Chapitre 24 : Séance porno chez Pierrot.
Mardi arrive rapidement et la première chose que je fais le matin c’est d’appeler Pierrot pour m’assurer que notre rendez vous est maintenu.
Il est impératif que je m’assure que les deux garçons choisissent judicieusement les photos qui peuvent être publiées sur leur site web. J’y pense constamment, car ce serait mon site et je poserais nue pour des milliers d’internautes.
Je me demande qui peut regarder et me voir à poil dans des positions très osées. Certains hommes solitaires ? Peut-être des maris qui n’ont pas assez de plaisir dans leurs rapports sexuels avec leurs épouses. Peut-être même les jeunes hommes comme… comme mon fils. Cette pensée est passionnante et excitante mais je n’ai pas le temps d’y réfléchir plus longtemps car Pierrot décroche.
– Pierrot ? Salut, c’est Kate,
– Salut Kate, je suis heureuse que tu m’appelles.
Je vois que le tutoiement est de rigueur.
– Je voulais être sûre que je peux venir et voir les photos que vous avez prises.
– Aujourd’hui, c’est parfait, Kate. Les parents de Mick sont au boulot. Tu peux venir pour midi ?
– Oui, midi, pas de problème. Mick à pu se libérer de ses cours ?
– Sûr ! Il fini à 11 heures.
Je ne sais pourquoi mais je ressens une légère déception qui me surprend. J’aime bien Pierrot surtout après les cochonneries que nous avons faits tous les deux et je suis déçue que Mick soit là.
-OK, alors à midi.
Je raccroche et je me demande quand même si c’est raisonnable de faire ça. Dois-je les laisser poster des photos à caractère pornographique de moi… enfin de mon corps ? Que se passera-t-il si Paul ou Eric tombent sur le site au cours de leurs recherches sur internet et qu’ils me reconnaissent ? Que penseraient-ils de moi ? De sa femme et de sa mère ? Comment ils réagiraient ?
Onze heures et demie. Apres avoir mis une petite robe assez provocante qui dévoile une bonne partie de mes charmes, je prends ma voiture et je me dirige vers la maison de Mick. En route je repense a la séance de photos osées et de ce qui a faillit arriver avec Pierrot et j’imagine ce qui pourrait arriver avec ses deux garçons aussi pervers que mon fils. Et Vlan ! Ma chatte frémit et je commence à mouiller.
Arrivée, je sonne et un instant plus tard, Pierrot m’ouvre la porte et m’invite à entrer. J’apprécie le regard timide qu’il me donne en me dirigeant vers la salle de séjour. Mick est penché sur l’ordinateur portable posé la table basse et dès qu’il me voit il me tend la main pour m’accueillir.
– Salut Kate, heureux que vous soyez venue.
Ses yeux me dévorent de la tête aux pieds en s’arrêtant un long moment sur mes cuisses bien exposées. Je fais semblant ne pas à remarquer son regard d’envie et je lui serre la main.
– Salut, Mick. Au point ou en sont nos relations tu peux me tutoyer. Alors est-ce que les photos sont réussies.
Et je m’assieds à coté de lui.
– Oh oui ! Elles le sont !
Pierrot s’assied aussi et je me retrouve entre ses deux garçons, qui se collent sur moi pour regarder ensemble l’écran de l’ordi. Mick se penche et prend la souris pour ouvrir une page qui présente une photo de moi, nue, au centre, et un tas de petites vignettes tout autour. Le nu représente bien sûr une Geisha, c’est-à-dire moi, avec des tonnes de maquillage qui cache mon identité.
– Whaou ! Belle entrée en matière. Murmurais-je
L’écran étant directement en face de moi, il doit se pencher vers moi pour présenter les photos. Je vois ses narines s’évaser comme s’il respirait profondément, et, je réalise, que les jambes un peu écartées et ma mini jupe remontée sur mes cuisses, qu’il est entrain de sentir la moiteur qui a envahi ma chatte il y a peu de temps.
Même si je resserre mes genoux, ça m’excite de savoir que ce jeune garçon est en mesure de sentir ma chatte.
Il clique sur la première vignette et immédiatement l’écran est rempli par une photo. Je suis à moitié nue et je montre mes seins. A voir mes longs tétons érigés il est évident que j’étais extrêmement excitée quand elle a été prise.
– OOhh, mes… seins…c’est…très explicite !
– Oui Kate, on voit tout de suite que le modèle aime être pris en photo et que l’objectif vous aime. C’est pourquoi je pense que ce site sera réussi !
Et il clique sur la souris en disant « suivant ».
Une autre photo apparaît. Cette fois je suis attachée à la chaise les jambes écartées et on peut deviner dans l’ombre de la jupe relevée, ma chatte à peine visible. Nous visionnons l’ensemble des photos, certaines d’entre elles sont choquantes pour la moralité, mais toutes sont très érotiques et sexy. Aucunes d’elles ne peuvent révéler mon identité. Je suis rassurée sur ce sujet et à la fin, je félicite les deux garçons.
– Merci, vous avez fait du bon travail. C’est très osé sans que l’on puisse me reconnaître.
Je me lève et je m’étire en mettant mes bras au dessus de ma tête. Je sais pertinemment que ma jupe remonte un peu plus et que n’ayant pas mis de slip ça peut être dangereux, mais comme ces deux garçons ont déjà vu tout ce qu’ils pouvaient voir de moi, je continue de m’étirer.
Quand je baisse mes yeux, ils sont entrain de regarder le haut de mes cuisses avec de grands yeux émerveillés et je ne doute pas qu’étant assis ils peuvent voir ma chatte.
– Dites-donc petits pervers, vous ne pouvez pas regarder ailleurs.
Pierrot sourit tandis que Mick garde son sérieux. Je vois qu’il pense à quelque chose.
– Kate, serais-tu prête à poser pour compléter le site de quelques photos encore plus coquine ?
– Que veux-tu dire, maintenant ? Demandais-je intriguée.
– Oui, même si c’est un bon début il faut plus de photos et pousser un plus du coté érotique, voir porno.
Je repense à la dernière fois que j’ai posé pour eux, attachée à une chaise et impuissante, alors qu’ils tournaient autour de moi avec leurs appareils prenant des photos pornos de ma chatte, de mes seins et de mon cul. Je pense aussi au moment intime que j’ai eu avec Pierrot dans sa chambre, alors qu’il m’aidait à me nettoyer après la séance photo.
– Bien sûr, mais vous devez me transformer en Geisha. Dis-je en regardant Pierrot.
– Formidable ! Pierrot va t’occuper de Kate. Je prépare tout.
Pierrot se lève souriant.
– Après vous belle dame, vous connaissez le chemin.
Entrés dans la chambre je suis surprise qu’il verrouille la porte mais je ne m’inquiète pas et je lui demande innocemment.
– Alors, en quoi vas-tu me déguiser aujourd’hui ?
Il me regarde avec un long moment de réflexion, visualisant sans doute dans son esprit comment il allait me transformer et il claque ses doigts.
– Je sais ! Je sais exactement comment je vais te maquiller. Va t’asseoir sur le lit et je prends ce qu’il faut.
Je m’assieds sur le lit et en pensée, je revis ce qui c’est passé la dernière fois avec Pierrot avant que Mick nous interrompt. Nous avions perdu notre équilibre et Pierrot a fini au-dessus de moi, sa bite bien dure dans son pantalon étroit contre ma fente humide. Dieu que j’ai eu envie de me faire baiser à ce moment là !
-Il vaudrait mieux que tu retire ta robe pour éviter de la tacher.
Quel coquin ce Pierrot.
– OK, mais pense à ton maquillage, pas que je suis nue devant toi.
Je me lève et je tire ma robe par-dessus ma tête pour apparaître complètement nue devant lui. Je vois ses yeux s’agrandir et il retient son souffle en fixant ma chatte déjà humide. Je m’assieds sur le lit en serrant les genoux et j’attends.
Pierrot s’agenouille devant moi et il me maquille.
– Voila, c’est fini pour la figure. Mais je veux essayer quelque chose de différent aujourd’hui, dit-il.
– Quoi ! Que veux-tu essayer ? Dis-je avec de l’intérêt.
– As-tu confiance en moi Kate ?
– Oui, je suppose…
– Bien. Tu ne dis rien et tu me laisse faire.
– OK, vas-y.
Il sourit, prend une sorte de peinture et je sens le pinceau qui frotte mon cou, ma peau et même mes seins et mes tétons tous durs me provocants des frissons dans mon corps.
Une fois fini il se penche en arrière admirant son œuvre.
– Je peux voir ? Désireuse de voir le résultat.
– Non ! Pas encore, je n’ai pas fini !
Son ton me surprend et je ne bouge pas. Il reprend son pinceau pour le porter sur mes aréoles et recommence à peindre. Aux sens des frottements je comprends qu’il peint des anneaux sur mes gros tétons dressés puis il descend vers le bas et je ne comprends pas.
Peu à peu mes genoux s’écartent jusqu’à ce qu’il puisse se glisser entre eux.
– Détends-toi et étends-toi en arrière, Kate.
J’obéis et je m’appuie sur mes coudes pour observer son travail. Je réalise tout à coup ce qu’il est entrain de peindre.
Des anneaux sur mes tétons dressés, il peint une chaîne métallique, et chaque anneau prolonge la chaîne vers le bas… vers ma chatte !
Ses coups de pinceau passent sur mon nombril et ce gamin… cet adolescent, est penché entre mes cuisses ouvertes et voit ce qu’il veut de mon intimité. Je sais que ma chatte rasée est humide et il sait que je ne l’arrêterais pas.
Toute excitée j’attends jusqu’à ce qu’il commence à peindre sur mon pubis. Son visage est si prêt de ma chatte, que je peux sentir son souffle sur mes lèvres, mais malgré son excitation évidente, au point qu’il en bave un peu, il continue à peindre.
Soudain, je sens la pointe de son pinceau chatouiller mon clitoris.
– Huuuummmm… que faites-vous jeune homme ?
Il me regarde en souriant.
– Je peins le dernier anneau sur ton clitoris.
Une nouvelle fois son pinceau touche mon clitoris et me fait frissonner d’excitation. Instinctivement j’écarte encore plus mes jambes…le plus que je peu. Ma respiration devient plus difficile et le cacher ne servirait à rien.
– Ooohh… si tu continues comme ça…je ne serais plus bonne à rien.
Il lève ses yeux pour me regarder et je vois que son excitation a monté car une énorme bosse déforme son pantalon.
« Impressionnant »pensais-je, en regardant la bosse s’allonger.
Il recommence à chatouiller mon clitoris avec son pinceau, alors que je suis à peine capable de me contrôler. Je ne veux pas franchir la ligne et faire le premier pas, même si pour l’instant, je voudrais avoir sa bite au fond de moi. Quelque chose, un dernier fil me retient… être une maman je suppose, m’empêche de perdre complètement le contrôle de mes sens.
– Vous êtes prêt ?
La voix sourde de Mick nous extrait du monde des pensées sexuelles.
– Oui, nous sortons dans un instant,
Répond Pierrot en donnant à ma chatte un dernier regard.
– La peinture ne va pas tarder à sécher, ça va Kate ?
Sa tête entre mes cuisses il prend mes chevilles de ses mains et lève doucement mes pieds du sol.
Je plie mes genoux et il place mes pieds de chaque coté de moi. Dans cette position je m’offre complètement à lui comme une esclave soumise. Je suis presque gêné de laisser un ami de mon fils me manipuler ainsi, mais en même temps, incroyablement excitée
Il approche son visage plus près de ma chatte déjà humide et souffle de l’air dessus, ce qui me fait frissonner. Je ne peux détourner mon regard et je n’ai qu’un souhait. Je souhaite qu’il s’approche encore et qu’il goûte à ma chatte frémissante. Et plus encore !
Il lève sa tête et me regarde dans les yeux. Sa bouche est à deux centimètres de ma chatte. Nous sommes tous les deux excités et son regard est une question silencieuse.
« Dois-je continuer ? »
Je sais et il le sait que si je ne réponds pas… si je ne bouge pas…je lui donne la permission. Je ne bouge pas un muscle, je regarde juste au dessus de lui.
Une seconde après je baisse mes yeux et je vois sa langue sortir de sa bouche sèche et je sens son souffle chaud sur ma peau si fine et si tendre. Je suis prête et j’attends avec empressement le bout de sa langue humide sur ma chatte en feu.
– Merde ! Qu’est ce que vous foutez ! On va manquer de temps.
C’est la voix de Mick accompagnée d’un coup sur la porte.
Pierrot sursaute en arrière et mes pieds retombent hors du lit, atterrissant avec un bruit sourd sur le sol. Le moment magique est brisé et remplacé par une soudaine panique et le sentiment de culpabilité de presque avoir fait quelque chose de mal.
Le renflement de la bite de pierrot dans son pantalon est si grand qu’il s’étend à l’intérieur de sa cuisse.
En se levant, il se dégage de l’intérieur de mes cuisses et se détourne pour réajuster son pantalon. Je souris, c’est encore un enfant timide qui ne veut pas afficher sa merveilleuse virilité, que dieu lui à donné.
– Ca va ! On arrive, criais-je pour briser le silence.
J’ai remis les fameux souliers à lanières et prenant une profonde inspiration je vais ouvrir la porte et je sors complètement nue.
Dans le salon le canapé semble être le centre de la mise en scène. Le trépied avec l’appareil photo se trouve directement en face et les projecteurs sur le coté. On dirait presque une séance photo professionnelle et pas que de deux adolescents pervers vont faire de choses pas très catholiques avec la mère de leur ami.
-Whaou, Kate, tu es sublime !
Je marche vers le canapé en balançant mes hanches tandis que les deux garçons me regardent avec des yeux de loups affamés. Quand j’arrive prés du canapé, Mick me fait un cercle du doigt m’indiquant que je dois faire demi -tour.
Ce que je fais et je m’appuie contre le dossier du divan en écartant un peu mes jambes. Mick se penche derrière moi pour prendre des photos tandis que Pierrot se lèche ses lèvres sèches, je regarde mes seins peinturlurés et avec un léger sourire je tourne ma tête sur le coté pour regarder l’appareil.
Mick ne perd pas de temps et prend photos sur photos. Pierrot ne bouge pas il reste juste là, à me regarder. Son regard exprime clairement la passion qu’il a pour moi et son envie. De savoir qu’on me photographie comme star du porno c’est une chose, mais surveillée par un adolescent qui bande comme un taureau en est une autre.
– Pierrot si tu ne prends pas des photos, viens aider Kate pour les poses. Écarte ses cheveux que je prenne bien ses seins.
Pierrot émerge de son rêve et se dirige vers moi les joues légèrement rouges et rassemble mes cheveux qui sont sur ma poitrine. Dans le geste ses doigts cours le long de ma poitrine assez longtemps pour que mes tétons s’allongent encore plus.
– Bien, mets-les sur ses épaules. Déplace sa jambe un peu sur la droite.
Déplacer ma jambe « un peu vers la droite » comme le dit Mick exposerait un peu plus ma chatte à l’objectif de l’appareil photo. Je regarde Pierrot faire ce que Mick lui demande. Il est à genoux derrière mon cul pour placer ma jambe plus loin et je ne le quitte pas des yeux, la respiration un peu lourde, car pour ce faire, il est de nouveau à proximité de ma chatte et de mon cul.
Clic, clic, clic…
– Whaou ! C’est bon. Vous deux… ensemble…oui… je vais vous prendre…
Il ne manquait plus que ça ! Moi, toute nue avec un jeune homme.
– Tu n’y pense pas, Mick, Pierrot serait reconnu tout de suite, Dis-je rapidement.
– Non, Kate. Bien sûr pas comme ça… mais si on le maquille aussi bien que toi…
Pierrot et moi ensemble pour des photos de sexe entraînerait probablement quelques poses compromettantes. Je secoue ma tête pour chasser de mon esprit l’image de la grosse bite cachée derrière son jeans serré.
– Je n’ai pas assez de temps. Je dois rentrer pas trop tard.
Mais l’idée était déjà plantée dans nos esprits. Nous continuons la séance photo et comme la dernière fois, je montre aisément tout mon corps et mes parties les plus intimes pour des photos de plus en plus salaces. Je fais tout ce que me demande Mick, penchée en avant les jambes écartées, couchée les genoux relevés et les cuisses écartées, montrant ma chatte ou mon trou du cul en écartant mes fesses… TOUT !
Évidemment, au bout d’un certain temps, je sais que je mouille et mon jus, accumulé entre les lèvres de ma chatte échauffée par l’ambiance, commence à dégouliner sur mes cuisses. Ça n’a pas échappé à Pierrot qui regarde ma chatte la bouche ouverte et les yeux brillant.
– On devrait faire une pose.
Car il est temps que j’essuie les dégâts.
– Pas le temps, réagi rapidement Mick l’œil collé sur son appareil.
Merde ! Ces deux garçons voient bien que je suis excitée de poser pour eux… et que j’aime qu’ils me reluquent avec des yeux affamés… comme en manque de sexe !
– Heuuu…
Un faible gémissement s’échappa de mes lèvres.
Je suis à genoux, cuisses écartées et dos cambré montrant mon cul relevé quand Mick s’installe derrière moi.
– Je vais faire une macro, ne bouge pas, Kate.
– C’est quoi, une macro…
– C’est une prise de vue très rapprochée, ne bouge surtout pas.
Je retiens mon souffle lorsque Mick approche son appareil à quelque cm de mes fesses et sans même penser à ce que je dis, je lui demande.
– Tu prends des gros plans de quoi ?
Il me regarde et dit.
– De ton cul, de ton trou du cul et de ta chatte humide !
Oh non de Dieu !
Je crie « NON ! » Mais je ne bouge pas pour autant.
– Kate, tu ne te rends pas compte de la beauté de ton cul en ce moment. C’est chaud…non, c’est brûlant…S’il te plait… on va faire péter l’audimat avec ces photos.
– c’est…c’est gênant…
Chuchotais-je sans me rendre compte du ridicule de mes mots au point ou nous en sommes. On est en pleine séance de photos pornographiques, j’aime ça et je mouille, complètement excitée par ces deux pervers.
Mick ne dit rien et continu de prendre ses photos en gros plan puis.
– Kate, écarte bien tes fesses.
– Non ! Je… je ne peux pas…
Il se lèche ses lèvres et ajoute.
– Très bien ! Pierrot, prends la corde.
Pierrot réagit immédiatement et sort une corde noire de dessous le canapé. On dirait qu’ils ont déjà prévu ce qu’ils allaient faire de moi.
Soudain mon téléphone portable sonne. Je sursaute surprise par ce bruit qui vient de mon sac à main à proximité. À ma grande surprise, Pierrot va prendre mon téléphone et il me le tend.
– Allo ?
– Hé, chérie, c’est moi. Tu es toujours en train de faire des courses ?
C’est Paul, mon mari. Je vois vaguement Pierrot passer derrière le divan tandis que Mick continue de prendre des photos.
– Bonjour chéri, non… oui… je n’ai pas encore fini.
Oooh, je parle à mon mari alors que je suis complètement nue devant deux adolescents et leur appareil photo ! Je suis complètement folle !
– Ecoute, Jeannine, nous a invité demain soir pour son anniversaire. Ils sont avec des amis de nos âges. Ça peut être amusant et j’ai donné mon accord.
Pierrot est maintenant en face de moi et prenant ma main libre, il attache la corde à mon poignet. Avec mon mari au téléphone je n’oppose aucune résistance.
– OK, chéri, va pour demain. Mais je ne sais pas si Eric sera là.
Pierrot me pousse sur le canapé et plaque ma tête et mes seins sur le gros oreiller. Doucement, il me prend le téléphone de ma main et le dépose à côté de mon oreille.
– Je crois qu’il sera là avec Gina. On verra ça avec lui. Quand comptes-tu rentrer ?
Pierrot a attaché mon autre poignet et je me retrouve ligotée, étendue sur le canapé. Je donne des coups sur les cordes pour constater que je suis effectivement immobilisée…ou… impuissante qui est le meilleur terme pour décrire ma situation.
– Heu, dans une heure, peut-être deux… Tu sais que c’est les soldes.
Soudain une main prend ma cheville et écarte ma jambe. Je suis encore plus ouverte et les deux garçons, juste derrière moi, prennent des photos.
– OK, chérie, prends ton temps.
Et il raccroche. Je regarde en arrière.
Mick est à genoux derrière mon cul, son objectif pointé vers ma chatte et Pierrot se tient derrière Mick pour une vue d’ensemble. Je dois avoir l’air d’une esclave ligotée et à leur disposition.
Je ne peux rien faire ! Quoi que je fasse, ils peuvent voir chaque centimètre de moi… chaque crevasse… chaque trou…
Pierrot vient prés de ma tête pour ranger le téléphone et je remarque tout de suite ce renflement assez important dans son entrecuisses.
– Pierrot, j’ai vraiment besoin que tu sois sur cette photo ! Va chercher une perruque de ta mère et des lunettes noire et reviens ici. Maintenant !
Mick le dit qu’avec une telle autorité et confiance que Pierrot part immédiatement dans la chambre de sa mère. J’ai encore en tête l’image de cette bosse dans son pantalon… si grosse…
Pierrot revient avec perruque rouge sur la tète, qui en général irait bien sur un clown et des lunettes de soleil sombres. Je ne peux m’empêcher de sourire en le regardant. Il est méconnaissable tant qu’il garde la perruque et les lunettes sur lui.
– OK, pierrot. Ca ira. Va au bout du canapé, penche toi en avant et met tes mains sur le dos de Kate.
Je me raidi car ça signifie qu’il va me toucher ! J’ai mille raisons de ne pas permettre ça ! C’est incorrect, indécent, interdit, mais je reste bouche close. Pendant le temps que j’hésite, Pierrot debout devant moi se penche. Son entre-jambe se trouve a quelques centimètre de ma bouche et soudain je sens ses mains sur le bas de mon dos, ce qui à pour conséquence de m’envoyer des frissons partout dans mon corps. Je devrais crier « Stop » mais ma bouche ne s’ouvre pas pour prononcer les mots.
– Ooooooh Kate… Chuchote Mick.
Je ne sais pas pourquoi Mick vient de gémir comme ça mais je soupçonne ma chatte de faire des siennes car je mouille extrêmement. Mick prend ses photos, tandis que les mains de Pierrot caressent légèrement mon dos. Je sais que Pierrot est un peu timide et gentleman, mais je ne sais pas dans quelle mesure. Je ne vais pas attendre longtemps pour le savoir car, très lentement, ses mains commencent à glisser vers mon cul !
Je lève ma tête vers lui un peu inquiète mais il ne me regarde pas. Ses yeux sont fixés sur mes fesses et le bout de ses doigts effleurent le haut de la fente de mes fesses.
– Parfait ! Dit Mick en prenant photos sur photos.
Mes cuisses sont assez écartées pour exposer toutes mes parties intimes, je mouille énormément et un tout jeune homme touche presque mon cul pendant que son copain prend des photos de tout cela ! Je suis complètement folle !
Les mains de Pierrot glissent un peu plus loin et reposent maintenant sur mes fesses et… j’apprécie ce toucher. Indépendamment de ma volonté, je relève mes fesses et ses mains glissent doucement vers le bas, jusqu’à ce qu’il tienne fermement mes deux fesses dans ses mains.
Tournant la tête je regarde Mick. Il me semble qu’il n’attendait que ça pour reprendre des photos. Tout à coup les doigts de Pierrot s’enfoncent fermement entre mes fesses et je sens qu’il commence à bouger ses mains ! Je chuchote en tournant ma tête vers lui.
– Pierrot…
Je sais que je les laisse aller trop loin mais c’est un peu tard pour réagir.
– Oooh putain ! Regarde !
Dit Pierrot en s’exclamant et regardant le bas de la fente de mes fesses.
– Je vois… je vois ! Je fais autant de photos que je peux.
J’essaye de protester mais aucun ne m’écoute et Mick prend toutes les photos qu’il veut.
Pierrot me regarde, ne dit rien, mais écarte plus mes fesses.
– Kate, Kate, ton cul est fantastique ! Laisse-nous le photographier.
Mon Dieu, ils ne m’écoutent pas… ils m’ont ligotée et ils n’écoutent pas ! Que va-t-il ce passer après ? Vont-ils me baiser ?
Mick prend des photos de mon cul ouvert à la recherche de… de mon … trou du cul ! Putain c’est dégueulasse.
Mais je dois aimer ça car je frissonne de nouveau tout en ayant envie de lui dire.
« Connard, sale pervers ! Cochon vicieux. »
– C’est vrai, Kate, ton cul est magnifique et quand Pierrot écarte tes fesses, ceux qui verront ça… vont sacrément bander et se palucher!
– Il n’y a que des jeunes pervers comme vous pour regarder des trous du cul.
– Ce n’est pas vrai, Kate. Je parie que n’importe qu’elle homme et même des femmes, aimeraient voir ton cul. Pierrot, écarte plus largement.
– Pierrot non !
Et je tire en vain sur mes cordes.
Mais Pierrot ne m’écoute pas et écarte mes fesses le plus possible qu’il peut.
– Ne résiste pas, Kate. Laisse-toi faire c’est si chaud.
Il a raison, ils ont tout vu et j’aime voir sur leurs visages leurs regards excités. Je regarde Pierrot avec résignation, essayer de deviner ce qu’il ferait ensuite et je suis surprise. Il lâche mon cul et délie mes poignets.
– Je pense que ça suffit, Mick.
Je suis surprise par sa détermination et de sa maîtrise de soi. C’est un bon gars, il ne laisserait pas quelque chose de mauvais m’arriver. Mick arrête de prendre des photos et s’assied sur le tapis devant le canapé. Je fais un demi-tour et m’assied également avec mes jambes rapprochées en frottant mes poignets pour ramener la circulation du sang.
– Ne m’en veux pas, Kate. Je ne te forcerais à rien. C’est toi qui décide. Mais tu es si belle que je me laisse aller.
– Merci de ta compréhension. Merci Pierrot.
Et sans m’en rendre compte j’ai mis ma main sur sa cuisse pour la serrer affectueusement. Je voulais juste lui faire savoir que j’apprécie ce qu’il fait, mais mon geste est un peu plus intime que je l’aurai voulu.
– On peut encore faire quelques photos… Chuchote Mick.
Je me sens si à l’aise avec eux à ce moment, donc je leur fais confiance. Je lui souris et je ne peux m’empêcher de répondre.
– Bien sûr, comment voulez-vous me prendre ?
– Juste comme ça, ne bouge pas. Il te suffit d’ouvrir un peu tes jambes.
Ma main toujours sur la cuisse de Pierrot, j’écarte mes genoux. Mick, bien sûre prend des photos par-dessous.
– Kate, rapproche-toi de Pierrot.
Je me glisse à droite à côté de Pierrot et ma jambe touche la sienne tandis que ma main reste sur sa cuisse et je sens qu’il frissonne.
– Oui, tiens la pose, oui, écarte un peu plus des cuisses, ouais ! Comme ça !
Cela m’excite à nouveau ! Le toucher de la cuisse de Pierrot, l’appareil qui cliquette sans arrêt, faire ce qu’il me dit, être obéissante…ma chatte mouille de plus belle et je respire plus difficilement. Mes cuisses complètement écartées, j’expose à l’objectif et aux yeux de Mick ma chatte rasée et trempée.
– Parfait, Kate, relève une jambe, pose ton pied sur le bord du canapé et rapproche toi de Pierrot un peu… plus… oui comme ça.
Je me penche sur Pierrot, mon dos pressant sa poitrine.
Bien sûr, avec la perruque et la grosse paire de lunettes de soleil qu’il porte, personne ne sait s’il est excité. Pierrot tranquillement étend ses mains sur le dos du divan.
– Kate, tourne-toi un peu et soulève ta jambe gauche et place-la sur le dessus du bras de Pierrot sur le dos du divan.
OK, je dois pouvoir le faire.
– Garde bien ta jambe droite sur le sol, Kate.
Oh, ça devient acrobatique. Je vais être complètement écartelée mais j’y arrive. Je baisse mes yeux et regarde le résultat.
Mes gros seins sont sur le côté, mes tétons tout durs. Mon ventre plat me permet de voir entre mes cuisses ma chatte humide. Mon clito est déjà engorgé et dressé, mes grandes et petites lèvres sont ouvertes comme des pétales d’une grande fleur avec entre elles…une rosée brillante.
– Regarde bien l’objectif, Kate. Tous les hommes qui vont admirer ton corps et ta chatte humide vont se branler devant leur écran… ouais je vois qui ça t’excite, dit-il rapidement en remarquant mon dos qui se cambre soudainement.
– Oh Mick, ce n’est pas juste…
– Imagines-toi Kate, des centaines… non…des milliers d’hommes qui se branlent leurs bites bien dures, alors qu’ils te regardent en bavant. Que peux-tu faire pour eux, Kate. Que peux-tu leur montrer de plus, Kate.
Dans mon esprit je vois des mains sur des grandes bites fortement veinées. Mais je ne vois pas comment pourrais étendre mes jambes plus que je le fais.
-Tire sur tes tétons, Kate. Je crois qu’ils aimeraient ça.
Je m’apprête à le faire quand Pierrot att**** mes poignets et tire mes mains au dessus de ma tête. Je le regarde un peu surprise et je vois son désir.
Il place sa main libre sur le dessus de mon sein gauche pour la première fois depuis qu’on se connaît et j’ai du plaisir à sentir ses doigts sur lui. Ses doigts pressent avec fermeté mon téton excité, me faisant gémir.
– AAAAAhHHHH…
Puis il tire dessus et la douleur et l’excitation traversent mon corps vers ma chatte déjà trempée.
« OOooooooohhhhhh…
Mes seins gonflent encore, mon visage est chaud comme tout mon corps et je commence à transpirer mais je le regarde…J’attends avec excitation et j’anticipe ce qu’il va me faire.
– Kate…on peut voir que tu aimes ça. Montre bien aux hommes qui vont t’observer que tu aimes ce que l’on te fait. Ils vont t’adorer.
La voix de Mick vient de loin comme s’il m’hypnotisait. Pierrot titille mes tétons et je gémis encore plus fort.
– OOoohhhhh, AAAAAHHHhhhh…Pierrot…
Pierrot lâche mes poignets et prend mon autre sein en main. Ses doigts trouvent mon deuxième téton, il le presse et tire dessus comme avec l’autre. Je ramène mes mains, la gauche autour de son cou, ma main droite tombe sur ses jambes et glisse dangereusement dans son entrecuisses. Je brûle de désir.
– Oui…Kate…fais ce que tu as envie. Donne-toi à fond…Regarde moi.
Je fixe l’appareil photo au moment ou Pierrot lâche mon téton gauche et frappe mes seins durs.
– Ouuuutttcccchhhh… Ouuuuuuhhhhh…
Douleur et plaisir se mélangent dans mon esprit et sous le choc psychologique mon corps réagit. Mes yeux s’agrandissent et la bouche ouverte, en gémissant, je regarde l’objectif de l’appareil tenu par Mick. Mick se déplace un peu sur le côté et mes yeux le suivent. Pierrot recommence à pincer mes tétons tant excités et ma chatte s’humidifie de plus en plus.
Il lâche mon autre sein et le gifle aussi. D’un coup sec résonnant dans toute la pièce, suivie rapidement par mon cri. Mais je continue de fixer l’appareil pour montrer mon visage qui exprime mes émotions allant de la souffrance au désir d’une salope souhaitant un traitement plus brutal.
Mick se replace vers l’avant du divan pour de nouveau prendre ses photos de côté.
– C’est parfait Kate, t’es douée et on voit que tu prends du plaisir. Peux-tu caresser sa bite ?
Sous le choc de sa demande je réalise que ma main droite a trouvé la bite de Pierrot et qu’à travers son pantalon je la masse, ce qui la fait se développer encore plus. Elle est déjà bien dure, grosse et longue !
Soudain, Pierrot glisse sa main droite vers le bas de mon ventre, passé mon nombril et il s’arrête juste au dessus de la fente de ma chatte mousseuse. Je sursaute de surprise mais aussi de plaisir. C’est son touché le plus audacieux. L’excitation d’avoir ses doigts si proches de ma chatte me rend folle.
Mick ne loupe pas l’occasion et il s’installe directement en face de moi, devant mes cuisses écartelées et il prend des photos. Et moi je continue de frotter ma main et mes doigts sur la queue de Pierrot.
« Arrête Kate, arrête avant que ces deux garçons ne te saute dessus. »
Pierrot lève sa main et gifle mon pubis avec force et dans mon esprit je vois des hommes qui éjaculent devant leur écran et ma main, non contrôlée par mon esprit, tire sur la fermeture éclair de Pierrot pour libérer sa bite si compressée.
Mon cœur bat si fort dans ma poitrine, mon esprit est confus et ma main tremblante plonge à l’intérieur du pantalon de Pierrot pour sentir sa bite dure à travers le tissu fin de son slip.
– Huuuuummmmmmm….
Je gémis du plaisir d’être en mesure de toucher sa queue si dure. Dans le même temps, le bout des doigts de Pierrot plonge entre mes lèvres détrempées et commencent à jouer avec ma chatte.
Je lui permets de le faire, sans changer de position, toujours face à l’appareil, les cuisses grandes ouvertes et ma main sur sa bite.
Mais le tissu de son slip est frustrant et je passe ma main sous son slip.
– Oh, oui, Kate, super ! Sort sa bite et fais ce que tu veux avec. Tout le monde doit se rendre compte que tu aimes sa bite. M’invite Mick.
Je me tords le cou pour regarder la queue de Pierrot. Une bite épaisse et longue est encore à moitié cachée par le tissu blanc de son slip. Sa queue posée sur le côté, s’étend sur son ventre, elle tellement grosse et dure qu’elle déforme son slip. Je passe ma main avide sur toute la longueur de celle-ci étonnée par la taille. Un petit mouvement de ma main et je pourrais la libérer.
Pierrot lui aussi a déplacé sa main, et ses doigts plongent plus profondément dans ma chatte m’envoyant des ondes de plaisir dans tout mon corps de plus en plus sensible. Du coup et involontairement j’enveloppe ma main entière autour de sa bite épaisse.
Mick photographie tout ça. Sous l’effet d’être prise en photo, la bite de Pierrot en main, mes jambes écartées tandis que sa main fouille ma chatte humide, je sais que mon visage doit refléter le désir et la salope que je suis en cet instant.
– Superbe, Kate ! J’aime ! Fais-en plus Kate !
Laisse-toi aller à tes désirs, fais tout ce qui te vient à l’esprit. Montre à tous ce que tu veux vraiment.
« Sa Bite, je veux sa grosse et belle queue. Je veux la bouffer ! » Pensais-je.
Mais devant eux je fais semblant de livrer une bataille. Je ferme mes yeux et avec beaucoup de difficulté je retire ma main de cette incroyable bite.
– Je ne peux pas les garçons, vous savez que je suis marié…Je ne peux pas faire ça.
– Kate, tu es entrain de poser, c’est de l’art, porno, mais de l’art photographique. Et tu es extrêmement douée pour ça.
Il dit cela si calmement que, regardant l’appareil, ma main reprend tout naturellement la bite de Pierrot.
– Oui Kate, c’est ça. Fais ce que tu veux vraiment.
Je sais exactement ce qu’il veut que je fasse, je dois juste avoir le courage de le faire.
– Ok, juste pour le coté artistique…
Il souri et attend patiemment sachant finalement que je vais faire ce qu’il veut. Confuse, excitée et un peu gênée, je repousse le slip de Pierrot et j’en extrais la bite massive en retenant mon souffle.
– Oh mon Dieu…Murmurai-je en la regardant.
Elle est énorme, au moins 22 cm de long ! Comment un gamin d’à peine 18 ans peut avoir une telle bite ! Ma main en tremble et se resserre autour de cette queue fortement veinée. Elle est si épaisse que mes doigts n’en font pas le tour. Instinctivement je me mets à branler cette bite hors norme et Pierrot gémit légèrement en arquant son dos.
Je commence doucement en regardant son gros gland violet décalotté et si prés de ma bouche. En fait, ma bouche en salive fortement à voir cette merveilleuse bite. Il y a déjà du pré-sperme à son extrémité et je m’en lèche les lèvres d’envie. Je vois aussi que Mick a son appareil photo pointé sur mon visage, prêt à prendre des photos.
– Mick, non…pas ça…
– Fais-le Kate !
Le salaud, il me demande de le sucer ! Il veut que je suce son copain pour pouvoir le photographier ! Moi, femme mariée de trente cinq ans, qui pourrait être facilement de leur mère. J’en tremble d’excitation mais je ne suis pas sûre de devoir le faire.
Maintenant ils savent que je suis une salope, et si ce n’est pas encore le cas, si je le fais, c’est sur qu’ils me prendront pour une belle salope.
Je branle toujours la bite de Pierrot presque convaincue que je dois le sucer quand il se raidi et geint prêt à éjaculer ! Je suis tellement surprise que j’en ouvre ma bouche pour lui crier de ne pas jouir tout de suite, mais sa queue de raidit et une giclée de sperme blanc en jaillit et atterrit dans ma bouche grande ouverte. Le flot de sperme va frapper le fond de ma gorge avec une telle force qu’il m’étouffe presque pendant un bref moment et j’avale sa crème.
La giclée suivante frappe mes lèvres fermées pendant que je fini d’avaler le premier jet. Je sens mon visage éclaboussé de sperme chaud et sous le choc j’ouvre ma bouche pour dire quelque chose, juste à temps pour recevoir sa giclée suivante qui n’a pas baissée en force et en volume. La salve frappe le fond de ma gorge et instinctivement, j’avale aussi celle là.
Je réalise que je branle toujours sa grosse queue, le faisant probablement jouir encore plus longtemps. Je regarde Mick qui tient son appareil en mode caméra et qui n’a pas loupé un seul instant de ce moment unique.
Je tourne la tête de la caméra et je sens encore un autre jet de sperme frappé mon front, le nez et ma joue.
– Mon Dieu, Pierrot, combien de litres en as-tu ? Ce n’est pas possible !
– OOOhhhh, Kate, Kate, gémit Pierrot, tête en arrière, yeux illuminés.
Je pense qu’il a encore des réserves et donc je continue à traire sa bite et lorsqu’il balance ses hanches vers le haut avec un cri strident, une dernière giclée vient éclabousser mon front et mes cheveux. Je suis réellement inondée de son sperme. Ca coule sur mes lèvres, et sans retenue j’ouvre ma bouche, sors ma langue et je lèche tout ce qui est à sa portée. Et sous l’objectif de la caméra qui est directement pointée sur moi.
« Mon Dieu que c’est bon du jeune sperme. Aussi bon que celui de mon fils »
J’ai tout juste fini de penser à mon fils que je jouis. Une vague d’extase me frappe violemment et envahit tout mon corps.
– OOOOOOoohhhhhhh…. AAAAHHHH… OUIIIIIIIIIII….
Je jouis sans aucune retenue devant Mick et ouvrant ma bouche j’avale la bite de Pierrot pour le sucer comme une folle à la recherche de son précieux sperme. Il ne me déçoit pas. Un autre jet de sperme frôle ma langue et frappe mon palais. J’avale désespérément comme si ce liquide précieux dépendait de ma survie et je pompe de nouveau sa longue bite pour en avoir plus. Je sais que je dépasse largement les limites, que je suis une salope couverte de sperme qui ouvre sa bouche comme une assoiffée pour en avoir plus et se faire photographier, mais je ne m’en soucie plus. Je veux du sperme…plus de sperme.
Mais il est à bout. Le jet suivant est faible et il est à peine capable d’atteindre mon menton et je sens qu’il tombe goutte à goutte directement sur mes seins. Celui qui suit est si faible qu’il reste au bout de son gland écarlate. Alors j’avance pour tirer ma langue et lécher le bout de sa queue. J’en veux tellement ! Je suis prête à tout pour ça. Je suis prête à lui montrer ce que ma bouche peut faire et j’ouvre ma bouche largement.
– MERDE ! MERDE ET MERDE ! PAS MAINTENANT !
Je regarde Mick qui vient de gueuler, à genoux devant le canapé et qui regarde son appareil.
– Putain de merde ! Ma carte mémoire est pleine, me regardant avec désespoir.
– Kate, attends, attends ! Je reviens tout de suite. Surtout ne bouge pas !
Mais le moment magique est passé et ma respiration redevient normale. Tout à coup, je réalise ce que j’ai fait et j’ai presque la queue de Pierrot dans ma bouche.
– Mon dieu ! Et je lâche cette belle bite qui vient de me faire jouir.
Encore rigide, elle vient lentement frapper son ventre. Je me redresse et je regarde Pierrot qui me regarde aussi avec son visage rouge.
– Je suis désolée Kate, dit-il.
– Oh, Tu n’as rien à te reprocher ! Et je ne regrette rien. Dis-je en sentant son sperme couler sur mes lèvres.
Il me regarde hypnotisé. Toujours en souriant j’essuie mon front, puis ma joue avec mes doigts. Il me regarde et suit mes mouvements. Il veut probablement voir quelle salope je peux être. Eh bien, je ne vais pas le décevoir. Avec un sourire enjôleur je récolte le sperme de mes doigts et je les mets dans ma bouche pour les sucer.
C’est à ce moment que mon téléphone sonne à nouveau. C’est encore Paul, mon mari.
– Chérie, tu en as encore pour longtemps ?
J’écoute mais j’utilise mon autre main pour ramasser un peu de sperme qui reste sur mon autre joue.
– Huuummm…pas très longtemps chéri, j’ai presque terminé.
Je mets mes doigts humides dans ma bouche sous le regard ébahi de Pierrot et de Mick et je les suce.
– Bon dieu, Kate ! Tu devrais voir certaines de ces photos, tu es bandante et sacrément désirable !
Dit Mick presque en gémissant d’envie devant son ordinateur portable.
Je pense que c’est sûrement très érotique et pornographique, mais rester assise complètement nue avec ces jeunes garçons à coté de moi serait très dangereux, dans mon état actuel d’excitation sexuelle. Frustrée de sexe dans ma chatte je pourrais même les laisser me baiser.
– Désolé, Mick, je dois y aller, des tâches familiales m’attentent. Regardez les photos et… J’hésite un instant, postez celles que vous jugez bonnes pour le site.
Je leur fait entièrement confiance et je suis sûre que mon maquillage cache bien mon identité.
– Kate, tu peux nous faire confiance, on ne fera rien qui risque de te compromettre.
– Je sais, envoyez moi un lien vers le site une fois que vous aurez terminé et j’y jette un œil. Je vais me nettoyer.
Je fais du mieux que je peux vu la quantité de sperme que Pierrot m’a balancé sur la figure, mais je fais vite car je suis déjà en retard pour le dîner avec ma famille.
En sortant de la salle de bain je croise Pierrot et je ne peux m’empêcher de glisser dans son oreille.
– Il faut que l’on se revoit seuls tous les deux, j’ai besoin de vérifier quelque chose !
Et avant de sortir je lance à Mick.
-Salut, Mick, et te branle pas trop devant ton ordi !
En route pour la maison je sens un léger parfum du sperme de Pierrot qui est resté sur moi. Il est impératif que je prenne une douche avant de dîner.
A suivre
Phantome
Ajouter un commentaire