Une histoire emprunté d’une amie
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Je devais être folle de faire ce que j’ai fait, mais c’est ma nature et ça a été un tel bonheur que je le retente de temps en temps mais la première fois était de loin la meilleure.
J’avais lu sur un site web que certains couples un peu « exhibes » donnaient rendez-vous à des routiers sur des aires d’autoroute pour se montrer et donner un peu de piment à leur relation.
Je ne suis pas en couple mais j’avoue que cela m’a trotté dans la tête un bon mois avant que je ne me lance.
Sur ce même site web ainsi que deux autres similaires quand à leur contenu et à leurs orientations j’avais posté un message disant que je serai sur l’aire d’autoroute en question le jeudi soir à 2h30 du matin. Je pensais qu’ainsi il n’y aurait pas foule et que je serai plus à l’aise pour ma première exhibe légère tout en ne faisant pas choux blanc comme on dit. En effet je comptais me montrer et me caresser tout en restant à l’intérieur de ma voiture histoire de ne pas trop tenter le diable la première fois.
Me voilà donc lancée sur l’autoroute dans ma petite citadine à je dois l’avouer, à faible allure. Non pas que j’y allais à reculons mais je réfléchissais à comment tout cela allait se passer, est-ce que j’allais avoir le cran d’aller au bout? Je me suis dit « ma chérie te billes pas, tu restes dans ta voiture et s’il y a un truc qui ne te plaît pas tu te sauve » voilà j’étais rassurée, en fait non pas du tout, mais tellement excitée… Je mouillais déjà beaucoup, en attentant de parcourir les 20 km qu’il me restait, je glissais ma main droite entre mes cuisses, ma robe légère remontait facilement, je pouvais sentir mon clito brûler sous le tissu de mon string, je me demandais pourquoi je n’avais pas pensé à me caresser en voiture plus tôt, pourquoi attendre cette nuit pour commencer je pouvais le faire tous les soirs en rentrant du boulot… Encore un mystère de l’univers à élucider…
A force de rouler je passais devant le panneau indiquant l’aire en question à 2000 mètres. Mon cœur c’est accéléré, alors que ma voiture descellerait tout seule semble t-il…
Je voyais l’aire approcher et je m’y suis engagée quasiment au pas. Je ne savais pas comment m’y prendre, je me suis garée presque à l’entrée du parking pour analyser les lieux.
Il y avait un premier parking tout en longueur avec des sanitaires sur le coté droit, c’était le parking des voitures mais il n’y avait personne. Par contre plus loin en sortie de ce premier parking il y avait un virage sur la droite puis à gauche qui débouchait sur un plus grand pour les camions, il y en avait deux garés presque l’un à coté de l’autre je me demandais si les chauffeurs étaient des habitués des exhibes de couples ou s’ils étaient là par hasard.
Peut-être avaient-ils lu mon post et m’attendaient-ils… Les cabines étaient allumées en tout cas, ils ne dormaient pas c’est déjà ça…
J’ai pris la décision d’allumer le plafonnier de ma voiture afin qu’ils voient qui s’y trouve, en l’occurrence une minette déjà bien chaude comme la braise prête à montrer ses parties intimes à des inconnus et à y prendre beaucoup de plaisir…
Je démarrais au pas et avançais ma voiture dans leur direction. Lorsque je passais devant leurs cabines, je regardais dans leur direction, ils étaient assis derrière leur volant, ils m’ont regardée passer, j’ai fait demi-tour et j’ai tournée deux fois autour de leurs camions au pas avant de me garer face à eux. Ils avaient une vue plongeante sur l’intérieure de ma voiture par le pare brise.
J’étais toujours éclairée par le plafonnier et l’un deux surement habitué me fit un appel de phare, J’ai cru devenir aveugle sur le coup, mais c’est vite passé et il a éteint immédiatement.
Pour les exciter un peu, je fit descendre mon string le long de mes jambes et je baissais ma vitre pour l’accrocher à mon rétroviseur. Je vis une portière s’ouvrir et un homme descendre, il s’approcha de ma voiture l’autre le suivi presque immédiatement. Ils étaient là tous les deux devant mon capot, j’étais très excitée. Pour rire je fit un petit appel de phare, ils se sont regardés et ils se sont débraguettés pour prendre en main leurs engins.
Ils ont commencé à se masturber et je dois l’avouer j’étais toute dégoulinante et en feu. J’ai fait tomber les bretelles de ma robes pour leur montrer mes seins que je malaxais à pleine main tout en alternant avec une séance de pinçage de tétons.
Je leur offrais également la vue de ma vulve toute rosée et gonflée de désir. De temps en temps je glissais un à deux doigts dans mon intimité puis léchais mes doigts langoureusement.
L’un d’eux se saisit de mon string et le renifla, il le passa à son compère tout aussi curieux de sentir mes effluves de désir. Le premier le repris et le frotta sur son sexe, il se masturbait avec, le second avait collé son sexe à la vitre, il dessinait des arcs de cercle sur mon carreau, je lui faisais des bisous à travers la vitre sur le bout du gland, j’étais en sueur j’avais très chaud.
Ils me parlaient à travers la vitre, ils me disaient que j’étais belle et fraîche, que j’allais les faire jouir, mais qu’ils voulaient aussi me voir jouir, L’un me demanda de lui montrer mes fesses, alors je me suis mise à genoux entre les deux sièges et lui ai révélé ma croupe offerte, mon petit minou tout épilé et mon petit œillet tout serré. Le premier a joui sur mon string, je l’ai entendu râler au moment ou il expulsait son sperme sur ma dentelle. Le second c’est complètement lâché sur la vitre conducteur de ma titine. Le premier l’a essuyée avec mon string et me l’a tendu en guise de trophée. Je voyais très nettement les traces blanches laiteuses ainsi que les grosses auréoles sombres sur le tissus. A ce moment je ne pensais pas le récupérer mais il l’a raccroché au rétroviseur.
J’étais tellement excitée de voir que les saligauds étaient toujours en forme, je pris la décision d’ouvrir la fenêtre pour me laisser caresser, je voulais qu’ils me fassent jouir. Ils ne se sont pas fait prier, ils ont passé le bras par la fenêtre et mon caressée de partout, le plus téméraire me mis même des doigts dans le minou. Le second rapprochait son sexe de ma tête, il voulait que je le suce et me le faisait savoir en me faisant coulisser son indexe dans la bouche.
Je le pris donc en bouche et son compère également, je les suçais à tour de rôle.
J’avais passé le point de non retour depuis très longtemps, ils me firent descendre de la voiture et m’accroupirent devant eux et devant les phares de ma voiture. J’entendis un camion passer derrière moi il se gara non loin.
Le troisième chauffeur se joignit à la fête. Il avait les couilles pleines celui là, il jouit très vite dans ma bouche, je laissais couler son jus le long de mon menton. Les deux autres étaient déjà allégés, ils ne jouirent pas ainsi.
Le premier s’adressa à moi.
« Tu en veux toi hein? »
Je lui ai répondu que oui, que j’étais excitée au plus haut point et que je voulais manger de la bite.
« Je vais lancer un appel à la CB » m’a-t-il dit « suis nous on va te montrer un truc »
Ils me conduirent aux sanitaires hommes, et me firent entrer dans une cabine.
Il y avait de gros trous dans les cloisons, trois de chaque coté. On pouvait voir à travers.
Il y avait des inscriptions autour. « mange ça! » « suce! » « avale! » que de beaux poèmes…
Je compris que j’allais devoir sucer les bites qui sortiraient de ces trous, sans même voir à qui elles appartenaient. Je reconnaissais les verges bien droites des trois compères mais très vite il y en eu des nouvelles, il y en avait de très belles, et de très moches aussi… De belles noires…
Je ne sais pas combien j’en ai sucé, mais je les ai toutes faites gicler dans ma bouche.
Quand je me penchais pour sucer d’un côté, je sentais des doigts s’insérer en moi de l’autre.
Mon petit œillet aussi y a eu droit.
Je pense que j’ai du sucer toutes ces queues pendant bien trois quart d’heure. Je n’en pouvais plus, je criais que je voulais être baisée comme une pute et la porte s’est ouverte.
Le premier type toujours lui, m’a dit de rejoindre son camion et de monter dans sa remorque. Je marchais nue sur le parking ou devait se trouver environ vingt camions maintenant. Ils correspondaient à toutes les queux que j’avais pompées. Je passais devant les routiers qui fumaient leurs clopes et me mataient l’œil vicelard.
Ma petite voiture semblait bien petite au milieu de tous ces camions.
Je montais dans la remorque, il y avait des anneaux de fixation un peu partout pour fixer les marchandises mais là elle était vide.
Par terre au milieu il y avait un anneau avec un collier attaché au bout d’une chaîne elle-même prise à l’anneau.
« tu vas te passer le collier si tu veux être prise comme une chienne ».
Je me suis exécutée, je me suis attachée le collier en cuir autour du cou et les ai vu monter un a un dans la remorque. Le premier type raccourci la chaîne afin que je ne puisse me tenir au maximum qu’à genoux.
« Voilà tu es bien docile, tu vas être comblée ma petite chérie, on va bien s’occuper de toi, tu en redemanderas tu verras ».
A partir de là je n’ai plus compté les bites que j’ai sucée, et qui m’ont enfilée comme une vulgaire pute de rue. J’en ai pris pour mon grade, ils se sont bien fait plaisir. Je me suis faite limer durant une bonne heure, ma minette n’était plus rosée mais bien rouge, quand à mon œillet, il n’était plus serré du tout, il n’arrivait même plus à retenir le sperme qu’on y avait fourré quand on me redressait pour avaler du jus d’homme. Ca a duré jusqu’à l’aube. Les gars allaient et venaient et pas que dans mon cul. Certains devaient être loin puisqu’ils avaient repris la route, mais le mot est vite passé, il ne cessait d’arriver de nouveaux concombres à dégorger il ne restait du début de la soirée que le premier type…
J’étais ravie et volontaire certes, mais je commençais à fatiguer.
« Je fatigue il va falloir que je rentre » je crois que j’ai réussi à placer ça entre deux bites à manger.
« tu veux déjà nous quitter ma petite chérie? » « Ok on va refouler les nouveaux tu vas pouvoir aller te reposer ma petite salope »
Je fini donc de vidanger les derniers venus, même le gros lard qui après m’avoir explosé la rondelle avec son gros manche, a insisté pour que je lui gobe le gland jusqu’aux couilles et avale sa crème fouettée jusqu’à la dernière goutte.
Je suis sortie de la remorque couverte de sperme de la tète aux pieds, je suis allée prendre une douche aux sanitaires, le premier type m’avais laissé généreusement son savon.
J’ai trouve ça sympa, mais bon après tout ce que j’ai fait pour eux… quand même…
Quand je suis retournée à ma voiture mon string avait disparu mais ma robe m’y attendait sagement. Il y avait plein de petits papiers sur les essuie-glaces avec des numéros de téléphone et des adresses @mail.
Je savais qu’ils ne m’oublieraient pas car moi non plus je ne les ai pas oubliés.
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