Chapitre 2
Le lendemain matin en cours, j’avais encore du mal à croire que Julian avait laissé son père me baiser. Sur le moment ça m’avait paru excitant mais maintenant… Je n’oserais même plus le croiser tellement j’avais honte !
Le midi, nous marchâmes jusque chez Julian en silence. Heureusement, son père ne rentrait pas le midi.
« Écoute, je crois que c’était une mauvaise idée hier soir. Lui dis-je une fois dans l’appartement. Comment je vais me comporter avec ton père après ça ? »
« Normalement. Je ne vois pas pourquoi ton comportement changerait après ça. »
« Et s’il veut… »
« Te baiser ? Je hochais la tête. Alors tu le laisseras te faire ce qu’il veut. »
« Julian, je ne suis pas vraiment à l’aise avec tout ça et- »
« Tu ne vas pas me dire que tu n’as pas aimé quand même ? Trempée comme tu l’étais… »
« Peut-être, mais de là à recommencer… »
« On en parlera plus tard. »
Nous mangeâmes en silence, après quoi il me demanda de débarrasser. Quand j’arrivais à côté de lui pour prendre son assiette il me plaqua brusquement sur la table avant de se coller derrière moi. Je sentais son érection contre mon cul tandis qu’il baissait mon jeans. Puis il me pénétra et commença ses coups de butoirs.
« Putain j’adore te prendre où je veux et quand je veux. » Dit-il entre ses dents.
Je devais bien avouer que ça m’excitait terriblement aussi. J’étais son esclave sexuelle et devais satisfaire ses moindres désirs. Je contractais ma chatte autour de sa bite.
« C’est ça salope, continu. »
Je sentais l’orgasme monter tandis qu’il enroulait mes cheveux autour de sa main et tirait brusquement ma tête en arrière. Mais il se retira et, aidé de mes cheveux, me fit m’agenouiller devant lui.
Il mit sa bite dans ma bouche et après quelques rapides vas et viens qui tapèrent au fond de ma gorge, son sperme se rependit dans ma bouche. J’avalais docilement et il relâcha mes cheveux, puis renfila son boxer et son pantalon. D’un signe, il m’indiqua de ne pas bouger et parti dans sa chambre.
« Remet toi sur la table. » M’ordonna-t-il quand il revint.
Je m’exécutais et le senti introduire quelque chose dans mon vagin.
« Maintenant tu peux te rhabiller. »
Je remontais mon jeans, puisque je ne portais pas de culotte comme la plupart du temps étant donné qu’il me l’interdisait. Je finis de débarrasser la table en vitesse et nous repartîmes pour le lycée.
Nous avions le même prof pendant quatre heures. L’après-midi s’annonçait longue, même si le cours était intéressant. Comme le prof d’ailleurs, qui avait à peine trente ans et qui était adepte de la salle de musculation. A chacun de mes pas, je sentais l’œuf que Julian m’avait mis dans la chatte bouger. Si bien qu’en arrivant devant la salle j’étais trempée.
Dans ce cours la, Julian n’était pas à côté de moi. J’étais au premier rang, juste devant le bureau du prof et à côté d’une des rares filles de la classe Lara. Car nous n’étions que quatre filles pour treize garçons. Quelques minutes après que le cours ait débuté, je sursautais. L’œuf venait de vibrer. C’était la première fois que je portais un sextoy en cours et j’avais déjà suffisamment peur que quelqu’un le remarque, alors qu’il m’ait mis un œuf vibrant et qu’il le fasse fonctionner en plein cours… Je jetais un œil à Lara qui semblait ne rien avoir remarqué. Le prof qui était debout au tableau non plus.
Quand je tournais la tête vers Julian, il m’adressa un sourire et reporta son attention vers le tableau. Je tentais de me rassurer. Il n’y avait aucune raison que quelqu’un se rende compte de quoi que ce soit.
Les fibrations finirent par cesser. Pour reprendre une demi-heure plus tard et augmenter en intensité. Je me tendis. Le plus dur était de ne pas gémir. Il s’amusa ainsi à éteindre et rallumer l’œuf jusqu’à la pause. Il fut le dernier à sortir et je l’attrapais par la manche.
« Quelqu’un va finir par s’en rendre compte Julian. » Murmurais-je.
Il me regarda, amusé.
« Ça te fait tellement du bien que tu as peur de gémir ? Je suis certain que tu es trempée et que toute cette situation t’excite. Il se rapprocha. Qu’est-ce que tu crois que dirai le prof s’il s’en rendait compte ? Puis il éclata de rire. Ça serait marrant qu’il voit la chienne que tu es tu ne penses pas ? Derrière tes airs de première de la classe… »
« Et Julian ! Nous nous tournâmes vers Alex qui était dans notre classe. On fait une soirée ce soir, ça vous dit de venir ? »
« Oui pourquoi pas. Accepta Julian. On peut dormir sur place ? »
« C’est prévu oui. Donc à 20 chez moi c’est bon ? »
« On y sera. »
Quand Alex fut parti, Julian se tourna vers moi.
« Ça va aller avec ta tante ? »
Je haussais les épaules.
« Je passerai demain ou dimanche. C’est pas comme si ma non présence la dérangeait. »
Je vivais chez ma tante depuis mes huit ans, après que mes parents ce soit tués dans un accident de voiture. Mais nous n’avions jamais été très proches et c’était encore pire depuis mes seize ans. Moins on se voyait et mieux on se portait.
Les deux heures de cours restant, Julian continua à s’amuser avec l’œuf, mais à mon grand soulagement il s’abstint de le déclencher quand nous faisions des exercices et que la classe était silencieuse.
Finalement, il se rattrapa sur le trajet du retour où il mit l’œuf à sa puissance maximale. J’avais du mal à marcher et à retenir les gémissements qui franchissaient parfois mes lèvres, faisant se retourner les passants. Arrivé à l’appartement de Julian j’étais à bout de souffle. Sans éteindre les vibrations, il m’entraîna dans la cuisine où il me demanda d’enlever mon jeans avant de me pencher sur le plan de travail et de relever une de mes jambes. Il frotta sa queue contre ma fente trempée.
« Tu es tellement mouillée que je ne vais pas avoir besoin de lubrifiant pour t’enculer. »
Je tentais de bouger, mais il me tenait fermement.
« Attends Julian je- »
Mais il ne m’écoutait pas. Je sentis sa queue se presser devant mon cul avant que son gland ne me pénètre. Je criais, mais ça ne l’empêcha pas de s’enfoncer jusqu’à la garde.
« Tu vois, comme dans du beurre. Je peux même sentir l’œuf qui vibre dans ta chatte. »
Il commença par de lents vas et viens, et quand il entendit que j’avais cessais de gémir de douleur il accéléra ses coups de butoirs. Je me mis à crier alors qu’il m’agrippait fermement les épaules pour maintenir son rythme effréné. Sans crier gare, j’eu un orgasme et Julian se répandit dans mon cul presque aussitôt. Après quelques secondes il se retira et éteignit l’œuf.
« Nettoie ça avant que mon père arrive. Tu as tout trempé. » Dit-il en ramassant nos pantalons avant de sortir de la cuisine.
Je m’empressais de prendre de l’essuie tout que je passais sur le plan de travail et le sol. Quand j’entendis la porte d’entrée s’ouvrir et se refermer, je baissait mon haut le plus possible pour qu’il couvre mes fesses, que je serais pour que le sperme de Julian ne sorte pas, et sortie à mon tour de la cuisine.
« Oh, Charlotte. Bonjour. » Fit monsieur Cooper en me regardant de bas en haut.
« Bonjour monsieur Cooper. » Murmurais-je sans m’arrêter.
J’allais m’enfermer dans la chambre de Julian, où il n’était pas. Mais ses affaires étaient en tas sur le sol, aussi présumais-je qu’il était sous la douche. Quand il revint quelques minutes plus tard avec une serviette nouée autour de la taille, il pointa la porte derrière lui.
« Va te laver, pendant ce temps je vais voir comment tu vas t’habiller. »
Quand j’arrivais dans la douche, je relâchais mes muscles et le sperme chaud de Julian coula entre mes cuisses. Je me lavais rapidement et retournais dans la chambre, une grande serviette nouée au-dessus de mes seins et une autre dans les cheveux. Julian avait étalé plusieurs vêtements à moi sur son lit. Il y en avait que j’avais remmené de chez ma tante et d’autres qu’il avait tenu à m’acheter.
« Met toi nu. »
Je posais ma serviette au bout du lit et il me tendit un soutien-gorge en dentelle noire, que j’enfilais.
« Tu vas mettre cette jupe noire avec des talons. Mais je ne sais pas quel haut irait le mieux. Va pour le rouge. »
Il me tendit le reste de ma tenue. Une jupe noir moulante qui m’arrivait à mis cuisse ainsi qu’un haut rouge qui laissait voir une grande partie de mon dos. J’enfilais le tout. Le haut me faisait aussi un profond décolleté et le tissu tombait d’une telle façon qu’on voyait un peu la dentelle de mon soutien-gorge sur le côté.
« Parfait. Maintenant enfile ses escarpins. » Dit-il en me tendant une paire d’escarpins noirs à talons aiguilles.
Je les mis avant de me diriger vers la commande où se trouvaient mes sous-vêtements. Julian me retint par le bras.
« Pas de culotte ce soir. »
« Mais c’est une jupe ! »
« Et elle est assez longue pour que personne ne remarque que tu ne portes pas de culotte. »
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Merci à tout ceux qui ont aimé le premier chapitre.
Pour répondre à tout le monde, rien n’est réel dans cette histoire, même si j’aurai aimé le contraire 😉
J’espère que ce chapitre là (un peu plus long) vous aura tout autant plus que le premier.
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