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Collègue de Travail

Collègue de Travail



Eustache accompagnait ma femme au travail. Sheila avait insisté sur le fait que c’était juste une mesure pratique. Eustache habitait plus loin en banlieue, un petit pavillon. Il passait devant chez nous pour aller travailler. C’était tout à fait logique qu’il ramasse Sheila le matin et la dépose le soir. Ça nous faisait une belle économie et puis c’était plus sûr, ces temps-ci, une femme seule … Eustache est un homme très sociable, très populaire au travail. C’est un antillais très cool, souriant, détendu, jamais d’altercation avec quiconque. Une crème. OK, avec ses dreadlocks, son air endormi, et ses fringues défraîchies, je ne me méfiais pas de ce qu’il pouvait arriver à Sheila. Et les gens aimaient bien Eustache. Et Sheila aimait bien Eustache. Elle l’aimait énormément. Plus j’apprenais à connaître Eustache, plus je réalisais qu’il y avait un personnage différent sous l’affable gentil couillon.

Ce vendredi soir, Sheila est rentré à la maison en déclarant d’un ton péremptoire:
« Demain, on est invités chez Eustache. Il va faire beau, on pourra manger sur la terrasse et faire un peu de bronzette.»
Le lendemain, Sheila a passé du temps à sa toilette, mais elle était magnifique dans sa mini-jupe et son tee-shirt sans manche. Je l’ai trouvé un peu décolleté, mais elle avait mis son bikini, elle me l’a montré en soulevant sa jupette d’un air espiègle. Par contre, j’ai trouvé stupide de mettre des talons avec une tenue de plage. Et tout ce maquillage pour aller bronzer?
On a commencé par l’apéro, Eustache avait préparé un rhum arrangé. Trop sucré, il m’a donné soif et j’en ai bu plusieurs sans pouvoir me désaltérer. Il était amélioré avec un peu de somnifère que je n’ai pas détecté. On a fait un barbecue, et j’ai encore bu plusieurs coups car la viande était épicée. A la fin du repas, j’avais un peu de mal à suivre la conversation.
Eustache avait son opinion sur les femmes. Comment elles devaient se vêtir, se maquiller. Une femme était destinée à faire honneur à l’homme qui lui donnait le bras. A ce moment-là, j’ai compris que Sheila s’était vêtue pour lui plaire. Depuis des semaines, pendant le trajet, il lui faisait la leçon. De plus en plus sévère. Elle s’habillait mal. Des vêtements trop amples qui cachaient ses formes. Son maquillage trop discret. Elle ressemblait à pas grand-chose, les hommes dans la rue ne se retournaient pas sur son passage. A 26 ans, elle était déjà vieille. Il lui a dit qu’elle devait changer. Elle avait un corps, elle devait le montrer. D’abord une jupe courte et des talons pour mettre ses jambes en valeur. Un soutien-gorge pigeonnant avec un chemisier transparent ou décolleté, qu’on voit la marchandise. C’était sa prescription pour elle. Elle n’avait pas de répartie, incrédule devant tant d’effronterie.

Moi, j’ai benné. Le cocktail amélioré, le vin, le soleil, je me suis installé dans un transat pour récupérer, juste 5 minutes.
J’ai émergé des limbes du sommeil il était 18 heures. Complètement vaseux. Et une envie de pisser, terrible. Titubant, je suis parti à la recherche des chiottes. Quelque part, un truc couinait, un chiot ou que sais-je. Je me suis trompé de porte et je suis entré dans la salle de bain. Sheila, courbée en deux, nue, se cramponnait au lavabo. Derrière elle, Eustache, nu aussi, se cramponnait aux hanches de Sheila en lui plantant son gros bâton noir dans les fesses. C’était Sheila qui couinait ou plutôt gémissait, rythmant les coups de queue. Toute fière, elle m’a annoncé:
« Il me nique sans relâche depuis le début de l’après-midi. Quel baiseur!»
Je lui aurait volontiers cassé la gueule, à Eustache, mais il était plus grand que moi, plus baraqué aussi, et je ne tenais pas debout. Et puis, je suis pas un bagarreur … Je suis allé aux chiottes. Littéralement.
Encore …. encore … Je suis revenu vers eux. Elle m’a regardé par-dessous, soupçonneuse:
« Tu vas pas faire d’histoires? N’est-ce pas?»
J’ai hoché la tête. Comme un péteux. Soulagée, elle m’a sourit:
« C’est bien. Je ne voudrais pas que tu sois blessé. Je suis contente que tu te comportes en homme moderne. Eustache m’avait dit que tu ne te fâcherais pas. Je voulais te demander la permission mais il a dit que ce n’était pas la peine. Que tu n’allais pas insister pour faire le malin. Va m’attendre dehors, je viendrai quand on aura fini.»
Eustache me regardait en souriant, sans ralentir son bassin. Il a ajouté:
« Tu ferais mieux de rentrer chez toi, ça va être long, j’ai les couilles encore bien pleines, je la ramènerai demain.»
Il l’a ramenée, le lendemain, en fin de journée. Je guettais derrière la fenêtre depuis le matin, en maugréant.
Il l’a ramenée, mais pas seul. Sur la banquette arrière, il y avait deux malabars. Elle a roulé un patin à Eustache, puis elle est montée. Elle s’était changée. Une mini jupe en cuir, boutonnée devant et ras la moule que je ne connaissais pas. Son chemisier était ouvert jusque sous ses seins, découvrant un collier avec plusieurs rangées de perles.
Elle sentait fort la bite et l’odeur du mec qu’elle avait pompé. Elle devait lui avoir vidé les couilles pour sentir aussi fort.
Et ses yeux, ses magnifiques yeux bleus, bordés de reconnaissance, ils avaient baisés non-stop pendant 24 heures pour qu’elle ait des yeux pareils.
Elle m’a regardé longuement, des pieds à la tête, me jaugeant, comme un vieux vêtement qu’on sort de l’armoire en se disant: « J’en fait quoi, je le garde ou je le jette?»
Puis elle a parlé:
« Eustache a dit que tu ne me toucherais plus. Fini le sexe entre nous. Juste ta langue, pour nettoyer mes orifices, quand je rentre, si je rentre … Es-tu prêt à t’agenouiller et à me lécher?»
Je voulais frapper la petite salope. J’ai serré les poings et suis devenu tout rouge. Elle a remarqué.
« Fais pas l’imbécile, ils te battront, chuchota Sheila. Regarde par la fenêtre, ils attendent.»
«Je le hais, je déteste ce type» grondai-je.
De nouveau, elle m’a inspecté comme si j’étais un crétin et si ça valait le coup qu’elle s’occupe de moi:
« On s’en fout de ce que tu ressens … tu ne comptes pas» dit-elle d’un ton acide. Et son regard méprisant.
« Je ne veux pas que tu revois ce type» dis-je, d’une voix voix sifflante.
Elle a attendu. Puis, lentement, très lentement, elle a soulevé sa minuscule jupe. Son sexe était nu, épilé, mais surtout étiré, ses lèvres de sexe distendues pendaient. Les surfaces visibles étaient couvertes de traînées de sperme, et un filet crémeux coulait de sa chatte.
« Lèche ma chatte immédiatement ou je demande à Eustache et à ses potes de monter», dit-elle fermement.
« Je t’ai dit … tu ne dois plus le voir» sifflai-je. Mon sang battait dans ma tête. Je serrais les poings, les paumes moites.
Elle a plissé les yeux, et cette chienne m’a dit:
« A genoux, lèche-moi, adore ma chatte ….. c’est ta dernière chance».
Je suis resté stoïque. Sheila a plongé la main dans son sac à main et sortit son téléphone. Elle a composé son numéro.
«Tu dois me lécher, a dit Eustache …» murmura-t-elle, « sinon ils s’occuperont de toi».
J’ai frissonné. C’était des costauds. Habitués à convaincre les mecs. A trois contre un, aucune chance. Je suis tombé à genoux sur le tapis. D’un coup, comme si mes jambes avaient cédées. Sheila ne s’est pas approchée de moi. Elle a simplement tourné le téléphone vers moi pour qu’un enregistrement vidéo puisse commencer.
« Approche, tu vas lécher ma chatte quand je te le dirai» intima-t-elle fermement.
« J’appartiens à Eustache maintenant … compris?»
«Oui» répondis-je soumis.
« Approche … viens lécher la chatte de ta maîtresse» dit calmement Sheila.
Sa chatte barbouillée de sperme était pendante, son clitoris était gonflé, sa vulve était béante, on pouvait entrer la main là-dedans comme dans un sac à main.
Insensé.
Mais j’ai léché sa chatte et j’ai avalé ses jus de sperme. Ça puait épicé, le foutre, la sueur, ça puait son ventre et tout ce qu’il avait craché là-dedans. J’ai eu la nausée.
« Non!» elle a exigé, rapidement. « Lèche-tout …. et avale!»
J’ai secoué la tête. Putain, je déteste ça. Je te déteste. SALOPE !!!
« Avale»
J’ai avalé.
Elle a saisit ma tignasse à pleine main et a plaqué mon nez contre sa chatte:
«Renifle, sens-le en moi, humes le fumet du mâle dominant»
J’ai inhalé. J’ai inspiré et j’ai failli m’évanouir. Le parfum brut de leur copulation était enivrant. J’ai chaviré et je me suis assis sur mes talons. « C’est une drogue, réessaye» murmura-t-elle, un rictus déformait son joli visage.
Je me suis soulé avec une autre respiration et ma tête a tourné.
« Tète mes lèvres» murmura-t-elle et j’ai sucé. J’ai ressenti la plénitude, l’épaisseur, le muscle en elles. Gorgées de sang, gonflées par la convoitise, elles empoigneraient la bite aussi serré qu’elles pouvaient. Je les imaginais étroitement accrochées à la bite du bâtard.
Discrètement, le loquet de la porte tourna et Eustache entra dans la pièce.
Un chuchotement: « Il se comporte bien?»
Sheila a fait la moue: « Ouais … il déteste ça, mais il se pliera»
« Bonne fille» l’a encouragé Eustache. Il est venu se coller contre Sheila, l’embrassant lentement, bouche grande ouverte. Une douce caresse sur ses seins, puis sa main descendit, le ventre, les plis de sa jupe, sa chatte. Il a écarté ses lèvres avec ses doigts bruns et j’ai pu lécher plus profondément dans sa chatte. Un bouchon de sperme s’est brisé et tout s’est écoulé dans ma bouche. J’ai avalé.
Sheila frissonna de plaisir.
« Tu l’utilises quand tu veux. Comme tu veux. Un problème, tu m’appelles hein?»
Elle hocha la tête en réponse à ses directives. Elle voulait encore sa putain de bite. Elle avait envie d’être baisée. Je l’ai regardée s’accroupir et ouvrir sa braguette. Elle a glissé sa main dans l’ouverture de son pantalon et ensuite, avec effort, elle sortit la bête.
Je regardai fixement.
C’était moche. Sa queue était épaisse, laide, un bélier avec un énorme gland grenat au sommet d’un tronc brun. Les veines saillaient, gorgées de sang épais. C’était massif, laid, épais, menaçant.
Elle caressait son mandrin comme si c’était un jeune enfant, le regard fixe, la bouche ouverte. Elle sortit sa langue pour s’humecter les lèvres, enfiévrée de désir.
« S’il te plait Eustache … s’il te plait» murmura-t-elle.
C’était disproportionné. Ma femme minuscule face à ce baobab. C’était comme si Sheila allait être baisée par un cheval.
C’était trop gros, trop épais, trop musclé.
Quand il a mis son gland contre sa chatte, j’ai vu les lèvres de distendre. Dès que le gland est entré, les lèvres se sont refermées sur la poutre. Sa chatte l’agrippait et spasmait, ses cuisses tremblaient.
«S’il te plait, Eustache», gémit-elle et il poussa nonchalamment.
Il l’a soulevée de terre comme une plume, elle s’est pendue à son cou, ses jambes ont fait le tour de la taille d’Eustache.
Il a commencé à la baiser. Et l’odeur, sa putain d’odeur a explosé de nouveau dans mon visage.
Sa queue coulissait facilement dans sa vulve mouillée. Chaque fois qu’elle ressortait, les jus de Sheila coulaient sur le tronc massif jusqu’à ses couilles.
Sheila gémit doucement: « oh mon chéri!»
Sheila ressentait d’instinct le besoin d’offrir si profondément sa féminité. Elle devait être baisée de cette façon. Toutes les femmes blanches sont censées prendre une bite noire comme celle-ci pour se sentir femelle.
Il a glissé les mains sous ses fesses et l’a promené à travers la pièce, la faisant monter et descendre sur son arbre. Il lui donne un putain d’orgasme dur. Elle ne peut plus l’arrêter, clouée sur sa putain de bite.
Bien sûr, elle ne voulait plus de moi. Le choc de les voir s’accoupler ainsi, ainsi que l’odeur capiteuse de leur couplage, m’étourdissait. Chaque pas accompagné d’une poussée brutale faisait couiner Sheila.
Sheila baissa les yeux vers moi: « Tu es battu … tu comprends maintenant ….. tu te rends compte?»
Il m’a regardé méchamment, mais je n’étais pas une menace. Je ne pouvais pas être une menace.
Là, devant moi, Eustache se figea un instant, ses couilles se crispèrent. Sheila se blottit contre lui, alors qu’une frénésie les faisait se cogner à l’unisson pendant qu’il éjaculait son chargement en elle.
« Putain, prends-ça, salope» gronda-t-il, tandis que la chatte de ma femme se verrouillait pour que rien ne lui échappe.
Le visage enfoui dans son cou, elle gémit: « Je t’aime!»
Je regardais cet étalon noir embrocher ma femme.
Pas étonnant qu’elle me regarde de cette manière hautaine maintenant.
Il est incroyablement brutal, a****l, mâle dominant avec elle.
Sheila avait terriblement besoin de lui, maintenant.

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