Lettre à Laura (3)



Je me souviens de tout, je me souviens de nous.

Je me souviens de ce weekend qui nous a rendu si complice.
La veille, nous avions passé la soirée chez ta meilleure amie. j’ai donc rencontré Marion et Agathe, et vos discussions, notamment celles parlant de sexe, m’ont estomaqué. J’ai découvert en t’écoutant que tu es une vraie petite coquine, mais je ne me doutais pas à quel point avant ce matin là.

La nuit avait été courte, nous sommes rentrés tard et nous avons, disons le clairement, baisé comme des dingues.

Je me souviens qu’à mon réveil, tu n’es plus au lit. je me lève, nu, je sors de la chambre, je ne t’aperçois pas non plus dans le salon. Je t’appelle:
– Laura, tu es là?
Pas de réponse, mais un bruit provenant de la salle de bain m’interpelle. Je me dirige vers la pièce et ce son devient plus audible. je suis stupéfait en entendant les cris d’une femme qui jouit.
J’ouvre silencieusement la porte et je suis troublé par la scène à laquelle j’assiste.
Toi, dans un bain rempli de mousse, qui mate un film porno. Ton ordi portable sur le petit muret en faïence en face de toi, l’actrice Delfynn Delage en train de se faire défoncer, un gode noir à ventouse, d’une vingtaine de centimètres posé sur le rebord de la baignoire et ta main que j’imagine entre tes cuisses, qui te caresse la chatte.
Il ne m’en faut pas plus pour bander comme un âne.

Je me souviens que je ne résiste pas de venir perturber ton plaisir solitaire.
– Bonjour princesse, tout se passe bien?
Tu sursautes, surprise.
– Putain, tu m’as fait peur.
– Je t’ai appelé, mais tu ne m’as pas répondu, tu devais être trop concentrée dis-je moqueur.
Toute gênée, en abaissant la tablette de l’ordi:
– Euh, oui excuse moi de…
– Ne t’excuses pas, tu es libre, c’est juste que je ne savais pas que tu aimais regarder des films porno.
– Bah si, c’est mon petit rituel du samedi matin. Un bon bain chaud et un petit porno en me masturbant. J’adore, ça me fait beaucoup fantasmer.
– C’est cool, moi aussi j’aime bien ça et maintenant qu’on le sait tous les deux, on n’aura plus besoin de se cacher, on pourra même en regarder ensemble si tu veux.
– Oui mon coeur, avec plaisir.
– Bon bah je te laisse finir tranquille alors.
Et je t’embrasse sur le front.
– Maintenant que tu es là, tu peux rester, on regarde la fin du film ensemble, me réponds-tu d’un air coquin, en regardant mon sexe toujours en érection.
– D’accord, je reste, mais tu me montres comment tu te fais jouir.

Je me souviens que tu t’es assise sur le rebord et moi j’ai fait de même face à toi.
Tu te caresses les seins, puis une de tes mains descend sur ta fente. Elle circule sur ta petite perle gonflée et tu me fixes en gémissant. je suis fasciné, j’empoigne ma tige et je me branle doucement.
Tu te pénètres maintenant avec deux doigts en inspectant mon mouvement masturbatoire.
Aucun de nous ne s’intéresse au film, il n’y a que la vision de nos corps qui nous captive.
Tu écartes tes lèvres, les doigts en ciseaux pour me laisser admirer ton minou qui brille de mouille et de ton autre main, ton majeur tourne de plus en plus vite sur ton berlingot boursouflé.
Le regard lubrique, je me malaxe les couilles.
– Continues ma puce, tu m’excites trop.
Tes phalanges replongent dans ton trou humide, tu as chaud. La bouche grande ouverte, tu atteints la jouissance une première fois.
Je jubile de te voir ainsi prendre ton pied et je poursuivis ma branlette dans une cadence infernale.
En fond sonore, les cris simulés des hardeuses nous amusent, on se sourit, heureux de vivre cet instant hautement complice.
Puis, en te désignant le gode je te demande:
– Il est là pour décorer?
Ravie, tu le prends et tu l’insères dans ta bouche.
Te voir pratiquer une fellation sur ce tube de latex, me rend fou de désir, je sens mon coeur battre de mes tempes, mon gland déglutit plusieurs gouttes de liquide lubrifiant. J’ai envie de te sauter dessus, mais je me contiens, notre jeu est de s’exciter l’un et l’autre.

Je me souviens, tu colles ce pénis factice sur le rebord et tu t’empales dessus, tues en transe. Chaque montée et descente sur cette colonne rigide t’arrache des plaintes de plaisir de plus en plus importantes. Tu te masses les seins, puis tu te pinces les tétons et tu succombes une nouvelle fois à l’orgasme.

Et moi, devant cette scène, je ne maîtrise plus rien. Je ne maîtrise plus mes pensées abjectes, qui me font imaginer être à la place de ce gode. Je ne maîtrise plus ma respiration, haletante, mon coeur qui bat la chamade. Je ne maîtrise plus mes yeux, qui scrutent tour à tour, ton visage, tes seins et ta caverne dégoulinante percée par ce gourdin noir.
Je ne maîtrise plus ma main qui s’agite vaillamment sur ma queue inflexible. Je suis au bord de l’explosion. Et toi qui me dis, pendant que tu te baises:
– Vas-y Chris, continues, je veux te voir éjaculer, fais gicler ta grosse bite.

Je me souviens, je me lève, m’approche de toi bite en main, je me branle juste sous tes yeux et quand je sens mon plaisir jaillir, je déverse sur tes seins mon foutre chaud, en plusieurs saccades, que tu étales en pétrissant tes globes. Mes jambes flanchent, je t’embrasse avant de m’asseoir dans l’eau encore tiède.

Je me souviens qu’ensuite sous la douche, nous avons parlé de porno et de nos fantasmes.
Tu m’avoues qu’il y a tout un tas de choses, de pratiques, de positions, d’endroits que tu aimerais essayer. Je te fais part que j’ai aussi envie de tester un certains nombres de choses sexuelles jamais encore faites.
Après la douche, avec un crayon et une feuille, nous listons, sans tabou, tous nos désirs.
Il se révèle que nous en avons beaucoup en commun. Dans une décision unanime, on se promet de tous les réaliser.
On aurait volontiers commencé à réduire cette liste tout de suite, malheureusement ce samedi-là, j’ai dû rentrer chez mes parents pour une fête de famille.
Ce n’est que partie remise….

A suivre.

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