J’étais assez fuyant lors des repas, ma mère m’en fit la reflexion, me demanda si quelque chose me tracassait ou me préoccupait. J’avais du mal à lui cacher mes emotions. Ma soeur sortait également peu de sa chambre, elle révisait ses partiels, et continuer d’échanger des messages avec son amoureux virtuel. Elle avait d’ailleurs décidé de ne plus voir son copain pour un certain temps, ce qui semblait avoir anéanti le pauvre garçon. Il faut dire que ma soeur l’avait fait longuement patienter, il passait de la friendzone à celle de copain auquel elle faisait des bisous, mais ça s’arrêtait là. Ca faisait presque un an qu’elle lui faisait vivre cette situation, sans voir qu’il en souffrait.
Le soir, j’ouvris à nouveau la porte de la panic room. Sandrine était en train de manger une tranche de jambon avec du pain. Elle me jeta un regard.
– Je vais te sodomiser ce soir.
Sandrine ne bougea pas et ne montra aucune réaction particulière. Je lui fis signe d’approcher. Je lui montrais un baillon, avec une grosse boule noire à mettre dans la bouche.
– Tu auras tous tes sens ce soir. Je t’interdis juste la parole. Tu communiqueras avec moi par écrit.
Je lui mis la boule du baillon dans la bouche, et ferma la sangle. Je lui demandais de retirer son soutien gorge et sa culotte dont elle était uniquement vétue. A chaque fois, cela necessitait que je retire les menottes aux chevilles, mais je les remettais tout de suite après.
– Va me chercher ce que tu m’as écrit sur ta fille.
Sandrine alla vers son matelas, s’agenouilla, et ramassa la feuille. Je pus constater qu’elle avait rédigé quelques phrases.
Je fis signe à Sandrine de sortir de la pièce. On marcha jusqu’à ma chambre. Elle faisait des petits pas, contrainte par la faible longueur des attaches à ses chevilles. Je lui indiquais ensuite mon lit, sur lequel étaient posés un flacon de lubrifiant, et quelques photos de sa fille que j’avais imprimé depuis son profil sur facebook. Sandrine s’installa, et je lui tendais le gel.
– Mets le toi.
Elle appuya sur le poussoir plusieurs fois, fit venir le gel dans sa paume, et écarta les jambes pour s’en passer sur la chatte et entre les fesses. Je me déshabillais à mon tour, et lui fit signe de se mettre à quatre pattes. Je mis les photos de sa fille sur le lit devant nous, pour bien les voir, et je pris la feuille sur laquelle elle avait écrit. Je posais une autre feuille et un crayon sur le lit. J’écartais les fesses de Sandrine, regardais son anus étroit offert à moi, y présenta mon gland, et força doucement le passage. Tandis que Sandrine commençait à gémir, je me mis à lire ce qu’elle avait écrit.
« Ma fille Manon a 21 ans. Elle est née à Paris. Elle fait 1m70. Elle est brune aux yeux verts, elle travaille chez un fleuriste comme vendeuse. Elle a un joli corps et une jolie poitrine, elle fait du 95C. »
Ma queue était maintenant enfoncée jusqu’à la garde dans le cul de Sandrine. Je commençais à aller et venir. Ma queue glissait bien, grace au gel.
– Il est bon ton cul… Je t’encule en regardant le visage de ta fille… Elle a de bons seins alors… et sa chatte ? tu ne m’as rien écrit sur sa chatte… Ecris, elle est comment la chatte de ta fille ?!
Sandrine prit le crayon, et écrivit : « je ne sais pas »
– Comment ça tu ne sais pas ? Ca m’étonnerait… Une mère et une fille ça se connait bien… Ecris moi. Ou tu vas passer plusieurs semaines dans le noir… Jusqu’ici je t’ai laissé la lumière, mais ça peut changer…
J’enculais Sandrine à toute vitesse. Quand elle rapprocha le crayon pour écrire à nouveau, je ralentis la cadence et regarda : « epilée »
– Complétement ?
« non. un triangle »
– Mmmmhh ça doit etre joli à voir, ses beaux seins, et sa petite chatte bien entretenue. Elle doit etre bonne à baiser. J’ai envi de lui défoncer la chatte quand je vois son visage sur les photos. Lache le crayon, et masturbe toi pendant que je t’encule. Masturbe toi en regardant ta fille.
Sandrine s’executa doucement. Je pus sentir sa main et ses doigts toucher ma queue pendant qu’elle se carressait. Je sortis ma queue de son cul, et la fis s’assoir sur le lit. Je lui posais deux photos devant elle, et lui demanda de continuer de se carresser.
– Regarde la et masturbe toi. Je veux que tu jouisses en regardant ta fille.
Sandrine se masturbait fort. Ses doigts glissaient sur son clitoris et tournoyaient dessus. Je me branlais aussi, et m’approcha un instant, pour éjaculer sur les photos. Sandrine me regarda.
– Continue… A toi de jouir…
Sandrine ferma un peu les yeux, se masturba encore plus vite.
– Ne ferme pas les yeux. Regarde ta fille. Regarde ta fille pleine de sperme.
Sandrine continua, puis s’arrêta un instant, prit le papier et le crayon, et nota : « je ne peux pas jouir pour elle »
– Ah tu crois ça ?
Furieux, je me levais, et saisit Sandrine par le bras. Elle manqua de trébucher à cause des menottes, et je la reconduisis dans la panic room. Je la poussais à l’interieur.
– Tu vas reflechir à tout ça. Débrouille toi pour retirer le baillon. Et je te laisse dans le noir cette fois-ci.
Sandrine me regardait avec dégout et effroi.
– Je te jure que dans quelques temps, tu te masturberas et tu jouiras pour ta fille. Et tu aimeras ça.
Je fermais la porte de la panic-room, laissant Sandrine dans le noir absolu. Je remis la bibliothèque en place. Je méritais bien une douche à présent, et je me devais de réflechir à la soirée du lendemain, et dans quel restaurant j’amenerai Manon.
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