L’organisatrice.
Je m’appelle Marie-Chantal. J’ai 47 ans et j’habite les beaux quartiers de la capitale. Je suis brune, cheveux mi-longs, les yeux bleus, de taille moyenne, encore mince mais avec de belles rondeurs. En apparence, je mène la vie banale d’une parisienne de la haute bourgeoisie, entre shopping dans les magasins de luxe et soirées mondaines dans les plus beaux lieux de Paris. J’aime entretenir cette image d’une belle femme BCBG, un peu stricte et prude même. Mais derrière cette image lisse et plate, j’exerce depuis plusieurs années une activité un peu particulière. Je vous raconterai peut être un jour comment tout à commencé, mais aujourd’hui je vais plutôt vous conter quelques souvenirs issus des années de pratique de ce hobbie surprenant.
Je suis organisatrice d’orgies interraciales entre femmes blanches et hommes noirs ou maghrébins. J’organise des gangbangs pour des femmes seules, ainsi que des partouzes. Je me charge également de satisfaire quelques demandes spécifiques comme par exemple une tournante en cave de cité, une visite en foyer adoma ou bien un abattage en règle sur un chantier. Les profils des participantes sont assez variés, aussi bien au niveau de l’âge (entre 18 et 70 ans) que du milieu social, de la fille de cité à la milliardaire. Certaines ne viennent qu’une fois alors que certaines sont des participantes acharnées depuis plusieurs années. La plupart sont en couple ou mariée, mais j’accueille aussi beaucoup de femmes célibataires. Elles sont aussi physiquement très diverses, minces ou rondes, grandes ou petites, blondes, brunes, chatains ou rousses.
Les profils des hommes sont également multiples et varient souvent en fonction du thème de la soirée et du goût des participantes. Certains sont des habitués que je connais depuis le début, mais je recrute aussi périodiquement des nouveaux hommes. Il y a des hommes jeunes, des hommes mûrs et même quelques hommes du troisième âge. Il y a des antillais, des noirs africains, des maghrébins et parfois quelques afro-américains de passage en France. A moins d’une demande particulière, je recrute par contre uniquement des hommes avec un sexe imposant. Ayant pas mal de choix pour le recrutement, et mes soirées pouvant être extrêmement hards -comme vous allez pouvoir le constater- je ne veux pas d’hommes avec des airs de vierges effarouchées mais de vrais mâles sans tabous. Je choisis donc également les hommes les plus endurants, les plus dominants et les plus vicieux.
Maintenant que cette introduction est faite, je vais vous conter quelques unes de mes aventures favorites.
1) Le 1er foyer adoma de Charlotte.
Ce premier souvenir me touche particulièrement car il concerne une la belle-fille d’une amie dénommée Charlotte. A l’époque, celle-ci avait encore 18 ans pour quelques semaines. J’avais eu l’occasion de lui faire découvrir la queue d’ébène quelques mois plus tôt lors d’un voyage en république dominicaine avec elle et sa belle-mère Pénélope, qui est une fidèle de mes soirées depuis des années. Elle n’avait eu auparavant qu’une seule expérience avec son petit ami de l’époque, et qui était très loin de l’avoir comblée. Sous la chaleur des tropiques, elle a rencontré son premier amant noir et nous avons partagé pendant une semaine tous ensemble de merveilleux moments. De retour en France, elle était déjà totalement accro à la queue noire et m’a demandé de participer à mes soirées, dont je lui avais parlé lors de notre voyage. J’étais évidemment ravie d’accepter sa demande. Mais j’ai tenu tout d’abord à parfaire son éducation et l’ai emmenée plusieurs fois dans des bars et boites afro-antillaises, où elle a pu apprendre à devenir une bonne « babtou » et servir de vide couilles pour les mâles antillais et africains. Lors de notre première sortie, nous sommes allées, avec sa belle-mère, dans une boite que je fréquente assez régulièrement et dont je connais intimement les habitués. Nous étions toutes les trois habillées très indécemment. Mon amie et moi, qui avons toute deux des poitrines très généreuses, exhibions nos seins dans des robes moulantes ultra courtes à décolletté très plongeant. Cette salope de Pénélope avait même opté pour une robe filet qui ne cachait presque rien de son anatomie et sous laquelle elle ne portait qu’un string. Charlotte avait elle opté pour une micro jupe ras la moule – ressemblant d’ailleurs plus à une ceinture – qui mettait parfaitement en valeur ses longues jambes fines. Elle mesure en effet 1m77 et pèse 52 kg. Elle avait mis en haut une brassière, qui laissait ainsi voir son magnifique ventre plat et qui moulait bien sa petite poitrine (85b). Ses longs cheveux blonds tombaient en cascade autour de son visage angélique, mettant ainsi en valeur ses grands yeux bleus et sa bouche pulpeuse. Comme nous étions en hiver, par dessus nos tenues de chiennes en chaleur, nous avions enfilé Pénélope et moi un manteau de vison. Charlotte portait de son côté une doudoune de créateur. Avant d’aller nous exhiber comme des salopes dans la boite afro, nous avons ainsi pris beaucoup de plaisir à faire les magasins ainsi vétues dans les magasins de l’avenue Montaigne.
Notre entrée dans la boite n’est évidemment pas passée inaperçue et les regards lubriques des hommes nous accompagnaient sur notre chemin. J’ai rapidement été accostée par une de mes connaissances qui nous a proposé de nous joindre à lui et à ses trois amis africains à une des tables. Nous avons accepté avec joie et n’avons pas été longues à devenir très intimes avec nos nouveaux compagnons, 4 beaux sénégalais dans la trentaine. Cela ne nous a pas empêché d’aller faire nos salopes plusieurs fois sur la piste, pour exciter les autres mâles présents. Ils seraient ainsi encore plus excités la prochaine fois que nous reviendrions ici. Nous sommes ensuite allé chez moi avec nos 4 nouveaux amis. Charlotte reçu ce soir là son dépucelage anal. Elle n’avait pas osé durant notre voyage sous les tropiques, et son cul était resté vierge. Mais ce soir là, rendue folle par les coups de boutoir de nos amis africains qui faisaient dégouliner sa petite chatte, et par la vision de toutes ces grosses queues d’ébène, elle accepta bien volontier la demande de sodomie exprimée par mon ami Moussa. Après lui avoir bien enduit l’anus de gel, Charlotte se fit donc sodomiser pour la première fois. La queue était de bonne taille et eut un peu de mal à se frayer un chemin au début. Mais l’excitation aidant, Charlotte se détendit vite et la longue queue glissa ensuite au fond de son conduit anal jusqu’aux couilles. Les 3 autres la sodomisèrent ensuite à la chaine, pendant que Pénélope léchait le cul du sodomisateur en action, et que je faisais patienter les autres avec mes 3 orifices. Les éjaculations se succédèrent toute la nuit, sur nos visages, sur nos corps et dans tous nos orifices devenus bien béants.
Nous revîmes Moussa plusieurs fois lors des soirées suivantes, et ils nous présenta à plusieurs autres de ses camarades. Un soir, Moussa me dit qu’il avait vraiment apprécié nos ébats et qu’il adorerait prendre ma jeune novice en main pour en faire une bonne vide couilles soumise. Je connaissais évidemment sa réputation et savait que Charlotte serait à bonne école avec lui. J’en parlais donc rapidement à cette petite catin qui fût ravie de cette proposition car elle adorait déjà Moussa et révait de lui appartenir. Justement, cela tombait à pic car notre ami africain recherchait en ce moment une jeune fille blanche pour l’emmener dans un foyer adoma dans lequel une de ses connaissances était gardien. L’expédition fût vite mise sur pieds et le dimanche suivant nous arrivâmes, Charlotte, Pénélope et moi, accompagnées de Moussa, devant l’entrée du foyer. Le gardien complice, qui s’appelait Momo, nous attendait et nous fît entrer discrètement dans le batiment. Après quelques paroles rapidement échangées avec Moussa, il nous conduisit au premier étage, dans une cuisine commune où une masse d’hommes noirs et maghrébins, environ une quinzaine, nous attendaient.
-« Voilà la marchandise les mecs » dit le gardien en nous présentant. « Les 2 vieilles truies sont là pour vous préparer et vous faire patienter avant d’enfourner ce jeune morceau de viande blanche. Des bonnes bourges. C’est la première fois en foyer pour cette jeune pute, alors je compte sur vous pour qu’elle s’en souvienne toute sa vie. Bon, allez salope, montre nous ton beau corps de chienne blanche. »
Charlotte enleva alors son manteau et le laissa tomber à ses pieds. Elle portait un ensemble noir en cuir composé d’un string, d’un soutien gorge en bandeau et d’un porte jarretelle. Elle avait également des bas résille noirs et des bottes en cuir noir qui montaient jusqu’aux genoux. Les hommes s’approchèrent d’elle et commencèrent à lui peloter les seins et les fesses. Rapidement, quelques doigts s’insinuèrent sous son string et s’enfoncèrent dans ses orifices. Elle fût ensuite rapidement mise à genoux, et les queues se mirent en cercle autour d’elle pour lui remplir la bouche. Souvent, deux ou même trois queues se pressaient pour entrer entre ses lèvres en même temps. Certains se branlaient sur ses cheveux en attendant leur tour, d’autres préférant être masturbé par les mains de la jeune chiennasse. Au bout de quelques minutes, les plus excités des hommes présents, certains ne devant par avoir baisé depuis plusieurs semaines voire plusieurs mois, se mirent à éjaculer dans la bouche ou sur le visage de Charlotte. C’est alors qu’un des participants , un maghrébin d’environ cinquante ans, pris la parole:
-« Bon allez, on va emmener cette pute dans les chiottes maintenant. » Il pris alors violemment Charlotte par les cheveux et la traina à genoux en dehors de la cuisine. Moussa et le gardien dirent alors à Pénélope et à moi de les suivre. Après quelques mètres dans le couloir, nous arrivâmes dans une pièce qui était de toute évidence les toilettes de l’étage. Sur la droite se trouvaient trois urinoirs côte à côte, tandis que face à la porte au fond de la pièce il y avait trois cabines munies chacune d’une cuvette de toilette et fermées par une porte. Le vieux maghrébin entra le premier dans les toilettes en trainant toujours Charlotte. Il se dirigea vers une des cabines, ouvra la porte et enfonça la tête de Charlotte dans la cuvette. Il tira la chasse, inondant ainsi le visage et les cheveux de cette pauvre salope. D’une main ferme, il enleva le string de sa pute blonde et lui fourra dans la bouche. Il sortit alors sa queue de son pantalon et commenca à uriner longuement sur le visage de Charlotte, lui inondant toute la tête d’une pisse jaune et odorante, lui mouillant même les cheveux. Il imprégna aussi de son urine le string et la bouche de sa soumise. Sa pisse dégoulinait ensuite du visage de Charlotte dans la cuvette.
Moussa et Momo nous dirent alors à Pénélope et à moi d’enlever nos manteaux et de nous agenouiller au pied des urinoirs. Pénélope portait dessous une sorte de combinaison constituée de lanière de cuir rouge entrelacées qui ne cachait presque rien de son anatomie. Je portais plus classiquement un body en dentelle noir, avec porte-jarretelle assorti et des bas noirs, avec des escarpins vernis. Les deux hommes nous attachèrent chacune à un urinoir avec deux laisses munies de colliers.
Notre calvaire pût alors commencer, et il dura très longtemps, les hommes de la cuisine n’étant pas les seuls à se joindre à la fête.
Le maghrébin, une fois sa vessie vidée, se mit directement à enculer Charlotte sans ménagement. Tout juste lui cracha t’il au cul pour faciliter le passage de son énorme bite dans l’anus encore serré. L’introduction fût douloureuse si j’en juge par ses hurlements. Pendant ce temps, les premières queues commencèrent à affluer dans notre direction. Une grosse bite black pris possession de ma bouche et l’utilisa comme une chatte en me pistonnant la gorge avec vigueur. Mon amie ne fut pas en reste et reçu comme offrande une gigantesque queue de maghrébin. La queue était tellement grosse qu’elle avait du mal à la mettre en bouche. Elle en fut punie par quelques crachats et autres gifles. Ni elle ni moi n’eurent droit à recevoir une des queues dans la chatte ou l’anus. Seul nos bouches furent utilisées comme préparatifs par les mâles présents. Les urinoirs étant indisponibles, nous étions évidemment chargées de les remplacer en cas d’envie pressante. Nous avons dû recevoir dans la bouche quelques litres de pisse chacune durant ces quelques heures. Ceux qui avaient eu plus de patience vidaient eux leur vessie bien pleine sur la tête et dans la bouche de Charlotte après leur passage dans ses orifices. Nous avons également eu droit à notre lot d’insultes, de mollards bien gras sur le visage, en général dans les yeux, aux gifles, aux pincements de tétons, aux introductions d’objets et de légumes divers dans nos orifices (à défaut de bites). Nous dûmes aussi nous occuper des anus des hommes qui le désirait, afin de leur nettoyer la raie et la rondelle avec nos langues agiles.
Une fois passés par nos soins, les hommes se dirigaient un à un vers la cabine où Charlotte prenait le relais. La plupart des hommes, déjà mis en forme par ma bouche ou celle de Pénélope, enfilaient directement la jeune connasse, par la chatte ou par le cul. Certains voulaient tout de même qu’elle les suce avant de la pénétrer et sortaient alors sa tête dégoulinante de pisse et de sperme de la cuvette pour lui gaver la bouche avec leur grosse queue. Puis ils replongeait la tête dans son trou, tiraient parfois la chasse et se dirigeait vers son postérieur. Ils choisissaient alors un des deux orifices rougis, meurtris par les multiples pénétrations à la chaine et y enfonçaient leur membre durci. Evidemment, la plupart ne se contentaient pas d’un seul trou et seul l’ordre changeait pour les différents participants. Au moment de jouir, les choix étaient aussi divers. Charlotte reçu beaucoup d’éjaculations faciales, d’éjaculations buccales, mais également des éjacs internes, dans la chatte et le cul. Au bout d’un certain temps, ses orifices béants étaient tellement remplis qu’ils dégoulinaient en permanence de bonne semence africaine. Son maquillage, ainsi que celui de Pénélope et moi d’ailleurs, ne tarda pas à couler sous l’effet de la pisse, du sperme et des larmes.
Au bout d’un certains temps, il me sembla que plus d’une vingtaine d’hommes s’étaient déjà vidé et je ne comprenais pas qu’il en vienne toujours, étant donné le nombre d’hommes à notre arrivée dans la cuisine. Moussa compris mon regard interrogateur et me répondit d’une voix calme:
-« Ceux que tu as vu tout à l’heure connasse, ce sont seulement ceux de cet étage, ils passent en priorité. Mais il y a quatre autres étages bien remplis pour vous mes salopes. Vous avez pas fini de bouffer de la bite sales putes. Et pour la fin on vous réserve une petite surprise, ta protégée va adorer. Mais il y aura un autre cadeau aussi pour vous les vieilles, ne vous inquiétez pas. »
Le défilé des hommes se prolongea donc encore longtemps. Nous avions toutes les trois perdu toute notion du temps. Les bites se succédaient sans répit. Nos machoires étaient douloureuses à force de sucer, surtout quand les plus gros calibres nous obligeaient à ouvrir la bouche au maximum pour pouvoir entrer. J’apercevais de temps en temps les fesses de Charlotte. Ses orifices n’étaient plus que deux gouffres béants et dégoulinants de sperme. Ses fesses étaient rougies par l’action des pénétrations sauvages et par les claques appliquées sans ménagement sur son postérieur. Malgré moi, je mouillais comme une salope de nous voir dans cette situation et j’avais atteint l’orgasme trois fois. Pénélope avait déjà joui plusieurs fois bruyamment et, en bonne femme fontaine, avait inondé le carrelage de sa cyprine. Elle avait dû d’ailleurs nettoyer le sol plusieurs fois avec sa langue ou avec son visage utilisé comme serpillère, pour enlever les flaques de mouille, de pisse et de sperme. Charlotte aussi avait joui comme une salope à de nombreuses reprises, gueulant comme une truie, surtout quand une grosse queue black lui emplissait la chatte de longs jets de semence chaude.
Au total, nous servîmes de vide couilles à la chaine pendant cinq heures, ne sortant du foyer qu’en fin d’après midi. Mais avant notre départ, nous eûmes chacune le droit à notre surprise comme prévu. Une fois le dernier homme passé et vidé dans le rectum de Charlotte, Moussa nous détacha Pénélope et moi. Momo alla chercher Charlotte dans la cabine, lui mis un collier autour du cou et une laisse et la ramena à nos côtés. La plupart des hommes étaient déjà parti, mais un petit groupe d’une dizaine d’hommes restaient à l’entrée des toilettes pour assister à la fin du spectacle.
Une fois sa belle-fille à côté d’elle, Pénélope commença à lui lécher le visage pour lui ôter les traces de sperme qui le maculaient. Elle m’embrassa plusieurs fois à pleine bouche pour que nous partagions cette bonne semence africaine.
Moussa nous disposa Pénélope et moi sur le dos, devant Charlotte à quatre pattes. Il ordonna alors à ma novice de nous fister, sa belle-mère et moi, pendant qu’elle se faisait ramoner le cul en double anale par Moussa et Momo. Excitées au maximum par cette situation et la tension des dernières heures, nous ne tardâmes pas à jouir sous les caresses intimes de Charlotte. La petite salope prenait visiblement un énorme plaisir à enfoncer ses mains dans nos chattes. Elle enfonçait sa main le plus loin possible dans nos orifices, s’amusant à ouvrir sa main à l’intérieur pour bien nous élargir. Pour notre plus grand plaisir, elle nous léchait aussi de temps en temps nos moules baveuses et nos anus distendus tout en haletant sous les coups de boutoir. Moussa et Momo inondèrent enfin les entrailles de Charlotte qui poussa un petit cri. Pénélope et moi jouirent alors en même temps, inondant le visage de Charlotte de cyprine. Elle s’empressa de venir nous nettoyer et soulager nos chattes avec sa petite langue de jeune fille. Moussa et Momo vinrent alors au dessus de nous pour pisser de longs jets d’urine sur nos trois visages extasiés et dans nos bouches offertes. Nous étions toutes les trois dans un état pitoyable, trempées de sperme et de pisse, puant l’urine et la sueur, les trous démolis et douloureux, le visage défait où toute trace de maquillage avait disparu, mais heureuses et satisfaites par tous les orgasmes obtenus.
Charlotte avait été à la hauteur de la situation, et je me réjouissait de pouvoir à présent lui ouvrir les portes de mes soirées où elle poursuivrait son éducation.
Mais cela fera sans doute l’objet d’un prochain récit.
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