(A l’attention des éventuels lecteurs, je m’excuse pour les fautes de frappe et d’orthographe. En effet, je ne me relis pas. C’est mal me direz vous mais je prends tellement de plaisir à écrire que je suis incapable de le faire. J’espère que cela ne gâchera pas votre lecture et, surtout, que vous prendrez autant de plaisir à les lire que j’ai à les écrire et surtout que j’aurais eu du plaisir à les vivre. Oui, ce sont mes fantasmes, c’est comme ça que j’aimerais que cela se passe pour moi, un homme doux, un peu directif amis qui sache ce qu’il faut pour moi, qui m’aide à me travestir et qui sait m’amener à me donner à lui.)
Dans la salle de bain je me rendis compte que mon string était trempé devant comme derrière. Ce petit bout de tissu contenait une partie notre jouissance mutuelle. Je ne pus m’empêcher de le sentir pour humer l’odeur de nos plaisirs. La nuisette n’était pas dans un meilleur état. J’ôtais la perruque, les bijoux, le porte-jarretelles et les bas. Au passage, je me félicitais d’avoir su les accrocher comme il faut car ils avaient tenus la distance face aux assauts de Philippe. Cette pensée me donna une érection immédiate et je me jetais sous la douche pour me calmer.
Douche que je pris très chaude et me savonnant abondamment. Insistant sur mon sexe, mes fesses, entre mes fesses. A nouveau, cette sensation de me sentir lisse sur ces zones me fit de l’effet et je bandais à nouveau. « Non mais c’est pas vrai vari, il faut que je me calme. On dirait que je suis en chaleur. ». Mais n’était-ce pas le cas.
Il veut que je sois Elodie pour la nuit alors ok, je suis prête. Prête ? Oui, je serai Elodie cette nuit, j’en ai envie, il me l’a donnée cette envie, pour une fois, de me sentir femme, désirée, aimée par son amant. Est-ce le signe d’un refoulement quelconque ? Je m’en fous il sera bien assez tôt pour une psychanalyse. Je me rase soigneusement, remet un peu de fond teint et du rouge à lèvre. Je remets la perruque en place et l’attache avec soin pour qu’elle reste en place pour la nuit. J’enfile le string, il est très doux. Puis la nuisette qui est toute aussi douce. C’est un réel bonheur que de les porter, c’est comme une caresse à chaque instant. Ne faudrait-il pas que je m’épile entièrement ? L’idée est tentante mais je repousse la décision au lendemain. Une goute de parfum derrière chaque oreille et je me dirige vers la chambre. Quel con ! Il est sous la couette et dort. Là, j’ai bien failli faire demi-tour. Mais j’ai dit ok. Mais, encore un mais, il y avait un truc qui ne m’allait pas. Il ne s’était pas douché lui. Quel cochon, et si nous avions des envies pendant la nuit et si j’avais envie de le sucer au réveil ? Non, décidemment il fallait faire quelque chose.
Je retournais à la salle de bain et trouvais des lingettes. De retour dans la chambre, je me glissais sous la couette et venais me coller contre son dos. Ma main découvrit rapidement qu’il était le sexe à l’air et je pris une lingette pour le nettoyer. Se faisant j’ai senti son sexe grossir, parfait me suis-dit ce ne sera que plus facile. Je l’ai ainsi astiqué, un peu trop peut être car il a fini par jouir dans la lingette. Tout en souriant de ce moment, j’ai pris une autre pour nettoyer ce nouvel « accident ». Il ne s’est même pas réveillé ! J’ai fini pas m’endormir contre lui, la main sur son sexe au repos cette fois.
Je me suis réveillée (oui je parle au féminin, je suis Elodie cette nuit) en sortant d’un rêve étrange, Philippe me faisait l’amour en me caressant le clitoris. Mon gland qui dépassait du string avait pris l’aspect d’un clitoris pointant entre les lèvres d’une femme. En émergeant totalement de mon rêve je pris conscience que :
1/ Philippe était en train de s’activer entre mes fesses et qu’il me sodomisait doucement,
2/ que des doigts me titillaient le gland qui dépassait du string.
A cette découverte et aus sensations associées, je refermais les yeux pour m’abandonner à ces deux caresses. Mais Philippe avait noté mon réveil, à mes gémissements ? Il me dit alors « Ho ! La belle au bois dormant se réveille. Venez ma princesse, je vais vous installer. Je sentis avec frustration son sexe me quitter et ses doigts cesser leurs massages. Toujours un peu somnolente et rêveuse il me fit m’allonger sur le dos, les fesses sur le bord du lit. Il s’installa par terre, à genoux et entre mes cuisses qu’il écarta. Il commença alors à me caresser le gland du bout de la langue, il l’avalait parfois, juste ce qui dépassait, léchouilles, sussions, je ne tardais pas à me tordre de plaisir. J’avais envie qu’il arrête, qu’il continue, je frissonnais, je lui demandais grâce mais il continuait et ce qui devait arriver arriva, j’ai eu un énorme orgasme qui m’a secoué tout le corps. Pourtant je n’ai pas eu l’impression d’éjaculer mais je m’en foutais à cet instant.
Tout à mon plaisir, je redescendais sur terre doucement pour sentir de nouvelles vagues de plaisir. Il m’avait remonté les cuisses et sa langue avait quitté mon clito pour sexe qu’il était en train de titiller du bout de la langue. Je recommençais à gémir et me tortiller sous ces caresses. Je lui pris la tête pour l’éloigner en lui demandant pitié, lui disant que j’allais mourir. Il me répondis que c’était une belle mort en recommençant, avec un grand sourire, à me bouffer le sexe (désolée, il n’y a pas d’autres mots).
Je ne sais pas combien de temps cela a duré, j’ai peut être perdu connaissance un moment par trop de sensations, par trop de plaisir. J’ai repris un peu de conscience quand ses caresses ont cessé et que je l’ai senti me pénétrer. En ouvrant les yeux, je l’ai vu qui me regardait avec un grand sourire. Il avait mes jambes sur ces épaules et il m’attira à lui les fesses dépassant du bord du lit, pour une sodomie profonde qui m’arracha un cri de plaisir.
C’est les yeux dans les yeux qu’il me dit que j’avis un cul d’enfer, qu’il était fait pour sa queue, que jamais il n’avait rencontré un aussi beau et bon coup que moi. Je suis surement conne mais j’ai aimé ses compliments, j’ai aimé qu’il me le dise. Il a alors commencé de lents va et vient. Lorsque ses doits ont en plus caressés mon clito, j’ai senti l’orgasme venir. Je l’ai aussi senti accélérer ses assauts et c’est dans un cri mutuel que nous avons joui ensemble.
Il s’est alors écroulé sur moi et après un long et tendre baiser il ma dit qu’il adorait être avec moi, Elodie.
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