J’ai demandé à Sena de me donner son point du vue et d’écrire un bout d’histoire, voici son récit :
J’ai prévu de rencontrer de X aujourd’hui, pour la première fois depuis bientôt huit ans. C’est comme une évidence qui s’est installée dans la journée, j’ai envie de le voir et ce soir, il est là pour un concert, proche de chez moi et je suis libre. Timing parfait. J’arrive d’ailleurs juste à temps avant le début du concert. Je suis impatiente et décidée. La salle est presque pleine. J’apprécie immédiatement l’énergie calme et à la fois forte dégagée par les personnes présentes. La plupart sont des hommes. Tous sont habillés de noir. Je me sens bien.
Je me dirige à l’endroit que X affectionnait le plus pour assister à un concert à l’époque où nous sortions ensemble : juste devant la scène à gauche. Evidemment, il est là. Je ne le quitte plus des yeux. Sans avoir particulièrement anticipé ce moment, je le savoure intensément quelques secondes, amusée et pleinement satisfaite de la situation. Ces quelques instants sont suffisants pour admirer son corps parfait et les traits de son visage qui m’ont autrefois tant fascinée, puis obsédée et que j’avais fini par oublier.
Je me sens bien. C’est alors qu’il tourne légèrement la tête pour parler à son pote. Je le vois scruter la foule comme par réflexe et finalement il me remarque. Je lui fais signe de la main et le temps nécessaire à parcourir les deux mètres qui nous séparaient, je me retrouve dans ses bras pour une longue et réconfortante accolade. La légèreté de nos deux états d’esprit du moment et le plaisir réciproque de ces retrouvailles sont palpables. Il me présente son ami puis nous échangeons quelques souvenirs et rapides câlins. J’adore son énergie et son sourire. Le concert commence. La présence de X me stimule et je dois faire quelques efforts pour ne pas le toucher. J’ai du désir pour lui et il le sait. J’aime cette idée qu’il me sait offerte. Il m’ordonne de me mettre devant lui pour profiter au mieux du groupe sur scène avant de claquer mes fesses en gage d’une connivence retrouvée. Je savoure l’atmosphère sincère qui règne dans ce lieu, la musique puissamment massive et l’aura de X dans mon dos. Je profite pleinement de la musique. Je n’ai pas le moindre doute quant à la justesse de ma place ici et maintenant. Timing parfait.
Deux heures plus tard, nous sommes repartis chacun de notre côté, avec la certitude qu’une autre rencontre aurait lieu prochainement.
Quelques jours plus tard, le rendez-vous est pris. Ce sera chez lui. J’y arrive un samedi en fin d’après-midi, déjà toute mouillée par l‘excitation de ce qui est prévu pour la nuit. J’ai scotché mes tétons avec un ruban adhésif noir. Je sais qu’il a préparé tous les accessoires utiles à nos jeux qu’il nous tarde de recommencer. Je porte des vêtements confortables et ajustés qui mettent en valeur ma silhouette svelte. Huit ans ont passé, nous avons tous deux mûris et j’assume désormais mon rôle de salope. Je suis sa petite pute et aujourd’hui, je vais l’entendre me le dire !
Tout comme mon corps entier tendu par l’excitation, mes joues sont chaudes et je sais qu’elles paraissent rosées. Ce n’est pas important, je n’ai nulle intention de cacher quoique ce soit ou de jouer un rôle avec lui. En montant les marches jusqu’à la porte de l’appartement, je sens le contact mouillé de mon sexe contre le tissu presque détrempé de ma petite culotte. Cette sensation m’excite d’avantage. Je savoure pleinement l’instant et je sonne à sa porte.
X ouvre sans tarder et comme d’habitude il me prend dans ses bras en guise de câlin de bienvenue. L’intensité est au rendez-vous. Il m’invite à entrer et m’indique d’avancer dans le couloir qui mène au salon. Je sais qu’il regarde mon cul se dandiner devant lui. Alors, tout en marchant, je relève ma jupe laissant apparaitre le galbe des fesses et ma petite culotte définitivement trempée. Cela a l’effet escompté puisqu’il s’empresse de me claquer le cul plutôt fort en me traitant de petite cochonne. Je m’installe au salon et il me sert à boire. Nous discutons un moment puis il m’annonce que nous sortirons manger en ville dans une heure. La petite pute en moi n’y tenant plus, je me précipite alors à quatre pattes sur le sol en articulant lentement : j’ai envie de te sucer immédiatement !
Il me saisit fermement par les cheveux alors j’entreprends de déboutonner son pantalon. Il me laisse faire et en profite pour glisser sa main droite sur mes seins. J’enlève rapidement mes habits. Sa queue est déjà bien gonflée. J’ai juste le temps d’y apposer deux légers coups de langue avant qu’il ressert sa main et enfonce sa bite au fond de ma bouche. Bien sûr, cela provoque un léger réflexe de rejet et j’aime cette idée de v******e consentie. C’est définitivement jouissif ! Tout comme le jet de salive qui se produit ensuite au fond de ma gorge et qui semble avoir été créé juste pour permettre des pipes fantastiques.
X att**** sur la table basse l’un de nos deux verres vides et l’approche de ma bouche. Je le prends et y crache de la salive. De la main qui tient toujours mes cheveux, il donne le rythme et de l’autre, il se charge parfois d’étaler un peu de salive sur mon visage. Le verre se remplit alors X le prend et il m’installe sur le sofa, la tête en direction du sol et les pieds contre le dossier. Il laisse la salive couler lentement. D’abord sur mes seins puis sur tout le pourtour de ma bouche. Installé à califourchon au dessus de moi, il peut faire glisser son énorme sexe sur mes seins et jusqu’à ma bouche. La salive est bien étalée alors il entreprend de maltraiter mes tétons en arrachant leurs décorations noires. J’ai gardé ma petite culotte et ma vulve gonflée presse contre le tissu. La sensation est tellement agréable, je suis au bord de l’orgasme. Mon bras droit est coincé sous ses cuisses et de ma main gauche encore libre, je peux me caresser. Je le sens aussi très excité alors je murmure, la bouche remplie de salive, et réclame du sperme. Je n’ai pas besoin de le supplier longtemps. Tu veux du sperme Petite Pute ? Ces mots provoquent immédiatement en moi le relâchement caractéristique des moments de soumission absolue. Je ne réponds rien mais ouvre la bouche. J’aime le voir se branler ainsi au-dessus de moi. Il me dit qu’il va jouir sur mon visage et l’instant d’après un premier jet vient s’écraser sur mon front juste à la base du nez et les autres sur l’oeil gauche puis autour de la bouche. Il s’applique à étaler jusqu’à la dernière goutte. Je dois avoir le sourire radieux de celle qui a obtenu ce qu’elle voulait et nous nous amusons quelques instants de mes yeux rougis par le sperme et le maquillage étalés.
Heureusement, la pipe a été intense et le plaisir rapide. Il nous reste quarante minutes pour nous rendre présentables et sortir manger.
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