Comme chaque soir, Sam, un étudiant de dix-huit ans, rentre de sa séance de musculation. Il n’a pas de grande distance à parcourir à pied, aussi préfère-t-il prendre sa douche dans l’appartement qu’il partage avec sa mère. Après l’effort, alors que l’eau chaude caresse son corps, les endorphines que sécrète son cerveau lui procurent une sensation d’intense bien-être. Il a beaucoup forcé au cours de cette séance, car il a hâte d’être en mesure d’exhiber une musculature parfaitement sculptée à la gent féminine, et en particulier une enseignante de sa classe de terminale dont les charmes lui semblent exquis – il préfère en effet les femmes mûres aux jeunes filles de son âge. Une fois sec, il enroule sa serviette autour de sa taille et se rend dans sa chambre.
Il a faim et se dit qu’il ira manger un morceau tout à l’heure. Mais pour l’heure, qu’importe la nourriture : il veut satisfaire un besoin bien plus pressant. Confortablement allongé sur son lit, sur le dos, entièrement nu, il démarre un moment de plaisir solitaire tout en visionnant sur l’écran de son téléphone portable les ébats très excitants de deux jolies lesbiennes qui échangent des blandices tant et si bien que cela leur procure d’ineffables orgasmes, ce qu’elles expriment par mains gémissements et feulements de joie. Bref, ces belles inconnues aux corps juvéniles et parfaits sont les talentueuses inspiratrices de l’onanisme du
garçon ; on aura compris que celui-ci est fort assidu à cette activité.
Pendant ce temps, Lucie, sa maman, l’espionne en regardant par le trou de la serrure. Elle fait souvent cela, car ce voyeurisme est pour elle une source particulièrement puissante de stimulation lubrique. Elle est une femme de quarante-cinq ans, robuste et encore fort mignonne, avec de grandes lunettes toutes rondes, de longs cheveux bruns rassemblés en chignon et de grands yeux marron toujours très expressifs. Elle est fortement troublée par ce qu’elle observe : son fils unique adoré possède un superbe corps d’éphèbe, avec des abdominaux saillants en tablette de chocolat surmontant un V du plus bel effet, au-dessus d’une verge longe et fine terminée par un gros gland tout violet. Par chance, les cuisses largement écartées lui permettent de bien voir les attributs virils réjouis par l’action frénétique et continue de la main droite.
Ce spectacle où s’étale la grâce masculine est un pur ravissement aux yeux de Lucie. Lentement, mais sûrement, elle sent le tissu fin de sa culotte s’humidifier de sécrétions intimes, tandis que son clitoris érigé hors de son fourreau lui chatouille les sens, et que ses lèvres du haut comme du bas frémissent de l’appel pressant à la sensualité. Elle se lèche les babines comme une petite fille devant un appétissant gâteau, puis elle glisse une main à l’intérieur de son pantalon afin de répondre à cette impulsion, et très vite des ondes de volupté traversent son bas-ventre. Courbée vers la minuscule ouverture de la porte, sa position n’est pas très confortable, et parfois un mal de dos punit son espionnage, mais elle est très excitée et n’a cure de la douleur future. Souvent, arrivée à ce stade, elle se dévêt un peu pour être plus à l’aise et se branle culotte aux talons et les fesses à l’air tout en tâchant de rester discrète, mais ce jour-là, quelque chose de différent va se produire…
– Entre, Maman, je t’ai vue, tu seras plus à l’aise.
Toute confuse, Lucie entre dans la chambre où règne une délicieuse odeur de stupre transpiré par le jeune homme. Après avoir rajusté sa tenue, à l’invitation de son fils, elle s’assied sur le bord du lit.
– Si ça te plaît de me regarder me palucher, tu peux. Ça te choque de me voir faire ça ?
– Oh, non ! Tu fais ce que tu veux de ton corps. Mais je ne veux pas abuser de toi. Tu aurais peut-être préféré que je te laisse tranquille ?
– Au contraire, ça m’excite beaucoup que tu me regardes.
Elle caresse doucement le ventre, puis sa main descend avec lenteur vers le sexe. Elle chatouille les bourses du bout des doigts, faisant rouler les testicules en prenant garde à ne pas exercer de pression trop forte.
– J’adore ce que tu me fais, Maman. Tu dois bien connaître les hommes. Dis, à part Papa qui malheureusement est parti l’année dernière, tu as eu beaucoup dans ta vie ?
– Depuis ma jeunesse, j’en ai eu beaucoup, en effet, des dizaines, voire centaines. Je n’ai pas compté, mais ils sont très nombreux. Quand j’étais étudiante, avec des garçons et d’autres filles, je participais à des partouzes qui duraient parfois des nuits entières, enchevêtrés dans toutes les positions imaginables. On me pénétrait par tous les orifices. C’était grandiose.
Aujourd’hui encore, il m’arrive… mais c’est une autre histoire. Et toi, avec tes beaux yeux et ton corps d’Apollon, tu n’as jamais connu de fille ?
– Non. Pourtant, il y en a quelques-unes qui voudraient bien coucher avec moi, mais je n’ai pas envie. Je préfère les femmes matures, comme certaines profs, par exemple… Oh ! C’est génial ce que tu me fais, Maman. Accélère le mouvement de tes doigts, s’il-te-plaît… Voilà ! Encore, encore !
– Tu es un petit gourmand, dit-elle les yeux pétillants de joie, ravie d’être enfin autorisée à branler son fils.
Il se cambre, étonné de sentir monter en lui, inexorablement, un plaisir bien plus intense que lorsqu’il se satisfait tout seul. Son phallus est devenu un roc humide de rosée sur lequel sa main dé****.
– Ah ! Je vais t’envoyer ma giclée, tu vas voir !
Le sperme jaillit avec beaucoup de pression, de sorte qu’il franchit les cinquante centimètres qui séparent le gland du visage de la mère soudain mouillé de l’odorant suc masculin. Elle n’y voit plus rien car ses lunettes sont maculées ; elle les essuie avec un mouchoir en papier, puis nettoie délicatement le pénis de son fils.
– Voilà, dit-elle : tu es tout propre, et soulagé, sans doute ?
– Oh, merci Maman chérie : grâce à toi, j’ai joui comme jamais !
Elle le prend tendrement dans ses bras.
– De rien, mon trésor. J’ai longtemps rêvé de te faire ça, et je le referai aussi souvent que tu le souhaites, tous les jours si tu en as envie. Si tu veux, on s’embrasse sur la bouche, comme de vrais amoureux. Tu ne l’as jamais fait, cela non plus ?
– Non, jamais.
– Tu vas voir, c’est tout doux.
Elle approche lentement ses lèvres afin de faire durer ce moment délicieux. Le contact enfin établi leur est comme une décharge électrique : ils s’écartent soudain, avant de plonger à nouveau, enlacés. Lucie sort sa langue pour la rouler sur celle de Sam, appuyant avec force et rapidité. L’odeur de la bouche, le goût étrange du baiser, tout cela est nouveau pour le garçon dont le cœur palpite à toute vitesse car, sans oser le dire, il désirait depuis longtemps le joli corps de sa mère.
Sans cesser l’étreinte buccale, sa main droite saisit fermement la verge qui aussitôt se raidit à nouveau, déjà prête à servir encore, car à dix-huit ans, la notion de période réfractaire n’existe pas, du moins, pas pour lui.
– Maman chérie ! Et si nous faisons l’amour, tous les deux ?
– Pas tout de suite, mon trésor. Ce n’est pas l’envie qui me manque, pourtant. Mais il y a autre chose que je voulais te proposer. Mais tu vas trouver mon idée un peu trop osée, peut-être ?
– Tout ce que tu veux ! Je te dis oui d’avance ! Explique !
– Tu n’as pas faim, après toutes ces émotions ? D’abord, la musculation, dit-elle en palpant admirativement le biceps superbement dessiné de son fils, puis la branlette assistée par Maman, petit coquin ! Ça doit creuser l’appétit, non ? Je t’ai préparé ton plat préféré : des lasagnes à la bolognaise. Tu sens l’odeur ? Remarque, ici, je sens surtout celle de ton foutre. Mais tu vas te régaler ! Allez, mon grand, à table maintenant ! Si tu n’as pas froid, tu peux rester tout nu : j’aime bien te voir comme ça, à poil, joliment musclé et tout bandant de désir pour moi. Et je t’expliquerai mon idée pendant le repas.
Sam dévore avec un très grand appétit le plat que lui a préparé sa mère avec amour. Pour l’occasion, elle ouvre même une bouteille de Bordeaux qui attendait dans la cave depuis plusieurs années.
– C’est quoi ton idée, Maman, demande-t-il la bouche pleine ?
– Eh bien voilà : tu sais que je dispose d’un réseau d’amies que je vois régulièrement. Ce sont toutes, comme moi, des femmes libérées, voire libertines, qui aiment aller loin dans le domaine de la sexualité, sans se sentir limitées par des barrières morales.
– Et vous faites quoi, ensemble ? Des partouzes entre femmes, des trucs de gougnottes ?
– Tu aimerais voir ça, grand coquin ! Non, nous ne sommes pas homosexuelles, désolée. Mais nous nous parlons de sexe, nous échangeons des jouets sexuels, et parfois même nous nous branlons ensemble. Ça te dit, de participer à l’une de nos réunions ?
– Oh oui ! Génial ! Cela aura lieu quand ?
– Dimanche prochain, l’après-midi. À ce sujet, j’ai quelque chose d’un peu délicat à te demander.
– Dis-moi !
– Il a été convenu que chacune devait, à un moment ou un autre, montrer au groupe un jeune homme nu. Il se trouve que je suis la seule à ne l’avoir jamais fait, car j’attendais que tu sois majeur. Maintenant que c’est fait, il faudrait que tu acceptes de te déshabiller devant elles qui resteront vêtues, au moins au départ. Elles auront le droit de te toucher comme elles le voudront, et tu devras répondre à toutes leurs questions et faire ce qu’elles te demanderont, y compris si c’est un peu… intime. Bref, tu devras laisser ta pudeur au vestiaire.
– Pas de problème, j’accepte tout ! Oh, continue avec tes pieds, Maman : c’est trop bon !
En effet, tandis qu’elle parle, Lucie caresse de ses pieds nus, sous la table, le sexe dressé de son fils assis en face de lui. Sam saisit les petons maternels pour accompagner le mouvement de va-et-vient sur sa colonne tendue, d’abord lentement, puis de plus en plus vite.
– Je sens que ça vient, dirait-on, dit-elle. Dis, tu veux bien éjaculer dans mon verre : j’ai envie d’une bonne rasade de sperme, ce soir. J’adore le goût de ce liquide, et le tien doit être excellent. Cela fait longtemps que j’en rêve.
Elle croise le regard de son fils tandis que celui-ci éprouve, pour la seconde fois de la journée, une jouissance particulièrement forte. Soigneusement, comme demandé, il recueille sa sève dans le verre qu’il tend à sa mère.
– À la tienne, dit-elle en trinquant alors que son fils boit du vin et que, peu habitué à consommer de l’alcool, sa tête commence à tourner. Tu vas voir : avec Karine, Rose et Anne, nous allons faire de toi un Don Juan qui saurant étreindre les femmes comme aucun homme.
– À la tienne, Maman chérie. Avec toi, je crois que je suis à bonne école.
– C’est l’école de la fornication. Et à nos amours i****tueuses ! Après tout, nous sommes adultes et libres de disposer de nos corps comme nous l’entendons. Au diable, donc, les parangons de la morale qui prétendent qu’on n’a pas droit de copuler entre mère et fils. Nous le ferons, je te le promets, si ça te chante ! Miam, un vrai nectar, ton foutre.
– Ouf, tu m’as vidé les couilles. Je t’aide à faire la vaisselle, et je vais me coucher.
– Déjà ? Tant pis, j’aurais bien regardé un porno tendrement lovée dans tes bras, tout en m’astiquant le berlingot. Je vais m’amuser toute seulette : c’est moins drôle. Mais ce sera en pensant à toi très fort, mon chéri adoré.
– Je préfère attendre dimanche avant de découvrir ton corps. D’ici là, je vais m’abstenir de me branler : comme ça, je serai tellement chaud bouillant que je vais toutes vous exciter jusqu’à vous rendre folles de désir.
Le jour tant attendu arrive enfin. Lucie et Sam se rendent en voiture jusqu’à la résidence de Rose, une maison cossue bordée par un vaste jardin arboré. L’hôtesse est une femme d’une quarantaine d’années, vivant seule en ce lieu depuis toujours. Comme elle dispose, de par sa famille, d’une fortune considérable, la décoration étonne toujours les invités découvrant les murs couverts de peintures qui sont des originaux et non pas des reproductions, représentant le plus souvent la nudité humaine sous toutes ses variantes, de l’élégante odalisque classique aux toiles contemporaines dont certaines ne craignent pas de choquer par le sujet assez peu chaste voire tout-à-fait cru, le tout exposé avec un soin particulier de respecter les couleurs et les lumières par un éclairage approprié, comme dans un musée. Le garçon et sa mère, arrivés les premiers, ont droit à une visite guidée par la propriétaire qui, fière de son inestimable collection d’œuvres picturales érotiques, n’est pas avare d’explications sur les courants artistiques et sur les auteurs qu’elle a connus… dans tous les sens du terme.
Sam remarque que la maison est entièrement équipée de caméras de vidéosurveillance qui filment, à raison de deux à quatre par pièce, chaque recoin.
La maîtresse de maison vit accompagnée de Tatiana, sa domestique qui est logée sur place. Bien que ce soit dimanche, elle est présente pour effectuer le service, comme toujours en tenue de soubrette. D’apparence discrète et âgée seulement de dix-neuf ans, elle maîtrise difficilement la langue française qu’elle parle avec un accent prononcé (mais charmant), étant russe fraîchement débarquée, et son charme discret en a déjà séduit plus d’un. Extrêmement attirée par les choses du sexe, elle se livre à l’occasion à d’affriolantes orgies en compagnie de sa patronne, et possède une grande expérience des activités charnelles, car il semble n’exister aucune pratique sexuelle qu’elle n’ait déjà essayée.
Rose et Sam, qui ne se connaissaient pas, font connaissance et sympathisent rapidement. La dame est tout de suite émerveillée par la beauté du regard sombre du garçon, et celui-ci est attiré par l’aura qui se dégage de cette femme élégante et raffinée, nullement hautaine malgré sa fortune, et visiblement aussi passionnée par la gaudriole que par l’art, en témoignent la collection de vibromasseurs, godemichés et autres accessoires coquins exposée derrière la vitrine du buffet, ainsi que les ouvrages de la bibliothèque qui possède un enfer et absolument rien d’autre.
Lorsque Karine et Anne arrivent à leur tour, le goûter peut commencer, car les parties fines, même les plus torrides et sauvages, ne sauraient débuter sans un minimum de présentations. Karine, une petite brune au regard clair et doux, est la plus jeune du groupe, puisqu’elle avoue trente-quatre ans. Elle a deux jeunes enfants et un mari ignorant tout de sa présence dans cette maison, car il la croit en train de militer dans une ligue pour la vertu tandis qu’il est entre les bras de sa maitresse. Elle admet que le sujet de la rencontre du jour provoque en elle une excitation qu’elle a bien du mal à contenir, à telle enseigne, dit-elle, que la mouille s’écoule déjà à travers sa petite culotte jusque sur ses cuisse, sous son ample pantalon blanc : on voit déjà apparaître une petite auréole.
Anne a le même âge que Lucie : elles se sont connues sur les bancs de l’université, et le cours auquel elles participaient avec le plus d’assiduité était l’orgie chez Éric, le bon copain jamais en manque de plans baise à plusieurs pour lesquels les deux amies étaient toujours partantes. Elle est grande – plus d’un mètre quatre-vingt –, blonde, et possède très visiblement des seins à convertir un saint aux joies renouvelées de la branlette espagnole, qui ne diffère de la cravate de notaire que par le sens dans lequel le geste est pratiqué, avec un art consommé, par la belle dame élancée aux jambes interminables.
Les petits gâteaux sont délicieux et le thé parfumé à souhait, mais il est temps d’en venir au but de la rencontre.
– Sam, tu veux bien de déshabiller, lui demande Lucie ? Nous te regardons toutes.
Tous les regards sont braqués sur lui, et l’instant est torride au point que les conversations s’éteignent aussitôt. Le garçon, un peu intimidé par tant d’attention à son égard, doit être encouragé par le sourire amical de Rose avant de se lever de sa chaise et d’ôter chaussures, chemise, pantalon et chaussettes. Cependant, surpris par une pudeur qu’il n’avait pas prévue, il reste bloqué sur le caleçon.
– Viens me voir, dit Rose, assise sur le canapé. Tu as confiance en moi, n’est-ce-pas ?
– Oui, Madame, dit Sam intimidé.
– Alors approche-toi et montre-nous les belles choses que tu caches à tout le monde, là, derrière ce vilain tissu.
Il fait trois pas et se présente, debout devant la femme aux yeux brillants de lubricité, qui a décidé de prendre son temps pour faire durer d’extraordinaire plaisir d’accéder à la nudité complète d’un garçon pudique. Elle parcourt de sa main la pièce de coton noir moulant le sexe qu’elle perçoit brûlant de désir, devinant ses dimensions généreuses, humant ses fragrances de fauve. Les autres se rapprochent afin de bénéficier aussi du bouillonnement lubrique. Lucie également ! Elle croise le regard de son fils qui lui sourit ; il est content d’être ici et décidé à se laisser porter jusqu’au bout, jetant sans hésiter toutes ses réticences aux orties.
Lentement, très lentement, Rose saisit l’ultime vêtement par l’élastique et l’abaisse jusqu’aux chevilles, libérant un membre déjà solidement au garde-à-vous, le gland près du nombril, et suant une abondante rosée du désir qui embaume aussitôt le salon d’un puissant et délicieux fumet vénérien.
La taille du membre surprend quatre des cinq femmes présentes sur place – seule Lucie savait déjà à quel point son fils est bien équipé. Tatiana, pourtant déjà au fait de la diversité des attributs masculins, en est surprise au point de lâcher le plateau sur lequel se trouvait la théière en porcelaine qui se fracasse sur le plancher. Mais personne ne se retourne pour constater les dégâts, car le spectacle de la verge au gland arrondi et levé est si splendide qu’on ne peut en détacher ses yeux. Rose approche son nez du braquemard afin d’en humer longuement tous les parfums virils.
– Est-ce que tu as déjà fait l’amour ? Avec une fille, ou peut-être un autre garçon ?
– Non, Madame. Avec personne.
– Un jeune puceau… Lucie, tu nous gâtes ! Sam, si tu le veux bien, nous allons t’initier au corps des femmes afin de faire de toi un amant merveilleux. Tu es d’accord ?
– Oh, oui, Madame.
– Tu dois te masturber souvent. Combien de fois le fais-tu par jour ?
– Ça dépend. Dix fois, quelquefois.
– Dix fois ! Tu as un appétit gargantuesque. Et avec ça, tu n’as jamais fait l’amour ! Mais nous allons y remédier.
Tour à tour, Rose, Karine et Anne parcourent de leur doigt le phallus qu’elles trouvent splendide, et palpent à travers la peau épaisse du scrotum les testicules rebondis, tous deux de même taille, bien symétriques, ce que les dames apprécient en fines connaisseuses de l’anatomie masculine. Lucie et Tatiana se contentent de regarder, mais n’en perdent pas une miette, ce qui fait cinq culottes qui commencent à humidifier, odorantes comme des poissons fraîchement pêchés.
– Dis donc, mon grand, on dirait que tu aimes bien quand on te tripote la bite, et les couilles aussi, demande Rose ?
– Oh, oui, j’adore ça. Mais si vous continuez, vous allez me faire juter, et j’aurai moins de force pour vous satisfaire, après.
– Ne t’inquiète donc pas : dans une partie fine, les jeunes mâles trouvent toujours en eux des forces qu’on ne devinait pas. Et je crois que tu en es un bien vaillant… Nous allons te mener jusqu’au bout de ton désir. Voyons un peu la taille de ce sexe magnifique, dit-elle en se saisissant d’un mètre de couturière rangé dans un tiroir… Vingt-quatre centimètres ! Quel bel étalon tu fais ! Bravo, Lucie : tu as fait un beau jeune homme dont les attributs me semblent exceptionnels.
– Quand il se branle, c’est un spectacle splendide, confirme sa maman très fière des charmes de son rejeton. L’autre jour, il a accepté de le faire devant moi. Je crois que tous les deux allons devenir des amants passionnés par le sexe.
Elle recueille un peu de rosée du désir qui s’écoule du gland au bout de ses doigts qu’elle porte ensuite à sa bouche pour en apprécier le goût tiède et salé. Karine et Anne l’imitent.
– Son jus est plus salé que celui de Bob, celui que nous avons reçu le mois dernier, affirme Karine. Vous ne trouvez pas ?
– Sans doute, approuve Anne. En tout cas, il en coule une bonne quantité. Il doit être très excité. N’est-ce pas, Sam ?
Le garçon approuve timidement de la tête, gêné que l’on compare ses facultés sexuelles. Rose se lève soudain et s’absente un instant, puis revient avec un lourd appareil photo numérique reflex muni d’un flash cobra – bref, un appareil de professionnel.
– Tu veux bien que je te prenne en photo, mon joli ?
– Faites ce que vous voulez.
– Lève-toi, et tourne-toi vers moi, ne pose pas, reste naturel. Non, ne souris pas, ça fait vulgaire et artificiel. Tu es si beau que tu n’as pas besoin de sourire. Fais comme si nous n’étions pas là, comme si tu étais seul ici.
Bien que son reflex ne soit pas un avion, elle mitraille en mode rafale, alternant plans en pied et gros plan sur les parties génitales réjouies.
– Maintenant, branle-toi. Fais comme d’habitude, montre-nous. Ce que tu nous dévoiles là est très joli, et surtout très excitant.
Cela dit, il ne faudrait pas que ton foutre vienne tâcher le tapis sur lequel tu te trouves. Ce serait dommage, un tapis en pure laine qui vient d’Iran. Tatiana, vous voulez bien remédier à ce problème ?
– Tout de suite, Madame.
Relevant sa longue jupe de soubrette, elle se positionne à genoux juste devant Sam, la tête levée vers le plafond et la bouche largement ouverte, prête à recueillir le sperme lorsque celui-ci jaillira. Mais Lucie s’approche aussi et, prenant une posture identique, lui dit :
– Non, laissez, je vais m’en occuper.
– Mais enfin, Madame, proteste la soubrette, c’est à moi de veiller à la propreté de cette maison, et d’ailleurs, c’est aussi à moi que Madame rose a ordonné de boire la semence de ce jeune homme, pas à vous !
Une lueur de colère s’allume dans son regard. Les deux femmes sont prêtes en en venir aux mains.
– Vous n’allez pas vous battre, quand même, intervient la maîtresse de maison ! Vous n’avez qu’à tirer à pile ou face. Pile, c’est toi, Lucie, face, c’est Tatiana.
Anne lance une pièce de monnaie, et Lucie est gagnante du tirage au sort.
– Salope, siffle Tatiana. Il n’y en a que pour les bourgeoises, ici.
Elle reçoit aussitôt une gifle magistrale de la part de Lucie qui n’est pas disposée à se laisser insulter impunément. La domestique se jette alors comme une tigresse, toutes griffes dehors, sur son adversaire dans le but de l’immobiliser. Le combat reste un temps indécis sous le regard dépité du garçon : dans la lutte qui se déroule au sol dans des cris aigus de rage et d’effort, la maman a l’avantage de la force physique et du poids, tandis que son adversaire est plus jeune et plus nerveuse. En même temps qu’on se traite de tous les noms d’oiseaux, on se mord, on se griffe, on se frappe à coups de poings et de pieds, mais surtout, on s’arrache avec fureur les vêtements qui finissent en lambeaux, de sorte que les deux combattantes se retrouvent rapidement nues parmi les morceaux de tissus et de dentelles éparpillés. Aucune des deux n’est prête à abandonner le précieux liquide à la gourmandise de l’autre. Lucie, plus robuste, finit par avoir le dessus, assise sur le corps immobilisé de Tatiana réduite à l’impuissance, puis libérée et penaude d’avoir été vaincue par plus forte qu’elle.
Les deux belligérantes sont essoufflées et transpirent abondamment, surtout Lucie. Un filet de sueur s’écoule entre les seins, puis sur le ventre, poursuivant sa route jusque dans le maquis des poils pubiens. Sam est ébahi de voir sa maman dans un tel accès de rage et de furie. Décontenancé, il débande progressivement. Mais Rose, pendant ce temps, a photographié la bagarre dont elle n’a perdu aucune péripétie. Ce spectacle a beaucoup excité Anne et Karine qui n’en ont pas perdu pas une miette et se sont branlées frénétiquement, les doigts plongés dans la chatte, tout en encourageant les ennemies à poursuivre le combat et redoubler d’effort. Maintenant, elles regrettent que ce soit déjà terminé, mais n’en continuent pas moins à furieusement se manuéliser.
– Si vous voulez, propose le garçon afin d’élaborer un plan de paix, car il n’aime pas la v******e, je peux répartir mon foutre entre vous deux, car il devrait y en avoir beaucoup.
– Bon, d’accord, finissent-t-elles par concéder ensemble. On partage équitablement.
Elles se positionnent, comme précédemment Tatiana, à genoux devant Sam qui reprend sa masturbation à partir d’un pénis qui a retrouvé sa taille au repos, mais reprend rapidement de la taille devant tant de gourmandise féminine. Les bouches sont ouvertes en grand et ne demandent qu’à sucer, mais c’est avec sa main que le garçon s’excite avec vigueur, avant d’envoyer sa purée, une giclette pour Maman, une pour Tatiana, une autre pour Maman… C’est comme avec les cuillerées de soupe quand il était petit, pense-t-il avec nostalgie, mais là, c’est lui effectue la distribution du nectar dont les dames sont friandes. Il n’y a pas d’injustice et les deux femmes se régalent à raison de quantités identiques de foutre gluant et chaud, avec l’avantage de l’abondance grâce à quelques jours d’abstinence qui ont été durs à tenir pour le garçon, mais profitable à présent.
Le garçon s’assied dans un fauteuil, tout pantelant, la bite encore à moitié bandante et dégoulinante d’un restant de sperme. Rose lui offre un thé bien sucré pour qu’il retrouve des forces au plus vite, car l’après-midi est encore loin d’être finie.
Tandis que la soubrette va dans sa chambre pour se rhabiller d’une autre tenue, la maman reste nue et son fils la découvre ainsi pour la première fois. Elle s’approche du garçon et reste debout devant lui, les jambes largement écartées, afin que sa vulve se trouve exposée juste devant les yeux de celui qui n’en a encore jamais vu en vrai. Il découvre ainsi l’odeur souveraine de la fleur féminine, ce que la pornographie, sa seule référence jusque-là, ne peut pas traduire, mais qui est pourtant un élément essentiel du désir. Lucie prend tendrement la main de son fils et la guide vers l’endroit qui lui a donné naissance, afin qu’il accède aussi à cette délicate orchidée rose par le sens du toucher, détaillant nymphes et grandes lèvres, mont-de-Vénus et entrée du vagin, glissant l’index à l’intérieur du trou noir et mystérieux des origines de la vie.
La maman s’approche encore, et son fils lui prodigue l’hommage que l’on nomme cunnilinctus. Il sait parfaitement comment procéder pour l’avoir étudié des heures et des heures en vidéo où des gros plans pédagogiques lui ont enseigné en détail ce qu’il faut faire pour donner du plaisir à une femme : la langue balaye le clitoris tandis que deux doigts sont plongés dans l’orifice vaginal pour en stimuler la face avant, dans le but avoué de déclencher un orgasme du point G.
Lucie a connu dans sa vie de nombreux amants, mais peu se sont occupés d’elle avec autant d’enthousiasme et de patience que son enfant chéri. Elle est en effet assez lente au décollage et à la prise d’altitude, cependant capable, avec un peu de persévérance, de grimper haut et de culminer à des sommets assez vertigineux, et ce d’une manière bruyante et joyeusement communicative. En jouissant, elle se cambre et lève ses deux bras au ciel, révélant ainsi les grâces de ses deux collines durcies par la volupté, aux aréoles rendues plus brunes et aux tétons plus saillants, sous les yeux ravis des autres femmes, tandis que Sam n’abandonne pas son lèchement dans l’espoir de faire hennir et ruer les chevaux orgasmiques une seconde fois. Avec son appareil photo, Rose parvient à saisir en gros plan le visage ensoleillé de divin plaisir. Lucie est une femme fontaine et arrose son fils, au moment passionnant de l’acmé, du liquide abondant dispensé par les glandes de Skene, en plusieurs giclettes successives dont plusieurs arrivent directement dans la bouche du garçon qui s’en délecte en regrettant seulement de ne pas en avoir plus. Avec émerveillement, Sam a découvert l’éjaculation féminine : avec Internet, il connaissait déjà cela, mais le vivre en vrai est une toute autre expérience.
– Je t’aime, Maman, dit-il. Je ne veux pas d’autre femme que toi.
– Mais, mon chéri, il y en a bien d’autres que tu connaîtras et qui t’apporteront beaucoup de bonheur. En attendant, quand nous serons rentrés à la maison, je te laisserai boire tout le jus de ma chatte que tu voudras, aussi souvent que tu le voudrais.
Grâce à l’orgasme de sa mère, la verge de Sam a durci à nouveau, un peu moins fermement qu’au début, mais suffisamment pour la pénétration. Lucie en profite pour s’asseoir et s’empaler dessus, engloutissant le long membre d’un seul coup. En remuant son bassin, elle provoque des élancements voluptueux dans la bite prisonnière du vagin maternel, en même temps qu’elle relance son propre plaisir. En contractant les muscles de son périnée, elle sait aspirer vers haut la colonne de chair, causant au garçon d’irrésistibles sensations.
– Essaie de te retenir, demande-t-elle, au moins une minute ou deux. Il me faut un peu de temps pour venir.
Mais Sam est très excité et sent qu’il ne pourra pas empêcher longtemps sa semence de jaillir. Lucie s’en aperçoit et se dégage rapidement.
– Encule-moi plutôt, propose-t-elle. Je ne prends pas de contraception et il ne faudrait pas que tu me fasses un enfant.
Docile, le garçon présente son gland à l’entrée de l’orifice anal. Mais le trou est serré et surtout, il n’est pas lubrifié.
– Pousse un bon coup, demande-t-elle, tant pis si j’ai mal.
– Attends, tu ne veux pas que je te fasse feuille de rose ? Comme ça, j’entrerai plus facilement.
– Si tu veux.
Elle se relève et tend sa croupe, jambes écartées, globes fessiers disjoints à l’aide des mains ; par contre le garçon reste assis, les fesses sur le bord du fauteuil, et se penche en avant afin d’accéder au petit trou du cul offert par sa maman. Il aime beaucoup l’odeur de sous-bois qui s’en dégage, quitte à nettoyer de sa langue, parmi les délicats pétales de la fleur impudique, les petites croûtes brunes mal essuyées d’un précédent passage aux toilettes. Même l’émission d’un pet bien odorant ne le dérange pas, bien au contraire. Lucie en est d’abord toute confuse, mais bien vite encouragée par son partenaire qui apprécie les fragrances digestives, elle ne tarde pas à en lâcher quelques autres tandis que le bout de la langue parcourt en tous sens la porte de l’anus, n’hésitant pas longtemps à entrer sur quelques centimètres à l’intérieur du conduit rectal. Comme la zone est sensible, cela provoque quelques gémissements de volupté, de sorte que l’on fait durer l’action un peu plus que nécessaire.
Pendant ce temps, Karine et Anne, inspirée par la scène puissamment érotique qui se déroule sous leurs yeux, s’adonnent aux délices de la masturbation à l’aide d’un vibromasseur pour l’une et un godemiché pour l’autre, ces deux objets étant empruntés d’une vitrine de leur hôtesse. Elles se sont dénudées et leurs vêtements, retirés dans hâte et jetés au hasard, traînent un peu partout. Elles ont pleinement conscience de l’obscénité du moment, dans la mesure où l’acte sexuel est i****tueux, puisque la mère vient de dépuceler son fils et que les deux amants ne comptent pas en rester là. Bien sûr, elles en sont terriblement excitées, leur petit clitoris en est tout énervé, et déjà le beau tapis persan est imbibé de la cyprine qui dégouline sur leurs jambes.
Rose, elle, photographie sans répit. Elle compte publier ces photos sur Internet, accompagnées des vidéos que capturent ses caméras branchées à demeure, en insistant sur le fait qu’il s’agit d’un véritable i****te et non d’un grotesque jeu d’acteurs, ce qui ne manquera pas d’attirer le chaland afin de financer ses œuvres philanthropiques consistant à lutter contre la faim dans le monde. L’étrange alliance du vice avec la bonté permettra ainsi de faire fleurir le monde d’espérances nouvelles.
Estimant que la lubrification salivaire est à présent largement suffisante, Lucie invite son fils à s’asseoir à nouveau afin qu’elle soit enfin honorée à la manière de Sodome. Elle est transpercée d’un coup, ce qui lui arrache un petit cri de douleur. Ce n’est pas la première fois qu’elle est enculée, mais Sam possédant un braquemart nettement plus épais que la moyenne, son anneau rectal est écartelé d’une manière plutôt cuisante. Elle apprécie cette douleur qu’elle supporte avec joie en sachant que son partenaire éprouve beaucoup du plaisir à cause, justement, de l’étroitesse du trou. Mais elle sait que si son fils s’en apercevait, il débanderait aussitôt, car il ne supporterait pas de faire ainsi souffrir sa mère, alors elle fait semblant d’avoir du plaisir. Elle parvient même à simuler un orgasme.
Karine, par contre, se rend compte du problème et vient à son secours : elle suce derechef le clitoris délaissé et plante un vibromasseur recourbé dans le vagin ouvert. Cela fait bientôt de l’effet et la douleur se change en volupté. Il était temps : Sam envoie sa généreuse purée dans le cul défoncé, puis retire sa bite dégoulinante dans un bruit de bouteille que l’on débouche. Sa maman se lève alors que de ses deux orifices du bassin coulent encore la sève de son fils, qui se lève aussi afin d’aller pisser les tasses de thé qu’il a bues.
Ce juste à ce moment que revient Tatiana, de nouveau habillée de propre. Elle croise Sam et lui demande où il va.
– Aux toilettes, dit-il naturellement.
– Fais-le dans ma bouche ! Cette fois, tu ne m’échapperas pas, et je veux tout pour moi !
– Comme tu veux, dit-il en saisissant la lancette appropriée avant d’ouvrir les vannes entre les lèvres offertes de la fille à genoux.
La soubrette a eu les yeux plus gros que le ventre : la douche dorée est trop abondante pour être avalée intégralement, de sorte que l’urine coule aussi sur les vêtements jusque sur le tapis persan, qui de toute façon était déjà fichu. Comme cette lubie féminine excite le garçon, il bande à nouveau, de sorte que la tige repart en érection et que la miction se transforme en vigoureuse fellation, avec la perspective que le foutre s’écoule intégralement au fond de la gorge profonde de la trop gourmande Tatiana. Mais c’est le moment que choisit Anne pour réclamer sa part, ce qui déclenche aussitôt des protestations puis une nouvelle bagarre dont la domestique sort encore une fois vaincue, avec tous ses habits déchirés ! Dépitée, elle est obligée de se retirer à nouveau en se promettant de s’inscrire à un cours de sports de combat et c’est la grande blonde aux gros seins qui a joie de finir le bucco-génital dont le produit s’écoule entre les généreuses mamelles. Rose vient prendre Sam par la main.
– Viens, c’est notre tour, tu vas toutes nous enfiler à la chaîne.
– Je suis un peu fatigué, proteste le garçon.
– Tut, tut, ne te défile pas, l’orgie n’est pas encore finie : tu as des dames à satisfaire. Tu vas voir, je vais te requinquer.
Il est invité à s’allonger sur la table, sur le ventre, les jambes écartées. Rose lubrifie ses doigts et plonge sans hésiter index et majeur réunis dans le cul bien fermé du garçon qui ne s’attendait pas à cela. Ne connaissant pas cette pratique, il trouve bizarre de se faire enculer par une femme, croyant que les seuls hommes à ouvrir leur anus au cours de parties de sexe étaient les pédérastes. Pas du tout, découvre-t-il alors que les doigts atteignent sa prostate afin de lui prodiguer un massage destiné à lui redonner de la vigueur. C’est un plaisir inconnu qu’il apprend à cette occasion, assez proche paraît-il de celui que ressentent les femmes quand elles sont pénétrées.
Une fois libéré, il dévore un gâteau et boit une tasse de thé : le voici vaillant de nouveau, prêt à honorer les femmes de sa virilité retrouvée. Hourra !
Elles se présentent à lui sous forme de quatre chattes bien poilues alignées sur le bord de la grande table, allongées sur le dos, les cuisses relevées, écartées, prêtes à un nouveau tour de rut. Il me faut les baiser toutes et surtout ne pas les décevoir, se dit Sam in petto, car il en va de mon honneur et de ma réputation de jeune mâle. Sabre au clair, hardi mais méthodique, il attaque aussitôt le conin le plus à gauche : celui de Karine. Point besoin de préparation, celle-ci s’étant déjà branlée encore et encore, et entre les lèvres sont déjà luisantes de mouille, il enfonce son vit avec assurance dans l’orifice vaginal. La dame est étroite et son orgasme à la fois rapide et communicatif, c’est pourquoi le garçon conclut l’affaire avec célérité. Et d’une, se dit-il.
La cavité sexuelle d’Anne est plus vaste et confortable, mais non moins accueillante. Sam la pilonne avec joie et, s’il ne lui reste plus que quelques gouttes de sperme, cela n’en constitue pas moins un cadeau apprécié de celle qui le reçoit. Rose, qui a été la dernière à se mettre à poil, arbore une ficelle dépassant de la gaine vulvaire : elle est gênée par ses menstrues dont elle craint qu’elles ne dégoûtent son partenaire, et préfère être attaquée par le troufignon arrière.
Enfin vient le tour de Lucie, qui craint la pénurie de munitions après cette fornication forcenée. Mais elle est détrompée quand son fils la bourre avec ardeur, un coup dans la cramouille et un coup dans le fion, un coup dans l’abricot et un coup dans l’œillet, alternativement, pour qu’il n’y ait pas de jaloux, et tant pis pour l’hygiène. Cela produit une musique comme « plic », « ploc », «tchic », « tchoc », selon le trou et la direction entrante ou sortante de la tige, au rythme régulier d’une chanson salace de salle de garde qui soudain revient en mémoire de la maman. Un orgasme sec vient récompenser la bravoure du garçon, car la prostate en panne sèche se met en grève pour cause de surmenage, ce qui aucunement ne nuit à l’intensité du plaisir ressenti.
Chaudement remercié par les dames pour son implication zélée dans la réussite de cet après-midi, Sam est sur le point de se rhabiller enfin quand débarque à nouveau Tatiana, vêtue tout de cuir et munie sur son bassin d’un godemiché-ceinture, très en colère, et disposée semble-t-il à violer celui dont elle estime avoir été injustement frustrée des charmes. Son projet s’avère vain : l’assaillante est maîtrisée avant que d’avoir pu nuire.
– Laissez-la faire, dit-il. Je veux bien… si ça peut lui faire plaisir…
Les deux curieux partenaires restent debout. Tandis que la soubrette russe assaille vicieusement par-derrière et défonce à grands coups de reins le trou de balle avec un vit de plastique non lubrifié et de fort diamètre, Sam, penché en avant, se réfugie entre les bras de sa mère, la tête plongée entre les seins qu’il suçote pour se donner du courage. Lucie regarde Tatiana d’un air sévère et lui tire les oreilles pour l’obliger à pilonner plus gentiment son fils, qui n’en est pas moins excité par ce qu’il subit, à telle enseigne que son membre viril reprend de la vigueur en vue de reprendre du service.
Il dégage brusquement son cul de la pénétration féminine et se retourne afin d’arracher sans aucune précaution les vêtements de cuir de Tatiana qui se retrouve dans le simple appareil. Elle est plutôt mignonne, et même ravissante, s’avise Sam tout ragaillardi et prêt à un nouvel effort. Sans crier gare, il la pénètre et la baise comme un sauvage tout en lui pelotant les seins, dans la position de l’enclume, c’est à dire par devant et les cuisses repliées le long du tronc de la femme, les chevilles posées sur les épaules de l’homme. De cette manière, comme il est bien équipé, son gland bute à chaque passage sur le fond du vagin qui est une zone que sa partenaire a très sensible, de sorte que cela déclenche un tsunami orgasmique fortement mouillé, inondant un peu plus le pauvre tapis persan, le tout ponctué de hurlements à déchirer les tympans mêlés d’exclamations en langue russe auxquels personne ne comprend rien, sinon que ce sont probablement des gros mots.
Pour aider son fils, la maman glisse deux doigts abondamment lubrifiés de salive dans la rondelle afin d’aller chercher les dernières ressources cachées que possèdent la prostate, en appuyant fortement sur cet organe, pendant que l’autre main se fraye un passage entres les cuisses pour chatouiller les bourses d’un mouvement rapide et léger des phalanges. Miraculeusement, cela fonctionne, et l’éjaculation est si copieuse que le con en déborde de foutre qui gicle par les côtés jusque sur le tapis.
Tatiana, qui ne prend aucune contraception, en concevra un fils qu’elle appellera Boris, qui deviendra cuisinier et qui, neuf mois et dix-huit ans plus tard, aura des relations i****tueuses et passionnées avec sa mère, mais ceci est une autre histoire que je vous raconterai, si vous êtes sages, un autre jour, bande de petits chenapans. En attendant, branlez-vous bien.
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