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Le dressage de ma mère 3

Le dressage de ma mère 3



Je regardais ma mère presser ses deux gros seins sur ma queue. Elle me regardait et attendait que je lui donne les consignes auxquelles elle serait désormais soumise.

Lui mettant les cheveux derrière les oreilles pour bien profiter du spectacle je lui dis:

– Tu vois, cochonne, tu as tenté de te rebeller et tout ce que tu as gagné c’est de te faire enculer. D’ailleurs, tu t’es fait dépuceler le cul sans broncher. C’est très bien. Tu as aimé ça ?

– Dois-je dire la vérité, monsieur ?
– Oui, salope, et continue à branler.
– Eh bien, monsieur, ça m’a fait un peu mal, du moins au début. Heureusement que vous m’aviez bien préparée. Mais j’ai tellement honte que je ne sais pas.
– Je vois bien que ça te fait mouiller, grosse pute. Et plus je te dresse, plus tu mouilles.
– Oui monsieur, mais j’ai vraiment honte. Heureusement que personne ne sait.
– ça, on verra si tu es sage et bien obéissante, mais attends-toi à ce que j’aille te promener une peu.
– Nooon, s’il vous plaît, s’il vous plaît… Je vous en supplie, ne le dites à personne, c’est déjà assez de me retrouver dans ce statut d’esclave à mon propre fils, je vous en supplie, n’en rajoutez pas. Vous m’avez déjà sodom.. enculée, vous m’avez obligé à vous lécher l’anus, que vous faut-il de plus ?

Je souris en la regardant m’implorer. Elle avait accéléré le rythme de ses mamelles sur ma bite. Ne voulant pas jouir tout de suite je lui dis :

– Arrête, cochonne. Maintenant tu vas juste lécher sous le gland en attrapant bien mes couilles et en les soupesant !

Voulant se faire bien voir, ayant encore peur que sa situation s’ébruite, elle pris ma bite et la fit claquer sur sa langue pendant qu’elle faisait rouler mes couilles dans sa main et ajouta :

– Bien monsieur, je vais bien faire ma grosse pute qui lèche. Je suis votre esclave de queue, disposée à vous obéir en toute circonstance.
– Oui, c’est exactement ça, tu es mon esclave de queue. Allez lèche bien les couilles.
– Oui, merci monsieur. Désirez-vous que je vous prenne en bouche ?
– Pas tout de suite. D’ailleurs aujourd’hui, c’est ta chatte que je vais défoncer.
– Bien maître, désirez-vous que je vous présente mon gros cul ?

Elle venait spontanément de m’appeler « maître », le dressage portait ses fruits.

– Non, gros cul, quand je te le dirai. Va chercher mon appareil photo, je vais te faire un album souvenir.

Elle me regarda avec surprise et dit :

– Vous voulez vraiment m’humilier ? ça ne vous suffit pas de m’avoir transformée en esclave ? Il vous faut encore me rabaisser ?
– Oui, salope, tu ne mérites que ça. Je te rappelle que tu m’as giflé pas plus tard qu’hier quand je t’ai montré tes ébats de pute avec ton amant. Allez, debout, et va chercher ma caméra.

Elle se leva et revint avec mon appareil.

– Bien, pour l’instant tu vas te remettre à lécher. Allez, à quatre pattes, et lèche bien de haut en bas. regarde moi pendant que tu passes ta langue.

clic clac clic clac… Je prenais des photos de ma mère, ma bite sur le nez, la langue sortie sur ma queue.

– Vas-y, regarde bien l’appareil pendant que tu fais la pute. et maintenant, tout en me regardant du vas la prendre en bouche. Exécution !

Elle obéit immédiatement et, tout en regardant l’objectif, elle suçait consciencieusement, attendant les ordres avec un regard soumis.

– Bon, ce n’est pas fini, maintenant, tu vas apprendre quelques règles auxquelles un gros cul comme toi doit se soumettre. Quand je te dirais « ramasse », si tu es déjà à qattre pattes, tu iras chercher comme une chienne et tu rapporteras avec la bouche, sinon, si tu es déjà debout, tu te tourneras, te pencheras en avant pour bien montrer ton cul et tu rapporteras. c’est compris ?
-hmmmmoui Hmmmonsieur.

Je la pris par les cheveux et la giflait

– Tu ne parles pas la bouche pleine ! Quand tu veux dire oui, tu lèves le pouce. Compris gros cul ?
– Oui monsieur.

Je lui plaquais ma queue au fond de la gorge et réitérait

– Compris, gros cul ?

Elle leva le pouce en me regardant et en clignant des yeux, obéissant ainsi parfaitement bien à la consigne.

Je pris mon paquet de cigarette et le jetait par terre. Puis je lui dis : « Ramasse ! »

Elle se tourna et avança à quatre pattes et revint face à moi, le paquet dans la bouche qu’elle laissa tomber dans ma main.

– Bieeen, très bien, je vois que tu apprends rapidement, bonne chienne, allez, debout !

Elle s’exécuta, face à moi. je glissais ma main sur sa chatte rasée et lui ordonnai d’écarter les jambes. En passant ma main, je sentais son excitation qu’elle ne pouvait dissimuler. J’entrepris de faire rouler son clitoris entre mes doigts et d’introduire un puis deux doigts dans sa chatte.
Elle se tortillai de plaisir, tentant vainement de le dissimuler.

– Tu aimes ça, hein, ma cochonne ? allez, frotte bien ta chatte sur ma main.
– Ouiiii, merci monsieur. Continuez, je sens que je vais jouir.

claaaack !

Une grande claque sur ses fesses la fit revenir à la réalité.

– Tu jouiras quand j’aurai décidé et il faudra le mériter.
– Oui monsieur, que puis-je faire pour y avoir droit ?
– On va d’abord continuer ton entraînement.
– Bien monsieur.
– Bon, quand je t’appellerai, je te dirai « au pied » et tu viendras immédiatement face à moi, les yeux baissés.
– Oui monsieur.
– Quand je te dirai « Montre ! » tu te tourneras et te pencheras en avant en écartant ton gros cul de salope.
– Bien monsieur
– Et quand je te dirai « en position », tu te mettras à quatre pattes, le cul bien cambré et la tête relevée. Prête à te prendre un coup de queue ou à sucer.
– Oui monsieur
– Voilà, pour l’instant ce que tu dois apprendre et exécuter au doigt et à l’oeil.
– J’ai compris monsieur, je suis votre gros cul et à disposition.

– Allez gros cul, maintenant c’est figure libre. Tu vas bien me montrer que tu es une bonne pute et si tu fais bien ta salope, tu auras peut-être le droit de jouir si tu le demandes gentiment.

– bien monsieur, j’ai champ libre ?
– Evidemment, cochonne, je veux voir si le dressage te réussit. Mais tu devras parler, j’aime quand les putes dans ton genre s’expriment.
– Bien monsieur, je vais me mettre sur vous et me faire baiser la chatte en vous montrant mon gros cul.

Joignant le geste à la parole, elle se tourna, se mit à califourchon sur moi, de dos, et empoigna mon chibre.

– Voilà, mettez-moi bien votre queue, et se penchant en avant elle poursuivit. Je vais bien écarter mon gros cul que vous puissiez bien voir. Aaaah, je m’assois bien sur votre queue ? Est-ce que je cambre assez ?

Je remarquai qu’elle était excitée, son corps convulsait un peu et le souffle était court et haletant. Elle poussait de petits cris étouffés.

– Continue comme ça, salope, c’est très bien, dis-je en la fessant. Allez, plus vite et plus profond, empale-toi bien.
– Aaaaahh monsieur, je vous en prie, laissez-moi jouir, je n’en peux plus.
– Tourne-toi, salope, que je contemple tes grosses mamelles ballotter pendant que tu te frottes sur ma queue.

Elle se retourna vivement, mit ma queue dans sa chatte et me colla ses deux gros pis blancs sur le visage.

– Ooooh, s’il vous plaît, maître, autorisez-moi à jouir, c’est trop duuuur..

Mon visage entre ses seins énormes, j’écartais son cul et lui introduisis un doigt dans son petit trou du cul..

– Tu es autorisée à jouir, salope, mais tu as intérêt à le faire bruyamment.
– Aaaah merciiii, merci mon salaud, je sens bien ta bite, bourre-moi comme la dernière des putes. Ta cochonne va jouir sur ta queue, tu peux me remplir de foutre, je suis ton esclave soumise et j’obéis à ta queue, baise bien ta mère que tu as déjà enculée, vas-y, baise-moi foooort aahhh, oohh, je jouiiiis, je suis ta puuute !!

Elle s’écroula, son chignon défait, sur moi. Respirant fort et reprenant ses esprits elle continua dans un soupir.

– J’ai joui extrêmement fort, merci. Je suis désolée de vous avoir tutoyé, cela ne se fait pas de la part d’une bonne esclave de queue. Désirez-vous me punir comme il se doit ?
– Oui, dis-je, le seul moment où tu as le droit de me tutoyer, c’est lorsque nous sommes en famille ou avec des gens qui ignorent ton statut de pute et quand je t’encule.
– Je sais monsieur, je suis désolée.

Je la repoussais et lui dit : « en position ! »
Se mettant à quatre pattes, son cul cambré face à moi, elle leva la tête.

– Voici monsieur, je suis à votre service, mon cul, ma chatte et ma bouche sont à disposition.

Je ne dis rien pendant quelques instants, observant sa chatte béante et son petit anus bien serré.

– Tu m’a tutoyé, pour ta peine, tu seras enculée, mais à sec. Allez, gros cul cambre-moi ça correctement.

Elle cambrait ses fesses avec une vulgarité évidente.

– Si monsieur me permet, votre gros cul est à disposition pour sucer la bite qui va me punir.
– Non salope, à sec, c’est à sec, et tu diras merci régulièrement. Allez écarte bien, et tu auras une bonne raison de me tutoyer. D’ailleurs, je veux t’entendre commenter.

– Bien monsieur, enculez-moi à votre gré.

Je crachais plusieurs fois sur son cul et poussait mon gland sur son anus à peine lubrifié de ma salive.
Comme elle n’avait pas été préparée, l’intromission se fit plus douloureuse et je sentais son trou du cul se serrer sur mon gland. Je poussai plus avant et ma bite entra avec moins d’effort que je l’eût imaginé.

– Allez grosse salope, prends bien ma queue ! Je veux que tu sentes bien mes couilles battre sur ta chatte de pute.

Elle poussa un premier cri puis se ravisa et, à la première claque sur ses fesses dit :

– Merci monsieur, j’ai été une grosse pute qui vous a tutoyé sans autorisation. Enculez-moi bien fort que je me souvienne qu’une bonne chienne comme moi doit être bien servile et ne pas tutoyer son maître quand elle n’a pas l’autorisa… Aaaaah merci ! Merci ! Merci !

Elle me disait merci à chaque coup de bite. Je la fessai à nouveau.

– Alors, cette punition ? Hein ? Tu l’as bien méritée, gros cul ?
– Ouiiii, allez mon fils, encule bien ta mère, je suis ta pute qui est allé se faire mettre par un amant. Je mérite une bonne punition.
– Allez maman, branle-toi bien pendant que je t’encule.

Je frappais ses fesses avec des claques qui marquaient son cul blanc.
Elle commençait, toujours bien cambrer à se branler et je pouvait sentir sa main sur mes couilles qu’elle caressait en même temps.

– Voilà, je suis devenue ton vide-couilles, une traînée qui va jouir pendant qu’elle se fait enculer par son fils, allez, bourre-moi bien comme une salope, remplis bien ton gros cul de mère. alleeeez…
– Dis mois, salope, j’ai l’impression que tu vas jouir à nouveau.
– Aaaahhh, la bonne queue, oui, maître, défoncez-moi, et autorisez-moi à jouir, je n’ai jamais joui par le cul…

Je sentais que j’allais éjaculer et je me retirai juste à temps.

– Tu te prends pour qui ? je ne vais pas te faire jouir pendant une punition. Suce et avale !

Elle se retourna, frustrée, prit ma queue, ouvrit la bouche et tira la langue.

– J’ai dit suce ! Prends juste le gland dans la bouche, je risque d’être abondant, salope !

– Pardon monsieur. Elle m’engloutit le gland en me branlant et en me regardant. Elle me malaxait les couilles en me regardant et je vis ses yeux s’exorbiter un peu au moment où je lui déchargeait dans la bouche.

– Voilà, et maintenant, tu avales.

Elle obéit en me regardant avec ses yeux implorants. Elle n’avait pas eu le droit de jouir à nouveau, mais se léchait les babines de mon foutre encore chaud.

– C’est pas trop mal, tu progresses, gros cul. Il va falloir songer à passer à la vitesse supérieure.

Elle baissa les yeux

J’ai eu mon père qui prolonge son voyage. Il me reste encore deux jours pour parfaire ton éducation.

J’ai déjà un petit projet pour toi demain.

– Oui monsieur ?
– Demain matin, c’est les mamelles à l’air et avec porte jarretelles et bas que tu viendrais m’apporter mon petit déjeuner au lit. Tu en profiteras pour faire le réveil matin par une bonne pipe. C’est compris gros cul ?
– Oui monsieur.
– Dis-le mieux que ça.
– Demain matin, votre gros cul bien soumis viendra vous vider les couilles pour le petit déjeuner

– Parfait gros cul, va te laver et mets-toi au lit ! Ah, et tu pars dans ta chambre à quatre pattes !
– Bien monsieur.

Lentement elle progressa à quatre pattes, bien cambére et je vis son gros fessier disparaître doucement derrière la porte.

Je réfléchissais au lendemain, la trique revenait. J’avais quelques projets.

A suivre

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