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Jogging coquin

Jogging coquin



Pour satisfaire aux recommandations en matière de santé, on a décidé ma femme et moi de faire une heure de marche tous les jours. On fait le même parcours et pratiquement à la même heure, si bien qu’on rencontre un peu les mêmes personnes. Et là, une belle jeune femme, la quarantaine s’arrête à notre hauteur et nous demande une indication de rue. Elle est brune, assez grande et elle a un magnifique accent du midi. Je lui réponds avec plaisir et je fais tout pour en rajouter pour que la conversation dure un peu plus longtemps, tout juste si je lui propose pas de l’accompagner pour qu’elle ne se perde pas. Je m’arrête à temps, me rendant compte que ma proposition serait déplacée. Bref, chacun continue son chemin.

Deux jours plus tard, elle nous double et en passant à notre hauteur elle nous dit un petit bonjour et je la vois s’éloigner. Elle a une belle démarche et comme elle a un jogging super moulant, en fait, c’est comme si elle était nue. Je vois son cul rebondit, ses hanches arrondies, ses cuisses longues. Elle remue du cul d’une manière bandante et j’ai les yeux scotchés sur la partie inférieure de son corps splendide. En la voyant s’éloigner, je me dis qu’elle doit être super baisable…. et je ne croyais pas si bien dire !

Elle fait cinquante mètres et je la vois qui s’arrête pour je ne sais quelle raison. On arrive à sa hauteur et je lui demande si ça va. Elle me dit alors qu’elle s’est semble-t-il fait mal à une cheville. Je lui demande si ça ne la dérange pas que je regarde si c’est grave. Elle me dit que non et me voilà à ses pieds qui commence à palper sa cheville qui lui fait mal, puis l’autre pour voir une éventuelle différence pendant qu’elle discute avec ma femme. En un instant, je vois l’avantage que je peux tirer de la situation et en me relevant, je prends un air grave pour dire « Ça paraît sérieux, il vaudrait mieux que vous ne forciez pas en marchant, vous habitez loin ? ». Elle me répond : « Non, juste après le carrefour » qui est à deux cent mètres environ. Je lui propose alors de s’appuyer sur mon épaule pour qu’elle n’ait pas besoin de poser son pied trop lourdement sur le sol. Elle accepte et nous voilà tous trois en train de cheminer jusqu’au domicile de notre belle marcheuse qui se prénomme Karine.

Dans cette situation où elle s’appuie sur moi, on est très près l’un de l’autre. Je sens ses formes, sa chaleur, son odeur et… je commence à sentir une érection qui pointe dans mon slip. Quel affreux bonhomme je suis, me dis-je, oser profiter d’une pauvre éclopée !!! On avance lentement, très lentement…. trop lentement ? Finalement, je crois que oui et je crois que la belle Karine, n’est pas aussi innocente que cela et que sa lenteur est annonciatrice d’une plan cul. On finit par arriver à la porte de l’immeuble de Karine et là, l’heure ayant tourné, ma femme nous dit qu’elle va nous fausser compagnie pour passer à la supérette qui est sur le chemin et on convient que je rentrerai directement chez moi après avoir aidé Karine à monter les escaliers et lui avoir donné les premier soins, peut-être lui masser la cheville avec une pommade anti-inflammatoire.

La montée des escaliers se fait encore plus lentement que la marche dans la rue. Il semble que le départ de ma femme nous a libérés, Karine et moi pour nous rapprocher encore. Elle écrase ses seins contre mon bras sans retenue et mon coudes est calé dans son petit ventre rebondi. Je bande comme un salaud et ma bite est vraiment trop à l’étroit dans mon pantalon. Elle habite au troisième étage et quand on arrive à la porte de son appartement, je suis dans un état indescriptible, j’ai envie de sauter tout de suite sur elle et de soulager ma bite, j’ai trop envie de la baiser et elle qui fait sembler de ne s’être aperçue de rien.

On pénètre dans l’appartement, c’est petit mais coquet. Je l’accompagne vers le canapé et l’y installe, en lui allongeant les jambes. Elle me dit d’aller me servir dans le frigo pour me servir à boire. Je reviens deux minutes plus tard avec des verres dans une main et une bouteille d’eau fraîche dans l’autre. Et là, je manque de laisser tout tomber à la vue du spectacle qui s’offre à mes yeux. Le jogging noir est sur le tapis, jeté assez loin du canapé et une magnifique paire de cuisses, rebondies et laiteuses à souhait se présentent à moi. Voyant mon étonnement, elle me dit avec un sourire : « J’espère que je ne vous choque pas, j’ai pensé que ce sera plus pratique pour me masser la cheville ». En moi-même, je me dis : « Oui, ce sera mieux pour que le mate ta chatte, ma belle ! ». Et je m’installe sur un bout du canapé, à portée de ses pieds. Je commence à masser un peu la cheville qui lui fait mal et elle se met à écarter largement ses cuisses pour que je puisse accéder davantage à toute sa cheville. Et ce que je vois me fait avoir directement la queue au garde-à-vous : une large tâche de mouille affleure à l’entrecuisse sur son slip. Ce n’est pas un string mais un slip en coton bleu ciel qui change de couleur sous l’effet de son abondant liquide. L’odeur qui s’en dégage est bien celle de la femme en chaleur, c’est poivré, c’est odorant, c’est entêtant. De fait, je n’arrive pas à détacher mon regard de sa chatte ruisselante et que je devine complètement rasée dans la mesure où sa fente se voit clairement sous le tissus de son slip. Elle s’en rend compte et négligemment, elle passe une main sous l’élastique de son slip comme pour soulager un point de tension. Elle fait ce geste en me regardant fixement dans les yeux. Je lui demande alors si elle veut que je l’aide et un sourire aux lèvres, ses lèvres rouges et pulpeuses, elle me répond « Oui ».

Je ne me le fais pas répéter et j’abandonne sa cheville pour me caler près d’elle, ma main remplaçant la sienne dans sa culotte. Je ne suis pas long à trouver son clitoris que je commence à masturber délicatement en prenant un peu de la mouille que je trouve en abondance dans sa fente pour en enduire son clitoris. Karine semble apprécier car elle se met à haleter doucement puis de plus en pleus fort. Discrètement, sa main s’est déplacée et elle vient se plaquer sur la bosse que forme ma bite dans mon pantalon. Je l’aide un peu à l’extraire et elle apparaît, se dressant fièrement, décalottée, le gland rouge et brillant. On continue à se masturber mutuellement et je la sens jouir sous mes caresses autant que je suis moi-même en train de jouir. Je décide alors de remplacer ma main par ma bouche et le lui dis à l’oreille. Elle se déplace alors, se mettant plus au milieu du canapé pour que l’on puisse se mettre en 69. En un instant, j’abandonne sur le tapis mon pantalon et mon slip et me voilà sur elle, ma bitte dans sa bouche et la mienne sur sa fente.

Je commence par avaler une bonne quantité de sa cyprine, histoire de faire le ménage de tout ce qu’elle avait déjà « juté » comme liquide blanc et crémeux. Je me régale et ma langue se met à lui lécher la chatte de haut en bas, ma langue se dardant en elle comme une petite bite. Elle ne met pas longtemps à produire à nouveau son liquide blanc et crémeux que j’avale au fur et à me mesure qu’elle en fabrique. Je m’égare par moment vers son trou du cul qui est un vrai régal de beauté, de régularité, d’odeur et de couleur, juste brun par rapport à la blancheur de ses fesses.

L’envie de la niquer me monte aux couilles et je me dégage pour la baiser. Je ne lui demande même pas si elle en a envie tellement elle elle coule de son jus. C’est plus en fente, c’est un lac. Je la prends par les cuisses et j’amène sa fente en face de ma bite et je l’empale. Je fais coulisser son corps contre ma bite et elle adore. Elle crie son plaisir. On change ensuite de position et elle vient se mettre sur moi à califourchon me présentant son cul qui monte et qui descend sur ma bite. Je vois son trou du cul sous mes yeux et il me donne envie. Mon pouce s’égare sur sa rondelle et avec les mouvements qu’elle fait, sa rondelle ne tarde pas à avaler mon pouce. J’en profite pour commencer à faire des ronds à l’intérieur de son cul pour lui détendre son sphincter et pour pouvoir l’enculer.

On change encore de position et on se met en levrette. Je commence à la baiser dans sa chatte en la tenant par le hanches. Rapidement, elle assure elle-même le bon rythme en faisant des va et vient sur ma bite, ce qui me laisse les mains libres pour m’attaquer à nouveau à son trou du cul que je recommence à pénétrer et à écarter pour pouvoir l’enculer plus facilement. Et je le fais le plus simplement du monde en retirant ma bite et en la présentant sur sa rondelle. Je n’ai pas beaucoup à forcer pour faire rentrer mon gland. Le reste rentre facilement et je commence mas va et vient dans son cul. Karine n’a rien dit quand j’ai commencé à l’enculer. Maintenant, ce sont des cris de bonheur qui sortent de sa bouche. Je pense que tout l’immeuble l’entend crier son plaisir. Heureusement que nous sommes en matinée et qu’il ne doit pas y avoir trop de monde.

Je n’en peux plus de jouissance de mon côté et je sors ma bite pour lancer mes giclées de sperme sur ses deux magnifiques fesses pendant que je vois sa main s’agiter sur son clito et dans dans sa fente. Je m’écroule sur elle et je la serre longuement dans mes bras pour la remercier de la jouissance intense qu’elle m’a donnée.

Je n’ai pas vu le temps passer. Je me rhabille à la hâte. Je passe rapidement dans sa sa salle de bain pour me rincer la bouche qui sent très fort la mouille de Karine que j’ai avalée. Un dernier bisous sur le pas de l’appartement. « Et ta cheville ? », je lui demande. Elle me sourit et me répond : « Elle va super bien ». Je comprends tout alors !!!

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