L’asservissement De Laure
Episode 3: Fessée et Jouissance
Par Master Freeze
Laure avait mal au genoux, cela faisait déjà un bon moment qu’elle astiquait le sol de la cuisine. Elle leva les yeux en s’essuyant le front. Elle avait presque finit, quand elle entendit un tintement derrière elle. En se retournant, elle vit Orane qui tenait à la main une clochette d’étain.
– C’est ainsi qu’on sonne les bonniches dans ton genre. Dès que tu entendras ce son, cela signifiera que tu devras immédiatement te mettre à ma disposition.
– Bien, Mademoiselle fit Laure.
– Je vois que tu n’as pas respecté le délai ! gronda Orane. Il y a déjà cinq bonnes minutes que j’attends mon verre.
– Je … je vous prie de m’excuser, bégaya Laure. Elle savait qu’Orane mentait et qu’il restait encore un peu de temps, mais elle n’osait pas protestée.
– Je croyais pourtant avoir été claire dit Orane d’une voix glaciale en se rapprochant de Laure, les bonniches feignantes sont renvoyées !
Orane saisit Laure par les cheveux, et la traîna littéralement jusqu’à la porte d’entrée. Laure n’eut pas le temps de se débattre, et se retrouva sur le seuil de la porte. Terrifiée. Orane allait mettre sa menace à exécution, et la forcée à rentrer dans cette tenue.
– Non-pitié, supplia-t-elle en se traînant aux pieds de la belle brune. Pas ça, j’ai fait tout ce que vouliez. Pardon, pardon, je jure qu’a présent je vous obéirai à la perfection. Vous pourrez faire tout ce vous voudrez de moi, je serai une bonniche idéale… Une esclave dévouée… Je vous en supplie Maîtresse, laissez moi être votre esclave !
Au fond elle-même, Laure était stupéfiée de prononcer de telles paroles. Ce qui lui paraissait encore hier comme étant impensable semblait à ce moment presque naturel face à l’inflexible volonté de sa rivale.
– Vraiment ? Voyons, puisque tu es incapable d’être une servante, peut être pourrais-tu faire un bon paillasson ironisa Orane en tendant son escarpin vers le visage de Laure.
Laure hésitas un court instant, avant de déposer lentement un baiser sur le cuir de la chaussure.
– Je ne t’ai demandé de baiser mes pompes, mais de les nettoyer ! Je veux voir ta langue bien sortie !
Alors Laure se pencha en avant et effleura de sa langue le cuir craquant, elle frissonna et quelque chose explosa dans sa tête quand elle appuya plus fortement sa bouche contre le pied d’Orane, elle ne savait pas qu’elle était capable de se comporter comme une chienne docile, cette révélation la troublait beaucoup.
Orane admirait le spectacle de cette belle lycéenne bourgeoise quasiment nue, prosternée devant elle, ses belles fesses rondes offertes, qui embrassaient ses escarpins avec ferveur.
– Lèche-les, nettoie-les bien pour qu’elles brillent, je veux que ta langue n’oublie rien, lèche ma salope, lèche aussi la semelle, je veux qu’elles soient impeccablement propres, ensuite tu les sécheras avec tes mamelles, oui avec tes jolis seins fermes et doux, tu vas frotter tes gros nibards contre le cuir de mes chaussures!
Laure rougit d’humiliation, elle se mit à lécher les chaussures avec application en s’efforçant de nettoyer la plus grande surface possible comme une bonne ménagère consciencieuse, elle insista sur les petites taches de boue, jusqu’à les dissoudre complètement. Orane appréciait le travail avec satisfaction. Elle se pencha pour flatter le cul de son esclave, Laure tressaillit involontairement de plaisir sous la caresse. Quand elle eut terminé, elle se redressa pour prendre chaque pied d’Orane sur sa poitrine, elle comprima ses seins lourds pendant que sa jeune maîtresse faisait aller et venir la chaussure contre la peau douce, les boucles éraflaient les mamelons déjà endoloris.
– Voilà qui est bien mieux se délecta Orane, je pense que je pourrai peut être bien tirée quelque chose de potable d’une gourde comme toi, finalement…
– Merci Mademoiselle répondit Laure, sincèrement reconnaissante
– Ne te réjouies pas trop vite ! Tu mérites une punition, ça t’apprendra à bâcler ton travail. Allez, ouste, au salon ! Et à 4 pattes, sur les avant-bras. Plus vite, au trot !
Laure se démenait sur l’épaisse moquette, les coudes et les genoux rougis par les frottements. Orane accompagnait chacune de ses exhortations d’un coup sec sur ses fesses à l’aide de la règle en plastique.
– Grimpe sur la table basse, la tête entre les bras, le cul bien haut.
Laure s’exécuta et plaça sa tête entre ses avant-bras. Orane pinça alors la base charnue d’une de ses fesses et tira dessus pour l’obligée à bomber d’avantage sa croupe.
– Plus haut le cul ! Et écartes bien les cuisses !
Laure poussa un cri étouffé en prenant immédiatement la pose requise. Elle était consciente de sa posture obscène qui ne cachait rien de son intimité. Les lèvres de sa chatte se sont décollées et elle sentait les nymphes qui sortaient doucement en se gonflant. Passive, elle regardait ses seins que la pose faisait pendre. Ses tétons étaient enflés et durs. Cette exhibition forcée devant sa rivale ne la laissait pas insensible, et cela la mortifiait. Orane brisa le silence
– Alors, Laure, que mérite les mauvaises élèves qui ne s’appliquent pas suffisamment sur leur travail ?
– Une… Une fessée répondit Laure qui avait parfaitement compris ou voulait en venir la jeune asiatique.
– Exact ! Et ne t’avises pas de protéger ton cul avec tes mains, compris.
– Oui, Mademoiselle gémit Laure.
Elle se crispait, attendant le premier coup. Elle sentait le regard d’Orane fouillée chaque recoin de son vagin et de son anus largement ouverts. La rondelle brune, élargies par sa cambrure, était largement visible sur sa peau légèrement mate. Les nerfs à vif, elle attentait le bon vouloir de Mademoiselle. La première la claque la surprit, et ce fut bientôt une avalanche de gifles qui s’abattit sur son derrière. Orane y allait de bon cœur. Laure se tortillait en vain pour éviter les coups. La douleur était terrible, mais elle restait néanmoins prosternée, le cul en l’air. La chaleur qui irradiait ses fesses se propageait lentement vers ses cuisses, à l’intérieur de son ventre. Cette fièvre gagna bientôt son vagin tout entier. Ses sanglots se transformaient en petits gémissements qu’elle trouvait abjects de sa part, et ce à mesure que son sexe devenait poisseux. Laure essaya en vain de lutter contre son émoi. Orane visait maintenant directement entre ses cuisses, frappant avec un plaisir sadique les lèvres gonflées du sexe. Cela faisait un bruit spongieux qui la mettait aux anges.
– Voyez-vous ça riait-elle, il suffit qu’on lui touche lui cul pour que notre petite vicieuse de Laure s’enflamme. Tu es encore pire qu’une chienne, ma parole, tu dégoulines de mouille. Tu n’as pas honte, dis-moi ?
Orane lui envoyait maintenant de petites pichenettes vicieuses sur son clitoris gonflé. A chaque coup, Laure avait la sensation qu’une décharge électrique traversait son corps et était secouée de spasmes. Elle lutta de toutes ses forces afin d’empêcher le plaisir de l’envahir. Si elle jouissait, se disait-elle, le triomphe de son ex-rivale serait total, elle la posséderait alors corps et âme. Mais en vain. Jamais ses séances de masturbations ne lui avaient permis de ressentir un plaisir aussi pur et intense. Sa jeune maîtresse alternait caresses et coups avec virtuosité, faisant coulisser deux doigts dans sa chatte tout en lui pinçant méchamment le gras de la cuisse. Les moqueries et les insultes résonnaient dans sa tête. L’orgasme qu’elle éprouva fut phénoménal, et la laissa pantelante, les jambes en coton. Son corps était encore parcouru de longs frissons quand Orane se plaça devant elle. Elle n’avait rien perdu de sa superbe, et lui enfonça sans ménagement ses doigts dans la bouche.
– Nettoie-moi tes cochonneries ! Tu viens de te comporter comme la dernière des truies, tu t’en rends bien compte j’espère.
Laure ne répondit pas. Veulement, elle léchait sa propre mouille qui maculait les doigts d’Orane. Encore sous le choc d’une jouissance comme elle n’en avait jamais connue, elle se sentait dans la peau d’un a****l domestique qui témoigne son respect pour la main de sa maîtresse, pouvant dispenser aussi bien les coups que les caresses.
– As tu encore des doutes sur ta condition d’esclave ? lui demanda Orane.
– Non, dit-elle en continuant d’embrasser les doigts de sa maîtresse.
– Personnellement, cela ne m’étonne guère, continua Orane en souriant, tes airs de sainte nitouche ne m’ont jamais trompée. Ceci dit, je ne pensais quand même pas que tu serais d’emblée si docile. Ni que tu puisses être aussi chaude du cul. Quelle salope tu fais ! J’ai bien vu que tu as commencé à t’exciter dès que je t’ai fais mettre à poil. Allez, avoue, sale petite gouine !
– Oui, Mademoiselle balbutia Laure
– Oui, quoi ? Je veux te l’entendre dire insista Orane, à moins que tu ne préfère que j’en parle demain au lycée.
– Oui, cela m’a excité… murmura Laure
– Plus fort » Oui, Mademoiselle, cela m’as excité me montrer mon gros cul de chienne « , allez répète, à haute et intelligible voix.
– Oui Mademoiselle, cela m’as excité me montrer mon gros cul de chienne
Laure dut ainsi répéter chaque phrase que lui dictait la jeune fille, buvant jusqu’à la lie le calice de son humiliation. Orane lui tirait l’oreille chaque fois qu’elle hésitait, bafouillait ou parlait trop bas.
– Oui, Mademoiselle, j’aime exhiber mes loches de vache
– Oui, Mademoiselle, j’aime qu’on me rougisse ma croupe de salope par une fessée
– Oui Mademoiselle, je suis une chienne en chaleur qui aime qu’on la tripote
– Oui, Mademoiselle, j’ai mouillé comme la dernière des putes
– Oui Mademoiselle, je suis une petite gouine vicieuse qui jouie quand on la branle
– Merci Mademoiselle Orane d’avoir eu la patience de punir la pétasse prétentieuse que je suis, et la bonté de me faire jouir
– Non Mademoiselle, jamais je n’avais jouie aussi fort lorsque je me branlais comme une catin dans les vestiaires.
En prononçant ces mots, Laure s’en imprégnait involontairement, et ne les trouvait pas si éloignée que ça de la vérité. Elle ne voyait plus en Orane la rivale ou même la camarade de lycée, mais quelqu’un d’infiniment supérieure à elle-même, une des ces implacables divinités anciennes qui dispensait au gré de ses humeurs la joie ou la désolation chez ses adorateurs. A l’inverse, elle se sentait elle-même faible et grotesque, incapable de contrôler les pulsions de son corps. Comment avait-t-elle pu autrefois se croire au-dessus d’Orane ? Sa place était effectivement celle de l’esclave, elle le savait maintenant. Elle était vaincue, brisée, la honte et la soumission avaient remplacé sa fierté et sa volonté.
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