C’était à l’époque où je passais mes examens de fin d’année en fac. Je gardais les gamins des Fallier, des amis de mes parents. Leurs gosses, Georges et Marie, sont deux petits monstres, de véritables têtes à claque auxquels leurs parents passent tous les caprices. Serge Fallier est cardiologue et Anita, son épouse, s’occupe de ses moutards. Serge est un type sympa : il me loue des vidéos à chaque fois que je viens. Je sais qu’il loue aussi des films pornos. Un soir, en cherchant de quoi écrire, j’avais trouvé trois cassettes dans le petit bureau de l’entrée. Il y en a toujours des nouvelles chaque fois que je viens et je me les matte en me branlant. Serge Fallier a l’air porté sur des trucs assez crades : sodomie, viols, S.M. et même des trucs bisexuels ou avec des travestis. J’adore ! Je me demande si Anita regarde ces cochonneries avec lui ? Ce soir, il m’a loué un film d’action. Je vais regarder dans le petit bureau ce qu’il y a à disposition pour mes branlettes habituelles et je ne vais pas être volé ! La première cassette est une compilation de fists, la seconde un film avec des transexuels violés en prison et la troisième avec des jeunettes et des vieilles qui se défoncent la matrice avec des gadgets. Rien à jeter ! Enfin, les gremlins sont couchés et je m’apprête à passer une soirée cool. La cassette en main, j’essaie de l’enfoncer dans le scope mais elle est bloquée par une autre vidéo déjà dans l’appareil. Je fais sortir l’intruse. Rien d’écrit à l’exception d’une date qui correspond à dimanche dernier ! Intrigué, je met la cassette mystérieuse sur le coté et je regarde mon film, peinard.
Lorsqu’il est terminé, je prends l’autre vidéo. Intrigué, je l’insère dans l’appareil et appuie sur « lecture ».
C’est de la vidéo ! Plan large sur un salon. Je le reconnais tout de suite, c’est celui où je me trouve en ce moment même. Ce que j’ai du mal à reconnaître sur le coup c’est ce qui se passe. Ma première surprise passée, je vois que je ne me suis pas trompé : une femme, le visage masqué par un loup, est debout les bras le long du corps au milieu de la pièce. Elle est habillée d’un tailleur et chaussée de hauts escarpins noirs. Elle est brune et un peu grasse et doit avoir une quarantaine s’années. Sur le canapé en cuir, le même où je suis assis en ce moment, une autre femme, blonde et mince, habillée tout en cuir est encadrée par deux types Ils sirotent une coupe de champagne. Les hommes bedonnent dans leurs costumes et leurs grosses bites molles sortant de leurs braguettes rendent la scène amusante. La femme assise parle au type à sa droite et je reconnais son léger accent et son ton sec : c’est Anita Fallier.
_ Et que fait donc ta chère épouse, André ? Céline, c’est ça ?
_ Céline, oui ! Et bien pas grand chose, Nita ! C’est pour ça que je l’ai emmené ! Je me suis dit qu’une pro comme doit pourrait la déniaiser et en faire une belle petite vicieuse. J’ai bien essayé de l’emmener chez des amis pour une partie à quatre mais elle s’est comportée comme une idiote. A peine les préliminaires entamés, elle s’est enfuie comme une vierge effarouchée !
La femme debout éclate en sanglot.
_ Tu vois, reprend André. Alors je l’ai prévenu : si elle refait le même cirque ce soir, je la quitte ! Une vraie godiche !
_ En effet ! ricane Anita Fallier. On va l’appeler comme ça, tiens ! Godiche conviendra mieux que Céline ! Alors, godiche ! On va gagner du temps : est-ce que tu suces des bites ?
_ Oui, madame ! gémit la femme.
_ Et tu aimes ça ?
_ Oh mon Dieu, éclate la brune en pleurant.
_ Oh ! ricane cruellement Anita. Elle craque déjà ? Tu avais raison, André : il y a beaucoup à faire ! Viens ici, godiche ! Tu te pencheras devant nous, tu relèveras ta jupe et tu écarteras ton gros derrière que l’on puisse admirer tes plantureux appâts !
Comme la femme ne bouge pas, se contentant de pleurer, le visage dans les mains, son époux la sermonne :
_ Viens ici, salope ! Obéis à madame où sorts d’ici définitivement ! Tu es prévenue !
Comme dans un état second, la femme avance jusqu’au canapé, remonte sa jupe jusqu’à ses hanches et plie le buste jusqu’à poser les mains sur la table basse. Quand Anita glisse ses doigts sous l’élastique du slip, la femme a un sursaut. La blonde fait glisser très doucement la culotte en dentelle pour l’immobiliser au niveau des genoux de sa victime.
Je ne vois Serge Fallier nul part. J’en déduis qu’il doit tenir la caméra lorsque je vois l’angle bouger et venir derrière le canapé, en gros plan sur le cul lourd de la femme d’André.
_ Godiche, allonge toi sur la table basse, dit son mari. Ton derrière est trop gros pour qu’on puisse voir tes orifices tant que tu reste debout.
Céline obéit et se met à plat ventre sur la petite tables. Derrière elle, Anita arrache son slip d’un geste sec et lui écarte fermement les cuisses. Son gros sexe bordé de poils noirs frisés et son petit anus sombre se contractent au rythme des pleurs. Anita Fallier doucement passe un doigt dans la fente rosâtre déclenchant un nouveau « non » pleurnichard chez la brune.
_ Elle a une chatte de putain, André ! Regarde cette grosse moule obscène ! C’est tout flasque ! Et la taille de ses grandes lèvres ! Il faudra la faire percer et cadenasser ! Tu la sodomises ?
_ Tu plaisantes, s’offusque faussement André. C’est déjà toute une histoire pour qu’elle avale mon sperme !
_ Et bien ! Nous allons avoir du travail, mon cher ! Voyons voir quand même ses dispositions anales.
Elle plante doucement son index gluant de mouille dans l’anus froncé de Céline qui gémit de plus belle :
_ Pas ça ! Je vous en prie !
_ Allons, allons, ricane la blonde en vissant entièrement son doigt puis en le tournant sans ménagement, un peu de reconnaissance, ma chérie ! Je ne cherche qu’à rendre service à votre vie de couple !
Je bande dur. A ma grande déception, je suis toujours puceau du cul et à part me branler, je ne suis jamais passé à l’acte. A vrai dire, je ne suis même pas sur de mes orientations sexuelles ! Les filles m’excitent et je m’en suis tapés quelques unes mais il m’arrive de me masturber, un doigt dans le trou du cul, en pensant que je suce une queue ou qu’une grosse bite me casse le pot ! Je me suis rendu compte de ma réactivité anale avec Josette, une de mes « ex », qui me léchait l’anus et me doigtais quand elle me pompait. J’adorais ça. Et dire que je l’ai jeté parce qu’elle désirait m’enculer. Depuis, je sais que je suis un pervers top niveau, point final. Quoi qu’il en soit, je vais pas tarder à lâcher la purée si ça continue comme ça.
A l’écran, les deux hommes se sont levés et Anita Fallier branle leurs grosses queues énergiquement tout en continuant à parler comme si de rien était :
_ Je pense qu’il va falloir la dresser un peu avant de l’éduquer sexuellement, André ! Elle est encore trop rétive. Elle n’acceptera pas ses pulsions inavouables d’elle même. Il faut la forcer ! La faire souffrir ! Alors seulement, parce que NOUS l’obligeons à commettre ces actes qu’elle juge immondes, elle pourra se laisser aller à jouir avant de sauter le pas. Enfin, elle deviendra aussi chienne que moi !
_ Et tu sais de quoi tu parles, dit une voix hors champ.
Je reconnais Serge Fallier. C’est donc bien lui qui tient la caméra. Voir sa femme branler deux autres hommes n’a pas l’air de le déranger. Ca doit même l’exciter. Je l’imagine derrière son viseur, bandant de voir sa femme caresser d’autres verges que la sienne. Ils cachent décidément bien leur jeux, les Fallier !
_ Godiche ! crache Anita à la femme toujours prostrée. Je te donne le choix : soit nous t’attachons sur une chaise et je tanne ton gros cul et tes nichons au martinet à chien, soit tu supplies pour que l’on te baises comme la putain que tu es en réalité ! J’adore faire souffrir. Peut être plus encore que jouir. C’est toi qui choisit !
_ André, couine Céline. Ne me force pas à faire ça. Pour l’amour de Dieu !
_ Mais tu as le choix, ma chérie. Le fouet et la souffrance ou le sexe et la jouissance. Et Dieu n’a vraiment rien à faire là dedans. Alors ?
Une voiture vient de rentrer dans la cour. Je coupe la cassette, range popaul et remonte mon pantalon. Juste à temps. Les Fallier entrent à ce moment là. J’aurais bien voulu savoir ce qui est arrivé à cette femme mais je ne vais quand même pas le leur demandé. Alors qu’ils me paient, je les regarde à la dérobé en me disant qu’ils cachent bien leur jeux, ces deux cochons.
La semaine d’après, me revoilà fidèle au poste. Serge m’a loué un polar mais je m’en fous comme de l’an quarante. Je vais regarder dans le magnétoscope si une autre cassette cochonne mettant en scène les Fallier n’aurait pas été oubliée. Déception, il n’y à rien. Je vais regarder dans le meuble de bureau si les habituelles vidéos pornos s’y trouvent. Il y en a trois. La soirée ne sera pas foutue. Je regarde les jaquettes. « Dilatation extrême » met en scène une grosse blonde qui prend des objets énormes dans la chatte et le cul. La seconde, « travesti dominateur » me branche encore plus. Un travelo affreux attache et baise un couple. La dernière s’appelle « négresse à défoncer ». Classique ! Je vais me mater le truc avec le travesti. En ouvrant la boite, je me dis que ça ne vaut pas la vidéo ‘made in Fallier’. Après tout, elle doit bien être quelque part, cette foutue cassette. Je referme le meuble et commence une fouille en règle de la baraque. C’est dans la chambre du couple, au fond de la penderie, que je trouve le trésor : une boite remplie de gadgets sexuels, dont des godemichets aux tailles gigantesques, et une trentaine de cassettes, étiquetées cette fois. Les « points forts » sont détaillés sous forme de mots clés. Il n’y est question que de dressage, viols, sodomies et supplices. L’une d’entre elles retient particulièrement mon attention : travestis / S.M. / anal. Whao ! Je l’embarque et, décidé à jouer le jeux jusqu’au bout, emprunte un petit vibromasseur chromé.
Bien installé, je lance le spectacle. Deux travelos, assis sur l’éternel canapé du salon, encadrent un grand type tout en cuir assez gras mais encore athlétique d’une cinquantaine d’années. Maquillés et portant de longues perruques, les travestis ont les jambes gainées de bas et des escarpins à talon. Leur taille est serrée à mort dans des guêpières qui accentue l’absence de poitrine tout en cambrant leur cul. L’un des deux hommes, trop gros, a cependant presque des petits seins dans le balconnet de la guêpière et son petit ventre passe sur les dentelles du porte-jarretelles. Leurs bites gonflent à les rompre de petits strings en dentelles. Quant au mec en cuir, une découpe dans le haut de son pantalon du cuir laisse apparent une queue énorme au repos et ses fesses musclées. Ca promet. Une voix hors champ, la personne qui tient la caméra vraisemblablement retentit :
_ Allez, les salopes ! Faîtes pas vos pucelles et présentez-vous !
Je reconnais Anita Fallier. Alors son mari doit être un des deux travs. Le gros travelo avec la perruque blonde prend la parole en se passant la langue sur les lèvres et en soupesant le contenu de son slip. Ca n’est pas Serge Fallier.
_ Je suis Natacha, annonce-t-il d’une voix rauque, et j’aime sucer des grosses queues et me faire défoncer la chatte.
_ Je suis Dominique, lance le travesti brun, et j’adore qu’on me travaille le cul sans douceur, dit-il en relevant ses cuisses pour passer un doigt sur la ficelle qui fend ses fesses.
C’est bien Serge Fallier malgré sa voix aux accents féminins. Anita reprend la parole.
_ Voilà Maître Karl ! Maître, qu’allez vous faire subir à ces deux chiennes ?
_ Je vais leur travailler le cul et leur donner le fouet. Juste pour leur apprendre à ne pas assumer leur nature véritable. Mais assez parlé. Montrez-moi ce que vous savez faire.
Une musique douce et sensuelle se fait entendre et les travelos se lèvent. Ils se mettent à danser, collés l’un à l’autre en se pelotant le cul. Elles se roulent des patins profonds et exagérés. Dominique la brune se tourne et se cambre. La grosse Natacha vient derrière elle et lui passe la main dans la raie du cul tout en tripotant son service trois pièces à travers le string. Elle en sort une queue impressionnante qu’elle se met à branler énergiquement.
_ Lèche lui la pastille, ordonne Karl.
Dominique pose ses mains sur ses genoux et, toujours debout, tend son cul. Natacha écarte les fesses de son amie et passe lentement sa langue lentement entre les deux globes tout en lui astiquant la bite.
_ Gouinez-vous, salopes, lance l’homme en cuir en soupesant son énorme sexe.
Dominique s’allonge sur le dos et Natacha vient dessus en 69. Le gros bide et les petits nichons de la blonde pendouillent. Ils embouchent simultanément leurs queues en se dispensent une longue fellation avec force bruits de succion. L’anus de Natacha a l’air d’avoir déjà subi de sacrées défonces. Il ne résiste même pas quand Dominique y introduit sans effort trois doigts en pointe luisants de salive. Pendant que la brune lui travaille le cul, Natacha replonge goulûment son visage fardé dans la raie du cul et enfonce avec délice sa langue dans la rondelle brunâtre. Karl les laisse s’amuser quelques minutes avant de se lever.
_ Toi, la grosse blonde, tu vas me sucer pendant que ta copine préparera ton cul.
Natacha s’agenouille et prend la verge molle en bouche. Dominique vient derrière le suceur, écarte la ficelle du string, et colle sa bouche comme une ventouse sur la corolle déjà bien dilatée. Natacha pompe la bite de Karl tout en le branlant. La hampe a pris un tel diamètre que la blonde n’arrive plus à l’entourer totalement de ses doigts.
_ Je vais te la mettre, annonce Karl à Natacha. Pendant que je te défoncerai, tu prépareras ta copine.
Natacha se met à quatre pattes sur la moquette et écarte ses fesses. Karl pointe son gland sur la rondelle et force sans pitié les reins du gros qui gémit de douleur. Dominique s’allonge face à la blonde et relève ses jambes. Il bande à fond et sa grosse bite noueuse sort, incongrue, du minuscule slip de dentelle. Karl s’est maintenant entièrement enfoncé dans les entrailles de Natacha et il la besogne sans douceur, claquant son gros cul de retentissants coup de battoirs. Le travelo a l’air aux anges et donne des grands coups de reins pour accentuer la sodomie bestiale tout en léchant l’anus ouvert de Dominique. A priori, Serge Fallier / Dominique est lui aussi un habitué des sodomies sauvages. Ses sphincters sont déjà tout détendus et la langue de la blonde pénètre entièrement dans le conduit.
Je me fous à poil, prends le petit vibro et le pointe avec détermination sur ma pastille. Je t’enfonce lentement dans mon rectum en tournant. Ca fait mal mais je pousse masochistement jusqu’à ce que la douleur devienne insupportable. Je laisse le leurre planté jusqu’à la moitié entre mes fesses et recommence à me branler. Les ondes de plaisirs qui remontent le long de ma petite queue se répercutent dans mes reins et enserrent le gode. Une main sur la bite, l’autre sur le vibromasseur, je me paluche furieusement tout en pilonnant mes sphincters douloureux à coups de leurre.
Karl fait aller sa grosse tige entièrement dans le cul de Natacha maintenant, ressortant parfois complètement avant d’écraser son gland gros comme une pèche sur la pastille béante du gros qui crie plaintivement à chaque nouvel assaut. Karl ressort son gros saucisson luisant une dernière fois et se relève. La pastille de Natacha reste ouverte.
_ Puisque vous êtes prêtes toutes les deux, mes salopes, je vais vous défoncer ensemble.
J’enfonce maintenant entièrement le vibro et sent les prémices d’une nouvelle jouissance me picoter les reins. Soudain, je jouis du cul en gémissant et ma queue expulse jusque sur mon visage d’énormes quantités de foutre. Rythmées par les pulsations de mes reins, je n’en reviens pas de sentir ma jute épaisse maculer mon cou et mon torse à grandes saccades. Du coup, j’ai perdu le fil. Encore titubant, je reporte mon attention sur la télé. Maître Karl revient avec un énorme god terminé à chaque extrémité par un poing de latex gigantesque.
_ Allez ! Mettez-vous cul à cul comme des bonnes petites putes, ordonne Karl.
Les travelos se rapprochent jusqu’à ce que les poings frappent leurs anus dégoulinants de vaseline puis Karl cogne littéralement les rondelles offertes en alternance. Les travestis ne sont pas à la fête. Ils couinent à chaque fois que le poing de latex tente de forcer le barrage des muscles.
_ Ca vous défonce, hein ? grogne le sadique en cuir, frappant les raies à coups de leurre de toutes ses forces.
Je me remet à bander et replante brutalement mon petit vibro entre mes fesses. Je ne touche plus ma verge dressée, me contentant de poignarder mon rectum sauvagement comme Karl avec les travestis. Enfin, le godemichet force parfois les fesses de l’un ou de l’autre des soumis, leur arrachant des plaintes non feintes.
_ Ca vient, ricane Karl. Poussez bien, sales chiennes. Vos pastilles sont assez attendries. Rapprochez vous plus l’un de l’autre.
Le travestis reculent si prêt que le leurre s’enfonce dans les deux culs éclatés en même temps avec un bruit mou et écœurant. Pas encore satisfait, le maître prend le god par le milieux.
_ C’est pas mal mais on peut faire mieux, raille Karl en fessant violemment les culs cambrés. Je vais vous aider un peu.
Et il pousse furieusement le god de droite et de gauche, pénétrant profondément dans les entrailles suppliciées. Pas de jaloux. Les deux pédales sont en extase. Je regarde ma montre. Les fallier vont bientôt rentrer. A contre cœur, je retire le vibro d’un coup sec qui me fait délicieusement souffrir. Je dois arrêter et c’est bien dommage. Karl est allé chercher un petit fouet de cuir épais et lacère les dos et les fesses de travestis qui maintenant s’empalent eux-mêmes profondément à coups de reins rageurs en gémissant.
Je retire la cassette et la remet à sa place avec le vibro puis nettoie attentivement les traces de sperme dont je suis couvert. Lorsqu’ils arrivent, je suis bien calmement assis dans le canapé. Ils me jettent des regards qui me mettent mal à l’aise. J’espère qu’ils n’ont rien découvert. En tous les cas, rien dans leurs propos ne laisse présumer qu’ils m’auraient percé à jour et je repars en les assurant que je serais là dans deux semaines. J’ai pleins de films à voir.
J’ai attendu avec impatience ce samedi de garde chez les Fallier. Lorsque je passe la porte, je suis surpris de voir que le couple n’est pas aussi afféré qu’à son habitude. Ils sont tous les deux en peignoir et me regardent en souriant. Mal à l’aise, je lance, sur le ton de la rigolade :
_ Vous allez être à la bourre.
_ Mais non, répond Serge. Les enfants sont chez leurs grand parents et nous restons ici.
_ Ah bon ? Vous auriez du me prévenir, Monsieur Fallier.
_ Pas la peine, intervient Anita. Nous souhaitions être seuls avec toi pour mettre au point quelques détails.
Je me sens mal.
_ Je ne comprends pas ?
_ Je suis sure du contraire, sourit la blonde. Comprends-nous, mon garçon : nous avons quelques scrupules à laisser nos enfants à un petit dégueulasse qui se branle sur notre canapé.
Alors que j’ouvre la bouche pour répondre, elle reprend :
_ Ne t’enterre pas ! Nous avons retrouvé des traces de semences sur le canapé et le carrelage.
Je reste silencieux. Je me garde bien de répondre que le foutre sur le canapé n’est peut être pas le mien avec toutes les orgies qui se passent ici.
_ Et tu as regardé mes films, dit Serge Fallier. Ca fait plusieurs fois qu’ils n’étaient plus dans l’ordre où je les avais laissé.
Il s’assoit négligemment sur le sempiternel canapé. Il croise les jambes lentement en me dévoilant à dessin qu’il est à poil sous le peignoir. Il me regarde en souriant.
_ lesquels t’ont fait le plus bander ?
Tant qu’il s’agit des vidéos pornos, ça peut aller. Presque rassuré, je réponds :
_ Les femmes avec des gadgets !
Derrière moi, Anita se rapproche. Je sens son souffle sur ma nuque quand elle dit :
_ Ah ? Nous aurions plutôt cru que tu préférais les choses moins classiques…
_ Madame Fallier…, je proteste.
Collée à moi, elle glisse ses mains dans mon pantalon.
_ …avec des hommes humiliés…
Une de ses mains glisse sur ma queue, l’autre sur mes fesses.
_ Arrêtez madame…
_ …qui jutent comme des putes quand on les encule !
Terminant sa phrase, elle me serre brutalement la queue et me rentre un doigt dans l’anus. Je crie de surprise mais ne bouge pas. Collée à moi, elle me malaxe les couilles sans tendresse et fait coulisser son doits dans mon cul. Je bande comme jamais et souffle à mesure que mes muscles s’ouvrent sous son index.
_ Il aime ça, ricane Anita en regardant son mari. Sa petite bite est toute dure.
_ C’est pas un scoop, s’amuse Serge en ouvrant son peignoir, dévoilant sa grosse verge à demi bandée. Tu sais comment nous avons su, mon garçon ?
_ Non, dis-je avec peine, tout à la lente pénétration digitale.
_ Tu n’avais pas rembobiné la première cassette de notre « collection privée ». Ca nous a mis la puce à l’oreille.
_ Un deuxième doigt, s’amuse Anita.
Comme je ne réponds pas, elle glisse aussi son majeur doucement dans mon rectum. Je suis parcouru de frissons et tends mes fesses spontanément.
_ Il aime ça, raille Serge. Je te comprends, mon garçon. Mais tu le sais déjà. Quoi qu’il en soit, nous avons mis au point un petit piège la semaine dernière. Mais place au spectacle !
Il appuie sur la télécommande et je me vois en gros plan sur le canapé, le vibro planté entre les fesses et tirant frénétiquement sur ma queue. Je suis abasourdi et Serge me regarde en souriant, content de son petit effet. Les phalanges de son épouse glisse maintenant à fond entre mes reins et j’aurais déjà craché la purée si elle ne serait pas fortement la base de mon sexe. Au moment où je plante avec v******e le leurre entre mes fesses, le visage tordu par l’extase, il reprend :
_ Il a du potentiel ! Regarde, chérie, comment il défonce son propre petit cul avec hargne. Il aime ça !
_ Tout à fait d’accord, mon amour. Tu verrais comment il s’ouvre sous mes doigts. Si je lâche sa petite tige, il va nous repeindre la pièce, achève-t-elle en riant. Mais assez joué.
Serge éteint le scope et Anita retire ses doigts doucement avant d’aller s’asseoir à coté de son époux en les léchant lentement. Je reste comme un con au milieu de la pièce et les Fallier restent silencieux en me souriant. La peur me noue le ventre et je les regarde pitoyablement avant de murmurer :
_ Qu’est-ce que vous me voulez ?
_ C’est à toi qu’il faut poser cette question, sourit la blonde en flattant la verge de son mari.
_ Qu’est-ce que vous voulez dire ?
_ Nous souhaitons seulement savoir si tu désires continuer à te masturber misérablement ou si tu préfères sauter le pas, répond Serge. Nous pouvons nous charger de ton éducation si tu es d’accord.
Je ne sais plus où me mettre et me dandine d’un pied sur l’autre. La bite de Serge est maintenant complètement dressée et Anita malaxe son gros gland en le branlant fermement.
_ Nous te ferons beaucoup jouir, mon garçon, renchérit Anita. Encore faudrait-il savoir ce que tu aimes. Tu aimerais que je te suce ? Tu voudrais juter dans ma bouche ? A moins que tu préfères que ce soit Serge qui te pompe !
Serge prend sa queue en main et me regarde intensément.
_ Tu la veux entre les fesses ? C’est mieux qu’un petit vibromasseur, hein ?
Il passe un doigt dans sa raie du cul et reprend.
_ Je te lècherai longuement l’anus pour bien le détendre. Quand elle pénètrera en entier dans ton petit trou, je te sodomiserai lentement pendant qu’Anita te pompera. Ensuite tu m’enculeras si tu en as envie. A moins que tu aimes mieux t’occuper de madame.
Anita Fallier se met à quatre pattes sur le canapé, relève son peignoir sur ses reins et tend sa croupe, dévoilant ses orifices luisants.
_ Devant ou derrière. J’adore ça ! Vous pourrez même me prendre ensemble, chacun dans un trou, et me défoncer en m’insultant comme la dernière des chiennes.
J’ai beau être plus excité que je ne l’ai jamais été, je suis paniqué. J’ai très envie de m’abandonner mais passer des fantasmes à la réalité avec autant de brusquerie me coupe tout mes moyens. La blonde ondule de la croupe délicieusement lorsque je me rue vers la porte et me sauve en courant.
à suivre…
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