Chapitre 2 : Julien ne lâche pas l’affaire.
Plusieurs mois se sont écoulés depuis la fois où j’ai couché avec mon frère. C’était à la Saint-Valentin. J’étais en manque, je savais qu’il fantasmait sur moi, alors je me suis servie de lui. Je ne m’attendais pas spécialement à grand-chose, mais il m’a surprise. Il avait un beau chibre et savait mieux s’en servir que je ne le croyais. Il m’a fait jouir, et m’a prise plusieurs fois. Je n’ai jamais osé le lui avouer, mais j’ai beaucoup apprécié ce qu’il m’a fait. J’aime être dominée par un mâle. Enfin, dans les limites du raisonnable tout de même.
Bien sûr, je savais que c’était mal. C’était mon frère. Nous n’aurions jamais dû faire ce genre de chose. C’est pour cette raison que je lui ai bien fait comprendre qu’il ne s’agissait que d’un cas exceptionnel et que cela ne se reproduirait jamais. Je ne sais même pas moi-même ce qui m’est passé par la tête ce jour-là. Je crois que j’avais juste besoin d’une bite. Je n’avais jamais vraiment songé à faire des choses i****tueuses avec mon frère avant ça. Il ne m’avait jamais particulièrement attirée. Pourtant, je dois bien l’avouer, savoir qu’il fantasme sur moi a quelque chose de… excitant.
J’ai un nouveau petit copain depuis. Comme j’ai vingt-et-un ans, mes parents ne me font pas trop d’histoires lorsque je le ramène à la maison pour passer la nuit ensemble. Ils se doutent bien que ce n’est pas pour faire des soirées pyjama, mais ils savent aussi que je suis adulte et que j’ai le droit de disposer de mon corps comme j’en ai envie.
Ce matin, lui et moi avons fait l’amour au réveil. J’étais d’humeur coquine. Je l’ai réveillé avec une pipe, puis il m’a baisée comme sa traînée. Dans un élan de perversité, j’ai accentué mes cris pour m’assurer que mon petit frère, voisin de chambre, m’entende. J’espérais quelque part que ce petit con se branle en pensant à moi. Mon homme m’a follement fait jouir avant d’éjaculer dans ma chatte. J’ai adoré. Voilà une journée qui démarre bien.
À présent, je prends une douche pendant qu’il se repose. L’eau chaude perle sur mes seins et glisse sur mes rondeurs. Mes cheveux sont collés ensemble. J’ai les yeux fermés. Je suis aveuglée par les jets et la vapeur. Je me sens bien, relaxée, quand j’entends du bruit dans la salle de bain. Je souris. Il est venu me rejoindre. Je me demande s’il est déjà prêt pour un second round. Moi, je le suis, en tout cas. La porte de la cabine couverte de buée s’ouvre derrière moi ; je me retourne pour l’accueillir et je pousse alors un cri de stupeur : ce n’est pas mon chéri, mais mon frère, nu, la verge dressée, qui vient d’entrer.
— Julien ! Tu es fou ?! Qu’est ce que tu fous ici ?! m’insurgé-je.
— Je n’en peux plus. J’ai envie de toi.
Je tente de le repousser mais il me saute dessus et se met à me peloter. Je n’arrive pas à y croire ! Quel culot ! Mais je dois dire que cela m’excite un peu. Je ne dois pas être normale. J’ai un petit copain que j’aime, avec qui je viens juste de baiser et qui m’a procuré un bel orgasme, et pourtant je trouve encore le moyen d’être excitée par mon petit pervers de frère qui vient essayer de me sauter sous la douche comme si j’étais sa pute. Je rejette cette pensée loin de mon esprit. Tout ceci est mal. Je me débats, je cherche à échapper à ses caresses, mais il insiste. Lorsqu’une de ses mains atteint ma chatte, plusieurs des mes barrières tombent. Je me fais doigter par mon frère alors que j’ai le vagin rempli par le sperme d’un autre homme ; et, au fond de moi, j’aime ça. J’ai envie qu’il continue mais ma fierté, plus que ma décence, m’interdit de le lui faire savoir, et encore moins de le lui dire. Alors je continue de lui dire non, à faire des gestes pour l’éloigner de moi, en priant pour que cela ne l’arrête pas.
— Tu ne peux pas faire ça, Julien, je suis ta sœur ! J’ai un petit copain ! Il est juste à côté, en plus.
— C’est ta faute ! aboie-t-il. Tu crois que je ne me suis pas rendu compte de ton petit manège ? Tu crois que je n’ai pas compris que tu faisais exprès de crier fort pour m’allumer ? Bah, c’est réussi ! Je suis au bout de mes limites, Natasha. Ces derniers mois ont été une torture pour moi. Je n’en peux plus, j’ai besoin de te baiser. Je te VEUX !
Sur ces mots, il me plaque contre la vitrine, empoigne son sexe et me fourre d’un trait. Cela me fait frémir. Je ne me débats plus. Je le laisse me prendre comme il en a envie. Je suis à lui. Je proteste juste un peu pour ne pas me montrer totalement vaincue :
— Je suis ta sœur, c’est mal…
— Ose me dire que tu n’en as pas envie !
— Je ne veux pas !
— Tu n’es qu’une menteuse ! Tout ton corps me dit le contraire ! Il est honnête, lui, au moins ! Tu n’es qu’une salope qui s’amuse à allumer son frère, et tu vas enfin avoir ce que tu mérites !
Je n’attends que ça, les seins pressés contre le verre. Il me lime comme un a****l en manque. Je peux sentir dans sa fougue toute la frustration qu’il a accumulée depuis la Saint-Valentin. À vrai dire, je suis même plutôt surprise qu’il ait attendu aussi longtemps avant de craquer.
— Julien, je suis encore pleine de foutre de Pascal, fais-je plus pour partager mon excitation de ce fait pervers que pour lui donner une raison de tout stopper.
— Rien à battre ! Quand j’en aurais terminé, j’y ajouterai le mien !
Cette pensée me fait mouiller. Sa queue qui me transperce la chair me fait un bien fou. J’ai envie d’elle et de la sentir juter au fond de moi. Je suis une nouvelle fois surprise de voir avec quelle virilité il me prend, lui qui est tout maigre et chétif, et généralement plutôt timide. Je me dis que cela doit être le résultat de l’effet que je lui fais, et cela m’excite autant que cela me flatte.
Il me tient par les hanches et me donne de violents coups de boutoir. Il me décolle de la vitre pour pouvoir jouer avec mes seins. Je sais à quel point il les adore. Il les pétrit et me les masse. Je ne peux plus retenir mes gémissements. Il me tient contre lui. Il m’embrasse l’épaule et le cou, puis me chuchote des choses :
— Je t’aime, Natasha… Je te veux pour moi, rien qu’à moi ! Je ne supporte pas te de voir avec quelqu’un d’autre. Pourquoi me fais-tu du mal comme ça ?
Son aveu me surprend et me touche. Le pense-t-il vraiment ? Ou croit-il seulement le penser ?
— Je suis ta sœur !
— Je m’en fous ! Je t’aime ! Je veux que tu sois mienne !
Je ne suis pas sûre que cet « amour » soit vraiment partagé, mais sur le moment je suis séduite par l’idée de lui appartenir et qu’il puisse surgir de nulle part pour venir me sauter quand il en a envie.
— Alors fais-moi tienne, dis-je.
Ce consentement de ma part doit déclencher chez lui une explosion d’émotions. Il me retourne face à lui et m’embrasse à pleine bouche. Je perds la tête, et je lui rends son baiser. Il descend pour m’empoigner les seins et me sucer les tétons. Le petit salaud… Je suis extrêmement sensible à cet endroit. Je frémis. Il a une façon de me caresser et d’embrasser mon corps qui me fait sentir belle. Je peux sentir à quel point il a faim de moi, qu’il a besoin de me toucher, de ma chaleur. Pour la fille complexée que je suis, c’est incroyablement enivrant. Certes, j’ai déjà eu pas mal de petits copains, mais en général je ne suis plutôt qu’une paire de nibards et une chatte. Lui, il sait me faire comprendre que mes rondeurs l’excitent. Alors je le laisse profiter de moi et m’explorer à sa guise, à son rythme. Chacun de ses attouchements me fait frissonner. Son désir attise le mien, et je me laisse aller. Le monde n’est plus réduit qu’à lui, à moi, et à cette cabine de douche.
Je prends sa tête entre mes mains et je l’embrasse avec la langue. Ce n’est plus la peine de le cacher, maintenant : il sait que j’ai envie de lui, et moi aussi je le sais dorénavant. J’ai envie de le rendre fou. De le faire mien. De m’assurer de rester l’objet de tous ses fantasmes. Alors je m’agenouille et commence à lui faire une fellation sans qu’il n’ait à me le demander. J’aime sucer une bite, la sentir dure rien que pour moi, entendre les gémissements de mon partenaire et sentir son désir grandir sous mes coups de langue. En plus, il en a une belle. Suffisamment longue, et pas trop grosse. Je le pompe avec tout mon savoir. Il semble apprécier. Il est mon prisonnier autant que j’étais la sienne peu auparavant. Tant qu’il est dans ma bouche, je peux en faire ce que je veux.
— Aaah, Natasha, c’est si bon ! Ça m’a tellement manqué… me confie-t-il en soupirant.
Je baisse une main sur ma chatte et me mets à me caresser. Cela nous excite tous les deux. J’entends son souffle devenir de plus en plus court. Je pourrais le faire fondre tout de suite et tout avaler avec plaisir, mais ce n’est pas mon but : je veux le pousser à me prendre, fort, comme une brute. Je l’ai chargé comme une bombe à retardement, et je décide de la faire exploser. J’arrête tout, et l’expulse de ma bouche. Je lis dans ses yeux que cette soudaine sensation de vide autour de sa queue le rend fou. Il a désespérément besoin de planter son dard en moi. Peu importe le trou.
— Raah ! Petite salope ! s’exclame-t-il. Il faut que je te baise !
Il me relève et soulève une de mes cuisses pour la coller contre son bassin. Je ne suis pas tout à fait sûre de ce qu’il va faire, jusqu’à ce qu’il essaie de faire de même avec l’autre pour me porter à bout de bras. Il n’est pas très musclé, alors je l’aide à me soutenir en passant mes mains autour de son cou et en l’enlaçant avec mes jambes. Il ne peut plus s’enfuir ; mais il n’en a pas l’intention. Il pose ses mains sous mes fesses et commence à me bourrer contre la vitre. Il va très vite. Il a trop besoin de me prendre. Et moi, j’ai trop besoin de son pieu de chair au fond de mon vagin.
— Salope ! Salope ! m’injure-t-il. Tu fais tout pour me rendre dingue ! Tu vas le payer ! Tu vas voir !
Oh oui, je ne demande que ça. Il a raison : j’aime jouer avec lui, j’adore le voir dans cet état. Celui d’un homme qui pourrait en mourir s’il ne me baise pas. Je me délecte autant des sensations que de sa passion. Il me donne plus de plaisir que mon copain, pourtant plus mignon et plus expérimenté. L’assurance avec laquelle il me prend contraste avec celle qu’il démontre au quotidien. C’est une autre personne. Une qui me fait chavirer.
Je mouille comme une folle. Ma cyprine et le sperme de Pascal recouvrent son sexe ; ce dernier détail n’a pas l’air de l’embêter. Il me lime comme un a****l en rut, perdu dans sa propre luxure. J’ai envie de le titiller un peu :
— Tu aimes ma chatte, petit frère ?
— Oui ! Oui !
— Elle est meilleure que celle de Christine, j’espère…
— Je me fous d’elle. C’est toi que je veux ! Tu es si belle !
— Alors prends-moi, petit frère. Fais-moi du bien avec ta queue. C’est si bon…
— Tu aimes ?
— Ouiii ! Je la sens bien ! Elle me perfore le vagin.
— Raaah…
Il me saute de plus belle. Je sens que sa résistance atteint ses limites : il ne va plus tarder à jouir. Moi aussi, mais j’ai envie qu’on jouisse ensemble. Je décide de l’exciter encore un peu :
— J’ai la chatte en feu. Tu me rends folle ! J’ai trop besoin de ton gros bout.
— Aaaah… Natasha…
— Baise-moi comme ta traînée. Je suis toute à toi. Fais de moi ce que tu veux !
— Salope !
— Oui, je serai ta salope si c’est ce que tu désires… Celle que tu viens voir pour te vider les couilles quand tu en as envie.
— Putain, tu ne peux pas me dire des choses pareilles !
— Tu vas bientôt jouir ?
— Je… oui…
— Mon pauvre chéri… Ne te retiens pas, tu peux y aller, Julien. Éjacule pour moi, et remplis-moi bien de sperme.
— Je veux… te faire jouir.
Il a de plus en plus de mal à parler
— Je jouirai avec toi. J’ai besoin de sentir ta queue éclater au fond de moi pour ça.
— Raaaaah !
Je ne comprends pas pourquoi il semble vouloir se retenir encore. Par fierté, peut-être ? Je peux voir à quel point il se fait du mal. Je le plains presque.
Il change tout à coup de rythme. Je reconnais cette cadence erratique : c’est celle d’un homme qui cède et qui cherche à se finir. C’est parfait. Je m’apprête moi-même à être emportée par mon propre orgasme. Je l’aide encore un peu avec des mots salaces qui sont pourtant la stricte vérité :
— Allez, mon chéri. J’aime sentir mon homme jouir, sentir sa queue se vider dans mon vagin. Ça m’excite d’être remplie de sperme, de savoir que c’est moi qui le fais éjaculer. Je veux être celle qui te fait gicler, Julien !
— Salope ! Je viens ! Je viens ! Natasha, tu me fais jouir ! Aaaah !
Ça y est, j’ai gagné. Je sens sa bite exploser et commencer à me remplir. Je jouis moi aussi. Mon corps est secoué par une vague de plaisir intense. Je gémis fortement à son oreille tandis qu’il grogne en m’envoyant des jets de foutre.
— Prends, Natasha. Prends tout. Je jouis pour toi ! Pour toi !
— Oh oui ! C’est terrible ! Je te sens fondre en moi… Continue !
Je suis toute serrée contre lui. Il continue à gicler. Ses bourses devaient être bien pleines, le pauvre… Il s’arrête peu à peu de me baiser alors que je m’apaise enfin. J’ai toujours la tête dans les nuages. Il me relâche et me dépose au sol. Un flot incroyable de sperme s’échappe lorsqu’il sort de mon vagin.
— Mon Dieu, regarde ce que tu m’as mis ! fais-je pour l’exciter en écartant les lèvres de ma chatte.
Il fixe, ébahi, son jus couler le long de mes cuisses.
— Mais il faut se branler de temps en temps ! Ce n’est pas bon de tout garder pour soi comme ça !
— Je suis désolé, dit-il, penaud.
Je suis presque déçue de voir qu’il est en train de redevenir le garçon coincé que je connais.
— Ce n’est pas grave. Tu n’as plus besoin de te masturber, de toute façon : je suis là, maintenant, hein ? Tu n’as qu’à venir me voir quand tu en as envie.
Il m’a traitée de salope, et il avait sans doute raison : je viens de tromper mon copain avec mon propre frère, et je l’invite à recommencer. Il hoche la tête et sort de la cabine peu après, heureux et repus. Je finis de prendre ma douche, un peu étourdie, puis je pars rejoindre mon homme comme si de rien n’était. Le malheureux ne se doute de rien… Je suis troublée par ce qui vient d’arriver ; pas à cause de ce que m’a fait mon frère, mais à cause de mon propre comportement. Je me surprends moi-même ; je dois être encore plus perverse que lui. Cela m’a beaucoup amusée de l’exciter et de me faire sauter comme une chienne ; j’ai envie de recommencer.
Les jours passent, et je ne cesse de le provoquer. Je ne rate pas une occasion de m’habiller avec des tenues légères ou moulantes, et je m’assure toujours qu’il n’en rate rien. Je le chauffe en me pavanant devant lui. À chaque fois, je sens ses yeux me suivre et sa verge se dresser. Cela me fait mouiller…
Je veux qu’il me reprenne à l’improviste, mais il ne fait rien. Puisque ce petit con se retient, je vais encore plus loin. Quand je suis avec mon copain et qu’il n’est pas loin, je deviens très démonstrative pour le rendre jaloux : je l’embrasse, je le serre contre moi, lui rends des regards amoureux. Cela ne manque pas de faire son petit effet ; je peux lire sa colère et sa frustration sur son visage. Lorsque je suis dans ma chambre et que je me fais baiser, je prends un malin plaisir à crier très fort pour être certain qu’il entende tout. Je décris même ce qu’on fait : « Laisse-moi te sucer, mon chéri… » ; « Oh oui, j’adore me faire prendre en levrette comme ta petite pute. » ; « Vas-y, jouis pour moi ! Recouvre-moi de sperme ! Je veux que ça dégouline partout sur mon corps ! »
Mon homme adore ça. Mais le plus drôle, c’est qu’il ne se rend pas compte que ce n’est pas pour lui que je le fais, mais pour mon petit frère. Cela m’excite terriblement. Je veux qu’il ait envie de moi. Qu’il devienne fou. Qu’il me désire comme seule et unique femme. Je suis vraiment une salope !
Un jour, il débarque dans ma chambre comme une furie. Je comprends tout de suite quelles sont ses intentions ; mon stratagème a fini par marcher. Enfin ! Il en a mis du temps ! Il me déshabille et nous baisons comme des animaux. Je m’offre totalement à lui, comme une petite chienne docile. Il me fait un bien fou. Je ne sais pas si c’est lui ou si c’est seulement la situation tordue, mais il me fait jouir comme aucun autre homme. J’aime sentir à quel point il me désire, qu’il me trouve belle. Il vénère mon corps comme si c’était une œuvre d’art. Il me prend fort en me traitant de tous les noms. J’adore le sentir tellement frustré qu’il doit me baiser pour se soulager. Je veux qu’il se serve de moi pour éjaculer.
Il me prend une dernière fois en levrette et se vide dans mon vagin. Je jouis avec lui. Je mets deux doigts dans ma chatte pour récolter son sperme et les porte à ma bouche pour le goûter. C’est bon. En voyant ça, il soupire en me traitant de salope. Cela me fait sourire.
Avec le temps, il hésite de moins en moins à venir me rendre une petite visite et me sauter, même quand mon copain n’est pas très loin. Je sais que c’est mal de baiser avec deux mecs à la fois, mais ça me rend folle. Surtout que l’un est au courant, et l’autre non. Je ne pensais pas que je pourrais devenir aussi vilaine…
Même si ce n’est plus nécessaire, je continue de le provoquer. Je sais à quel point cela le torture de ne pas pouvoir être mon homme ; c’est d’ailleurs l’unique raison qui fait que je reste encore avec mon copain. Je ne l’aime pas. La seule chose qui me plaît chez lui et qui fait que je baise encore avec, c’est de savoir la réaction que cela provoque chez mon frère : il me prend à chaque fois de plus en plus fort. Durant nos ébats, il me transmet toute sa colère en même temps que sa passion, et il me crie parfois très fort, presque en pleurant, pendant qu’il me ravage :
— Pourquoi tu me fais ça ? geint-il. Tu sais que je t’aime ! Pourquoi tu me fais du mal comme ça ? Pourquoi tu ne le largues pas ?
— Parce que je l’aiiiiiime ! dis-je en mentant. C’est mon meeeec !
— Non ! C’est moi, ton mec ! C’est moi qui te fais jouir le plus fort ! Avoue ! Tu ne ferais pas ça si ce n’était pas le cas !
— Oui, tu me fais jouir ! J’adooooooooooore…
— Je t’aime. Je veux que tu sois à moi, rien qu’à moi !
— Oooh, Julien, fais de moi ta chose…
Il me répète le couplet à chaque fois. Qu’il me veut, qu’il veut qu’on soit ensemble pour de vrai. Ses mots me font défaillir. Jamais je n’ai vu un homme qui me voulait autant. Il peut me baiser autant qu’il veut et me remplir de foutre quand il en a envie. Je le fais éclater dans ma bouche et je lui avale son sperme avec bonheur. Je le laisse m’éjaculer sur les seins et le visage pour qu’il puisse admirer son jus couler sur mon corps qui lui plaît tant. Il peut, et il se sert de moi comme de son sac à foutre et son garage à bite, mais cela ne lui suffit pas : il veut que je sois sa femme.
Je dois être la pire des salopes car j’aime le blesser, juste pour qu’il continue à me faire ressentir cet amour étrange. Pourtant, plus il me prend, plus il me possède, et plus je deviens sienne. Je suis accro à sa bite, j’ai besoin qu’il me fourre, mon petit frère, mon petit frère à moi !
Si ça continue, je vais céder, et je deviendrai son esclave pour toujours.
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