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EL…..Rencontre d’un soir

EL…..Rencontre d’un soir



El. Lui avait donné rendez-vous dans quarante cinq minutes, et elle était loin d’être prête. La jeune femme se tenait assise au bord de son lit défait. La poitrine nue. Une jupe crayon bordeaux enserrait ses cuisses.

El. Avait enfilé des bas fins noirs, qu’elle avait miraculeusement trouvé au fond d’un de ses tiroirs. En tant normal, ses rondeurs et ses seins lourds étaient camouflés par des tops larges, et ses sempiternelles baskets. C’était son costume préféré, car pour El., tous habits n’étaient que déguisements.

Ce soir El. Serait cette femme là. Une femme libre de ses envies. Qui aimerait sans complexe le contact de la soie sur sa chatte trempée. Et ce soir, elle laissera allègrement battre la musique de ses talons hauts sur le goudron du trottoir.
Cela avait été simple finalement. Une création de compte, un pseudo aguicheur et El. avait convenu d’un rendez-vous avec un homme résidant dans la ville voisine.
Ils avaient échangé un bref instant. Après tout sans jugement, aucun, ils étaient là tous les deux pour partager et assouvir leurs envies.

Arrivée à l’adresse indiquée, elle s’avança sous l’ombrelle du porche de la petite maison de ville, et frappa deux coups discrets à la porte. Un homme ouvrit, encore masqué par l’obscurité qui régnait autour d’eux. El. Aperçu les contours d’un homme très grand. Des cheveux courts et des épaules larges, un ventre proéminent. El. Avait imposé son scénario. Cela devrait se dérouler chez lui. S’ils se plaisaient, il devrait la faire entrer et commencer à l’utiliser comme bon lui semblait. Sans discussion.
Et il n’hésita pas énormément.

Il l’invita à rentrer, et elle se retrouva dans un étroit couloir. Elle le sentit qui s’approchait par derrière, puis son souffle sur son oreille.
« Mon appart’ est petit. Je vais t’emmener directement dans ma chambre. Tu vas prendre cher. Tu me l’as autorisé. Je te rappelle le mot qui fera que j’arrêterai tout si tu le souhaites : Stop. Aussi simple que cela. Maintenant je vais te bander les yeux, et te bâillonner. Hoche la tête si t’es d’accord avec tout ça. »

Cela s’était déroulé sans que El. Ne dise un mot jusqu’à présent. Et elle y consentit d’un mouvement de tête. El. s’était raidie, le souffle court, le corps tendu. Dans sa tête tout se brouillait, et le nœud d’anxiété qui l’avait taraudé tout le temps du trajet jusqu’au lieu de rendez-vous, s’était transformé en folle et intense excitation. Cet homme utilisera ses trous sans limite. Elle le sentait. Et El. N’en attendait pas moins.

C’était le deal. Elle voulait être, le temps d’une soirée, la pute à jus d’un inconnu. Elle voulait un partenaire de jeux dominant, et très cochon. lls avaient discuté sur quelques pratiques qu’ils appréciaient respectivement, mais ces pratiques étaient en somme trop courantes pour qu’elle puisse se faire une réelle idée de ce qui l’attendait. La jeune femme se sentait fiévreuse et déboussolée, saisie par l’excitation.
L’esprit embrumé prête à s’abandonner, El. Souhaitait juste que son instinct ne l’ai pas amené droit dans la maison d’un déséquilibré.

Comme pour calmer son hésitation ainsi que les frissons qui la traversaient, il prit ses mains jouant avec ses doigts gelés, et toujours accolé à son dos, lui glissa à l’oreille :
« Tu sens comme tu me fais bander petite pute. »
Elle lui avait dit aimer les mots cochons, ça la faisait vriller. Mais de sa bouche à elle aucun son ne sortirai, sauf si quelque chose lui déplaisait.

Il frotta le bas de ses reins contre sa jupe. Et El resta immobile se laissant faire, docile, les bras le long du corps.
Sans prévenir, il lui saisit les bras et la plaqua contre le mur du couloir. Une de ses mains la collant sans ménagement contre le plâtre froid, l’autre remonta sa jupe. Il fit rouler le vêtement sur ses cuisses charnues, jusqu’au creux de sa taille. Une paume large vint écarter ses cuisses. L’homme s’agenouilla. Huma l’odeur sucrée qui s’exhalait de son entrecuisse. Il passa la main le long d’une de ses jambes, remontant ainsi lentement jusqu’à leur jointure.
El mourait d’envie qu’il lui arrache ses bas. Sa chatte s’était mise à couler. Et elle sentait son sexe devenir poisseux. Son ventre liquide. Elle cambra les reins dans une invitation. À son grand dam, cela accentua le frottement du tissu sur son clitoris gonflé. Elle voulait plus tout de suite. Mais il s’arrêta net.

Au lieu de ça il lui colla le visage contre le mur, la joue collée à la surface froide, et lui enfonça des doigts dans la bouche. Il fouilla sa bouche de sa main large. Enfonçant deux doigts puis presque la paume entière. Elle en eut un haut le cœur, proche de la nausée. Elle salivait, crachait. S’étouffant de ses propres sécrétions. Mais en une fraction de seconde, il lui avait fait franchir son point de rupture. Elle serait sa chienne, quoi qu’il lui en coûte. Elle sentait sa salive inonder son chemisier. Elle ne portait aucun sous-vêtement et le tissu collait déjà à sa poitrine. L’homme scrutait sa bouche, caressait ses lèvres tuméfiées, éprouvant l’élasticité de sa mâchoire. Il la triturait, le regard figé sur son visage offert. Il la regardait comme si cette bouche qu’il maltraitait n’était rattachée à aucun corps. Puis la torture cessa. Il lui caressa le visage et diminua la pression qui la maintenait contre le mur.
« Reste là. Je reviens. Puis je te déshabillerai ma pute. Tu as bien mérité la suite. »

La jeune femme resta immobile face au mur. Elle aurait voulut passer ses mains sur son visage. Essuyer le maquillage qui avait sans aucun doute coulé sur son visage rougi. Essuyer la salive de son menton. Mais El. Ne bougea pas. Elle se sentait dans un état second. Comme prise au piège sous la lumière aveuglante des phares d’un véhicule. Elle fixait le mur dans la pénombre, totalement dans l’attente.

Elle l’entendit revenir. Il rassembla ses cheveux derrière sa nuque puis lui glissa un bâillon.
« Ouvre.»
Elle sentit une boule de la taille d’une balle de ping-pong lui obstruer la bouche. Puis il serra le collier autour de son cou, ses cheveux faisant un partiel rempart contre la ruguosité des lanières. Il lui passa un large bandeau épais et noir sur les yeux. Et à peine noué l’homme glissa ses doigts dans le nœud du bandeau lui tirant la tête en arrière.
La nuque de la jeune femme tendue à l’extrême, il se mit à lui lécher le cou. Il lui dévora la nuque, lécha ses épaules à moitié dénudées. Planta ses dents à plusieurs reprises dans le haut de son corps offert.

La jeune femme jouissait, gémissait. Grognait de plaisir. Impossible de faire autrement. Au fond, elle était soulagée de voir qu’il n’était pas de ce genre d’homme ; à faire de sa jouissance un jeu. Ou un défi… Elle était bâillonnée, mais libre de jouir, ou pas. Sans impératif de la part de son bourreau. Là aussi c’était dans le deal. Elle jouirait si elle en avait l’envie, et pas de privation !
Pour sûr qu’en ce moment même El. Ne s’en privait pas. Car parmi ses zones érogènes, la nuque était sans aucun doute son point G numéro 1.
La jeune femme ne tenait déjà plus sur ses deux jambes.
Il lui pinça violemment la pointe des seins. Prenant ses seins lourds à pleines mains, il acheva de déboutonner son chemisier. Dégageant sa poitrine et son ventre. Il continua ainsi jusqu’à ce qu’elle soit totalement nue.
Une fois la jeune femme totalement dénudée, il la tourna vers lui et l’entraîna à sa suite.

Il la fit pénétrer dans ce qui devait être une chambre, car elle sentit le rebord d’un lit sur ses jambes.
« Je vais t’attacher au lit. Je vais baiser tous tes trous en commençant par ton cul. Concernant mon plaisir, je vais me laisser le choix de jouir dans ta bouche ou sur tes seins, et ce si l’envie m’en prend.
Si tu es d’accord, fais un mouvement de la tête. »
Et la jeune femme acquiesça.
« Le lit est derrière toi. Monte dessus et mets-toi à quatre pattes. » Elle s’exécuta et écarta les cuisses une fois positionnée.
« Parfait ma salope… j’ai une chance folle d’être tombée sur une bonne grosse pute baveuse comme toi. Une vraie petite chienne sans collier. Écarte encore. Fais voir ta grosse chatte poilue. »

Un flot de phrases salaces se déversaient de la bouche de son hôte, et El. Lui obéissait, complètement soumise à ses propos. Elle se sentait chose, rêvait de fouiller frénétiquement son sexe devant lui. Un homme qui lui était totalement inconnu, et jouir. Encore et encore.
Elle se félicitait d’être les yeux bandés car elle ne s’assumerait pas de se voir en chienne affamée.
Elle sentit qu’il s’éloignait puis le bruit de tiroirs qui s’ouvraient.
« Menottes, cordes, cravache et d’autres joujoux sont à ma disposition. Je vais jouer avec tes trous de femelles comme bon me semble ok ? »
El. Hocha la tête et sentit sa chatte mouiller un peu plus…

L’homme lui prit les chevilles, passa ce qui lui sembla être une corde autour de chacune d’elles ; il lui attacha les pieds de part et d’autre du lit. Cette position obligea la jeune femme à se cambrer, le cul et le sexe très ouverts.
Il passa en tête du lit et lui remonta les bras. Il noua ses deux mains ensemble d’une seule corde, allongeant la jeune femme sur le matelas. Il lui glissa un coussin sous le ventre, surélevant encore un peu plus les fesses de la jeune femme.
Une fois ainsi soumise, il lui empoigna les fesses, les malaxant avec force. Tirant sur chairs. Elle sentait le trou de son cul s’arrondir et s’ouvrir, formant un O obscène. La jeune femme bavait de honte et de plaisirs à la fois dans son bâillon.
Puis elle sentit la morsure de la cravache sur ses chairs déjà à vif. El. Lui avait stipulé ne pas chercher la douleur physique dans la soumission, et elle se cabra de refus.
« Chuuut…tout doux ma salope… Je ne te ferai pas plus que ce que tu ne souhaites supporter. Je ne veux pas casser ma jolie pute. »

Il passa la cravache sur tout le long de son corps. Il lui caressa le visage, puis le dos du bout mordant du fouet, qu’elle devinait en cuir. Il la caressa ainsi, de la tête aux pieds. De temps en temps, il faisait claquer la cravache sur sa peau. Tantôt sur la pointe de son épaule, sur la cambrure de ses fesses, ou sur l’arrondi d’un sein. Il alterna entre petits coups brefs et caresses un long moment. À la fin, El n’était plus que chairs et jouissance.

« On va passer aux choses sérieuses. Je vais te retirer ton bâillon. Je veux t’entendre crier. Pour si ça va, ou non.»
El. Senti le lit s’enfoncer sous sa tête et il s’installa face à elle. El. Sentit des cuisses poilues se glisser de part et d’autre de son corps. L’homme avait dû se déshabiller entre temps. Il s’avança au point où elle se trouvait maintenant la tête enfoncée entre sur ses jambes, le visage collé à ses testicules ; la queue durcie de son tortionnaire sur le haut du crâne. Il dénoua le bâillon de sa bouche et la jeune femme senti l’afflux d’un sang nouveau parcourir ses lèvres meurtries. Elle voulut détendre sa mâchoire endolorie mais il en avait décidé autrement.
Il usa de sa bouche de longues minutes encore. Il la fouilla de sa queue sans répit. Enfonçant parfois son sexe et ses bourses en même temps dans sa bouche offerte. Elle s’étouffait avec sa salive, et luttait pour ne pas se briser sous les coups de butoir. Les larmes aux yeux, elle ouvrait la bouche autour du membre luisant, tirant la langue pour laisser la queue épaisse se frayer un chemin au fond de sa gorge.
« Tu vas me faire jouir dans ta bouche salope… »
Elle ne pouvait répondre. Mais à ces mots, la boule qui se formait dans son propre sexe explosa en un orgasme chaud et foudroyant. Totalement contrainte par ses liens, elle sentit tout son corps se tendre, luttant contre les frissons qui la traversaient, du creux de ses reins à la pointe de ses seins. Elle cria de plaisirs, la bouche serrée autour de la queue de l’inconnu.

« C’est bien ma pute. Mais ça suffit. Je ne veux pas jouir maintenant. Et je dois te l’avouer, t’es terriblement excitante….la prochaine fois tu t’organiseras pour rester toute la nuit. Je veux pouvoir profiter de ton cul autant que possible ».
Il s’était retiré en douceur de sa bouche aux lèvres gonflées. Et la jeune femme tentait de reprendre son souffle, et ses esprits. Pendant qu’il lui parlait, il s’était remit à jouer avec sa chatte. Elle le sentait tirer sur ses poils humides. Écarter ses lèvres trempées. Sa chatte faisait des bruits de succions qui résonnaient dans la pièce redevenue silencieuse. La jeune femme se sentait rougir de honte et de plaisir. Ce mélange des deux sentiments affolait les battements de son cœur.
Et elle se mit à gémir de plus en plus, et de plus en plus fort, proche de l’orgasme.
« Ca suffit ma pute ! Décidément…toutes les parties de ton corps de chienne méritent vraiment toute mon attention. T’es une vraie chienne en chaleur. Et j’adore les putes comme toi…
La prochaine fois, tu porteras le collier »

Et pendant qu’il finissait sa phrase, exposant les plans les plus pervers pour la jeune femme, El. Devinait qu’il se positionnait derrière elle. Elle sentit sa queue battre sur la pomme de ses fesses, puis qu’elle se frayait un chemin entre les plis de sa chatte.

Il avait mis un préservatif à picots, et El. Sentait les aspérités irriter son clitoris devenu extrêmement sensible de ses précédents orgasmes. C’était devenu une véritable torture. Entre douleur et plaisir contenu. Et ce fut presqu’un soulagement pour elle quand il la pénétra d’une seule poussée brutale.

Il la fouilla sans douceur. La faisant crier à chaque fois qu’il s’enfonçait un peu plus loin au fond de son ventre. Elle aurait voulut s’y soustraire mais ses chevilles étaient retenues par les liens. Ses jambes largement ouvertes…
« Tu luttes mais ta chatte ne cesse de mouiller…tu aimes quand on te force salope. Tu sens comme ta chatte bouffe ma grosse queue…tu le sens dis-moi ! »
El. Devenait folle sous ses coups de queue. Elle sentait les mots cochons de son bourreau rebondir dans son crâne…ce salaud allait la faire jouir encore !
Puis il se retira de sa chatte, la laissant très frustrée sans le savoir.

Il posa ses mains sur chacune de ses fesses, et les lui écarta. Elle sentit la gêne l’envahir quand il plongea son visage langue tendue, dans son cul ainsi écarté.
Une langue dure et vorace fouilla son anus. Il la pénétrait de sa langue. Fouillait sa chatte en parallèle, de ses doigts.
Il commença par lui enfoncer deux doigts dans le cul, puis très vite se fut son gland qui faisait pression sur son trou le plus étroit.

D’une longue poussée, il écartela ses chairs de sa queue, et elle sentit le poids de l’homme sur son dos. Il s’était enfoncé au plus loin dans les entrailles de la jeune femme et elle ne put s’empêcher d’hurler de douleur.
Sans attendre, il se mit à la pilonner. Elle sentait le ventre de l’inconnu frapper son dos, et ses bourses, collées à sa chatte entrouverte. Il lui mordillait le cou, serrait sa poitrine, tordait la pointe de ses seins. Malaxant ses hanches, tout en la fouillant toujours plus fond.

L’anneau de ses chairs s’était distendu. De nouveau entre douleur et plaisir, la jeune femme se sentait partir. Elle se demanda un instant si l’humidité qui permettait à l’épais membre de coulisser dans son cul, venait du plaisir ou de pire. Elle avait été folle de se soumettre comme ça à un inconnu ! Il lui avait sans doute déchiré le cul.
Mais la douleur s’estompa totalement. Pour laisser place qu’au plaisir. Elle sentait la queue gantée de rainures et de picots fouiller ses fesses sans rencontrer de résistance.

L’homme dans son dos s’agitait de plus en plus et la jeune femme le savait au bord de la jouissance. Elle espérait secrètement qu’il lui remplisse la bouche. El. Adorait par-dessous tout qu’on se vide dans ses trous de femelle.
Si elle ne le faisait que rarement ce n’était que par prudence, et peur des MST.
La fellation était déjà un grand risque …oui, elle voulait qu’il se vide dans ses trous…
« Hum…ton cul est brûlant ma salope…je sens que je viens… »

Il la baisait maintenant tellement fort qu’elle ne faisait plus qu’un avec le lit sous elle. Ses va-et-vient étaient de plus en plus courts et brutaux. Et c’est de cette manière, que la jeune femme eut encore un orgasme. Le cul éclaté autour du membre de son bourreau, la chatte ouverte, le visage enfoncé dans le matelas. Elle sentit son membre gonfler…devenir encore plus dur. Comme si c’était encore possible que ses chairs s’écartent plus ! Et dans un grognement presqu’a****l lui se vida dans son cul.

Il se retira. Prenant soin de retenir le préservatif.
« Ton cul est grand ouvert ma jolie chienne. »
Il lui glissa deux doigts puis trois, dans son cul encore distendu.
« Je te libère. Et tu as été parfaite pour une première rencontre ma pute. J’aimerai vraiment te revoir. »
Les liens desserrés, la jeune femme frotta la jointure rougie de ses chevilles et poignets. Elle étira son corps aux formes pulpeuses, se laissant admirer.
Il passa la main sur ses hanches, soupesa sa poitrine. Elle était repue.
La jeune femme se leva, groggy, mais apaisée. La folie de l’instant se dissipait. D’ailleurs elle ne savait pas encore si elle s’engagerait tout de suite à le revoir.

El aimait le frisson de ces rencontres, et il lui avait donné beaucoup de satisfaction. Mais en ce moment même elle ne souhaitait qu’une chose, retrouver le confort et la familiarité de son appartement.
Et c’est ce qu’elle fit. Elle resta vague. Refusa gentiment le café proposé, préférant se rhabiller.
Puis reprit le chemin de chez elle.
Ils avaient passés un excellent moment…

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