Les cris et les baffes je connais! Des années que ça dure, que mon père et ma mère se tapent dessus. C’est presque tous les soirs, ils ne se supportent plus, dès qu’ils rentrent à la maison le pugilat commence. De son regard haineux, elle l’enserre dans un filet de mépris dont il veut se dépêtrer, mais il s’enferre, il est maladroit, il gesticule, il crie et finit par lui foutre des baffes en désespoir de cause.
Désespoir est bien le mot, je regarde tout ça depuis un coin du salon, me faisant le plus petit possible, évitant les coups et les objets les plus divers qui volent tout autour. Je me fais petit et pourtant, parfois ils me prennent à témoin. La c’est le pire, je risque gros et même sans rien dire j’en prends parfois plein la gueule. Suffit d’un regard mal interprété, d’un geste mal maîtrisé et vlan! Une tarte de l’un. L’autre lui réplique en lui disant qu’il est dégueulasse de taper le « petit » et c’est repartit dans l’autre sens alors que moi, accroupi derrière le canapé je me masse ma joue en feu.
Des années ça a duré! J’en pouvais plus à la fin. Aussi quand ils ont pris la décision de divorcer, j’ai pris ça comme une délivrance pour nous trois. Bien sur il y a eu encore des cris et de la fureur pendant des mois mais je patientais sachant l’échéance proche.
J’avais quatorze ans.
Un soir il n’est pas rentré et on a compris qu’il ne rentrerait plus. Ma mère a pleuré toute la soirée et je crois bien qu’elle a pleuré toute la nuit. Le lendemain elle avait le visage tout bouffi tant les larmes avaient ruisselé sur ses joues. Je l’ai regardé avec un brin de pitié bien que connaissant sa haine tenace pour mon père. Pourquoi pleurait elle donc? Sans doute pleurait elle sur elle-même, sur sa vie brisée, égoïstement.
Est-ce que je comptais pour elle? Elle montrait une telle indifférence lors des scènes de ménage, excepté lorsque mon père me tapait dessus, que je n’arrive pas à imaginer ne serait qu’un peu de tendresse de sa part.
Pourtant, dans les jours et les mois qui suivirent le départ de mon père, les choses entre nous s’arrangèrent un peu. Je dis bien un peu car l’essentiel de son indifférence subsistait. Elle plongea peu à peu dans la dépression, se laissa entraîner dans les eaux froides et noires de la déprime insondable. Elle pleurait du soir au matin, incapable de se rendre à son travail, au point que ses collègues s’en sont ému et sont venu à la maison. Ils ont vu le désastre et ils ont fait le nécessaire, appelant un docteur qui aussitôt a mis maman sous anti-dépresseurs. Il lui a aussi donné toute une liste de médicaments dont de puissants somnifères. Elle s’est empressé de s’en servir car elle était épuisée et elle voulait oublier sa condition de femme soudain seule dans la vie.
Je me suis inquiété les premiers temps, elle passait la nuit puis la journée à dormir, je ne la voyais plus, partant le matin pour l’école sans l’avoir vue et rentrant le soir pour la trouver dans sa chambre affalée sur le lit et ronflant.
C’est ainsi que je la trouvais un soir, en travers du lit et secouée de ronflements sonores. Depuis la porte je contemplais le spectacle de ma mère abandonnée au sommeil chimique, à plat ventre sur le lit, les bras en croix. Sa robe de chambre s’était ouverte, dévoilant une bonne part de sa cuisse blanche. Je regardais, un brin fasciné et désolé du spectacle que m’offrait ma mère.
Pourquoi ai-je senti un picotement dans mon ventre soudain? Sans doute la vue de la cuisse nue dévoilée presque jusqu’à la fesse, cette jambe fléchie au genou à angle droit. Je ne pouvais détacher mon regard de la chair blanche étalée sans pudeur devant moi.
Je bandais!
Je bandais pour ma mère. Soudain j’en ai pris conscience et j’ai senti une rougeur envahir mes joues. J’ai eu honte de moi et j’ai détourné les yeux, tourné les talons et laissé la dormeuse à ses rêves vénéneux.
Pourtant dans ma chambre, attablé à mes devoirs, mon esprit revenait sans cesse à la vision de la cuisse nue. Ce soir là, j’ai eu du mal à terminer mon boulot.
Après il a bien fallu que je me trouve quelque chose à grignoter dans le frigo, je mâchouillais, perdu dans mes pensées, ou plutôt, l’esprit obnubilé par la vision de la cuisse offerte à mes regards. Je rebandais et j’en ai eu encore honte. Pourtant je me suis levé de table et j’ai remonté les marches qui menaient aux chambres la haut. Un ronflement m’a convaincu que maman dormait toujours aussi profondément. Je me suis arrêté sur le seuil de sa chambre et j’ai regardé encore une fois le tableau. Elle avait bougé dans son sommeil et cette fois la robe de chambre avait glissé au point de dévoiler sa fesse. J’ai senti tout mon être frémir devant cette vision du corps dénudé de ma mère. Elle portait une culotte blanche soyeuse qui couvrait une partie de sa fesse. Je suivais la courbe de l’élastique qui délimitait le visible du non visible, entre le pli de ses cuisses et sa hanche.
Je la trouvais belle soudain.
Cette femme qui m’avait inspiré tant de sentiments mélangés, me semblait soudain retrouver ses vertus féminines. Il est vrai qu’à bien y regarder, elle était encore assez belle ma mère. Après tout, elle n’avait que trente huit ans et aujourd’hui c’est un age jeune pour une femme. Je la regardais mieux et je trouvais son mollet fuselé, son pied bien cambré et finalement tout le corps harmonieux.
J’en étais là de mes réflexions lorsqu’elle a eu un soupir plus profond, elle a ouvert les yeux jetant un regard effaré autour d’elle. Tournant la tête, elle m’aperçut et fronça les sourcils. « Quel heure est il? »
« Il est huit heures maman »
« Du matin? »
« Non du soir »
Ma réponse sembla la plonger dans un abîme où elle essayait de rassembler ses souvenirs.
« Tu as mangé? »
« Oui maman, tu veux quelque chose? »
« Non bouge pas je vais m’en occuper »
Je l’ai laissé et je suis retourné dans ma chambre. J’ai tendu l’oreille pour guetter ses mouvements, cela a pris du temps mais elle s’est traînée dans la cuisine en bas. J’ai entendu des casseroles teinter et je suis descendu.
Assise à la table maman buvait un thé. Elle m’a regardé venir d’un air morne, sans chercher à sourire. Nous sommes resté face à face un moment et comme je ne la sentais pas disposée à parler, j’ai annoncé que j’allais me coucher.
Je me suis endormi vite et je ne l’ai entendu remonter. Le lendemain matin, au moment du réveil, je suis passé devant sa chambre et j’ai vu qu’elle était couchée et qu’elle dormait à poings fermés.
Ainsi passaient nos jours, mornes avec un brin d’angoisse pour ma part, de voir ma mère aussi peu réactive. Je ne comprenais pas que les médicaments étaient responsables de cet état d’apathie générale. Je l’observais quand elle était éveillée, étonné de son peu d’entrain, se traînant pour nous faire un maigre repas rapide et insipide.
Et puis elle remontait se coucher et comme chaque soir je la voyais en travers de son lit souvent dans sa robe de chambre plus ou poins close, et chaque fois les picotements me reprenaient dans le ventre.
Un soir que je la regardais ainsi, je sentis mon sexe se dresser encore, je ne sais pas quelle main me poussa dans le dos et me précipita au pied du lit où gisait ma mère. De près, la vue de sa cuisse nue était encore plus excitante pour moi et je restais là en contemplation devant la chair claire, la bite dressée dans mon pantalon.
Je toussais dans l’espoir de la réveiller, mais elle ne bougea pas. Je toussais plus fort, rien. Je l’appelais « Maman! » Elle ne réagit pas, me laissant là, perplexe aux pieds du lit.
Je fis trois pas vers la tête et je me penchais pour apercevoir son visage, je ne vis qu’une expression abrutie de sommeil. Timidement j’avançais la main jusqu’à lui toucher l’épaule et la secouer doucement. Je n’eus que des gémissements et des soupirs pour toute réponse. Elle bougea légèrement et reprit le cours de son sommeil chimique.
Je restais encore, ne sachant trop quoi faire, mon regard traînant sur ce corps alangui. Sa cuisse toujours aussi nue, ma bite toujours aussi raide et un trouble s’insinuant peu à peu en moi.
Je me penchais à nouveau et la bouche sèche, j’avançais ma main vers sa cuisse tout en guettant son expression. Ma peau entra en contact avec la sienne. Je tressaillis et je reculais aussitôt, affolé par mon audace. Mais rien ne sembla bouger et elle demeura aussi immobile qu’une bûche. Je recommençais, avançant à nouveau ma main vers la cuisse, nouveau frisson mais cette fois je prolongeais le contact tout en guettant une éventuelle réaction. Rien ne vint, j’entendais le rythme haché de ma respiration qui se mêlait au souffle régulier et lent de ma mère. Ma bouche était d’une sécheresse d’étoupe et ma langue pesait des tonnes.
Imperceptiblement, ma main se mit à se mouvoir, je caressais la cuisse fraîche sous ma main brûlante, toujours aux aguets, prêt à fuir à la moindre alerte. Mais rien, aucune réaction.
Ma main sentait mieux la douceur de satin de la cuisse de maman et je m’enhardis à remonter le long de la jambe, presque jusqu’à sa fesse, la où la chair devient tendre et élastique. Je palpais l’arrière de la cuisse, caressais avec délice, de plus en plus hardi, je remontais sur sa fesse, j’avais sous mes doigts le satin de sa culotte qui dégageait un peu de chaleur.
J’ai même poussé l’audace jusqu’à glisser ma main entre ses cuisses et remonter lentement jusqu’à toucher son entre cuisses, et là j’ai senti que je défaillais. Des jets chauds ont envahi mon ventre et mon slip s’est trouvé mouillé. J’ai eu honte et je me suis retiré dans ma chambre.
Je me suis nettoyé, honteux de mes gestes mais encore bandant.
Ma honte peu à peu s’est atténuée laissant place à un trouble sentiment d’excitation et de torve intouchabilité. Je mesurais ce que les somnifères pouvaient engendrer comme abandon et vulnérabilité chez la personne qui en usait. Je pensais à tout cela en me masturbant doucement et tout à coup tiré de mes réflexions j’éjaculais de nouveau puissamment.
Dans les jours qui suivirent, je recommençais mes vicieuses incursions dans la chambre maternelle. Je m’enhardissais à faire glisser le peignoir, je dénudais son cul, admirant les courbes sous les culottes soyeuses que portait ma mère. Je parvenais aussi à voir ses seins, un soir, j’avais touché la chair fine et élastique d’un globe laiteux. Le contact de son sein m’a fait bondir la queue dans mon slip, en tremblant j’ai passé mon doigt sur le téton dressé et dur tandis que dans ma culotte se répandait une chaleur humide.
Poussé par la curiosité, je suis allé voir ses soutiens gorges dans ses tiroirs, je voulais en savoir la taille. Du 95 bonnets C, je savais maman bien pourvue de ce coté, mais la confirmation m’a fait monter le rouge de l’excitation aux joues.
Ce soir là, j’ai voulu aller plus loin et me rapprochant du lit, je me suis penché pour glisser un doigt sous la culotte, ramper vers son entre cuisses et écarter légèrement l’élastique. La touffe brune de son pubis m’est apparue, drue et frisée, douce et, m’a-t-il semblé, légèrement humide. Fasciné à la fois par mon audace et le spectacle de la chatte maternelle, j me suis penché davantage, j’ai écarté davantage sa slip pour dévoiler complètement sa fourrure intime. Le souffle court, j’ai promené mon doigt dans les poils pubiens. C’était chaud et doux, pour la première fois de ma vie, je touchais à l’intimité féminine et c’était celle de ma mère.
En promenant mon doigt je m’enfonçais entre les fesses, dans des contrées plus chaudes et qui me parurent aussi plus humides. Intrigué je poursuivi, suivant une ligne qui guidait mon doigt encore plus haut, vers des endroits plus chauds. Maman a eu un gémissement qui m’a fait sursauter et j’ai tout lâché pour me reculer prestement. Elle a soupiré et a changé de position dans son sommeil. Je retenais mon souffle, pétrifié qu’elle puisse se réveiller et découvrir mes vicieuses investigations.
Petit à petit mon cœur retrouva un rythme normal et la panique s’estompa en voyant le corps immobile, tout juste agité de vague molle de la respiration.
J’en restais là ce soir là, trop d’émotions me faisait tourner la tête et c’est dans ma chambre que je me masturbais, repensant à ce doigt qui suivait une ligne chaude et humide vers des mystères encore plus chauds.
Mai les jours suivants j’ai pris plus d’assurance, j’entrais sans méfiance dans la chambre, je toussais fort près du lit, je lui prenais l’épaule pour la secouer et quand j’étais bien certain de son état comateux je me livrais à mes vicieux attouchements. Je commençais par lui peloter les seins, je les dénudais avant de masser la chair élastique et après, agacer leurs tétons qui se dressaient. Puis je glissais en bas du lit, je dénudais ses fesses et j’écartais les lobes pour mieux voir la fente poilue et brune qui courait jusqu’à son pubis.
Un soir j’ai avancé ma langue tendue pour lécher la fente vaguement humide et, m’enhardissant, j’ai écarté les lèvres et j’ai goûté au nectar qui suintait. Le goût du vagin de ma mère sur ma langue m’a produit une éjaculation spontanée. Il a fallu que je nettoie bien vite avec une serviette les traînées de spermes qui avaient souillé le lit.
Encouragé par sa passivité, j’ai continué à explorer sa chatte, j’ai écarté les lèvres, glissé un doigt dans le conduit glissant. Mon cœur battant comme un fou j’ai glissé mon doigt aussi loin que possible et puis tout de suite après j’y ai glissé deux doigts. En les retirant, j’ai reniflé l’odeur de femelle et j’ai sucé la mouille qui engluait mes phalanges.
Je devenais de plus en plus hardi et de plus en plus excité, j’attendais le soir avec impatience, je bandais longtemps à l’avance et je guettais dans ma chambre le moment où elle se dirigeait vers la salle de bains pour se laver les dents et prendre ses pilules. Ensuite, je retenais mon souffle, écoutant le moindre bruit, le moindre craquement, et quand j’étais sur de mon fait, à pas de loup, je rejoignais la chambre maternelle. Je laissais la lumière du couloir allumée pour avoir un peu de clarté, j’évitais la lumière de sa chambre trop crue et dans la pénombre je me livrais à mes attouchements sur son corps.
J’arrivais nu à présent, ma queue bandée me précédait. Un soir, alors qu’elle était couchée sur le coté, j’ai eu l’audace de me coucher à ses cotés, juste derrière elle, avec des précautions de chat et sans faire grincer le lit je me suis glissé contre elle. Ma bite touchait ses fesses et j’ai cru encore une fois que j’allais gicler rapidement, mais je me suis contenu. J’avais maintenant la technique, et je me munissais d’une serviette de bains en permanence pour éviter tout accident intempestif.
J’ai attendu que mon émotion se calme un peu, que mon cœur reprenne un rythme plus calme, les yeux clos pour bien savourer l’instant et la chaleur naissante entre nos corps collés l’un à l’autre.
Avec une infinie lenteur, ma main a commencé à écarter les lobes de ses fesses et mon dard pointé a suivi le chemin entre le fessier dodu. Je maîtrisais mal ma respiration saccadée, cependant j’arrivais tant bien que mal à gérer cette émotion envahissante. Je suis resté ainsi longtemps, peut être un quart d’heure, peut être plus longtemps. Rien dans son sommeil n’est venu trahir quoi que ce soit. Alors, peu à peu, j’ai commencé à bouger mes reins. D’abord imperceptiblement j’ai avancé mon bassin, ma queue a avancé d’un millimètre puis de deux. J’ai reculé un peu et j’ai avancé de nouveau, un peu plus cette fois et ma bite s’est enfoncée dans les poils doux et lisses de sa toison.
Rien ne trahissait quoi que soit, j’ai poussé encore un peu, ma queue se frayait un passage entre les cuisses de maman, je la sentais forcer son passage, c’était grisant. Je me suis masturbé entre ses cuisses ainsi pendant un long instant et quand j’ai senti venir l’éjaculation, je me suis retiré juste à temps pour recueillir dans la serviette de grands jets de sperme brûlant.
Je n’ai pu empêcher un léger gémissement tant l’émotion me balayait.
Avec les mêmes précautions, je me suis relevé et j’ai contemplé ce corps abandonné sur la couche, elle dormait la bouche ouverte, dans un abîme insondable. Alors j’ai approché ma queue encore tendue de ses lèvres et je les ai frotté contre elles. Des traces luisantes de mon foutre sont restées sur le rouge sombre des lèvres. J’ai contemplé le spectacle en tripotant mon membre et je me suis masturbé pour de bon devant son visage, frottant de temps en temps ma queue sur ses lèvres et y déposant ma mouille.
Après avoir éjaculé une seconde fois, j’ai regagné ma chambre mais ma nuit fut agitée.
Le lendemain j’ai guetté ses réactions, j’étais inquiet, mes yeux la suivaient quand elle s’activait dans la cuisine, mais rien ne vint trahir un quelconque soupçon.
Inutile de dire que j’attendais le soir avec encore plus d’impatience que la veille, et à l’heure habituelle, je reproduisis le même scénario. Muni de ma serviette, je me glissais contre elle, retrouvant avec délice la chaleur conjointe de nos corps. Je gagnais en assurance et en habileté, certain de n’avoir pas fait le moindre bruit ni d’avoir fait trembler le lit, je lui mettais délicatement la bite entre les fesses. Comme la veille je demeurais ainsi un long moment et puis je me livrais à mes mouvements de va et viens qui faisaient coulisser ma bite entre ses cuisses. Je mouillais et lubrifiais ainsi l’endroit où ma queue se mouvait, enduisant les poils pubiens de maman de ma mouille. Mon sexe allait librement, coulissant dans la moiteur de nos corps et lorsque je ne pus plus me retenir, je me retirais et jouissais violemment dans la serviette, atteignant un nirvana de vice qui expulsait hors de mon corps des torrents de sperme.
Comme la veille, j’essuyais mon gland sur ses lèvres et me masturbais à deux doigts de son nez, frottant de temps en temps ma queue sur sa bouche toute barbouillée de mon fluide.
J’eus le plaisir de la voir, dans son sommeil, se passer la langue sur les lèvres et cela provoqua ma seconde éjaculation de la soirée.
Comme la veille encore, le matin je la regardais avec appréhension, mais son air indifférent me rassura une fois de plus et me conforta dans mon vice, car dès lors je perdis un peu le contrôle de moi-même, imposant chaque soir le même scénario à ma mère passive et inconsciente.
Un soir que je besognais ma bite entre ses fesses comme tous les soirs, je sentis soudain que mon gland venait de prendre une autre direction, plus chaude et plus humide. Retenant mon souffle encore une fois, je m’arrêtais de donner des coups de reins et je guettais une réaction qui ne vint pas. Lentement je forçais sur mes reins, sentant une résistance à la progression de mon gland, et soudain, il fit un bond en avant dans un univers à la fois chaud et humide. La bouche comme de l’étoupe, je demeurais interdit, la tête bourdonnante, affolé de cette nouvelle audace. Je restais encore une fois immobile, ne vivant que par mon gland entré par hasard dans l’univers humide et chaud qui l’entourait. C’était doux.
Au comble de l’excitation, j’ai avancé les reins et ma bite a coulissé dans les chairs qui s’ouvraient, je suis resté ainsi, planté dans une grotte inconnue, mystérieuse mais que je me savais interdite.
Rien autour ne bougeait, le souffle régulier de la dormeuse ne trahissait aucune émotion et je me demandais comment j’avais pu….
Le vice a repris le dessus et j’ai actionné mes reins. Ma queue s’est mise en mouvement dans la moiteur tendre qui l’enveloppait. Comme c’était doux! Comme c’était chaud! Comme c’était excitant, au point que bien vite des spasmes me sont venus. Affolé je me suis retiré bien vite, juste à temps pour recueillir dans ma serviette des jets puissants de foutre bien blanc qui par saccades inondait le linge cotonneux.
Les yeux écarquillés, j’ai regardé ma queue luisante d’un liquide gras. J’ai passé mes doigts dessus et j’ai porté mes phalanges à mon nez, pas de doute, cette odeur était celle de la fente maternelle, j’avais pénétré maman! Ma queue était entrée en elle, je l’avais baisée et mon gland avait ramoné le passage par où j’étais venu au monde.
Je suis resté allongé un long moment contre elle, méditant sur cet acte contre nature que je venais d’accomplir.
Ce soir là, il n’y a pas d’autre masturbation, avec un luxe de précautions, je me suis levé pour regagner ma chambre où je suis resté longtemps les yeux ouverts dans le noir.
J’ai redouté notre confrontation du lendemain, retardant au maximum l’instant où je devais descendre dans la cuisine la retrouver. A mon grand soulagement, tout fut comme à l’accoutumer. Maman me servit mon petit déjeuner, il y eut peu de mots entre nous, elle avait le même air morne, bref, elle ne s’était rendue compte de rien!
Je passais une journée fébrile la tête peuplée de mes souvenirs de la veille, de cette sensation merveilleuse de me retrouver dans cet univers satiné et absolument inconnu de moi auparavant. Je m’imaginais le soir même faisant la même chose, nageant dans une semblable félicité et rien que d’y penser ma bite enflait dans mon pantalon au point de me provoquer une gène.
Je comptais les heures qui me séparaient de l’instant, et ces heures là étaient interminables. Au fur et à mesure qu’avançait le soir, une nervosité palpable me prenait, mes gestes étaient maladroits et je faillis casser de la vaisselle dans la cuisine. Je rembrunissais, persuadé que maman ne serait pas dupe de cette fébrilité soudaine mais elle traîna toute la soirée son air morne. Je me forçais à rester là devant la télé, mais je ne comprenais pas grand-chose à ce qui défilait sur l’écran tant mon esprit était tendu vers ce but ultime : mettre ma bite dans la chatte maternelle.
Enfin maman m’annonça qu’elle montait se coucher, je faillis renverser le verre que je tenais, tant je tressautais à cette annonce. Je fis mon possible pour cacher encore un peu ma hâte, me forçant à rester les yeux rivés sur un écran blafard, ne comprenant goutte à ce qui s’agitait devant mon regard.
Au bout d’une demie heure, je m’ébrouais comme sortant d’une paralysie et je montais les marches en essayant d’y faire le moins de bruit possible. Un œil vite jeté à la chambre maternelle pour me rendre compte qu’elle ronflait de plus belle et je me hâtais dans ma chambre me mettre à poil, la queue déjà tendue et revenir sur la pointe des pieds vers sa chambre.
Tout allait bien, avec les précautions qui m’étaient maintenant familières, je me glissais auprès d’elle. J’attendis un instant pour guetter le moindre changement du rythme de sa respiration mais rien ne m’indiqua une quelconque différence. Précautionneusement, j’écartais les fesses de ma main et glissais mon membre vers sa grotte sacrée. Mon gland glissa avec plus de maîtrise vers la fente où la veille il était entré presque par erreur. Nouvel arrêt, nouvelle attente. Rien. Mes reins poussent et ma verge entre plus loin. Je pousse encore et ma bite est entrée entièrement. Je sens mon membre palpiter contre la chair douce du vagin. Il fait chaud et la moiteur de l’endroit est palpable, ma queue la sent et je commence à aller et venir en elle. Bien vite je sens l’orgasme monter en moi, il faudrait que je sorte sinon il va être trop tard! Encore un instant, encore quelques vas et viens dans la fournaise poisseuse et glissante, ma bite va si bien!
Et puis je ne peux plus me retenir, il est trop tard, je gémis de plaisir autant que de dépit et ma bite est secouée de spasmes incontrôlables. Je me mords les lèvres pour ne pas crier, je ne peux réprimer des plaintes, je me vide en son vagin dans des soubresauts sans fin, j’ai l’impression que je vais la réveiller à me secouer comme ça!
Enfin tout s’arrête. Je retiens encore mon souffle, je n’ose plus un geste, je ne bouge plus. Le calme revient dans mon corps, il n’y a plus que mes mains qui tremblent. Je leur impose le calme et j’entreprends de me retirer lentement. Ma queue se retire d’elle petit à petit, je guette une réaction mais rien toujours. Ca y est, je suis sorti. Je regarde ma queue, incrédule, elle est toute couverte de sang!
Je ne comprends pas ce qui arrive, j’ai suis pris d’une peur panique, je me lève du lit et je cours à la salle de bains. Je fais couler la douche, je me glisse dessous, inquiet, regardant ma bite et l’eau qui dégouline dessus emportant le sang.
Quand tout le sang est parti, je sors de la douche et je m’examine mieux. Mon sexe est normal, il n’y a pas trace de coupure ou autre. Je suis perplexe, je réfléchis, si ce n’est pas moi, alors c’est maman qui….
Je reviens dans sa chambre, je me penche sur elle, j’écarte ses fesses avec précaution et là je vois son pubis barbouillé de sang. Je comprends soudain qu’elle a ses règles et une sorte de dégoût rétrospectif me prend. J’ai été mettre mon sexe au milieu de ses menstrues.
J’en suis tout effaré, je retourne à la salle de bains et je me frictionne la bite au savon pendant de longues minutes, frottant à m’en faire mal.
Enfin, après de longues et minutieuses ablutions, je reviens me coucher, un peu douché par cette expérience inattendue.
Inutile de dire que les jours qui ont suivi, je n’ai pas approché de la chambre maternelle. J’ai laissé passer huit jours pendant lesquelles j’ai médité sur mes forfaits nocturnes sans pouvoir les condamner vraiment. Ce que je faisais était monstrueux mais si excitant.
Ainsi donc une semaine plus tard j’étais si excité que je n’y tenais plus. Un soir je me mis nu et j’allais la rejoindre sur le lit toujours aussi désordonné. Je repoussais la couverture, il ne faisait pas froid. Elle portait une chemise de nuit rose et soyeuse. Je relevais le vêtement au dessus de ses reins et je m’allongeais à ses cotés. Ma bite frottait contre son cul, je me collais à son corps et ma main, par-dessus elle cherchait son sein et le trouvait. Je restais ainsi pendant de longues minutes à palper son sein et à bander contre son cul. Quand j’en eu assez de la peloter, ma main revint sur ses fesses et avec une certaine habileté acquise, elle écarta ses fesses et ouvrit en même temps la route vers le vagin. Ma queue se présenta, je sentis sur le bout du gland la chaleur humide et je savourais l’instant. Un long soupir qui se transforma en ronflement me tira de ma torpeur, je fus sur mes gardes, écoutant éperdument le rythme respiratoire de ma mère. Petit à petit il reprit sa longue houle régulière et je me rassurais. Mes reins poussaient ma bite et ce fut un nouveau délice que de sentir les chairs céder petit à petit et sentir ma queue s’introduire dans son ventre à nouveau.
C’était une reconquête après sa période de règles, je retrouvais un vagin débarrassé du sang menstruel, tout neuf, et bien humide d’une cyprine exempte de toute scorie. Ce fut un délicieux moment que de m’enfoncer à nouveau dans le ventre dont j’étais issu. Je me senti soudain maître de mener mon désir à mon rythme et à ma façon. Je restais donc sans bouger, histoire d’investir mieux l’espace de son vagin, j’en éprouvais la profondeur en poussant ma bite aussi loin qu’il m’était possible d’entrer et je sentis à un moment mon gland butter au fond sur son utérus. Cela déclancha en moi un nouvel accès de désir, savoir ma bite contre son utérus au fond de son ventre me sembla de la pire obscénité et m’excita au plus haut point. Je fis aller et venir ma verge le long du fourreau glissant. Petit à petit je parvins à un rythme satisfaisant et le désir monta en moi. Cette fois je fus attentif et je me retirais à temps pour éjaculer puissamment dans la serviette qui me servait de réceptacle. La vue de mon sperme blanc et abondant me fit frissonner, je pensais soudain que j’aurais pu le cracher au fond de ce vagin offert, le remplir de ma semence et de le féconder peut être. Je frémis à l’idée d’une telle éventualité.
Ce soir là, je ne me suis pas masturbé sous son nez, mais je l’ai fait sagement dans mon lit, bercé par le doux souvenir d’un vagin chaud et si accueillant.
Je ne voudrais pas alourdir le récit par la répétition de ces nuits à la fois torrides et parfaitement vicieuses. Que l’on sache seulement que je revenais chaque soir dans le lit de maman et que je la baisais à son insu, introduisant mon sexe dans son sexe pour un coït parfaitement i****tueux.
Jamais elle ne s’en rendit compte de rien. Je passais aussi de longs moments, penché entre ses cuisses dans l’examen gynécologique de sa fente, découvrant son clitoris, et la léchant pour finir, emportant dans ma chambre le goût si particulier de sa cyprine. J’aimais aussi caresser ses seins, ils étaient réactifs et je sentais bien que mes frictions avaient pour conséquence de faire saillir ses tétons. Cela m’amusait beaucoup, je titillais ses nichons et souriais d’aise de voir les tétons darder à ces sollicitations.
Il est arrivé des soirs où, particulièrement excité, je n’avais pas le temps « de sauter en marche ». Ces soirs là j’étais anxieux et je m’appliquais à nettoyer au mieux les dégâts que j’avais occasionnés, avec un gant de toilette je nettoyais au mieux le sexe de maman. Je savais bien que cela était bien insuffisant et je m’angoissais pour quelques jours, et puis l’insouciance me reprenait et je rebaisais de plus belle.
Ainsi passa le temps, il me devint de plus en plus naturel de venir le soir voler des instants de vice auprès de celle qui m’avait donné le jour. J’étais comme l’amant de ma mère, à ceci près qu’elle ne savait pas qu’elle avait un amant!
Et puis les choses changèrent petit à petit. Maman eut des moments d’angoisse suivis de moments de francs abattements. Je la sentais nerveuse malgré tous les médicaments qui lui furent prescris, rien ne semblait calmer ce qui l’angoissait.
Un jour elle est allée consulter, et quand je suis rentré, je l’ai trouvée prostrée et pleurant dans le canapé.
J’avais déjà compris sans même qu’il fut dit quoi que ce soit et soudain mon univers s’est effondré. Je me suis approché, je me suis assis à coté d’elle car mes jambes refusaient de me porter davantage. Elle a continué à pleurer la tête basse et j’étais à ce moment là le plus malheureux du monde. J’ai voulu mettre ma main sur son bras mais elle a reculé avec force. J’étais glacé d’effroi. Je suis resté là près d’elle un long moment, nous n’avons rien dit ni l’un ni l’autre. Après, j’ai trouvé la force de me soulever et de monter dans ma chambre où j’ai pleuré aussi. Je ne sais pas combien de temps cela a duré. J’ai entendu ma porte s’ouvrir et des pas furtifs. Je n’ai pas bougé de mon bureau, la tête entre mes bras. On s’est approché, une main sur mon épaule, qui me tire, je me relève les yeux brouillés par les larmes, je ne la vois qu’à travers un brouillard humide.
« Je te pardonne mon fils »
Des mots qui se bousculent et s’entrechoquent dans mon crâne comme des boules de billard électrique. Ma tête me tourne, je titube.
« Tu comprends, je n’ai plus que toi, alors si je ne te pardonne pas, je n’ai plus personne au monde »
Le manège ralentit dans ma tête, les choses semblent reprendre un semblant de place, j’arrive à déglutir un peu, assez pour chasser le fiel qui a envahit ma bouche.
Elle est là au dessus de moi, elle est grave, elle me regarde, elle m’attire à elle, je me lève, elle me prend dans ses bras et m’enlace. Je me laisse aller contre elle, elle me murmure à l’oreille :
« J’ai vu le médecin, il m’a annoncé que j’étais enceinte, je ne l’ai pas cru, il m’a pourtant persuadé que si. De toute façon je n’avais plus mes règles depuis deux mois et je m’inquiétais. J’ai réfléchi, je n’ai pas eu de rapport avec qui que ce soit depuis le départ de ton père. Il m’a fallu me rendre à l’évidence, je suis enceinte de toi mon fils! »
Je tremble dans ses bras, j’éclate en sanglots, je défaille, elle me retient, elle me serre plus fort, je m’agrippe à elle, le lit tout proche, elle trébuche, nous tombons dessus toujours enlacés.
« Ne pleure plus, on va s’arranger, j’ai déjà dit au médecin que je n’en voulais pas, il va me prendre rendez vous dans une clinique, je vais avorter, n’ai pas peur! »
Mon tremblement s’amplifie à l’écouter me dire ainsi à l’oreille des choses si graves, des choses d’adultes, des choses d’amants pris en faute.
« Allons! Ne tremble pas comme ça, tout va s’arranger »
Elle me caresse les cheveux, elle me couvre de baisers, son corps est chaud contre le mien, je sens ses seins contre ma poitrine, ses cuisses contre les miennes, et puis son ventre sur le mien, elle m’embrasse encore, cette fois sur la bouche, je me laisse aller, elle ouvre ma chemise, elle caresse ma poitrine, je réponds à son baiser, je l’enlace et nous roulons sur le lit étroit.
« Fais moi l’amour! Je veux que nous fassions l’amour au moins une fois avant que j’avorte, histoire de comprendre, histoire de justifier ce que je vais faire, baise moi mon fils! »
Je roule sur elle, nous arrachons nos vêtements, hébétés, l’un contre l’autre, furieux et acharnés. Je suis sur elle, elle écarte les cuisses, je glisse sur son ventre, mon sexe suit la fente de son sexe, il trouve l’entrée et s’y glisse sans mal. Elle feule sous moi, sa respiration est désordonnée, je donne des coups de reins pour prendre possession de son sexe à fond. Mon gland cogne son utérus, elle gémit et puis elle crie à la fois sa douleur, sa rage, et son désir.
Je pilonne sa chatte, ça fait un bruit mou et spongieux à chaque coups de mes reins, ça m’excite et je sens ma queue qui coulisse à chaque allées et venues le long des parois vaginales. Je sens aussi ses muscles vaginaux qui me retiennent, qui entravent ma queue et la ralentissent. Elle gémit encore, elle pousse parfois de longs cris indistincts quand ma bite plonge en elle chaque fois plus loin.
« Va doucement » Elle me murmure à l’oreille, elle sent bien qu’à ce rythme, je vais vite défaillir et elle voudrait faire durer, prolonger cet instant. Je comprends, je ralentis, je m’arrête presque. Je me meus au ralentit dans le fourreau bouillant de son sexe, nous sommes l’un contre l’autre, elle a les yeux grands ouvert, elle me regarde fascinée.
« Comment as-tu fait? Tu es venu dans ma chambre quand je dormais? »
« Oui! »
« Tu mas baisé sans que je me rende compte! »
« Oui! »
« Salaud! Tu es un salaud » Elle pleure et moi à nouveau désemparé.
Elle m’excite à pleurer pendant que je la saute, j’accélère à nouveau le mouvement, je la pilonne de mon sexe, elle crie, secoue la tête, je la regarde, j’ai envie qu’elle jouisse sous moi, je me maîtrise maintenant, donnant des coups de bite réguliers. Elle crie plus fort, elle se tord sous moi, elle me traite encore de salaud en criant, elle hurle, elle est secouée de soubresauts, son ventre donne des coups désordonnés comme un cheval sauvage, j’ai du mal à rester en elle et sur elle. Elle est hystérique, des sons inarticulés sortent de sa gorge, je suis fasciné par le spectacle, je n’ose plus bouger, je me maintiens juste sur elle.
Dans un râle démesuré elle s’effondre soudain, un cri sauvage un primal, impressionnant et qui me glace. Maman vient de jouir sous moi sans que j’aie même le réflexe de jouir à mon tour. Je la regarde, elle me regarde comme si elle me voyait pour la première fois et là, je reprends mes allées et venues dans son ventre et j’éjacule à longs jets de sperme qui ne semblent plus pouvoir s’arrêter. Les spasmes se prolongent encore et encore, déversant dans son ventre mon flot i****tueux. Elle tremble de tout son corps, elle sent la chaleur se répandre en son ventre, ses yeux se ferment, elle s’effondre.
« Oh mon dieu! Je ne savais pas que ça pouvait exister! »
« Quoi donc maman? »
« Une telle jouissance! »
Je l’ai reprise dans mes bras et je l’ai serré fort contre moi. Nous sommes restés ainsi de longs moments.
L’envie nous a repris et nous avons baisé une nouvelle fois. Cette fois, tout scrupule était écarté et c’était deux amants qui roulaient sur le lit et personne n’eut pu dire qu’ils étaient mère et fils.
Ajouter un commentaire