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Conte hardérotique 2

Conte hardérotique 2



Intermède (ou Interlude)

Evidemment, vu ce super épisode de baise, je ne comptais pas en rester là… Rapidement, à l’occasion de la baignade qui suivit immédiatement cette partie de queues allemandes dantesque dans les chattes de nos femmes, je me rapprochais dans l’eau de ce vieux voisin qui avait manifestement pris un plaisir tout aussi fabuleux que le mien de voir sa femme transformée en salope.

Comme il avait l’air d’hésiter à mon approche, j’attaquais d’entrée, histoire de le mettre en confiance : « putain ! t’as vu comme elles ont pris cher nos deux salopes »
« ah oui alors ! et ma femme t’a bien sucé aussi »
« oui, oui, elle suce bien… elle a l’air d’aimer les queues »
« figure-toi qu’avec moi, elle n’a jamais fait ça… ma bite est trop petite »
« quel gâchis ! c’est pas perdu, tu devrais exploiter ça et elle te sucera aussi comme une salope »
« tu crois ? ma queue est trop petite »
« t’es con ou quoi ? ça fait deux fois que tu me dis que ta queue est trop petite. C’est pas grave, elles en ont pris des grosses de ces vieux salauds d’allemands, qui n’en demandaient pas tant et ne se sont pas posé de questions. Après, elles vont nous revenir ces salopes, encore plus chaudes »
« tu crois toi ? »
« mais oui, demain il faut qu’on s’arrange pour voir leur séance avec les 6 types, ça va être d’enfer »
« comment faire ? »
« t’inquiètes, on va se rencarder où ils crèchent ces allemands, au pire on les suivra… »
« ouais t’as raison, ils ont rdv à 11 heures sur la route derrière la petite crique »
« on aura qu’a y être toi et moi… »

Comme j’étais « fine mouche », le soir avant le repas je partis en quête de savoir où créchaient ces allemands… et je fus vite renseigné par la caissière du petit supermarché (celle qui avait de beaux décolletés et un super sourire) qui m’indiqua bien vite leur mobil-home dans le camping auquel on accède par le chemin non goudronné à quelques centaines de mètres de la petite crique.
Le lendemain matin, j’appris de la bouche de mon nouvel ami –le vieux à la petite queue- que sa femme lui avait parlé sans arrêt de ce RDV du matin, que lui avait questionné à outrance sur le plaisir qu’elle avait eu de se faire prendre sur la plage, de me sucer…
Alors qu’ici, ma femme éluda la conversation quand j’essayais de la brancher sur les sacrés coups de pine qu’elle avait reçus sur la plage, sur la pipe de la voisine d’à côté (qu’elle avait forcément vue même si elle était « occupée » à baiser avec le vieil allemand) et le fait que j’ai déchargé dans sa bouche… alors qu’à moi elle refuse ce plaisir et recrache quand elle me suce.
« T’as quand même aimé te faire prendre par ces super bites des allemands non ? »
« ouiiiiiii… » soupira-t-elle, comme un aveu
Et bien entendu, elle ne me parla surtout pas de ce RDV du lendemain matin avec 6 allemands !

* * *
La partie avec les allemands
(prélude dans les chemins)

Le matin dit, prétextant une envie de plage (alors qu’elle savait très bien que je ne la suivrai pas sur la plage le matin) ma femme s’en alla sur les coups de 10 heures 30 du matin (heure inhabituelle… mais je ne fis rien pour marquer ma surprise !!!), vêtue dans une tenue dite « de plage » assez élégante et sexy. La coquine avait enfilé une jolie robe courte (très courte même) en tissu fin et soyeux d’un vert pétard qui épousait ses formes à merveille et jouait avec quelques transparences : on (tout regard d’homme) pouvait plus que deviner la forme exacte de sa petite culotte et de son sous-tif pigeonnant (elle n’avait pas suivi les consignes de « sans culotte et sans sous-tif » alors ! et, comble de la salope, ce n’était pas un maillot de bain mais deux superbes pièces de lingerie en tulle fin… qui donnaient une irrésistible envie de lui mettre la main au cul ou sur les seins… dont les tétons affleuraient la dentelle, tellement ses globes remontés par le balconnet étaient bien visibles dans le large décolleté.

Comme convenu avec mon nouvel ami, je me précipitais au dehors et, usant d’un raccourci, je retrouvais mon nouvel ami fébrile et impatient comme un jeune marié derrière une cabane tout près du lieu de rendez-vous fixé par les allemands (c’est là qu’il me raconta sa soirée-débat de la veille et que moi je pus lui dire que ma femme n’en avait presque pas parlé… du moins avait refusé l’échange !)
« ce sont quand mêmes deux belles salopes ! »
« oui mais différentes les putes »
« ouais la mienne, elle a mis une robe courte en coton sans rien dessous … ils vont l’avoir facile ! »
« la mienne, encore plus salope, elle a mis une robe -vachement courte aussi- mais en tissu fin (le truc de fou qui te donnes envie de lui mettre les mains partout ou d’y frotter ta bite !) avec un super string sexy qu’on devine par transparence, tellement sa robe est près du corps (de son cul et de sa chatte… on devine tout… même ses poils de chatte !) et un soutif de dingue, genre super balconnet qui remonte bien ses miches au ras d’une bande de dentelle que tout le monde peut voir dans son décolleté… même ses tétons sont visibles… et aux pieds de superbes ballerines sexy… comme si elle avait pu penser un instant que je croyais qu’elle allait à la plage »
« quelle hypocrite ! quelle salope ! »
« ben oui, elle est comme ça ! elle n’avoue jamais rien… mais elle aime les queues la salope »

« putain les voilà ! chut ! planque toi »

Nos deux salopes arrivaient en effet, pas en retard du tout (presqu’un quart d’heure d’avance… elles devaient avoir une sacrée envie de se faire démonter par ces six allemands). La grosse salope de mon nouvel ami avait une robe qui la moulait tellement que son opulente poitrine était déjà un appel au sexe, ses tétons pointant perçaient presque le coton (évidemment qu’on se rendait compte qu’elle n’avait pas de sous-tif) et que ses fesses balançaient au rythme du déhanchement d’une paire de mules à talons compensés qui lui donnaient un air de pute en vacances. Je ne pus m’empêcher de lui dire à l’oreille :
« ouaouh ! putain qu’elle est aguichante ! là elle cherche à provoquer le mâle ta salope ! »
Je crois qu’il était surpris de voir sa femme comme ça et interloqué d’entendre ma réaction ; il déglutit fortement et ne répondit rien… la vision de nos salopes le rendaient « baba » ! Il faut dire aussi que l’arrivée de la mienne, virevoltant avec ses ballerines coquines avec ses mollets ronds et sa petite robe chatoyante qui ne masquait rien mais dévoilait tout, avait de quoi affoler n’importe quel homme normalement constitué. A notre immense surprise à tous les deux, nos deux femmes -nos deux salopes- se roulèrent une galoche appuyée en guise de bonjour, tout en se pelotant réciproquement les fesses et les seins ! Nous étions sciés lui et moi, muets de surprise ! Je n’avais jamais vu ma femme rouler une galoche à une autre femme et mon nouvel ami me fit la même confidence. Du coup, tous les deux nous avions déjà la trique de les voir se gouiner et minauder. En effet, en attendant les allemands, elles n’arrêtaient pas de se contempler mutuellement leurs tenues (hélas on n’entendait pas ce qu’elles se disaient). En tout cas, elle se paluchaient réciproquement : ma femme n’hésita pas à porter sa main sur l’opulente poitrine de la femme de mon nouvel ami, alors qu’elle caressait les fesses de la mienne à travers le fin tissu de la robe tentante. Elles se mettaient en condition. Elles devaient être bien chaudes, lorsqu’arrivèrent deux des quatre allemands de la partie de la veille, armés d’un super sourire en les voyant dans ce chemin quasi désert. En guise de bonjour, ce furent des super galoches appuyées accompagnées de pognes bien précises sur les seins et les culs de nos femmes et, pour finir, d’un replat de main bien appuyé sur leur chatte sensible et touchable au travers de leurs robes d’été. Bien planqués, mon pote et moi avions du mal à retenir notre émotion car nos belles épouses, d’apparence si sage, se livraient comme des salopes effrénées aux baisers fougueux et aux pognes ostensiblement appuyées et bien ciblées des deux allemands… en ignorant l’entourage. Deux touristes mâles d’un certain âge qui passaient par là s’arrêtèrent interloqués devant l’érotisme poussé de ce « bonjour » matinal. Nous les vîmes même se retourner, poser leurs affaires au sol et se masser la queue à travers leur short alors que les deux allemands remontaient les robes de nos femmes jusqu’à pratiquement leur montrer leurs fesses… en les regardant fiers de leurs conquête :
« T’as vu nos salopes comment ils en font ce qu’ils veulent »
« Ouais, putain, ils les traitent comme des putes et elles ont l’air d’aimer ça ! »
« Attends, attends, regarde ce qu’ils font… »

En effet, les deux allemands poussèrent le jeu encore plus loin sous nos yeux éberlués et apparemment avec l’accord de nos salopes. Non seulement ils reprirent leur galoche appuyée dans ce chemin creux, mais en plus ils remontèrent carrément leurs robes jusqu’à la taille, tout en malaxant leurs seins de leur autre main pour les mettre à l’air et à la vue des deux touristes… affolés, incrédules mais surexcités. L’un des allemands (et cela ne nous échappa pas !) leur fit un petit signe sans équivoque de la main les enjoignant de s’approcher. L’allemand de ma femme avait immiscé son doigt entre ses fesses et furetait même sa chatte, tout en la galochant frénétiquement, ce à quoi ma salope répondait allègrement en ayant plongé sa main dans son short et en massant sa queue. L’autre allemand avait saisi le gros cul de la femme de mon pote avec ses deux mains et écartait ses fesses, alors qu’elle aussi massait sa bite dans son slip de bain, tout en le galochant aussi.
Du coup, enhardis et dédouanés, les deux vieux vacanciers s’étaient approchés très près de ces deux couples en rut, avaient sortis leurs queues par-dessus leurs shorts et commençaient à se branler… pour le plus grand plaisir des deux allemands, de plus en plus fiers d’être devenus les « maîtres » de ces deux petites salopes de françaises, plus ou moins coincées et/ou bcbg… et pour notre plus grand plaisir à mon pote et à moi, qui nous demandions bien jusqu’où ces deux allemands allaient aller.
Un autre signe de la main les invita à s’approcher encore jusqu’à pouvoir les toucher… ce qui fut fait illico, sans que nos deux salopes ne puissent vraiment protester, tellement elles s’étaient offertes. Les deux allemands avaient manifestement envie de « marquer leur territoire »… s’ils avaient su que nous –les maris cocus heureux et fiers de l’être- étions là à les observer !
Je poussais du coude mon nouvel ami, il me regarda l’air effaré les yeux écarquillés…
« ils les ont en main ces salauds d’allemands ! »
« chuttttttttttt ! »
« mais… ils vont leur donner ou quoi ? »

Les deux allemands, utilisant au maximum leur pouvoir sur nos femmes, les attirèrent encore plus contre eux et les firent se pencher un peu plus en avant (nos deux salopes crurent -à juste titre probablement- qu’ils voulaient être sucés dans ce chemin creux) pour mieux tendre et offrir leurs culs aux deux vieux vacanciers, qui se masturbaient comme des chimpanzés, les yeux rivés sur ces magnifiques fesses offertes à leur envie.
Alors que dans un même mouvement nos deux salopes se penchaient sur les shorts des allemands pour saisir leurs bites et attaquer une fellation des champs, leur cul et leur chatte, bien tenus et présentés ouverts et doigtés par les deux compères allemands s’offraient bien maintenant aux deux touristes. Ces deux salopes avaient attaqué un concours de pine et c’était à celle qui suçait le mieux ; lâchant momentanément leurs culs, les deux allemands les avaient saisies fermement par les cheveux et guidaient, accompagnaient, appuyaient leurs pipes qu’elles voulaient savantes… en grognant un peu.

Alors, les deux vieux vacanciers, aux anges et bien gaillards seuls sans leurs bobonnes, s’enhardirent voyant nos deux femmes bien maîtrisées et offertes. D’abord, ils allèrent caresser, doigter, embrasser et palucher les deux culs et les deux chattes offerts. Ils se régalaient ces deux vieux vicelards. Nos femmes sursautèrent un instant mais les deux allemands les maintenaient bien offertes aux deux autres types en appuyant fermement sur leurs têtes pour qu’elles continuent à les sucer… sans savoir ce qui se passait derrière elle ! Elles n’attendirent pas longtemps car les deux touristes surexcités présentèrent leurs boudins bien tendus car bien branlés, saisirent nos deux femmes par le replat du haut des fesses et les enfilèrent d’un coup ferme dans une superbe levrette debout dans ce chemin creux.

Bien maintenues par leurs deux maîtres allemands, qu’elles continuaient de sucer avec application, elles recevaient ces deux bites inconnues qui se mirent à les pilonner en cadence appuyée. Les deux vieux touristes avaient probablement dû se dire qu’il ne fallait pas laisser passer une si belle occasion et se mirent à pistonner les chattes offertes en arrimant leurs pognes de manants sur leurs flancs dénudés. Deux putes, voilà ce qu’étaient nos femmes. Penchées en avant, elles suçaient ces deux allemands aux deux gros dards bien tendus dont elles se délectaient et se faisaient prendre en levrette debout par deux types affolés et surexcités… le tout sous nos yeux éberlués !

Que c’était beau et bon ! voir nos deux femmes ainsi !

Et là, dans ce chemin creux, à quelques mètres de la route d’un côté et de la plage de l’autre, nos deux femmes se retrouvaient livrées à une superbe partie de bites en plein air : les deux allemands, absolument maîtres de nos chiennes devenues dociles, se faisaient sucer, bombant le torse, tendant leur bas-ventre à la rencontre de leurs bouches déformées par les gros glands ingurgités, en les maintenant fermement par les cheveux et grognant des insanités (probablement) que nous ne comprenions pas ; les deux vieux touristes s’en donnaient à cœur joie et pistonnaient les deux chattes offertes, baisant ces deux françaises bien salopes sans préservatif et y allant à grand coup de treuil sans ménagement. Ils se contemplaient entrain d’enfiler leur mandrin entre ces belles fesses et secouaient nos deux salopes sans trop de ménagement, bien encouragés par les allemands tout sourire.
S’ils savaient que nous aussi nous les encouragions (en silence) la queue bien dure dans nos pantalons.
Elles avaient l’air heureuses nos deux salopes d’être offertes et prises ainsi… leurs culs s’agitaient et répondaient bien aux coups de bites des deux vieux touristes, alors que leurs bouches gourmandes gobaient et pompaient toujours les dards des deux allemands, manifestement très fiers de l’offrande qu’ils faisaient à ces deux vieux et remplis d’aise par les fellations consenties. D’ailleurs, ils échangèrent nos femelles soumises, qui illico reprirent en bouche la nouvelle queue qu’on leur offrait.
Nous les entendions échanger des commentaires en allemand (que hélas nous ne comprenions pas) qui devaient complimenter nos deux salopes.

Alors, l’un d’eux fit signe aux deux autres baiseurs de nos femelles… d’accélérer leur baise … de terminer quoi ! Ils ne se firent pas prier. Au risque d’ameuter des passants (mais pour notre plus grand plaisir à mon pote et moi de voyeurs cocus heureux), leurs mains se crispèrent sur leurs hanches, accélérant leur va-et-vient, ils se mirent à taper de plus en plus fort au fond de leurs vagins (nous entendions le claquement du haut de leurs cuisses et de leurs couilles contre les fesses de nos femelles), nos salopes se mirent à gémir (comme elles pouvaient alors qu’elles avaient toujours la queue des deux allemands en bouche).
Mon pote et moi, heureux comme des gosses, nous regardions ces deux types « veinards » se « faire » nos deux femmes, authentiques salopes, drivées par les deux allemands. Ah si seulement nous avions eu un camescope ou un appareil photo… mais nous triquions dur !
« Putain ils vont jouir en elles ! »
« Ouais ils vont les remplir de foutre les salauds, quelles putes ! »

D’un coup, presque ensemble, ils se plantèrent en elles, s’immobilisèrent au fond de leurs chattes pilonnées en beuglant (en français ! on sut bien plus tard que c’étaient des belges )
« putain, ça y est je lui décharge dans la chatte à cette salope, putain qu’elle est bonne ! » dit l’un d’eux en inondant de foutre la chatte de ma femme.
« ahhhhhhhhhh ! je jouis en elle aussi… tiens, moi je lui arrose son gros cul à cette chienne »
dit l’autre en se retirant après sa première giclée et branlant sa queue pour finir de la faire dégorger sur les fesses de la femme de mon pote de baise.

Je me demandais (et mon pote aussi probablement) comment avaient fait les allemands pour résister au plaisir de décharger dans la bouche de nos deux salopes suceuses qui se faisaient prendre comme des putes par ces deux vieux vicelards auxquels ils les avaient offertes.

C’était tout simplement génial de les voir ainsi baisées en plein air, quasiment au vu et au su de tous ceux qui pouvaient passer [je crois bien avoir aperçu quelques spectateurs… hommes évidemment], de s’en régaler tout en suçant comme des putes entrainées les deux allemands qui les dominaient.

Les deux vieux touristes, bien évidemment enchantés de cette occase, s’étaient bien régalés de tringler nos gonzesses amenées « à l’abattage » par ces deux allemands qui leur promettaient une super partouze à suivre. Ils retirèrent leurs boudins dégoulinants des chattes gluantes qu’ils venaient d’inonder et, sous nos yeux émerveillés, ils firent tapoter et finir de faire dégorger leurs glands sur les fesses de nos femmes, en s’essuyant même avec leur robe.

Prestement, avec un petit ‘salut’ et un ‘merci’ aux deux allemands, ils remirent leur short et disparurent dans le chemin creux… sans s’être aperçu de notre présence ; donc sans savoir qu’ils nous avaient comblés par le spectacle offert.

Les deux allemands, en bons maîtres de séance, firent se relever nos deux femmes soumises, leur roulèrent à chacune une belle galoche profonde et appuyée, probablement fortement empreinte d’odeur de leur bite longuement sucée. Ils paluchèrent un peu les poitrines dénudées. Les robes tâchées retombèrent sur les culs souillés et enspermés… mais ils ne leur laissèrent pas le loisir de nettoyer quoi que ce soit… ils voulaient les emmener à leurs autres potes déjà enfoutrées comme des putes à leur merci.

D’ailleurs, après avoir échangé leur galocheur, nos deux femmes vacillantes s’agrippèrent à leurs bras pour prendre le chemin qui menait à leur chalet de location… prêtes à tout… bien préparées qu’elles étaient à recevoir un superbe concert de queues allemandes promises. Elles tortillaient du cul car elles avaient pris chacune une bonne tringlée et reçu une bonne dose de foutre qui devait couler le long de leurs cuisses. De temps à autre, les allemands leur soupesaient les tétons ou leur mettaient la main aux fesses et elles riaient et minaudaient comme des jeunettes qu’on amène au bal.

Bien évidemment, tels des sioux, fébriles et impatients, nous prenons ces deux couples en filature de loin dans ce chemin qui nous conduisait tout droit au camping (que l’on m’avait indiqué) où ils avaient loué un chalet, sorte de mobil home…

Qu’allait-il se passer ? quel spectacle allaient-elles nous donner ? seraient-ils six comme ils l’avaient dit ?

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Je publie des histoires de sexe quotidiennes pour mes lecteurs.

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