Hélène veut se faire enculer
Cette histoire vécu date d’il y a environ 7/8 ans, j’avais 37 ans. Un soir où je me baladais sur un réseau téléphonique sur lequel j’avais mes habitudes pour faire des rencontres sexe, j’entends un pseudo très hard d’une femme : « je recherche un homme pour m’enculer ». Excité et intrigué, je m’etonne Qu’une femme soit si directe. Plusieurs soirs durant, cette femme est présente et toujours la même recherche : « venez m’enculer messieurs », « un homme pour m’enculer svp » …
Surpris, elle ne trouve pas. Dans sa voix de l’excitation et du désespoir à ne pas trouver un chibre pour son cul. Je finis par me décider à lui envoyer des messages, je lui dis qui je suis et lui demande qui elle est.
Qui es-tu ? : « je m’appelle Hélène »
Tu es de Où ? : « Saint Denis »
cool, je ne suis pas très loin
Tu as quel âge : « 53 ans, ça te gêne » pas du tout, au contraire
« Alors viens, viens me baiser »
Ce soir, je ne peux pas, je travaille tôt demain matin.
« T’es comme les autres, du blabla et rien »
Elle coupe le duo, un peu déçu mais bon tant pis et ça me parait surréaliste même si j’ai fait plus d’une rencontre incroyable. Quand une femme a le cul ou la chatte en feu …..
Il se passe quelques semaines et je reviens sur le réseau plusieurs soirs et je réentends Hélène, cette quinquagénaire en manque de bite et qui veut se faire enculer au plus vite. J’imagine que depuis quelques hommes ont du lui donner ce plaisir. Ce qui est sûr, c’est qu’elle est toujours aussi demandeuse.
Je lui envoies quelques messages pour tâter le terrain et la chauffer encore plus si c’est possible.
Elle me demande direct en duo.
Bonjour Hélène, c’est Benoît.
« Bonjour Benoît, tu peux venir ? »
Tu as envie de te faire enculer ?
« Oui, tout ce que tu veux »
Aujourd’hui je peux, donnes moi ton numéro de téléphone, tu me donneras ton adresse après.
Je la rappelle immédiatement, elle me donne son adresse, je lui dis, je suis chez toi dans 1 heure et pars, il ne faut pas trop réfléchir dans ces moments là même si je reste méfiant.
Je la rappelle sur la route pour continuer à la chauffer et moi même bander pendant tout le chemin. Je me demande sur quoi je vais tomber, dessus une cinglé ? Une nympho ? Un traquenard ? Heureusement, j’ai connu d’autres aventures sexes incroyables avec des inconnues sur ce réseau.
Arrivé, je me gare et la rappelle. Elle me dit de monter, je lui demande de m’attendre à 4 pattes, prête à se faire enculer.
J’entre dans la cage d’escalier et vois un homme âgé qui commence à monter l’escalier. Je lui indique que je cherche une femme qui s’appelle Hélène. Il me répond qu’elle habite en haut à l’étage au dessus du sien. Je l’accompagne et l’aide à monter un bagage. Je suis rassuré, ce n’est pas un traquenard. Arrivé devant le palier du vieil homme, il me dit, elle habite là juste en haut de cet escalier. Je prends congé, monte et frappe à la porte. J’aurais du entrer sans frapper peut-être… elle vient m’ouvrir, elle n’est pas nue, je suis un peu déçu mais bon, elle est en tenue légère. Hélène, 53 ans, taille moyenne, cheveux très courts est largement baisable.
On discute un moment, elle m’offre un verre, nous sommes assis dans le canapé en cuir couleur crème. N’en pouvant plus, je lui demande si elle est toujours chaude. « Ouiiiiii »
Déshabille toi ! Elle s’exécute, très contente de ma demande ou mon ordre ….
Assieds-toi et écartes les cuisses. Elle s’installe en bout de canapé, face à moi les cuisses écartées, sa chatte offerte.
J’entreprends de la doigter et plus la fouiller pour la faire mouiller. Elle apprécie sans extase. Je suis proche du fist, elle ne mouille pas assez, et j’ai envie d’autre chose. Après lui avoir travaillé la chatte avec un puis deux, trois et quatre doigts, je lui demande de quoi elle a envie. « Te sucer la bite !!!! »
Je me lève et commence à enlever ma ceinture, elle se jette littéralement à mes pieds, baisse mon pantalon et se met à frotter son visage sur ma queue à travers le caleçon comme une furie. N’en pouvant plus, elle baisse furieusement mon caleçon et en bougeant sa tête dans tous les sens sur ma bite et mes couilles, elle lèche, suce, frotte, bave, branle, une affamée !!!!! Elle gobe mes couilles en me branlant, lèche ma tige, mon gland, avale ma queue jusqu’à mes boules qu’elle malaxe, je ne vais pas durer longtemps à ce rythme, je ne peux rien contrôler. Elle sait ce qu’elle fait et ce qu’elle veut : tirer mon jus ! Elle a faim de sperme. Elle a pris le contrôle de mon sexe. Je sens mon sperme monter, elle le sait, mes couilles dans sa main, elle se met à frotter ma tige et mon gland sur son visage alors que le jus monte dans ma tige et gicle de mon gland. Elle devient folle de bonheur, « Hummmm, ouiiii » elle s’en met partout « j’adore ça, Hummmm, il est bon ton sperme », le visage enduit de ma semence, elle continue en léchant et suçant délicatement mes couilles, ma tige, mon gland. Je la laisse se délecter et je suis soulagé.
Je vais à la salle de bain, elle reste comme ça, je reviens m’assoir en caleçon dans le canapé, j’ai râlé de plaisir et me rends compte que toutes les fenêtres sont grandes ouvertes du fait de cette chaleur d’été amplifiée par la chaleur des toits. Je me dis que les voisins ou voisines ont du en profiter. J’ai été expressif en éjaculant ne contrôlant plus rien mais elle ….. bien plus que moi, comme si sucer, lécher et recevoir du sperme bien mérité est jouissif pour elle. J’adore.
Elle est assis sur une chaise de l’autre côté de la table basse, moi dans le canapé, elle me sert un verre et je récupère, détendu. Nous discutons un moment et je ne peux m’empêcher au fait de lui prendre ses fesses. C’est excitant de discuter avec une femme qui veut se faire sodomiser, je la regarde et je me dis qu’ensuite je vais mettre ma bite dans son cul. Ses pensées, ce cul demandeur juste là, me font gonfler à nouveau mon sexe. Je n’attendais que cela. J’attends encore un peu avant de lui dire : tu te souviens de ce que tu recherchais sur le réseau « Oui » t’en a toujours envie « bien sûr »
Elle m’a démontré tout à l’heure qu’elle n’a pas besoin d’être chauffée mais moi ça m’excite de lui parler.
Alors rappelle moi de quoi tu as envie, pourquoi voulais tu que je vienne ? « Pour que tu t’occupes de mon cul » tu me l’as dit autrement, « que tu me prennes le cul » oui mais exactement…. comment demandes tu sur le réseau ? « J’ai envie que tu m’encules !!! »
Il n’en fallait pas plus, c’est ce que je voulais entendre, ma tige est dure comme du bois, mon gland gonflé au maximum, je me lève et lui dit de se mettre sur le canapé. Elle passe devant moi, je regarde ses fesses, Hummmm. Elle met un genou sur le canapé et me demande « je me mets comment ? » mets toi à quatre pattes. Elle s’installe immédiatement en position, la tête côté fenêtre, son cul vers moi, elle tend bien le cul, se penche en avant, bien cambrée, totalement offerte. Excité et heureux, je profite du spectacle. Elle a un bon cul de femme mature, belle assise, rond mais pas gros. Je découvre son anus dont j’ai envie depuis plusieurs semaines. Whaou j’adore !!! Il en a vu, c’est clair. Son trou est bien éclaté et extrêmement souple ça se voit. Elle me dira plus tard que son ex-mari avec lequel elle est restée une vingtaine d’années ne faisait que la sodomiser à part pour la mettre enceinte pour les deux enfants qu’elle a eu. Ça se voit et ça m’excite. Aucune préparation ne sera nécessaire.
Je mouille juste mon gland et vient le poser sur son anus chaud. Je pousse, aucune résistance, mon gros gland entre dans son trou humide sans difficulté.
Son anus est comme une deuxième chatte, souple, large, mouillé. Je rentre un peu plus et comme souvent ne résiste pas au plaisir de jouer avec la rondelle. Je sors, j’entre à nouveau plusieurs fois en maintenant mon gland gonflé. Sa rondelle s’ouvre encore et ses premiers gémissements ne tardent pas. Elle est plus sensible en anal que vaginal !!! J’adore, tout ce que j’aime chez une femme.
Je pénètre plus profond en guidant ma tige avec mes doigts et je ressors, je vais plus loin à chaque fois jusqu’à être au maximum, collé à ses fesses, mes couilles sur sa chatte. J’entreprends quelques va et viens en la tenant par les fesses. Elle soupire et gémit de plus en plus fort face à la fenêtre, une vrai chienne. Je l’encule comme une bonne salope. (J’aime les salopes).
Elle est où ma bite ? « Dans mon cuuul, hummm, haaaa ! »
Que c’est bon de sodomiser une femme qui adore cela. Je ressors mon sexe et me branle pour faire bien redurcir et gonfler mon gland et lui enfourne d’un coup, et je recommence.
Je fais quoi ? « Tu me prends le cul » non, dis moi comme au téléphone Hélène, « tu m’encules Benoît !! Tu m’encules, continues, c’est trop bon !! »
Je me retiens pour faire durer en sortant ma queue et je la claque sur ses fesses. Je crache dans sa rondelle ouverte et lui remets un coup de bite, je me régale. Alors que je joue avec son trou, elle pousse un gémissement plus long en relevant la tête et se relâche, ma queue est au fond de son cul.
Je lui demande si elle a joui. « Oui »
Elle vient de jouir du cul sans même toucher à sa chatte. C’est la première fois que je vis cela. Habituellement j’adore ejaculer dans la bouche ou sur le visage mais là je ne peux plus sortir. Je ne veux plus me retenir, je lui mets des coups de queues sans retenue, je tape littéralement dans ses fesses et l’att**** par les hanches, mon sperme va gicler, j’accompagne la sortie de mon sperme par un dernier coup de rein, collé à ses fesses, je déverse tout mon sperme au fond de son cul. Je reste dans son trou, je n’ai pas envie de sortir, je suis bien. Son anus est tellement souple qu’il n’expulse pas ma queue même quand j’ai débandé. Je reste de nombreuses secondes jusqu’à ce que mon sexe ramolli sorte de lui même en glissant dans ce mélange de sperme et de mouille anale. Je vais à la salle de bain, cette fois elle va aussi se laver les fesses.
J’ai pris un plaisir exceptionnel, j’ai compris qu’Hélène est très soumise mais surtout accro au sperme et à la jouissance anale. Elle a insisté pour que je reste dormir pour recommencer plus tard. Je décide de rentré.
A refaire…
Merci Hélène !
Ajouter un commentaire