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Promenons nous dans le bois

Promenons nous dans le bois



Pause du midi.
Arrêt dans une boulangerie, achat d’un sandwich
Direction parking d’un bois, lieu de rencontre.
Il fait chaud, j’ouvre ma portière, et commence à manger.
Ca m’amuse, des voitures se garent, le ballet des mecs en chaleur commence.
C’est pas méprisant, je suis moi-même chaud comme la braise.
Pour l’instant, malgré les regards insistants, je reste planqué dans ma caisse.
Ma queue est en tension dans cette ambiance qui pue la baise.
Je me décide, claque la portière et m’enfonce dans la forêt.
Personne à découvert, je continue ma promenade.
Au détour d’un virage, je croise un jeune keum, immobile tourné vers un arbre.
Je le dépasse, Il me suit.
Mon cœur bat à fond. Je ne suis pas un habitué des plans cul. Je continue….
Je bifurque sur un chemin moins large et donc plus discret et quelques mètres plus loin, je stoppe la marche et me retourne;
il est là derrière moi.
Je souris, Il s’approche. Nous n’échangeons aucun mot, même pas bonjour.
Il m’att**** la queue à travers le pantalon, je suis le mouvement et masse sa queue. Nos bouches se rapprochent pour une pelle magistrale.
Je dois mouiller un max. Nous continuons sur ce rythme, pelotage de queues et roulement de langues.
Je prends les choses en main et décide de montrer que je suis une bonne salope. Je défais son ceinturon, les boutons de son pantalon, écarte et à travers un boxer noir tâché par l’excitation, je devine un beau membre épais et long comme j’aime. Je sors l’objet de mon désir, et là, je ne tiens plus, je me penche pour le sucer.
J’entends ses premiers mots « Suce-moi bien. C’est bon. Ca se voit que tu aimes la bite. vas-y fait toi plaisir ».
Je me fais plaisir…il monte sur un tronc d’arbre, la queue vers le ciel : je peux le sucer debout. Il me regarde, il aime, il gémit. Je lui lèche les couilles, je plaque sa bite sur son ventre et fait des va et vient sur sa hampe, j’aspire son gland pendant que je le branle : je me défoule sur sa queue.
Il a lui aussi défait mon pantalon et me branle.
Je m’inquiète par rapport à l’endroit, on s’emporte dans un lieu assez fréquenté. pas loupé. Un joggeur passe devant nous, moi entrain de sucer cet inconnu.
Cela m’amuse mais je n’aurais pas une seconde queue à sucer. Notre visiteur passe son chemin.
Nous nous écartons hors du chemin et on reprend où on en était.
Lui prend ma queue et commence à me sucer. Je le stoppe. je vais jouir s’il continue.
Il glisse sa main vers mon cul et commence à me titiller le trou avec son doigt.
« T’es une salope toi. tu suces bien. Tu aimes la queue. Quand je vais te prendre je veux voir ta gueule prendre du plaisir. Tu la veux ma queue ? »
Pour moi, entre midi et deux, pas question de me faire mettre dans les bois mais je tendais mon boule pour lui donner plus d’accès et me faire fouiller. Histoire d’entretenir le fantasme.
Nous alternions suce et pelle. Nous nous tenions la tête d’une main, nos langues se bouffaient, et on commença à se branler pour mettre fin à la rencontre. Il jouit, je jouis. Il se tourna pour s’essuyer la queue avec les quelques feuilles encore vertes en plain hiver et s’éloigna.
Finalement, pas bavard mais envie de le revoir.

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