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J’ai donné ma femme à des hommes

J’ai donné ma femme à des hommes



Tout à leur affaire, obnubilés par les gestes sans équivoque de Mado et le désir qui montait doucement vers la pointe de leurs queues tendues, les trois hommes n’ont pas entendu le léger bruit du petit moteur électrique qui actionnait l’ouverture du toit. Une bouffée d’air moite emplit presque instantanément la voiture, peinant à régénérer l’atmosphère un peu lourde qui régnait dans l’habitacle. Mado, elle, a bien vu que quelque chose se tramait. Je l’ai senti à la manière dont elle a serré ses doigts sur ma queue, sous le short. Elle a débuté quelques mouvements plus rapides sur mon manche, n’hésitant pas à monter jusqu’au bout de ma bite. Je ne voulais pas en rester là, préférant jouir dans son ventre que dans sa main. J’ai pourtant apprécié ses gestes et je l’ai laissée me masturber quelques instants, pendant qu’elle continuait à se doigter sans pudeur la chatte et le cul, sous le regard ébahi des trois voyeurs.

– Oh Mado, tu te donnes à fond ! Matez ça les gars, ma femme se branle pour vous. Deux doigts dans la chatte, un dans le derrière, rien que pour vous. Vous entendez comme ça chuinte quand elle bouge ses phalanges dans son vieux trou de salope ? Ecoutez bien, c’est le bruit de sa mouille qui clapote. Ca coule jusqu’à son trou du cul, c’est pour ça que son doigt entre si bien dans sa rondelle. Elle se l’enfile jusqu’à la garde la chienne ! D’habitude, c’est ma bite qui passe par-là ! Pendant ce temps, elle me touche la queue, là, sous mon froc. C’est une bonne branleuse, elle me pelote bien le nœud. Ca vous fait triquer raide, hein ? Vous n’en pouvez plus les gars ! Il va falloir vous vider les couilles bientôt. Toi, hé toi, le gros là, j’ai une surprise pour toi ! Oui, toi, l’obsédé, c’est à toi que je parle ! Grimpe sur le capot maintenant et viens voir ! Voilà, tu y es ? Tu vois ma main qui sort ? J’ai ouvert le toit. Penche-toi un peu et tends le bras dans la caisse, touche-lui les nichons, elle aime ça !

Le gars ne se sent plus. Je lis la satisfaction sur son visage. Du coup, il a lâché sa queue et a obéi à mes ordres, trop content de pouvoir enfin toucher cette grosse cochonne de Mado, de tâter son gras, d’enfin sentir le grain de sa peau et la rondeur de ses seins. Ses doigts s’avancent, s’approchent du nibard qu’ils visent. Plus que quelques centimètres, voilà, ils effleurent le téton, s’emparent du globe laiteux, le malaxe. Le mec se courbe un peu plus sur l’ouverture du toit, il plonge presque dans la voiture, avide de caresser les mamelles épanouies de Mado. La salope lui att**** l’index avec la bouche, elle le suce un peu, pour l’humidifier. Elle le relâche et le doigt file immédiatement sur la tétine qu’il fait rouler, qu’il pince avec la complicité de son voisin.

Dehors, les deux autres voyeurs s’excitent, ils veulent eux aussi leur part du gâteau. Ils s’impatientent, leurs mains s’agitent sur leurs mandrins. Leurs glands, tendus à exploser cognent toujours plus contre la vitre, comme s’ils voulaient forcer le passage. L’un d’entre eux, n’y tenant plus, grimpe à son tour sur le capot. Il se fraye tant bien que mal une place à côté de son compagnon. Bientôt, son visage apparaît dans la lucarne, faiblement éclairé par la lumière du soleil couchant. Il tend un bras à l’intérieur. Lui aussi veut tâter les miches de Mado. Comme son voisin, il veut lui branler les bouts, faire rouler les grosses boules sous la paume de sa main. C’est celui que j’ai traité de chien pervers tout à l’heure. Je recommence à l’allumer :

– Oh Mado, tu verrais cet obsédé ! Un vrai pervers ma parole. C’est déjà celui qui lapait la vitre quand tu lui mettais ta chatte sous le nez. Il n’a pas une très grosse bite, mais sa tige est assez longue. Il s’astique la queue d’une main pendant qu’il tire sur ton nichon de l’autre. Ca te fait mouiller ma chérie, tu coules comme une glace qui fond au soleil ! Oh, oui, tâte-moi les boules un peu, oh…

Ca devenait très chaud. Il fallait que j’intervienne si je ne voulais pas finir par juter entre les doigts de ma femme. J’étais toujours bien résolu à l’enfiler et à vider mes burnes dans ses entrailles. Je voyais aussi qu’elle commençait à ne plus pouvoir correctement contrôler ses gestes. Son bassin se soulevait de plus en plus rapidement pour venir à la rencontre des doigts qui lui fouillaient la vulve et le cul. Les effets des caresses des deux gars sur sa poitrine se faisaient aussi sentir. Elle poussait des gémissements et des soupirs toujours plus forts et moins sages. Il était vraiment temps de la modérer dans ses ardeurs si je ne voulais pas qu’elle jouisse en se masturbant.

– Calme-toi Mado, calme-toi ! Tu vas trop vite. Si ça continue, tu vas jouir toute seule et ce serait dommage. Tu vas te lever lentement et sortir tes doigts de tes trous ! Ne t’inquiète pas, je vais vite te combler ! Voilà, redresse-toi comme ça ! Mets-toi carrément debout et passe la tête par le toit ouvrant maintenant ! Je recule le siège à fond pour que tu puisses poser les pieds au sol. C’est bon, tu es en place. Tu vois les deux belles pines qui t’attendent ? Sors les mains et branle-les un peu ! Ces messieurs ont bien mérité que tu les touches. Ils ont été patients, récompense-les, branle-les gentiment !

Les voyeurs devenaient toujours plus acteurs du spectacle à mesure que les évènements s’enchaînaient. Seul le troisième, peut-être un peu plus timide ou moins expérimenté que les autres, se tenait encore à l’écart, la verge à la main. Je lui fis signe d’approcher et de monter à son tour sur le capot de la voiture. Les amortisseurs encaissèrent le coup tant bien que mal. Mado avait lâché ma queue pour s’emparer de celles, dressées comme des pieux, des deux types les plus volontaires. Elle les a masturbées durant quelques secondes puis, sans que je ne lui en donne l’ordre, elle a tiré la langue pour lécher les bouts dégoulinants et rouges, l’un après l’autre. Cette fois-ci, même le troisième mec a eu droit à sa petite gâterie. Bien vite, Mado ne s’est plus contentée de petits coups de langue, elle a ouvert la bouche et enfourné une première bite sur laquelle ses lèvres se sont immédiatement mises à coulisser. Elle passait alternativement de l’un à l’autre sexe, sans le moindre moment de répit.

C’est à cet instant que je me suis décidé à passer derrière elle. Je me suis agenouillé sur le siège de cuir. Des deux mains, j’ai écarté d’autorité les cuisses de mon épouse. Elle a vite compris où je voulais en venir et s’est pliée de bonne grâce à tout ce qui a suivi. Elle a ouvert ses jambes en grand. Quand j’ai posé mes mains sur ses hanches, elle a cambré son cul en arrière et creusé ses reins spontanément, dans l’attente de la pénétration. J’ai passé le bout de mon phallus entre ses fesses. J’ai buté un peu sur son petit trou, celui qu’elle avait déjà bien ouvert avec ses doigts auparavant. Ce n’était pas la porte que je voulais forcer mais je n’ai pas pu m’empêcher de frotter mon gland sensible sur le pourtour de l’anus. C’était très doux et un peu humide d’excitation. Je suis reparti plus bas, cherchant à me frayer un passage entre les cuisses de Mado, pour trouver l’orifice qui avait ma préférence ce soir-là.

Devant ma femme, qui me tournait le dos, je pouvais voir les trois hommes qui se pressaient pour se faire pomper le dard. Je déportai un peu ma tête vers la droite pour admirer le spectacle libidineux offert par la bouche de Mado. Celle-ci avait pris deux têtes de pine dans la bouche en même temps et les suçait du mieux qu’elle pouvait, les joues distendues par les gros glands serrés. Avec ses mains, elle branlait les sexes qui, temporairement, ne lui remplissaient pas la gueule, massant les nœuds tuméfiés, empaumant les couilles contractées.

Tout en savourant la scène terriblement excitante de ma femme soumise aux caprices des trois hommes, je m’enfilai enfin dans la gaine chaude de son trou du devant. C’était toujours un réel délice, tant Mado savait se faire coulante et serrée quand elle le voulait. Ses fesses vinrent instantanément se coller contre mon bas-ventre. Dès le début, elle adopta avec ses hanches le même rythme que j’imprimais aux miennes. Je l’ai labourée un bon moment durant lequel elle est parvenue à faire jouir successivement dans sa bouche et sur son visage de femme mûre les trois hommes grimpés sur la voiture. Quand, à mon tour, j’ai fini par lâcher la sauce dans son ventre, elle a poussé un cri déchirant qui a empli tout l’espace de la clairière. Juste après, les applaudissements ont fusé. Quand j’ai ouvert les yeux, il y avait au moins une dizaine de personnes, femmes et hommes réunis, attroupées autour de notre petit groupe.

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