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Du Bon Temps au Cine Porno

Du Bon Temps au Cine Porno



Publié sur le net par : Haywardr, sous le titre : Fun at the Adult theater
Traduction, Adaptation : OldPap66

Bon, nous y voilà ! J’entre pour la première fois dans le cinéma adulte de Biloxi. J’avais lu sur des graffitis que c’était un endroit idéal pour une branlette rapide, et j’avais l’intention de le vérifier. Les mecs, allons y !
Après avoir payé les 10 $, j’entre dans la salle et je distingue trois hommes debout près de la porte contre le mur à droite. Alors que mes yeux ne sont pas encore habitués à l’obscurité, je peux dire que ces types sont partants pour une petite pipe. Regardant vers la gauche, je perçois, sans vraiment voir, que quelqu’un est assis dans la dernière rangée, dans le deuxième siège, et qu’il est penché, en train de sucer le mec du le premier siège. Les gémissements et les bruits de succion sont révélateurs.

Ne voulant pas cacher l’écran, et excité à l’idée de me faire sucer moi aussi, je vois que les sièges, six rangées plus bas sont vides. Je m’avance et je m’installe. Sur l’écran, c’est un porno classique hétéro. Une nana avec des petits seins suce une énorme bite. Chouette ! Ce que j’aime ! J’ouvre ma braguette rapidement, sors ma bite et commence à me branler doucement. Ma queue réagit et raidit peu à peu.
Après quelques minutes, les yeux enfin habitués à l’obscurité, je regarde autour de moi et je remarque des banquettes, côté droit de la salle. Plusieurs types sont assis là-bas, mais personne à côté l’un de l’autre. Un homme plus âgé, sur un canapé en cuir contre le mur, a clairement baissé son pantalon et caresse ce qui semble être une bite de belle taille. Je peux aussi distinguer quelqu’un juste derrière un panneau, manifestement sans pantalon. Je ne vois rien, sauf ses jambes.

J’entends soudain un léger bruit derrière moi, à ma gauche, et me retourne pour voir un mec, environ 30ans, secouant la plus grande queue que j’ai jamais vue. Son short est descendu à ses pieds. Il soulève ses couilles et les comprime, ce qui grandit encore sa bite. D’habitude, pourtant, je ne regarde pas des gars se branler, mais je ne peux pas détacher mes yeux de ce gros morceau. Je sens qu’il approche de la jouissance à sa façon d’accélérer le rythme. A ce moment, je vois un noir, dans la rangée derrière lui, se lever, et coller sa bite à moitié raide dans l’oreille gauche du jeune mec. Le jeune homme ferme les yeux, tourne la tête, et prend cette bite dans sa bouche
Comme la queue du type noir devient plus raide, le jeune homme laisse échapper un gémissement, en serrant fort la base de sa queue. Pas de doute sur ce mouvement, il est sur le point d’éjaculer. Soudain, il relève sa queue, soulève ses fesses du siège et crache 3 jets de sperme, l’un d’eux atterrissant sur le siège à côté de moi. Après quelques minutes, le jeune homme délaisse la queue du type noir et la retire sa bouche. Puis il se lève, remonte son pantalon et se dirige vers la sortie à côté de l’écran. Je pense à l’homme noir, et je souris.

Maintenant, je suis en pleine érection, et je comprends que ce n’est pas à cause du film, mais parce que j’ai regardé ce gars se branler et sucer. Soyons francs, je réalise que tout le monde est là pour la même raison, à savoir sucer ou être sucé. Je reviens à l’écran, et à ‘Miss petits seins’ qui astique le gland du gars. J’aimerais bien qu’on me fasse la même chose ! Je ferme les yeux, me masturbe lentement pour faire durer le plaisir, en pensant à toutes les bites ici qui veulent être pompées. Je suppose que j’ai toujours eu ça en tête, mais aujourd’hui, je décide que le moment est venu de goûter ma première bite.

En regardant derrière moi la rangée du fond, je vois qu’il y a maintenant deux types qui se sucent. La tête de l’un disparaît par moments derrière le dossier du fauteuil de devant, pompant évidemment le gars à côté de lui. L’autre gars, assis dans le fauteuil côté couloir, branle un type plus âgé debout dans l’allée.

Zut, maintenant, ça va bien ! A mon tour !

Regardant du côté des banquettes, je vois que le gars derrière le panneau est toujours là, sans pantalon. Bon, ça sera celui-là ! Je ne sais pas comment il est bâti, s’il est grand, vieux ou quoi (sauf ses jambes blanches poilues), mais je décide que c’est le moment. J’espère qu’il est dans un coin assez discret, mais au diable !! Si quelqu’un veut mater, qu’il mate !

Je remonte ma braguette, me lève et marche vers le panneau. Le type a environ 50ans, légèrement en surpoids, chemise ouverte, caressant doucement une queue raide de 15 cm. Merde, ce mec me ressemble un peu. Ça va être comme si je me suçais moi-même ! Je le détaille contre le mur, scrutant lentement son sexe, son ventre, sa poitrine velue, puis ses yeux. Il y a la lueur caractéristique de la luxure dans les yeux. Ce mec aime être regardé ! Il écarte largement les jambes, soupèse ses couilles et les soulève pour bien me faire apprécier. Il regarde alors vers sa bite, puis vers moi. On ne peut pas se tromper sur son intention ! Est-ce que je peux vraiment faire ça?

Au même moment, le gars noir du début se lève et vient à côté de moi, en regardant derrière le panneau pour voir le type sur le canapé. Il fait le tour du canapé et s’assoit en face de nous, sur le même divan, à environ 1 mètre de l’homme blanc. Il me sourit en soulevant ses fesses et retire son pantalon de survêtement. Il regarde la bite du type blanc, puis moi. Il m’encourage du regard ! Me tournant vers l’homme blanc, je peux voir le bout de sa bite briller de liquide pré-éjaculatoire. Il continue à me regarder.

J’ai la bouche sèche comme de l’étoupe, mes mains et mes genoux n’arrêtent pas de trembler. Je me tourne vers la rangée de derrière et la porte d’entrée, et je vois un ou deux gars qui m’observent. Qu’attendent-ils? Que je fasse ça ?
Sur l’écran, la poulette est baisée sec. Le type blanc sur le canapé s’agite en laissant échapper un gémissement. Je le regarde et je vois qu’il a enlevé sa chemise, et qu’il est maintenant totalement nu. Tout ça pour moi ! A l’attaque ! C’est le moment.

Faisant le tour du panneau, je m’agenouille entre les jambes blanches du type. Il lève la jambe droite, la pose sur l’accoudoir, et se penche encore plus en arrière. Je prends sa bite dans ma main. Ajustement parfait. Sa tige épouse ma main, avec le gland qui sort entre le pouce et l’index. Tandis que je serre, sa bite libère un peu plus de liquide. Je le branle doucement, de haut en bas. Je peux sentir l’odeur musquée, en approchant ma tête du gland. Je regarde le Black. Il sourit, se paluchant vigoureusement en passant sa langue sur ses lèvres. C’est maintenant ou jamais !

Tirant la langue, je lèche le liquide pré-éjaculatoire. C’est abondant sur son gland, et je me délecte. Mais cela ne réussit pas à ôter la sécheresse dans ma bouche. Levant mon regard, je le vois, les yeux fermés, se pinçant le mamelon gauche. Je peux sentir qu’il devient plus raide dans ma main. Me léchant les lèvres, je baisse la tête et ouvre la bouche autant que possible. Dieu, mais que c’est bon dans ma bouche. Doux, spongieux et chaud. Je passe sur sa fente avec ma langue, et le lèche d’avant en arrière, mes lèvres entourant solidement son gland.
J’entends un gémissement et je lève les yeux, mais c’est le gars noir, les yeux exorbités sur moi pendant qu’il s’astique et se lèche les lèvres. Je remarque aussi que quelqu’un s’est déplacé vers le canapé d’angle pour regarder. Oui, définitivement, j’adore qu’on me mate. Qui l’aurait cru ?

Je ferme les yeux et je lâche la bite du mec. C’est ma bouche qui travaille maintenant. Sa queue est beaucoup plus lourde et spongieuse. Je ferme les yeux et pose mes mains sur les hanches de ce type. Après avoir léché le gland pendant un long moment, je descends mes lèvres le long de sa tige, en prenant de plus en plus cette bite dans ma bouche. Je peux sentir son gland frotter mon palais, glissant lentement et de plus en plus vers l’arrière de ma langue. Au bout de quelques secondes de lente descente dans ma gorge, je commence à sentir que je suis suffoque et que je ne vais pas pouvoir avaler beaucoup plus de longueur, même doucement et sans a-coups. A ce moment, mon nez touche les poils pubiens, et je me rends compte que je suis allé aussi loin que je pouvais. Je passe ma langue sur sa tige, et j’essaye de la lécher sur toute la longueur alors qu’elle est encore dans ma bouche. Je n’arrive qu’à la moitié.

Ouvrant les yeux, je ne vois que des poils pubiens. Lentement, je commence à retirer la bite, la léchant tout autour en remontant. Levant les yeux, tout ce que j’aperçois dans un premier temps, c’est son ventre. Au fur et à mesure que je me retire doucement de sa queue, son visage apparaît comme un lever de lune sur l’horizon de son ventre. Ses yeux sont grands ouverts, de même que sa bouche. Le regard de désir est familier. Lorsque je n’ai plus que son gland entre les lèvres, je prends à nouveau sa queue dans ma main, le branlant lentement de haut en bas. Je peux l’entendre gémir au moment où je retire ma bouche de son gland.

Je perçois un mouvement à ma droite. Quelqu’un est debout dans l’allée, à quelques centimètres de mon visage, scrutant intensément. Coté gauche, le gars noir et le gars du coin ont été rejoints par deux autres. Tous m’observent et tous sont à différents stades de branlette. Putain, mais que c’est chaud !

Retour à l’action. Soulevant la queue du type, je soupèse ses couilles avec ma main gauche, et me rapprochant, je lèche tout d’abord celle de gauche, puis suce la droite. L’odeur de ce gars me rend fou. Une odeur musquée, si proche de son cul. Écartant largement les lèvres, je prends d’abord une, puis deux couilles dans ma bouche. C’est une sensation étrange, mais c’est génial. Presque comme avoir deux balles de golf très douces dans la bouche. Je salive maintenant comme un fou, bavant sur ses boules.

Après plusieurs minutes, et de nombreux gémissements de chacun de nous, je ressors ses couilles de ma bouche. Son gland brille à nouveau de liquide, et je ne peux pas résister à la tentation. Lâchant sa bite qui se dresse toute droite, j’approche une fois de plus ma bouche de son morceau. Frottant juste le gland entre mes lèvres, dedans et dehors, je lape le liquide pré-éjaculatoire avec ma langue. C’est un goût que je n’oublierai jamais.

Saisissant la base de sa queue, et serrant fort, je commence à bouger mes lèvres sur le gland et la tige. En avant, en arrière, arrêter de lécher le gland et retirer ma bouche. Recommencer plus vite, en haut et en bas, presser, relâcher, branler, lécher, sucer. J’ai perdu toute notion du temps. Ma mâchoire est douloureuse, comme une trop longue séance chez le dentiste ! Mais jamais un dentiste n’a mis quelque chose d’aussi délicieux entre mes lèvres ! Je ne peux plus arrêter maintenant ! J’ai besoin de goûter son sperme dans ma bouche, de l’entendre jouir, et de voir son visage ainsi que les visages des spectateurs, quand il éjaculera dans ma bouche.

La bite dans ma bouche devient encore plus dure, c’est incroyable ! Je peux sentir l’effet de mes coups de langue. En haut, en bas, plus vite, plus fort. Tout à coup, il commence à bouger ses hanches, d’avant en arrière. Je dois mettre mes deux mains sur ses hanches au rythme de ses mouvements. Putain ! Il est tellement raide maintenant. Puis j’entends un son guttural, sans équivoque. Il est prêt ! Je sens ses mains appuyer très fort derrière ma tête, enfouissant mon visage dans ses poils pubiens. Je sens monter la nausée… Non, non. Il faut se détendre, ouvrir la gorge. Il ne faut pas arrêter maintenant.

Il soulève encore ses hanches et se fige. J’entends le gémissement familier, le « Oh, Putain ».
Soudain, je sens que le déluge des jets de sperme gicler dans ma bouche. J’essaie d’échapper à sa bite, mais il me tient trop fermement. Je ne pense qu’à garder la gorge ouverte, et à avaler aussi vite que je peux. Son premier jet fuse profondément au fond de ma gorge. J’essaie d’avaler, mais je ne peux pas, sa queue est trop enfoncée et bouche la trachée. Je sens la seconde décharge, plus violente que la première, remplir ma gorge. J’arrive à retirer légèrement ma tête de sa bite, et enfin, je peux avaler le troisième coup qui inonde ma bouche.

Je prends la base de sa queue, et je presse, je malaxe, je tire en remontant mon poing pour extraire jusqu’à la dernière goutte. Remontant ma bouche un peu plus haut, je peux enfin savourer le dernier jet, pas aussi fort que les premiers, mais qui semble encore meilleur. Je résiste à l’envie d’avaler immédiatement. Je veux savourer et déguster ce nectar. Faisant tourner le sperme dans ma bouche, je continue à traire à fond sa bite, goutant le filet de sperme avec ma langue tout en glissant ma main de haut en bas sur son pieu.
Il se baisse, me prend la main, et murmure: « Stop. »
Je connais ce chatouillement insupportable après l‘éjaculation. Donc j’arrête de caresser sa queue, et me contente simplement de savourer le goût de son sperme dans ma bouche et le bonheur de sa bite, qui, peu à peu, devient moins raide, plus douce. Enfin, j’avale ce qui reste de sperme, et je libère sa queue. Il murmure quelque chose comme ‘Super’, et je chuchote: « C’est ma première fois ».
Il se contente de sourire.

Quand je me redresse, je regarde à droite, et je vois qu’il y a 2 gars dans l’allée à droite, qui me dévisagent, la bite à l’air ! Plus le type noir, et aussi quatre autres à gauche, tous au garde à vous. Tout cela fait beaucoup de bites à sucer !
Je crois que je vais être occupé pendant un bon moment !

A propos de l'auteur

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Je publie des histoires de sexe quotidiennes pour mes lecteurs.

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