Notre sortie vélo donc.
Si vous avez lu l’histoire précédente, vous avez compris que ‘ce qu’il me reste de mari’ m’avait déçue.
Le lendemain je décidais donc d’une sortie dont il allait se souvenir. Je tenais à marquer une étape, un seuil dans son esprit. Un seuil qu’il franchirait pour ne plus le repasser, un seuil de mon contrôle sur sa vie la plus quotidienne…
N’allez pas croire que cette sortie fut improvisée. Non elle était prévue depuis quelques temps dans ma tête, j’ai simplement précipité les choses, mécontente des événements d’hier.
Il allait devoir comprendre au plus profond de lui l’obéissance…
Le déclic de cette sortie vélo, je l’ai eue en flânant dans les boutiques de sport. Je tombais sur une tenue cuissard combinaison féminine de cycliste qui m’électrisa. Sa couleur rouge flashi et cette matière douce, les lignes qui soulignaient les courbes. Je me précipitais dans une cabine d’essayage avec trois tailles. Je me décidais pour la plus étroite : elle me moulait tant que j’avais l’impression d’être nue…Mes hanches et mes seins volumineux étaient maintenus et plaqués contre ce tissu élastique, ma taille était mise en valeur. Le bas de ma tenue arrivait jusqu’à mes genoux, le haut me laissait les bras nus, une fermeture éclair pouvait descendre jusqu’au nombril. C’est à ce moment que j’ai commencé à élaborer la tenue de mon homme…
Je rentrais chez moi et achetais aussitôt par internet son équipement personnalisé.
Ce dimanche, j’annonçais mon désir de sortie vélo. J’envoyais mon mari vérifier l’état des vélos au garage et en profitais pour préparer sa tenue spéciale dans la salle de bain. Comme il remontait, il resta en arrêt devant ma tenue que je venais de passer.
J’avais pris soin d’enlever mon soutien gorge qui marquait ma peau sous ma tenue moulante et de baisser la fermeture éclair à mi hauteur. Son regard était scotché sur mes seins pointant à travers le tissu. Du doigt, je lui montrais la salle de bain et restais devant la porte ouverte. Comme je m’y attendais, il commença à protester quand il découvrit une culotte rose plastifiée étanche ‘spéciale incontinence’ comme l’indiquait l’emballage.
Mais comme tout homme privé de jouissance depuis des mois, il se soumit à ma volonté. Nu, hors mis son petit sexe coincé dans son étui, il passa sa jolie culotte rose ridicule. Je lui tendis le joli panty noir ‘sculptant’ en lui expliquant que, s’il roulait vite, tout le monde n’y verrait qu’un cuissard de cycliste. Il se tortillait du cul pour arriver à passer le panty que j’avais choisi très serré. Sa cage de chasteté pointait à travers le tissu tendu. Un liseré de dentelle finissait élégamment le bas des cuisses, ainsi qu’un nœud de satin au milieu de la ceinture. D’un geste je lui fis signe de tourner sur lui-même.
Je sifflais d’admiration.
Il me suppliait de changer de tenue, m’implorait.
Simulant une idée soudaine, je lui fis remarquer qu’un cuissard était toujours équipé d’une protection rembourrée. Je me penchais, ouvrais le meuble sous lavabo et en ressortais un étui plastifié :
‘Voilà avec cette protection, tu gros cul va être bien protégé. C’est une spéciale grande absorption !’
J’ouvrais l’étui et dépliais une serviette imposante
Il devint livide et se demandait si je plaisantais. Je tenais dans la main une serviette de protection féminine d’une dimension impressionnante…’Une spéciale grosse fuite urinaire !!’
‘Baisses moi tout ça, je vais te la mettre’
Je m’accroupis et sortais la clef de sa cage de ma poche. ‘Je te libère pour aujourd’hui, avec ta jolie couche rembourrée en plus de ton étui, on pourrait croire que tu bandes comme un homme !!’
Libéré, son petit sexe racorni commençait à enfler. Je lui collais la serviette au fond de sa culotte et remontais le tout. Il fut surpris quand je sortis le rouleau de scotch renforcé du meuble. 4 tours bien serrés sur l’élastique de la culotte allaient l’empêcher de faire son touche pipi d’homme en manque. Il remonta à nouveau son panty : la serviette de belle taille sur son sexe gonflé, écrasé finissait admirablement son harnachement. De loin on pouvait le confondre avec un short de cycliste.
Mais pas une femme ne s’y tromperait en reconnaissant la forme de la serviette…
Il eu beau me supplier de changer d’avis, nous partîmes finalement sur nos vélos.
Nous fîmes une sortie remarquée auprès du fils du voisin, un boutonneux qui me matait toujours en douce dès qu’il m’apercevait. Il failli tomber de l’escabeau sur lequel il coupait la haie en me voyant arriver, surplombant mon décolleté plongeant. Il était rouge écarlate.
Je partais devant, mon mari me suivait en essayant d’être invisible. Il avait passé un teeshirt très long pour cacher son panty.
Notre parcourt était tracé dans ma tête, j’avais préparé un pique nique. En fin de matinée nous arrivâmes dans un bois où je choisis un coin isolé pour manger.
A ce point du récit, je dois préciser que j’avais préparé pour son petit déjeuner une boisson très dépurative que j’avais appelé ’ thé’. Je l’avais astreint à tout boire le contenu d’un grand bol . L’effet s’était vite fait sentir sur sa vessie, il se plaignait depuis une bonne heure de vouloir s’arrêter pour se soulager.
Arrivés dans ce petit bois, il parti vite se choisir un arbre (encore une similitude frappante avec le chien) et entreprit de baisser son panty.
Je l’arrêtais net en lui rappelant qu’il ne portait pas sa cage de chasteté et son sexe était naturellement condamné pour la journée à tout tripotage. Il protesta mollement en disant que pisser n’était pas un ‘tripotage’. Je le regardais et pris le ton de la maman déçue de son petit garçon :
‘Moi qui pensais te faire profiter de ta liberté sans ta cage toute la journée, tu me déçois ! Tu sais bien que tu es punis à ne plus toucher ton petit sexe ? Tu sais que tu ne peux pas t’empêcher de te branler ! C’est pour ton bien que je fais ça ! Tu le sais ?’
‘Oui, je sais mais j’ai envie de …
‘Alors pour t’aider J’ai pensé à cette belle culotte et cette grosse serviette pour tes besoins et le scotch empêchera toute tentation perverse de tes mains !’
Il restait bouche bée
‘Oui tu as tout sur toi, tu peux te soulager’
‘Allé, après ça tu nous installe le pique nique, j’ai faim !’
Finalement il s’occupa de me servir le repas que j’avais préparé et préféra se retenir. Je prenais mon temps et me relaxais pour une sieste au pied d’un arbre, tandis que je le voyais trépigner et faire les cents pas, manifestement préoccupé par son envie pressante. A ma demande il me massait les pieds et le dos, docile à souhait, espérant peut être que je changerais d’avis… Il connaissait pourtant bien ma fermeté !
J’allais moi-même me soulager à l’écart.
Nous reprîmes le trajet, moi en tête, lui pestant derrière, torturé.
Au bout de plusieurs kilomètres, il me rattrapait et me suppliait de l’autoriser à se soulager, à couper ce scotch, à vider sa vessie. J’arrêtais mon vélo et le regardais bien dans les yeux :
‘Ecoutes c’est simple, tu te soulages dans ta couche tout de suite ou bien ce soir tu remets ta cage pour 9 mois consécutifs’
‘Choisis !’
Un silence
‘Alors ? Tu préfère 9 mois ?’
IL baissait la tête et la secoua
‘Tu préfère faire dans ta couche ?’
Il acquiesçait une seule fois
‘Répète-le alors !’
‘Je préfère faire…dans..dans ma couche’
‘Vas-y je te regarde’
Je le regardais en souriant, consciente du pas que je venais de franchir sur son amour propre. Je le devinais se vider lentement sur la serviette à son expression immobile. J’imaginais ce liquide chaud couler sous son sexe et gonfler lentement la serviette. Depuis sa petite enfance, sa mère lui avait appris à éprouver de la honte à ne pas savoir se retentir, à être fier de devenir ‘propre’.
A partir d’aujourd’hui, sous ma seule autorité, il remplissait sa couche, rouge de honte, conscient de la dégradation de sa personne. Je savourais cet instant, encore une étape que je voulais graver dans son esprit.
Sa dépendance sexuelle et maintenant celle-ci : les deux fonctions de son cher sexe lui était privées ou conditionnées. J’avais déjà constaté qu’imposer la position assise pour pisser à un homme lui paraissait dégradant, là il était privé de son sexe même pour pisser.
Je voyais qu’il était rouge de honte, écartait imperceptiblement les cuisses en constatant le poids que devait prendre sa serviette d’incontinence…
‘Ca y est, tu as finis ? On peut y aller ?’
‘Oui…ça va mieux’
Je repris mon vélo et filai devant en imaginant la sensation d’inconfort éprouvée lorsqu’il poserait son cul trempé sur la selle. De l’après midi je ne l’entendis plus. Je supposai que la totalité de son bol du petit déjeuné finissait dans sa belle culotte rose, inexorablement…
Finalement nous arrivâmes au lieu que j’avais prévu d’amener mon mari.
Sous les questions de mon mari, très nerveux, je lui expliquai que je devais rendre visite à une vieille amie. Puis en regardant sa tenue, je compris son angoisse. Sous son panty à dentelle, sa serviette imbibée d’urine depuis le matin avait pris du volume et ne passait pas inaperçue !
Après avoir passé l’accueil, l’ascenseur et un grand couloir, je sonnais donc à la porte d’Yvette, une amie de ma tante qui vivait en résidence pour personnes âgées.
Yvette, âgée de 75 ans mais toujours alerte et bien pomponnée me paraissait la personne idéale pour tester l’éducation que j’avais inculquée à mon mari depuis maintenant plusieurs mois. Je l’avais prévenue de notre visite et de mon idée. Elle avait trouvé ça très… diabolique.
Les présentations faites, nous étions autour d’une table basse à boire un thé (que j’avais conseillé à mon mari de ne pas refuser, malgré son envie pressante). Lui, essayait de cacher son entrejambe et les dentelles de son panty et nous deux parlions. Yvette sur une chaise et mon mari et moi sur un petit canapé à 2 places.
Yvette avait passé un tailleur très élégant. Un blazer en laine grise, fermé par une ceinture noire, qui mettait ses seins encore imposants en valeur et une jupe noire très cintrée au dessus des genoux. Des bas noirs et un rouge à lèvre donnait une touche très glamour malgré son âge avancé. Elle se trouvait en face de mon mari.
Celui-ci n’avait pas joui d’une femme depuis bien longtemps, la bite bien blottie dans son étui. Sa seule ‘jouissance’ ou plutôt compensation avait été de se masturber rapidement et brutalement devant les catalogues de mode pour femme mûre que je lui imposais. Aujourd’hui, depuis de nombreux mois, sa bite était libre de son étui.
Je ne m’étais pas trompé : il trouvait Yvette très bandante, pour parler trivialement. Ses gestes nerveux, sa respiration, ses regards appuyés sur ses jambes gainées qu’elle croisait et décroisait dans un doux crissement de nylon le trahissaient
Je tournai ouvertement mon regard sur son panty ; une bosse conséquente amplifiée par la serviette enflait son entrejambe… La psychologie masculine est tellement primaire qu’on arrive à la manipuler aisément !
La jupe d’Yvette remontait maintenant au dessus des genoux et la broderie d’un jupon apparaissait, puis le liseré d’un bas qu’on devinait déformé par l’accroche d’une jarretelle. Lui avait les yeux rivés dessus et ne tenait plus en place, il bandait fort apparemment.
C’est ce moment que je choisis pour partir aux toilettes, les laissant seuls. Yvette, très amusée de la situation, en profita pour se lever de sa chaise et proposer une nouvelle tasse de thé.
Elle me raconta le lendemain qu’elle s’était penchée exagérément (son dos lui faisait mal pourtant) pour le servir, offrant un panorama sur son décolleté et sa lingerie. Elle avait simulé une perte d’équilibre et s’était ‘rattrapée’ en agrippant d’une main une de ses cuisses.
‘En voilà un drôle d’accoutrement pour faire du vélo ! Vous n’êtes pas trop serré la dedans ?’ dit-elle en lorgnant l’énorme bosse de son entrejambe.
Mon mari, alors rouge de honte avait acquiescé, plus que jamais excité.
‘Angèle m’a dit que vous aimiez beaucoup les femmes très âgées !’
‘Mais non !’
‘Elle m’a dit aussi que vous êtes accro à la lingerie retro !’
‘Mais non, pas du tout’
‘…Que vous fantasmez sur les catalogues de lingerie. Alors je me suis dit qu’il fallait faire quelque chose pour ce pauvre homme…’
Elle s’était assise tout contre lui, de biais, la jupe retroussée jusqu’au haut de ses bas, les 6 jarretelles apparentes et avait posé la main directement sur le renflement de son panty. Elle me confia plus tard qu’elle avait senti son sexe tressauter et le sentait au bord de l’orgasme.
‘On dirait bien que je vous rappelle vos chers catalogues à sentir cette jolie bosse ! Vous savez quand même que je pourrais être votre grand-mère ?’
Elle déboutonnait et ouvrait son blaser pour faire apparaitre un fond de robe en nylon gris, lorsqu’il craqua et jeta avidement ses lèvres sur sa gorge. Ses mains s’étaient déjà emparées de ses obus tendant le nylon.
‘Doucement mon petit, je ne suis plus de la première jeunesse. Aides moi à me relever de ce canapé, qu’on aille dans ma chambre plutôt.’
Une fois qu’Yvette l’avait entrainé au pied de son lit à embrasser ses jambes gainées de nylon, je sortis des toilettes et observais les deux tourtereaux par la porte qu’Yvette ma complice avait laissé entrouverte.
Je restais éblouie par la prise en main rapide d’Yvette.
A 75 ans elle savait encore y faire, même si mon mari était une proie facile. Il n’avait pas touché véritablement un corps féminin depuis bien longtemps. La plupart du temps je lui attachais les mains dans le dos pour pouvoir le manipuler à ma guise. D’une manière générale ses mains devaient rester le long de son torse.
A cet instant s’exprimait toute sa frustration accumulée et l’urgence de pouvoir se délecter d’un corps tant convoité d’une femme …de 75 ans.
Une paire de seins même défraichis (Yvette devait faire un bon bonnet F), des cuisses couvertes de varices, des fesses flasques et ridées : peu importait apparemment pour lui à le voir se frotter contre ce corps comme un jeune puceau !!
Yvette avait trouvé mon idée amusante, avait joué le jeu et savourait maintenant les assauts de ce jeune labrador.
A genoux devant elle, il léchait ses bas, les mains glissées sous sa jupe. Elle avait dégrafé sa jupe après son blazer, puis se trouvait en fond de robe, en roucoulant à mi voix
‘Angel me l’avait bien dit mais je ne la croyais pas’
Elle laissait glisser sur son corps son sous vêtement pour se retrouver dans un combiné gaine couleur chair qui rehaussait cette poitrine fripée et maintenait fermement son ventre et sa taille dans un jeu de baleine et de plastrons satinés. Une fermeture éclair doublée d’un jeu de crochet partait de son ventre comprimé pour finir entre ces deux seins fièrement maintenus.
‘Elle disait vrai : ça te plait donc tout ça !!
Elle tournait sur elle-même manifestement surprise de l’excitation de cet homme à ses pieds.
‘Alors caresses moi mon cochon ! Et montre-moi ce que tu fais avec ta langue ! Parait-il que le reste ne marche plus, pauvre homme !’
Elle entraina la tête de mon mari sur son sexe et le plaqua sans ménagement malgré son âge.
Soudain, celui-ci râla 3 fois de suite submergé d’excitation.
Yvette tout à son plaisir ne s’aperçu de rien. Moi je sus que son petit sexe semi flasque avait pu tenir ses 3 minutes avant de subir une mini éjaculation précoce, sans même jouir. 3 petits râles étouffés avaient envoyés 3 gouttes de sperme sur cette serviette hygiénique déjà bien gonflée d’urine au fond de sa culotte plastifiée.
Je fermais la porte et laissais Yvette à sa récompense méritée, agrippant par les cheveux cette tête dédiée à lécher, étirer, pénétrer, titiller, réchauffer, aspirer ses lèvres en sommeil depuis bien des années…
Je retournais au salon, le sourire aux lèvres. J’étais comblée par la réussite de la mise en condition de cet ancien macho, accro au sexe et au porno trash qui maintenant frétillait devant une gentille grand-mère, utilisé comme un sex toy à langue !!
Certains rêvaient de jeunes filles toutes fraiches à déflorer. Mon mari désormais, je l’avais décidé, allait fantasmer devant des retraitées en dentelle, rêver des dessous de jupe de grand-mères, d’humer leurs culottes imposantes ou leur gaine XXL.
Ce n’était pas tout, j’imaginais aussi la scène ce soir chez nous quand je l’autoriserai à enlever sa jolie culotte rose pour dévoiler sa couche dégoulinante et souillée avant de refermer son sexe dans sa cage pour quelques semaines.
Son sexe était maintenant privé de liberté pour de ses 2 fonctions biologiques : reproduction et miction (uriner). Du coup le terme de mâle attribué à mon mari ne signifiait plus grand-chose (porter des charges, travailler pour ramener notre paye ?…).
J’envisageais déjà de lui faire acheter une nouvelle sorte d’étui pour sa cage, un tube métallique plein sans orifice…Bref je ne suis jamais à court d’idée pour modeler mon petit mari si attentionné à mon plaisir.
En espérant que cette petite bribe de vie vous ait plu ou donné des idées à certaines. N’hésitez pas à me commenter ou partager vos expériences mesdames. En tout cas les voisines d’Yvette en ont déjà beaucoup, des idées ….
FIN
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