Nous nous sommes rendus à la salle des fêtes du club et ce que je redoutais se produisait: tout le monde dansait et rares étaient le gens assis. Détestant danser j’invitais ma moitié à prendre un verre sur les canapés, malgré ses incitations répétées pour m’entraîner sur la piste de danse, ce qui tourna à la déception de son côté comme d’habitude. Clairement, elle s’ennuyait. Après un petit moment nous avons aperçu le groupe d’amis de Romain en train de danser et celui-ci nous a remarqués également.
Après quelque instants il s’éclipsa discrètement de son groupe et vint à notre rencontre et nous invita à le rejoindre. Toujours campé sur mes positions je refusais poliment mais ma copine se leva sans hésiter et partit danser. Je les perdis rapidement de vue au milieu des danseurs, mais régulièrement je les voyais réapparaître furtivement. La danse était classique, avec un peu de distance entre eux mais je voyais bien que Romain était plus entreprenant, il n’hésitait pas à la toucher à la taille de temps en temps ou par les épaules.
Vint ensuite une danse un peu plus sensuelle et je les voyais se coller, la cuisse de Romain venant s’intercaler régulièrement entre les jambes de Léa, en lui tenant la taille, puis il lui attrapa la fesses sans prévenir. Aucune réaction de ma femme qui continua à danser de plus belle. Il devait devenir sans mal le sous vêtement et je crus même voir une main baladeuse de temps à autre. J’avais très chaud et du mal à me contenir, je bandais clairement et mon short ne pouvait le masquer. Quand Léa vint me retrouver je pense qu’elle le remarqua mais elle ne dit rien. Direction le bar extérieur et nous avons pris quelques verres pour finir la soirée, il était pas loin de minuit et le bar allait fermer.
Ma femme était en face de Romain et leurs jambes se touchaient.
Encore assoiffés par cette chaleur, j’eus la bonne idée de proposer de profiter du minibar à l’appartement.
Ma femme ne parut pas étonnée et Romain accepta aussitôt.
Ni une ni deux nous avons rejoint l’appartement au premier étage avec un petit balcon, mais nous avons préféré rester à l’intérieur car l’appartement était climatisé. Nous nous installons tous les trois sur le lit king size et j’avais préparé un whisky coca pour chacun.
Romain nous avait furtivement questionnés sur le sexe lors de nos discussions précédentes mais ça n’avait pas débouché sur grand chose, il remis le sujet sur le plateau et l’heure tardive et l’alcool aidant je lui ai avoué que nous n’avions jamais fait l’amour avec quelqu’un d’autre ni l’un ni l’autre et que nous avions commencé à envisager un plan à trois.
Jouant sur l’effet de surprise, je pris l’arrière de la nuque de Léa et je plaquais ma bouche contre la sienne, en rentrant immédiatement la langue. Un peu surprise, elle se laissa faire.
Je caressais avec mon autre main son dos, ses cuisses jusqu’à la naissance de son tanga, puis lui agrippais les seins en pinçant un peu les tétons à travers le tissu (elle adore ça). Sa respiration s’accélérait et elle semblait avoir totalement oublié notre invité qui était resté à sa place et ne perdait pas une miette du spectacle. Encouragé à continuer, je la fis basculer sur le lit à plat dos, toujours en l’embrassant à pleine bouche, mais passant cette fois ci la main sous la jupe. J’étais légèrement sur le côté et notre invité plutôt vers les pieds ce qui lui permettait de suivre l’action sans être exposé au regard éventuel de Léa. Je lui caressais ensuite l’intérieur des cuisses, et elle ne tarda pas à les écarter légèrement. Sa jupe maintenant relevée, on pouvait apercevoir son tanga sur lequel se détachait sans aucun doute une trace de mouille naissante. Je m’amusais à passer le pouce pour masser sa chatte à travers le tissu, et la tache de mouille s’agrandissait au fur et à mesure des passages et des ondulations naissantes de son bassin. Il ne faisait aucun doute qu’elle en voudrait plus! Je jetais un oeil à Romain qui avait une sacrée bosse dans son short, il devait bander bien dur et la bosse laissait présager un bel engin. J’entrepris d’enlever le tanga de Léa qui nous offrit une vue imprenable sur sa petite chatte mouillée et écarta davantage les cuisses. Elle a pour habitude de s’épiler les lèvres et de laisser une petite bande sur le pubis. J’aurais pu l’enfiler d’une traite sans problème, au lieu de quoi je me glissais entre ses cuisses et entrepris de lui lécher la chatte sur toute la hauteur, de haut en bas, alternant parfois avec des petits cercles. Elle respirait fort et poursuivait les ondulations de son bassin. Soudain, la main de Romain apparut et il entrepris d’écarter davantage Léa, une cuisse après l’autre en la tenant par la cheville. Celle-ci sursauta légèrement car elle avait bien compris que ce ne pouvait être mes mains, mais elle n’en fit rien et continua de s’abandonner à ma caresse buccale. J’aime la faire jouir comme cela, sentir l’excès de fluide chaud se déverser dans ma bouche en même temps que je ressens les spasmes de son corps.
Romain caressait les cuisses de ma femme lorsque je quittais son entre jambe pour entreprendre de relever le t-shirt de Léa. De son côté, il lui tira la jupe et elle souleva les fesses pour d’en extraire. Je commençais à nouveau à lui pincer les tétons et à les faire rouler sous mes doigts, puis je lui retirais le soutien gorge qu’elle avait dégrafé à une main.
Notre nouvel ami gagna l’entrejambe de ma compagne et commença à lui caresser la chatte en insistant sur son petit bouton, puis glissa un doigt dans sa chatte et se mit à faire de lents vas et viens. Elle respirait très bruyamment (elle n’a pas pour habitude de crier).
Pendant ce temps, j’avais quitté mes habits et ne restait que mon boxer.
Léa me frotta la bite avec ses doigts et n’y tenant plus je le retirai. Elle était entièrement nue, offerte, les cuisses grandes ouvertes avec un deuxième doigt maintenant dans la chatte. Elle gémissait doucement de bonheur et commença à me branler doucement. Au bout de quelques secondes, devant l’intensité de la scène et n’y tenant déjà plus, je me dégageais d’elle pour retourner m’occuper de sa chatte. Notre ami pris le relais et se présenta de la même manière que moi, sur le côté de Léa, après avoir retiré son short et son Tshirt. C’était vraiment un mec bien foutu.. Son sexe déformait outrageusement son boxer et je pus lire un peu d’appréhension sur le visage de Léa. Elle lui fit coulisser le boxer aux genoux plus il le retira complètement et sa grosse queue apparue. Il devait bien faire 19-20 cm de longueur, et d’une belle largeur. Hallucinant. Je ne faisais clairement pas le poids.. Elle le branler avec une main en insistant sur le gland, en le décapotant puis le reculottant doucement. Au fur et à mesure il se rapprochait de son visage et j’avais compris son manège: il voulait qu’elle le suce.
J’avais une vue imprenable sur la spectacle puisque j’avais recommencé à lui bouffer la chatte, les yeux relevés vers la scène. Mon sexe me faisait super mal et le moindre frottement sur les draps me déclenchait des vagues de plaisir.
Il lui plaça le frein sur les lèvres, et se mit à coulisser tout doucement, à l’horizontale. Léa fit sortir un peu de salive pour lubrifier son gland et la glissage fut plus efficace. Soudain, il obliqua un peu son glande et il l’enfonça doucement dans sa bouche, puis continua les vas et viens. Léa lui caressait les fesses mais ne touchant pas sa queue, il était libre de son mouvements. En même temps, il faisait rouler un téton entre ses doigts, ce qui la faisait onduler de plaisir. Soudain, elle se cambra et fut prise d’une dizaine de spasmes de plaisir, me déversant une bonne quantité de mouiller dans la bouche. Elle venait d’avoir un gros orgasme, la bite d’un inconnu dans la bouche.
Loin d’avoir terminé, Romain continuait de faire des vas et viens de plus en plus profonds dans sa bouche, ce qui venait déformer le contour de la joue de Léa.
Après avoir joui, Léa est très sensible du clitoris, c’est pourquoi j’ai arrêté de la lècher. Je profitais simplement du spectacle, toujours entre ses cuisses.
Romain avait pris un peu d’assurance, toujours avec une main il alternait entre les seins de ma copine, et d’une autre main il lui avait pris l’arrière de la tête pour la faire sucer au rythme qu’il voulait. Ma femme n’y voyait vraisemblablement pas d’objection puisqu’elle se laissait faire docilement.
Suite au prochain récit. Vos commentaires sont les bienvenus.
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