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Faire mieux!

Faire mieux!



’adore le printemps et encore plus l’été. Pas vous ? Tout devient plus sensuel, plus sexuel même. Les corps se dénudent. Les corps s’exposent, un peu, beaucoup, passionnément… Je parle des femmes, bien sûr. Je ne connais pas de jeu plus sensuel que de deviner ce qu’elles cachent, ou mettent en valeur, par un chemisier dénoué, une jupe courte, un sillon de poitrine offert. J’adore les seins, tous les seins. Les gros, les lourds, les petits. Ceux qui s’affichent, ceux qui se cachent et ceux qui se laissent entrevoir. C’est le moment où, sur les plages, les ados et les jeunes femmes laissent voir leur poitrine ferme avec toutes les nuances de tétons.

Du calme, je ne fais que regarder et encore, discrètement. Jamais un mot, jamais une allusion. Non, que le bonheur des yeux. Pour le reste, ma femme me l’offre. Enfin, quand nous sommes ensemble. Actuellement je suis seul dans notre maison de vacances. Elle travaille encore. Je suis parti en éclaireur pour effectuer tout ce qui doit être fait dans une maison inoccupée pendant plusieurs mois. Ainsi, dès le premier jour, elle sera en vacances, vraiment en vacances.
Pour tout vous dire, dix ans nous séparent et, alors qu’elle travaille encore, je suis en retraite. Soixante-six ans et toutes mes dents. Enfin presque. L’avantage d’avoir une femme nettement plus jeune, c’est que vous devez toujours être au top. Dans tous les domaines. Suivez mon regard… Et elle peut me montrer sans en avoir honte. Pas un poil de graisse, des muscles filiformes par le vélo et la natation. Encore ce matin, sur la plage, j’ai été frappé par ces corps de jeunes et moins jeunes enveloppés de graisse, un ventre bedonnant, même chez certains enfants.

Bon, je ne vais pas refaire le monde. Chacun doit balayer devant sa porte. C’est juste pour dire que je me sens bien dans ma peau et que j’attends mon épouse avec impatience.
Ce soir, je suis installé dans le jardin, un verre de poire à la main, un livre dans l’autre. Mes voisins, des locataires se sont calmés. Manifestement les enfants, des ados, sont en balade. Une palissade de bois aveugle nous sépare. Deux femmes bavardent de choses et d’autres. Puis :

— J’ai hâte que Christian nous rejoigne. J’espère qu’il sera plus relax et que… Enfin, je veux dire… Cela fait plus d’un mois qu’il ne m’a pas touchée. Je me demande s’il n’a pas une maîtresse.
— Oh, pareil pour moi, même pire. Deux mois, tu imagines ! C’est le boulot, le stress du boulot. Si j’ai bien compris, une charrette se prépare et cela l’inquiète. J’imagine que c’est pareil pour le tien.
— Je ne sais pas ce qui est le pire, la maîtresse ou le chômage, mais en tout cas je suis… Je regarde les hommes sur la plage, tu te rends compte. Il m’arrive de rêver que… Enfin je ne vais pas te faire un dessin.
— Eh oui, une queue nous manque et nous sommes dans tous nos états. Moi j’ai amené mon petit canard, tu sais celui qui vibre. C’est mieux que rien.

Je ne peux pas les laisser continuer. Je sors et frappe à leur porte.

— Oui ?
— Bonsoir, je suis votre voisin.
— Bonsoir Monsieur.
— Les propriétaires ne vous ont pas prévenus ?
— Non, prévenus de quoi ?
— C’est un peu délicat de vous dire cela maintenant, mais…
— Mais ?
— Et bien voilà. Nos maisons font comme une caisse de résonance et chaque bruit, sur les terrasses, porte assez loin. En tout cas assez loin pour que les voisins d’en face puissent suivre une conversation, même normale.
— C’est une blague ?
— Mais non. Nous avons planté beaucoup d’arbustes mais il faut attendre qu’ils poussent assez hauts pour couper cet effet.
— Attendez, attendez. Vous voulez dire qu’une conversation normale peut être suivie par les gens ?
— Mais oui et comme j’ai surpris, et bien involontairement, votre conversation, qui touche à la vie privée, je voulais vous prévenir. Mais soyez rassurée, il me semble que les maisons sont vides. Enfin, soyez prudentes.

Elle est plus que gênée, aussi je la salue et retourne chez moi.
Le lendemain, on sonne à ma porte alors que je me dore au soleil dans mon jardin. C’est une des voisines, Julie je crois.

— Excusez-moi, mais vous n’auriez pas un téléphone fixe. Mon mari cherche à me joindre, mais on est toujours coupé sur le portable.
— Bien sûr, entrez.

Et je la laisse au téléphone, m’éloignant par discrétion. J’entends, plus exactement je devine que le mari repousse sa venue à cause de cette fameuse charrette.
Elle raccroche et m’appelle.

— Monsieur, j’ai terminé.
— Tout va bien ? dis-je légèrement hypocrite.
— Pas vraiment, mon mari va venir plus tard. Antoine aussi d’ailleurs.

Je comprends qu’Antoine est le mari de la copine.

— Vous semblez bouleversée. Asseyez-vous. Un petit Pineau pour vous remettre ?

Elle accepte et nous bavardons. Elle me raconte sa vie, son mari, ses enfants. Le Pineau est traître. C’est un apéritif sucré qui se boit très facilement, mais l’alcool est bien là. Un verre, ça va. Deux verres, bonjour les dégâts. Trois verres et la vie paraît plus simple. Je tente une plaisanterie :

— Son retard ne va pas arranger vos affaires ?

Elle met un moment pour comprendre que je fais allusion à sa conversation de la veille.

— Oh, Monsieur, vous êtes taquin. Ce n’est pas charitable de se moquer d’une femme. Et vous ? Vous êtes seul ? Vous êtes marié ?

Suit un long interrogatoire sur ma vie sentimentale avec la conclusion, toujours agréable.

— Vous avez 66 ans ? Non, ce n’est pas possible. Je vous donnerais 50, pas plus.

Alors, je sors mon atout.

— Vous savez, une femme jeune vous stimule et ce n’est pas à vous que je vais apprendre que des besoins…

Je laisse ma phrase en suspens voyant que ses yeux s’égarent vers mon short. Elle est troublée. Le Pineau ? La bosse dans mon short ?
Elle se reprend, se lève.

— Il faut que je rentre.

Je l’accompagne à la porte. Nous nous serrons la main. Je la garde plus longuement que l’usage le veut. Elle ne se libère pas. Nos regards se croisent. Je tire sa main vers mes lèvres et l’embrasse. Je la sens fondre et la seconde suivante ce sont ses lèvres que j’embrasse. Oh, baiser fougueux, langues qui bataillent, corps qui se cherchent, poitrine contre poitrine, sexe contre sexe. C’est elle qui se retire et dans un souffle demande.

— Vous avez ?

Il n’est pas nécessaire de préciser.

— Non.
— Moi non plus. Oh, j’ai une idée. Je reviens.

Deux minutes plus tard, elle est là, triomphante, une broîte de capotes à la main.

— C’est à mon fils. Je les avais remarquées en faisant le ménage.

Je l’entraîne dans le salon. Sa robe tombe à terre. La coquine, elle ne porte rien dessous. Mon short glisse, libérant ma verge en demi-érection.

— Oh.

Quel plus beau compliment que ce « Oh » admiratif ? Je ne suis pas de ceux qui croient qu’une grosse queue donne plus de plaisir qu’une normale. Le plaisir est plus subtil. Mais je suis assez fier de la mienne. Merci maman. Je ne suis pas Rocco mais je peux tenir ma place. Je pense « Attends de la voir déployée ». Quelques baisers et coups de langues plus tard, je suis assez raide pour que le préservatif m’enveloppe.
Elle s’allonge sur le canapé, les jambes ouvertes montrant sa chatte poilue. Je pensais que cela n’existait plus, mais si.

— Viens !

Comment résister ? Et qui parle de résister ? Ma queue glisse en elle comme dans un pot de crème. Un mois sans faire l’amour ! Elle est large, profonde et mon pubis frappe le sien. Sa main caresse son clito et ses doigts palpent ma queue comme pour vérifier que ce n’est pas un rêve. Elle gémit et je la baise.

— Oui ! Oui ! Encore !

Tout son corps participe, privé depuis si longtemps de caresses. Je plonge, encore et encore.

— Ahhhhhhhhhhhhhhh

Première jouissance. Heureusement que les fenêtres et les volets sont fermés. Elle n’a pas le plaisir discret. Mais c’est agréable d’entendre le résultat de son travail. Je continue. Mon sexe se perd dans ce gouffre noyé de cyprine et jus de plaisir. J’ai l’impression que mes couilles pourraient entrer. Elles tapent contre son cul. Je ressors entièrement pour regarder le vagin ouvert, les petites lèvres déployées, rouges, écarlates, ses doigts occupant l’espace libre. Je replonge. Han, han, han, frappe le bûcheron.

— Ahhhhhhhhhhhhhhhhhhh…

Encore, elle jouit. Son cri résonne. Enfin elle se calme, anéantie, essoufflée. La sueur colle à sa peau.
Je suis toujours aussi raide. Privilège de l’âge qui donne la résistance. Elle ruisselle de transpiration. J’ai une idée. Le préservatif s’envole. J’avance le long de son corps, amenant mon sexe au niveau de sa poitrine. Je le place dans le sillon de séparation des seins. Des seins blancs, laiteux, volumineux, gonflés par la jouissance. Elle me regarde, surprise, presque inquiète. J’att**** ses mains pour qu’elle presse ses seins l’un contre l’autre, formant un conduit où ma queue disparaît.

Toujours ce regard interrogateur. C’est pas possible qu’avec sa poitrine si généreuse personne n’aie jamais tenté « la cravate de notaire ». Je commence mon va-et-vient, retrouvant mon gland qui dépasse. La peau est douce, soyeuse, plus lisse qu’un vagin. J’insiste pour qu’elle ne relâche pas la pression sur les lobes. Mes couilles frottent contre son ventre. C’est bon. C’est bon. Je sens qu’il monte, se rassemble et… Oui, il jaillit ! Un jet puissant qui frappe le menton, suivi par d’autres moins puissants mais aussi agréables.

Je reste un long moment, laissant mon sexe quitter ce conduit artificiel.
J’indique la salle de bain pour qu’elle se refasse une beauté et nous nous quittons par un « merci, c’était super » et un « à votre service ».
C’est plus tard que j’ai vu qu’elle avait oublié les préservatifs. Comme je ne suis pas un perdreau de l’année, j’ai fait la touche « Bis » sur mon téléphone. Figurez-vous que je suis tombé sur un « numéro non attribué ». Tout était bidon. Quelle comédienne ! Tout ce stratagème pour me sonder ! Mais je n’allais pas me plaindre de cette aventure.
Lorsque j’ai eu ma femme au téléphone, je lui ai tout raconté. Nous ne nous cachons rien, et nous nous autorisons ce genre de faux pas, si l’autre en est informé. C’est elle qui m’a dit :

— Tu vas voir chéri, l’autre va venir bientôt. Te connaissant, la Julie va te faire de la pub. Prépare-toi ! Tu me raconteras ?
— Bien sûr chérie, bonne nuit.
— Toi aussi, coquin. Garde de la forme pour moi, j’en mouille déjà.

Elle avait raison. L’autre est venue le lendemain soir, alors que j’avais entendu la voiture partir.

— Bonsoir. Julie a oublié quelque chose.

Je fais l’idiot.

— Ah bon, mais quoi ?
— La broîte.
— La broîte de quoi ?
— Les préservatifs, voyons. Elle m’a tout raconté.
— Ah ? Bien ! Vous avez bien une minute, j’étais en train de me servir une poire.
— Une poire ?
— Oui, un alcool de poire. C’est divin. Vous voulez goûter ?
— Pourquoi pas. La maison est vide. Ils sont tous au ciné.

Elle s’installe sur le canapé. Je lui propose donc ma poire et j’ai une charmante vision de ses seins lorsqu’elle se penche pour prendre son verre. Le chemisier moulant met bien en valeur sa poitrine, même si elle semble assez petite. Je lui explique comment déguster l’alcool en chauffant le verre entre ses mains, porter son nez pour respirer le parfum de poire qui s’exhale, enfin boire à petites gorgées et se laisser envahir par l’alcool si parfumé. Bien sûr, la première gorgée la surprend mais elle doit bien reconnaître que c’est délicieux. Je propose des gâteaux secs, mais elle refuse, prétextant qu’elle doit surveiller sa ligne. Elle précise même que le soir elle dîne uniquement d’une salade.

Alors commence le jeu de la séduction. Je la félicite sur sa ligne de jeune femme alors qu’elle a deux enfants. Elle aussi m’interroge. Je lui fais aussi le coup de l’homme marié avec une plus jeune, etc. La poire fait briller ses yeux. Je la ressers d’office et, comme elle est quasiment à jeun, l’effet est assez évident.
J’ouvre une parenthèse dans le récit de mon aventure. Je sais que certains d’entre vous pensent que je suis un salaud ou tout le moins un indélicat, d’utiliser l’alcool pour arriver à mes fins. Juste une remarque. Ces femmes sont venues chez moi avec une idée bien précise. Mais il y a un pas, entre le désir, et l’accomplissement. L’alcool n’est pas un inhibiteur de volonté mais, à dose raisonnable, un relaxant qui désinhibe et leur permet de sauter le pas. Je reviens à mon récit.
Je lui tends la perche.

— Alors, si votre mari tarde à venir, il va falloir changer la pile du petit canard.

Je peux presque l’entendre penser « Enfin ». Elle sourit et dit :

— Julie m’a tout raconté. Vous l’avez surprise avec votre « branlette espagnole ».
— Mais oui, c’est ce que j’ai vu. Je ne comprends pas. Elle a une poitrine idéale pour cela. Vous connaissez, vous ?
— De nom. Ma poitrine, et elle défait son chemisier, n’est pas assez grosse.
— C’est vrai, mais elle est magnifique. Elle demande d’autres caresses.

Je contourne la table basse, viens m’asseoir à son côté, et me penche pour porter mes lèvres sur ses seins. Elle se laisse faire et gémit aussitôt. D’ailleurs ses pointes sont déjà bien dressées. Après le récit de sa copine, je suis sûr que le petit canard a chauffé, mais sans éteindre l’incendie.
Nous nous embrassons et sa langue pousse la mienne. Nos haleines fleurent bon la poire. J’ai une idée. Je trempe un doigt dans mon verre et étale le digestif sur ses seins. Je plonge, lèche le liquide qui s’écoule et lui donne mes doigts à sucer. Je sens ses main qui s’aventurent le long de mon dos, flattent mes hanches sans poignées d’amour, s’immiscent entre le short et la peau pour venir se plaquer sur mes fesses.

J’ai du mal à défaire la ceinture de son pantalon. Quelle idée de venir en jean ! Dernier rempart ? S’obliger à réfléchir avant d’aller plus loin ? Elle creuse le ventre mais c’est trop serré. Je m’éloigne. Ses mains me quittent à regret. Je l’invite à se lever, la prenant par la main. Je peux enfin détacher sa ceinture, faire glisser le pantalon et la petite culotte blanche pour faire apparaître son pubis. Le jour et la nuit. Sa copine poilue, elle parfaitement épilée avec cette touche de coquetterie d’une fine traînée de poils savamment taillés qui s’arrête au clito.

Pour elle, il est plus facile d’enlever mon tee-shirt et surtout mon short. Je ne porte pas de slip, aimant sentir mon sexe libre par ces fortes chaleurs. Elle s’agenouille et me caresse avec ses mains puis sa bouche. Elle se débrouille bien, n’hésitant pas à pousser le gland assez profond. Ses mains reprennent le chemin de mes fesses et c’est elle qui imprime son rythme. C’est bon. Sa langue me lèche descendant jusqu’aux couilles. Je frissonne. Non, il ne faut pas venir trop vite. Je lui tends un préservatif et elle s’applique à bien me recouvrir.
Je la fais relever pour l’allonger sur la table.
Cette table a une histoire car ma femme et moi l’avons longuement choisie afin que la hauteur puisse se régler. Elle est souvent le lieu de nos parties et s’adapte donc à nos fantaisies.

La femme est maintenant sur le dos et en saisissant ses chevilles, je soulève ses jambes pour les mettre verticales en appui sur mes épaules. Ainsi sa fente est offerte et ma queue trouve le chemin sans difficulté. Je pousse doucement et elle entre sans réel effort glissant dans une grotte humide et chaude. Deux mois de privation, d’attente, de plaisir refoulé garantissent un jus abondant. Elle est plus étroite que sa copine et cela me va très bien. Ma queue est pressée de toute part. Le visage de la femme (au fait, elle s’appelle Anne) est un livre ouvert. Les yeux fermés, de petits soupirs qui sortent de sa bouche, ses traits détendus, tout montre sa joie de cet instant qu’elle a dû imaginer depuis des heures.

Ses jambes biens calées sur mes épaules, de toute façon, je sens qu’elle cherche même à les écarter pour s’offrir un peu plus, je porte mes mains sur sa petite poitrine. Elle est si petite que chacune de mes mains pourrait contenir un sein. Je les empoigne pour les serrer, les faire gonfler, afin que les tétons se dressent comme deux pointes érigées.
Je regrette un instant de ne pas avoir des liens avec moi. J’ai vu, quelques jours avant mon départ de la maison, sur un site, un homme littéralement étrangler les seins d’une femme avec des cordes fortement serrées à la base. La poitrine se transformait en deux dômes gonflés, écarlates, et chaque fois qu’il les touchait, la femme hurlait de plaisir. Elle racontait après, que cette étrange pratique la rendait si sensible que le moindre toucher la faisait jouir. Demain, je vais aller en acheter. Cela fera une surprise à ma femme.

En attendant, Anne ouvre les yeux et me sourit. Elle comprend que je lui offre ses tétons pour les caresser et ses paumes viennent effleurer la peau soyeuse ainsi que les pointes dures. Elle referme les yeux, gardant ce petit sourire de satisfaction. Tout est en place. Maintenant je commence. Chaque possession est accompagnée d’un « oui » ou d’un soupir. Dieu, que c’est jouissif de baiser des femmes privées depuis si longtemps. Bien que j’aime bien les préliminaires, il est bon parfois de trouver le sexe déjà humide, les seins gonflés, et lire dans les yeux :

— …vite… viens… prends-moi… baise-moi.

Et je n’y vais pas par quatre chemins. Je la bourre. Je vais la faire jouir. Le papy va la faire monter au ciel. Elle va rencontrer Saint Plaisir accompagné de Sainte Jouissance. Dommage que la prudence fasse renoncer à Saint Foutre.
Merde, j’ai oublié de fermer les volets. Nous devons faire un charmant spectacle pour les voisins d’en face. J’espère qu’ils sont en balade. De toute façon, il n’y a pas d’enfants. Alors les adultes peuvent se rincer l’œil.

Trois fois elle a joui. Bravo Papy. Mais elle à la jouissance plus discrète que sa copine. Elle se mord les lèvres pour ne pas crier. Pourtant, nous les hommes, aimons entendre une femme crier son plaisir. Enfin, rien n’est parfait.
Comme je suis encore bien en forme, je présente mon gland à la porte de derrière. La position est optimale. Je pousse.

— Oh, non, pas par-là, dit-elle.

Je pense « Mais ces jeunes ne savent rien. Partout on parle de la liberté sexuelle. On est saturé d’images, de textes qui rappellent à longueur de journées les techniques, les positions, les plaisirs et ils font l’amour à la pépère. Moi, de mon temps »… Tais-toi, papy. Agis, plutôt. Utilise ton savoir-faire.
Ses seins sont trop petits. Je recule, fais sauter la capote, att**** ses chevilles pour faire fléchir les jambes et amener les deux pieds le plus près possible de son minou qui brille. Deux doigts vont récolter sa liqueur pour l’étaler sur la face intérieure des voûtes plantaires. Ma queue vient se loger dans la fente que je crée en rapprochant les deux pieds l’un de l’autre.

La tête de la femme ! Elle doit penser que je suis vraiment un original. Mais après tout, pourquoi ne pas se laisser faire. Tout en redressant la tête pour mieux voir, elle essaye de participer de son mieux en maintenant ses pieds. Je n’ai plus qu’à les guider d’une main pendant que l’autre retrouve le chemin de son minou.
Rassurée, elle s’allonge plus confortablement. Maintenant je me branle avec ses pieds et dans le même mouvement mes doigts, deux, puis trois, puis quatre, investissent son vagin. Je vais doucement, une branlette par les pieds doit être parfaitement contrôlée, n’hésitant pas à enduire ma queue de ce que mes doigts rapportent.

Je la regarde. Son visage parle pour elle. C’est une silencieuse, une retenue, une timide qui n’ose pas crier son plaisir. Vraiment je ne comprends pas cette génération. J’arrive à discerner le changement. Il est temps, je ne suis pas superman. Elle vient… Un frisson. Une secousse. Une nouvelle secousse ? Enfin, je peux me laisser aller. Mon sperme jaillit. Le premier jet, insolant, jaillit sur son pubis. Le second, plus raisonnable, enduit ma main de liquide gluant. Le troisième ? Et quoi encore ? À 66 ans, il ne faut pas rêver.
Ma femme éclate de rire lorsque je lui raconte mon exploit avec les pieds.

— Tu aurais dû l’enculer. Je suis sûre que ce n’était qu’un refus pour t’aguicher. Je ne les sens pas tes voisines. Elles te mènent en bateau. Si novices à notre époque, ce n’est pas possible ! Au fait, j’arrive après-demain. J’ai réservé un taxi. En principe à 23 heures, on va pouvoir ratt****r notre retard.

Le lendemain, les deux voisines débarquent sur le coup de midi, les mains chargées de plats.

— Bonjour. Les enfants sont partis pour la journée, nos maris arrivent demain. Nous avons pensé que nous pourrions manger ensemble. Non ?
— Bien sûr, entrez. Il fait un peu chaud sur la terrasse, installons-nous à l’intérieur.

Le repas est très agréable. Mes voisines charmantes. Tout concourt à un bon moment. Puis la conversation revient sur les maris qui les délaissent, rentrant trop fatigués ou stressés. Éternel reproche alors qu’elles travaillent aussi, s’occupent des enfants et de la maison. Je ne peux m’empêcher de réagir.

— Écoutez, moi aussi je suis passé par là. Un jour, je me suis réveillé avec une envie de nouveauté. Une impression de tourner en rond entre le travail, la femme, les enfants. Toujours les mêmes problèmes. Bien sûr, c’était plus beau ailleurs. Alors je l’ai quittée. Pour une autre, même pas plus jeune, non, une autre tout simplement. Heureusement ma femme a très vite rencontré quelqu’un et, avec le temps, nos relations se sont apaisées.

Anne réagit.

— Bravo, c’est tout à fait ce qu’il faut pour nous remonter le moral.
— Attendez. Donc, avec mon ex nous avons pu aborder calmement cette période. Eh bien, elle aussi avait le même sentiment de routine, mais une femme qui a des enfants se laisse moins conduire par ses sentiments.
— Tout à fait d’accord, enchérit Anne.
— Vous savez ce qui aurait peut-être réglé le problème à l’époque.
— Des consultations chez un psy pour les couples ?
— Non, plus simple. Quelque chose de plus agréable.

Elles donnent leur langue au chat.

— Le sexe. Oui le sexe, tout simplement. Changer la routine. Après dix ou vingt ans de mariage on prend des habitudes. Même si le plaisir est toujours au rendez-vous, on refait toujours les mêmes gestes, les mêmes caresses, les mêmes positions. Innover pendant le sexe, c’est le début de la remise en cause. Le reste suit.

Julie se réveille, sarcastique :

— Alors pour que mon couple dure, il faut que l’on participe à des partouses ?
— Pourquoi pas, si ton mari et toi en avez envie. Mais il n’est pas nécessaire d’aller si loin.
— Moi, je voudrais bien que mon mari innove, mais pour l’instant c’est le calme plat, dit Anne.
— Eh bien, prends des initiatives. Le temps où la femme ne devait pas avoir de plaisir est fini depuis longtemps. Nous vivons dans une période extraordinaire, sexuellement parlant. Tout est possible.
— Tout est possible, tout est possible. C’est facile à dire, rétorque Julie.
— Mais oui. Si vos maris s’endorment, c’est à vous de rallumer la flamme. Il existe des tas de choses qui nous excitent, nous les hommes. Par exemple, achetez de la lingerie sexy. Mieux encore, demandez-lui de vous en offrir, ou de la choisir avec vous. Prétextez un article dans une revue, une émission de télé, pour parler de sextoys, de faire l’amour dans la nature, de positions coquines, que sais-je encore… Mieux, faites appel à son amour propre en racontant de fausses confidences d’amies qui relatent les exploits de leur mari. N’hésitez pas à le provoquer. Jouez la séductrice. Soyez un peu salopes. Nous adorons cela. Proposez-lui de jouer avec des menottes et un bandeau.
— Peut-être, il faut voir… Julie semble septique.

Sa remarque me fait sourire et je ne peux pas m’empêcher de jouer sur les mots.

— Non, justement, il ne faut pas voir. C’est le but du bandeau. Aveuglé par un simple bout de tissu suffit à tout changer, aussi bien pour l’homme et encore plus pour la femme.
— Je ne vois pas comment, insiste-t-elle, avant de rire de sa propre remarque.
— Oh, c’est facile. Nous pouvons faire le test. J’ai tout ce qu’il faut.
— Oui, oui, Julie accepte. Je suis curieuse d’assister à cela, l’encourage sa copine.
— Bon, d’accord.

Je les emmène dans la chambre, où je sors un bandeau et des cordes toutes neuves d’une table de nuit.
Julie accepte qu’Anne positionne soigneusement le tissu. Je l’installe, assise sur le lit, puis nous quittons la pièce car j’ai une petite idée derrière la tête. La porte reste ouverte, aussi je chuchote à l’oreille d’Anne.

— Nous allons jouer un peu. Tu m’as bien dit l’autre jour que tu avais eu une expérience agréable avec une femme.
— Oui, mais c’était avant mon mariage.
— Peu importe la date. Je te propose de la renouveler avec ta copine. On va bien voir si elle fait la différence.
— Ouh ! Ouh ! Qu’est-ce que vous faites ? s’impatiente Julie.
— Patience, je prends des forces avec mon alcool de poire.

En réalité, je donne le verre à Anne afin qu’elle trempe ses lèvres pour recueillir le parfum. Nous retournons dans la chambre. Sans faire de bruit, je pousse Anne vers sa copine alors que je m’installe dans un fauteuil. Elle hésite puis se penche pour embrasser Julie. J’espère que le parfum de poire va lui faire croire que c’est moi. Après tout, nous ne nous connaissons que depuis quelques jours.
Le subterfuge fonctionne. Anne entraîne son amie pour la lever et entreprend de la déshabiller. Je vois qu’elle prend bien soin de ne pas se frotter à elle pour éviter que sa poitrine ne la trahisse. Chaque morceau de tissu qui tombe est accompagné de caresses qui font leur effet sur Julie qui se tortille.

Je me lève pour aller fixer les deux cordes aux angles de la tête de lit. Anne me suit des yeux. Elle comprend, fait allonger sa soumise et attache les poignets. Julie est à sa merci. Elle se prend au jeu et recommence ses caresses. Ses lèvres glissent du cou pour venir s’attarder sur la poitrine opulente de son amie. Ses mains se joignent au repas et elles palpent, pressent les lobes pour en faire pointer les tétons au centre des sombres aréoles. Les lèvres sucent les pointes, puis cèdent la place pour que les doigts les fassent rouler, arrachant de petits cris à Julie qui se cambre sous les caresses.

Anne continue son chemin, abandonnant ses mains en terrain conquis, alors que ses lèvres et sa langue s’attardent un instant sur le nombril puis, descendant encore, atteignent la vallée ombragée de son amie. Elle l’abandonne un instant pour venir s’installer plus confortablement, à genoux, entre les cuisses que Julie écarte un peu plus dans l’attente de la suite.

Les mains reprennent le chemin de la poitrine et un sursaut signale qu’Anne investit la fente cachée avec son gardien encore à l’abri dans son petit capuchon. On dit que les femmes sont les meilleures pour ces caresses et je crains un instant que Julie devine la supercherie. Mais non, en tout cas elle se laisse sucer sans rien dire, si ce n’est de petits soupirs de plaisir.

C’est terriblement érotique et je bande. Je me déshabille rapidement arborant fièrement ma queue raide que seule Anne peut apprécier. Anne que je veux mettre nue aussi. Ce n’est pas facile, dans sa position. Je la fait lever, abandonnant ses caresses, et avec son aide presque fébrile, elle se retrouve comme Ève au premier jour.

— Reviens. Ne me laisse pas. Que fais-tu ?

Julie se sent abandonnée. Je réponds.

— Je me déshabille et Anne aussi.
— Anne, pourquoi Anne ?

C’est elle qui rétorque.

— Eh ! Le spectacle m’excite aussi.
— Mais tu es dans la chambre ? Tu regardes ? Mais je suis…
— Oui, totalement nue, sauf ta foufoune poilue. Tu es ravissante. Ne t’occupe pas de moi. Profite.

Puis s’adressant à moi.

— Allez, occupe-toi de ma copine.

Mais c’est elle qui replonge et reprend ses caresses. Pendant ce temps je sors le « super rabbit » de ma femme et le donne à Anne qui ne semble pas du tout en terrain inconnu. Manifestement, son petit canard vibrant doit avoir des compagnons dans sa table de nuit. En tout cas elle trouve les touches de réglages et on entend bientôt le bruit des vibrations. Le premier contact surprend son amie, mais elle accueille rapidement le long bâton rose dans son vagin. Le bruit des perles qui tournent disparaît, avalé par la chair… Ne subsiste que la faible vibration de la double languette qui vient encadrer le clito.

Anne joue avec l’engin, le faisant aller et venir comme une vraie queue. À chaque fois qu’il est au plus profond, elle le bascule en avant afin que la langue vibrante excite le clito qu’elle dégage avec ses doigts. Julie s’occupe de ses seins délaissés. Elle les maltraite, tirant avec v******e sur les pointes.

Je me glisse derrière Anne qui se redresse pour se placer en levrette. Je guide mon sexe vers sa chatte. Le gland glisse, écarte les petites lèvres, pénètre sans résistance. Au contraire la place est préparée pour être conquise. Elle mouille de notre petit jeu, de faire jouir sa copine, de notre connivence. Voilà, mes couilles gonflées tapent au rythme de mes va-et-vient. Je m’efforce de la baiser doucement pour ne pas la déséquilibrer afin qu’elle continue de donner du plaisir à son amie.

Chacun profite de cet instant. Julie peut-elle imaginer que je baise sa copine ? C’est bon. Oui, très bon. De voir notre figure, de sentir ma verge dans ce con, de voir le rabbit entrer et sortir, de plus en plus vite, de plus en plus fort, d’entendre Julie en demander encore, et même Anne qui se retient pour ne pas parler afin de ne pas rompre le charme.
Je veux conclure. Je me penche vers l’oreille d’Anne.

— Allonge-toi sur Julie. Bouche à bouche, sexe contre sexe.

Elle veut retirer le rabbit.

— Non, laisse-le.

Elle se lève, enjambe son amie et doucement s’allonge sur elle pendant que je maintiens le gode en place, bien calé dans le vagin.
Julie est surprise. Elle sent bien que c’est un corps de femme qui la recouvre. Elle tire sur ses bras oubliant qu’ils sont immobilisés. Elle s’écrie.

— Mais !

Son amie ne lui laisse pas le temps de continuer. Sa bouche forme un bâillon, la langue une pointe qui force le passage de ses lèvres pour aller batailler avec sa propre langue. C’est à cet instant que le doute doit s’installer. Son palais et son nez détectent des odeurs surprenantes, mélange de salive, de jus intime et ce petit goût de… de… mais oui, de poire.
Les deux femmes sont collées l’une sur l’autre. Elles font la même taille. J’accélère la vibration des deux mouvements du rabbit. Anne se tortille un peu, approchant au mieux son clito de la langue vibrante pour en profiter. Elle doit sentir aussi à travers sa peau les vibrations des billes qui tournent dans le sexe de son amie.

Je lâche l’engin. Coincé entre les deux corps, il ne risque pas de tomber. Je pose un pied sur le lit, enjambant les jambes des femmes. Une flexion de la jambe au sol amène mon sexe à la bonne hauteur et je retrouve la chaleur du con d’Anne. J’ai plus de mal à entrer et progresser du fait de cette position mais lorsque je suis bien calé au fond, les vibrations du gode me branlent.
Je tends la main pour dénouer le bandeau. Julie hésite un instant avant d’ouvrir les yeux. Mes mouvements ébranlent notre édifice. Enfin, elle ose. Son regard croise le mien et celui de son amie. Anne laisse échapper un long soupir :

— Ouiiiiiiiii.

Je ne pense plus qu’à mon plaisir. Je baise Anne, mais au regard de Julie, je vois qu’elle aussi ressent ma possession Je vais jouir. Juste le temps de retirer la capote avant que je jute. Mon sperme coule sur le gode qui, infatigable, continue de tourner et vibrer.
Je glisse ma main pour m’en saisir et le retirer pour l’abandonner sur le lit encore en mouvement. C’est drôle comme il paraît ridicule et dérisoire après la jouissance.

Nous attendons d’avoir détaché Julie pour lui demander ce qu’elle pense maintenant du jeu du bandeau. Se passe alors une chose incroyable. Cette femme qui vient de subir, avec son consentement, nos outrages, rougit. Oui, son visage s’empourpre, comme une adolescente devant son premier garçon. Elle ne dit rien, plutôt elle ne pose qu’une question. Désignant le morceau de tissu, elle dit :

— Je peux l’emmener ?

Dès le lendemain, nos relations sont redevenues celles de voisins. Bonjour, bonsoir.

Juste un dernier mot. Quelques jours plus tard, j’ai croisé Anne avec son mari, main dans la main, et au moment où nous nous saluions, elle m’a fait un magnifique sourire, accompagné d’un clin d’œil complice.

J’ai raté ma vocation. J’aurais dû être conseiller-conjugal. Mais un conseiller avec travaux pratiques…

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