Josie et Marc ont décidé de virer leur cuti ensemble. Josie à fait jouir Marc en osant faire sa première fellation.
Marc veut lui rendre la pareille et s’occupe de son joli minou.
Dans son écrin, le petit bouton gorgé de sang palpite sous la langue de Marc qui vient de le découvrir, il le gobe délicatement et le malaxe par une succion affolante.
– Oui ! Continue, lèche-moi bien, mords un peu, mais pas trop fort.
Marc ne se fait pas prier, apparemment excité lui aussi par les chairs qui s’offrent à lui, surtout que le vagin laisse suinter la cyprine odorante et que Josie gémit de plus en plus, surtout quand le plus délicatement possible, il mordille doucement les grandes lèvres et le capuchon du clitoris.
Josie a des soubresauts, de plus en plus saccadés aux caresses linguales qui deviennent, de plus en plus adroites.
Le clitoris roule entre les dents, extirpé de sa gaine, prêt d’éclater car toute la force de la jeune femme se concentre là. Elle ne vit plus sinon par ce minuscule organe de jouissance sur lequel s’acharne une ventouse avide.
Quelque chose se manifeste soudain dans son système nerveux, l’avertissant secrètement que l’instant de conclure arrive.
Son souffle se précipite, ses yeux se ferment à demi et ses lèvres s’entrouvrent quand il fouille le vagin offert avec trois doigts, écrasant le pouce sur le clitoris qui vibre sous les mouvements.
Elle gémit pour qu’il la pénètre mais il semble prendre plaisir à retarder ce moment, voulant continuer à lui procurer lui aussi du plaisir.
Marc gobe le bourgeon dans sa cachette de velours, entreprend une succion irrésistible.
-Ah !… Ahhhhh !… Tu me tues !… Oh ! Pas si fort, pas si vite. Je t’en prie.
Vaine prière qui signifie le contraire de ce qu’elle exprime. Marc n’en a cure et continue de plus belle.
Josie s’efforce de se maîtriser, mais elle pressent l’imminence de l’orgasme.
Marc branle le clitoris de plus en plus vite, le besognant d’une succion fougueuse.
Le ventre de Josie devient dur comme de la pierre.
Elle a un brusque sursaut. Les vannes s’ouvrent. Une série de secousses successives libèrent la liqueur suave, lui occasionnant des orgasmes presque ininterrompus.
Marc boit au bourgeon cette sève d’amour, heureux d’avoir su l’arracher de ce corps si beau qui maintenant se détend lentement, encore parcouru de frissons qui s’espacent.
Une bienheureuse fatigue tire les traits du visage.
-Merci, dit simplement Josie. C’était incroyable.
Il ôte sa main toute empoissée de suc et la lui fait renifler.
Récit de Josie
Presque sans le vouloir, comme conduite par une autre volonté que la mienne, ma main de s’est glissée entre nous et caresse son engin. Ma main baladeuse, délicate se saisit du morceau.
J’observe le volume de l’objet ainsi fourbi qui augmente sensiblement.
Je le flatte de mes doigts légers et voit la plénitude virile qui se redresse sous la caresse.
Ma main entame un lent mouvement de va-et-vient. Je sens que ce serpent vivant et chaud qui occupe ma paume grossit encore.
C’est une chaude tige de bois dur qui palpite sous mes doigts.
Soudain, je presse avec douceur les tissus au niveau du gland, regardant s’ouvrir ce drôle de petit œil rosé, déposant tel une aile de papillon un baiser dessus.
Il me tend un préservatif que j’enfile par manque d’expérience avec difficulté sur sa verge.
Il veut prendre l’initiative. Sans se presser, il commence de frotter sa verge sur mon cou, mes joues, descend le long des bras, glisse sur la pulpe d’un sein, continue sur mon ventre plat pour se perdre dans ma toison pubienne. Je ne bronche pas, ce contact doux et chaud m’électrise. Je suis tendue mais passive.
Il remue légèrement les hanches, et le gland comme mû par sa propre volonté appuie contre ma vulve chaude…Il accentue à peine la pression, tout en pressant ses lèvres contre ma nuque inclinée. D’une étreinte plus appuyée, il place son gland contre la vulve vierge.
-Vas-y doucement, je lui demande en gémissant en tentant malgré moi, de me dérober à l’étreinte toute proche qui va me débarrasser de ma virginité.
Faisant semblant de ne pas entendre, il accentue la pression sentant contre son gland un creux d’humidité poisseuse.
Il sait qu’il n’a qu’à appuyer d’un coup de hanche pour que le membre tout entier pénètre dans l’étroit fourreau…
Il caresse les fesses tendres, le ventre lisse, les cuisses qui s’ouvrent pour lui. Il appuie son gland contre la vulve
J’ai la tète renversée sur l’oreiller, tandis que la longue verge tente de se frayer un passage entre les parois humides.
Ma vulve ruisselle, des gouttes de liqueur perlent de ma toison blonde. Entre les bourrelets de chair glisse le cylindre noué de veines violettes avec une puissance de piston.
Lorsqu’il pousse, je sens centimètre par centimètre, s’écarter les parois de mon vagin dans un chuintement suggestif. Son gland vient buter contre mon hymen.
Je le supplie :
-Maintenant ! Maintenant !
La cavité humide aspire son membre, je me tords sous lui, il n’y a plus que soupir et gémissement, au rythme des mouvements qui tendent alternativement les corps l’un vers l’autre.
Le sexe épais émerge un peu de mon fourreau, puis s’y glisse à nouveau, toujours plus loin, toujours plus fort et soudain, il me déflore…
-Non !!!!…. Ouiiiiii !!!….
Je crie des mots sans suite quand il me pénètre d’un coup jusqu’au plus profond…
Il est ému quand il voit couler de ma conque le liquide ambré tâché de rouge.
Mes jambes se détendent avec fureur avant de se replier, mon ventre est agité de secousses comme si je recevais des décharges. J’agonise sous le formidable soc de Marc.
La verge me pénètre d’un trait au plus profond, et je pousse un cri rauque…
Mes hanches commencent à se tendre en cadence, mon vagin se contracte pour mieux aspirer la verge dure. Il me fouille à grands coups de son dard.
Je me tends encore vers lui, les traits contractés par l’approche du plaisir. Je l’étreins passionnément, cambrant les reins pour mieux le sentir.
J’halète, me débats sous lui, je plie mes jambes sous la poitrine de Marc qui glisse en moi encore plus profondément, allant et revenant toujours plus loin, toujours plus profond…
Il écoute monter mon plaisir dans mes halètements qui s’accélèrent, s’amplifient…
Un gémissement semble me retenir au bord du vide, et j’éclate soudain dans un cri long et rauque qui parait monter du ventre…
Marc, qui se retenait à la limite du possible, explose à son tour et se déverse en moi sans se faire prier, je ressens son chaud liquide qui se répand dans le préservatif avant qu’il ne s’abatte sur moi.
Il est tellement fou de moi ou de mon corps de rêve qu’il rebande déjà et sa verge bat contre mon ventre. Il retire le préservatif et pose d’autorité ma main fine sur la hampe ou elle entreprend un va-et-vient.
Je m’agrippe à lui, ouvre ma bouche ou il va s’engloutir et avale cette friandise avec envie et le mord en gémissant, je ne me retiens plus et vais aussitôt me ré empaler sur son phallus réalisant avec horreur mais trop tard qu’il n’a pas eu le temps de remettre une capote.
Il me prend d’un long mouvement régulier qui résonne jusque dans mes entrailles…
Il s’immobilise en moi puis me fait l’amour, longtemps, patiemment, me faisant découvrir toutes les facettes de l’amour charnel.
L’orgasme me saisit une première fois, il me regarde jouir les yeux mi-clos.
Il me prend ensuite en levrette, je crois qu’il fait ça pour décharger à son tour, mais il ne semble pas pressé, désireux surtout de me faire jouir en tous sens, à tous les rythmes, jusqu’à ce que je m’abandonne une deuxième fois.
Je m’immobilise, épuisée, reprenant mon souffle et murmurant.
-Tu n’as pas encore joui…
Il se contente de sourire, mystérieux et continue à me saillir.
Je l’oblige alors à s’allonger sur le dos et m’assieds sur lui, complètement empalée sur la verge toujours aussi rigide…
Je me baise ainsi, sauvagement pendant un temps infini qui me laisse pantelante, épuisée, frissonnante d’amour…
Je me sens délaissée quand il se retire pour me mettre sur le ventre attirant mon bassin à lui.
Je prends appui sur les paumes et les genoux et il me fouille de nouveau, jouissant du spectacle de mes reins qui ondulent sous le plaisir et de mes seins qui battent en cadence, allongés par la pesanteur…
Je veux le forcer à se rendre, il le sait et semble prendre plaisir à résister.
De tous mes muscles, de toute ma science nouvelle de femme amoureuse de l’amour, je m’emploie à lui faire perdre ce contrôle qu’il est si fier d’exercer.
Il halète toujours plus fort, il serre les dents en gémissant, les yeux fermés et je sens enfin la tension se relâcher dans un soubresaut de ses reins.
Il s’arc-boute tandis que son phallus dégorge en moi, par à-coups, la laitance tant attendue.
A chaque sursaut de ce membre, une plainte rauque s’échappe de ma bouche, un long cri qui exprime autant la jouissance ultime que le désespoir d’en finir…
Ses halètements s’amplifient, il me sent s’arc-bouter vers lui et un long cri s’échappe de sa bouche tandis qu’il me pénètre plus violemment que jamais… Ses reins se tendent vers moi, et le sperme jaillit avec les derniers soubresauts…
Nous nous affalons enfin l’un contre l’autre, étroitement enlacés.
Ainsi finissent les mémoires de deux puceaux.
Pourvu qu’il ne m’est pas mise en cloque !!!
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