Le lendemain matin, nous sommes vendredi, je me prépare pour aller travailler d’après midi. La soirée d‘hier en famille m’a parue interminable, les discussions avec mon mari m’ont soûlées et je n’avais pas la tête à écouter mon fils. C’est avec bonheur que je me suis retrouvée seule et que j’ai pu revivre cette après-midi totalement folle pour moi. Cela faisait bien 15 ans que je n’avais pas fait l’amour comme cela, en pleine nature ou dans une voiture. Je me suis repassé le film dans ma tête toute la nuit, et je me met à rêver d’une suite.
Je sais que je vais retrouver Eric dans le service tout à l’heure puisque nous sommes tous les deux d’après-midi. A la fois, il me tarde de le revoir, et je redoute d’être avec lui, entourés d’autres personnes, et de ne pas pouvoir le toucher. J’ai tellement peur que cela se lise dans mes yeux ou que cela se remarque dans mon comportement que je suis follement amoureuse de lui !!!
Follement … oui c’est bien le terme !!! Je dois être folle pour être tomber aussi rapidement dingue de cet homme, m’être donnée à lui en quelques jours seulement, et surtout souhaiter que cela continue.
Lorsque j’arrive dans le service, je retrouve Eric qui est déjà là, je dis bonjour à tout le monde, nous nous faisons la bise comme si de rien n’était et nous nous mettons à bosser. Je m’efforce de ne pas le regarder de peur de me faire griller par une de mes collègues, mais c’est tellement difficile. Enfin arrive la fin d’après-midi, le moment de faire une pause-café. Nous nous rejoignons en salle de repos, nous ne sommes que tous les deux. Un baiser furtif, c’est de la pure folie mais c’est trop bon. Impossible de partager davantage de complicité, d’autres collègues arrivent. Je me dis que la fin de journée va être terriblement longue et frustrante et que penser du weekend qui s’annonce. Je n’ose pas l’imaginer.
Je suis perdue dans ces considérations lorsqu’il passe à côté de moi, et discrètement me glisse à l’oreille :
« rejoins moi dans la réserve générale »
Il disparait, j’attend quelques minutes et je m’éclipse à mon tour discrètement.
Je le rejoins dans une immense pièce qui sert de réserve au service, il est là, il m’attend. Je suis excitée comme une collégienne pour son premier rendez vous.
Sitôt la porte refermée, il me prend dans ses bras et m’embrasse fougueusement. Ses bras me pressent contre lui, ses mains me caressent par dessus ma tenue de travail, sa langue joue avec la mienne, je le serre contre moi, je sens que son sexe qui appuie contre mon ventre est déjà en train de durcir et je commence moi même à mouiller.
Il me plaque contre le mur, soulève ma tunique et commence à me peloter. Ses mains pétrissent fermement mes seins et très vite il dégrafe mon soutien gorge et sa bouche rejoint ses mains et commence à me sucer les mamelons. J’ai les tétons tous durs, je ferme les yeux, je ressens un immense plaisir qui me gagne, mon string est à tordre tant je ruisselle d’excitation. Ses mains parcourent tout mon corps pendant que sa bouche s’affaire sur ma poitrine suçant goulûment mes tétons. Il me pétrit maintenant les fesses tout en me suçant. Ma tunique et mon soustif ont volé par terre et c’est maintenant au tour de mon pantalon de glisser long de mes jambes. Une de ses mains passe maintenant sur mon sexe humide, écarte légèrement le triangle de tissus et commence à jouer avec mes lèvres intimes. Il s’agenouille devant moi, m’aide à me débarrasser totalement de mon pantalon, et commence à me lécher le minou. Il me déguste et boit mon jus qui coule abondamment. Je pose mes mains sur sa tête comme pour la maintenir en place, je ne veux pas qu’il arrête ce cunni, c’est trop bon, je sens que je vais rapidement jouir sous les caresses de sa langue qu’il introduit maintenant dans mon vagin. Il joue avec mon clitoris que je sens turgescent de plaisir, sans pour autant négliger mes seins qu’il continue à peloter frénétiquement. Je viens, oui je viens. j’ai un orgasme d’une intensité incroyable. Je me retiens de hurler de peur d’ameuter tout le service, je suis parcourue de spasmes, j’ai du mal à me tenir debout, je me tord de plaisir, j’ai envie de me rouler par terre. Il ne m’en laisse pas le temp, il se redresse face à moi, me soulève du sol et m’emporte dans ses bras. Je passe instinctivement mes bras autour de son cou et mes jambes autour de sa taille, en croisant mes pieds dans son dos. Je sens son sexe tendu contre mon ventre. Il me dépose sur le bord d’une table, fait glisser à son tour mon string le long de mes jambes et celui ci finit par terre. Il prend son sexe dans sa main droite, frotte un peu le gland sur ma chatte histoire de le lubrifier un peu, et entreprend de me pénétrer.
Il s’introduit lentement en poussant un râle de plaisir. Je sens son membre s’enfoncer en moi, j’ai l’impression que cela n’en finit pas tellement il est long. Je ne suis pas habituée à un pénis de cette taille. J’ai l’impression qu’il va me déchirer tant il frotte contre les parois de mon vagin qui bien que largement lubrifié, a du mal avec son calibre.
Il est enfin arrivé au fond, il se retire aussi lentement qu’il m’a pénétré et s’arrête, ne laissant que le gland entre mes lèvres. Et il recommence, toujours aussi lentement, mais toujours aussi profondément. Son va et vient dure ainsi quelques minutes et fait monter en moi un nouvel orgasme. Je le sens, il monte depuis mon vagin et m’envahit entièrement, ma tête va exploser, je rejette ma tête en arrière, je me cambre sur ce bord de table m’appuyant sur mes bras l’enserrant toujours entre mes jambes, je suis encore obligée de me retenir de crier et je connais de nouveau un orgasme fulgurant. Lui continue, il a intensifié ses mouvements, son pieu frotte contre la paroi et son gland frappe le fond de mon vagin. Il m’assène de véritables coups de boutoir. Il me tient par les hanches avec ses deux mains et chacun de ses coups de rein est accompagné par un râle tel un bucheron. Il me besogne maintenant sans ménagement et accélère ses mouvements sans diminuer pour autant l’amplitude de sa pénétration. Il est incroyablement viril et résistant. Moi qui reste frustrée la plupart du temps avec mon mari qui éjacule habituellement en moins de trois minutes, avec lui je suis submergée de plaisir. Il finit tout de même par jouir en moi, je sens son liquide chaud qui me remplit la chatte en de nombreux jets. Comme hier dans ma bouche, il lâche en moi une quantité impressionnante de sperme.
Nous prenons quelques instant avant de nous désunir pour récupérer un peu avant de retourner vers nos collègues. Nous nous rhabillons, il quitte cette salle en premier et j’attends quelques minutes avant de sortir à mon tour. Je file aux toilettes car je dégouline tellement que l’entrejambe de mon pantalon se tâche aussitôt.
(à suivre)
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