Il a fait très chaud toute la journée sur cette plage. Tout les trois nous sommes arrivés en milieu d’après midi et avons passé notre temps entre la bronzette nus sur nos serviettes et l’eau pour nous rafraichir.
Ces quelques jours de vacances ont donné des couleurs à nos corps.
Dans l’après midi, j’ai câliné mes compagnes l’une après l’autre dispensant du plaisir. J’aime ces moments où elles s’abandonnent complètement à mes caresses, ouvertes, offertes. Lors d’un de mes moments solitaire dans l’eau, elles ont fait l’amour. De loin je les ai observées, jouant le voyeur.
Un moment, en fin d’après midi, tout les trois, nous sommes allés marcher, pieds dans l’eau. En cette heure relativement tardive, la plage s’est vidée de ses occupants et nous restions pratiquement les seuls sur cette bande de sable blond.
Le soleil baisse sur l’horizon. La chaleur monte encore du sable mais l’air est légèrement rafraîchit par un léger vent venant du large. Le fracas des vagues s’est calmé; la mer est étale, entre deux marées.
Et nous sommes là, tout les trois, les pieds dans l’eau, regardant le soleil baisser sur l’horizon. Je tiens mes compagnes contre moi, enlacés. Contre mes flancs je sens leurs seins, leurs têtes sont posées dans le creux de mon cou, leurs bras m’ensèrent.
Moment de quiétude où nous sommes seuls avec nos pensées.
Au bout d’un moment, je prends conscience qu’une main, légèrement, caresse mon ventre. Les doigts jouent avec mon nombril et pas petites touches descendent vers la naissance de mon sexe. Avec habileté, ils en font le tour, courant sur le haut de mes cuisses, passant entre mes jambes et remontant. Un des doigts masse mon périnée puis revient en avant. La main soupèse mes couilles les faisant rouler dans la paume. Sous l’effet de cette caresse, mon sexe se redresse, gonfle, durci, et bientôt l’érection n’en est que meilleure. La main se referme sur ma hampe et, avec douceur et lenteur, commence une masturbation.
Dans le même temps, une autre main me caresse le dos, jouant au creux de mes reins avec les deux fossettes. Devant une troisième main rejoint la première. Pendant que l’une me branle, l’autre reprends possession de mon ventre et de mon entre-jambes. Derrière, une quatrième main joue avec les formes rondes de mes fesses, descendant le long de ma raie pour rejoindre mon entre cuisses.
Je ne sais qui a commencé. Je ne sais qui fait quoi. Je ferme les yeux, tout à mon plaisir. Ma bite masturbée. Mes couilles roulées et caressées. Mes reins massés. Mon entre jambes excité. Et tout çà au même moment en une sarabande de jouissance. Le Plaisir avec un grand « P ».
La main entre mes jambes reprend son ascension le long de ma raie du cul. Un doigt s’immisce entre mes rondeurs, trouvant ma rondelle. Je cambre les reins favorisant ainsi la caresse. Le doigt se fait massant, tournant autour de mon petit trou, puis avec douceur, par petite touche, pénètre. Je le sens entrer. Quelques mouvements d’avant en arrière et il s’immobilise, profondément enfoncé dans mon cul offert. Le doigt, à l’intérieur, reprends vie et joue avec mes organes.
Sous l’effet de ce massage, ma bite semble durcir encore plus. Tous mes sens ne sont concentrés que sur ce qui se passe en dessous de ma taille.
La main sur ma bite, toujours masturbante, a largement décalotté mon gland. Les doigts de l’autre main jouent avec la fente du gland augmentant encore les sensations. Mes reins sont massés et le doigt dans mon cul me fouille.
Je suis au bord de l’explosion. C’est a cet instant que tout s’immobilise. Ce n’est qu’au bout d’un moment que j’en prends conscience. J’ouvre les yeux et regarde mes compagnes. Elles se sont aperçu de l’imminence de mon plaisir et ont, de concert, arrêté. Elles me regardent en souriant.
Dans ce moment de repos, leurs bouches prennent possession de mes tétons je sens leurs lèvres téter et leurs langues.
Et tout reprend, en un jeu à quatre mains. Ma bite, mes couilles, mes reins, mon trou du cul. Tout au même moment. Toutes les sensations remontent. Je sens mon plaisir remonter et. . . Tout cesse.
Souriantes, elles me regardent. Recommencent leur tétée.
Et çà reprend. S’arrête. Encore et encore.
Les instants de plaisirs entre les repos se font de plus en plus court.
Je n’en peux plus.
Je sens le Plaisir venir du fond de mes reins. Alors que çà passe le cap de mon entre jambes, le doigt dans mon cul masse plus fortement. Ma bite durci encore. Et çà remonte encore. La main entre mes jambes masse mon périnée, soupèse mes couilles qui remonte dans leurs bourses. Le Plaisir emprunte la verge. La masturbation a accélérée.
Au fur et a mesure, ma respiration c’est faite plus rapide. Bien que debout je suis pratiquement inconscient, obnubilé par la montée de l’orgasme.
La main sur ma bite s’immobilise. Je pousse un grand cri libérateur de ma jouissance. A longs jets, ma semence jailli pour se perdre devant moi dans les flots. Le doigt dans le cul et la main entre mes jambes massent encore. Mon corps est parcouru de spasmes. Puis la main sur mon sexe reprend son mouvement extrayant les dernières gouttes de sperme qui tombent à mes pieds.
Mais çà ne s’arrête pas pour autant. Le doigt entre mes fesses entretient l’érection. L’autre main poursuit la masturbation. Et bientôt un nouvel orgasme remonte mon ventre. Mais point d’éjaculation.
Mes compagnes s’agenouillent. Je les regarde faire : leurs bouches ensembles s’occupent de mon sexe encore dressé. Elles lèchent, sucent, lapant les quelques reliefs de sperme suintant au bout du gland. Tirant la langue elles me montrent les quelques gouttes qu’elles avalent en me souriant.
Elles se relèvent, je les enlace et, très tendrement je les embrasse. Puis je les laisse là et vais plonger dans l’eau.
Lorsque enfin je les regarde de nouveau, elles sont debout les pieds dans l’eau. Elles s’embrassent et j’imagine leurs langues jouant entre elles. Mais surtout, je vois leurs mains. Chacune branle le clitoris de l’autre se donnant mutuellement du plaisir.
A la réaction de leurs corps, aux ventres qui se crispent, je sais qu’elles prennent leur plaisir. Après une dernière caresse et un dernier baiser, elles me rejoignent dans l’eau dans de grandes éclaboussures. Dans l’eau, heureux, nous nous enlaçons, nous embrassons. Toujours unis, nous sortons de l’eau et rejoignons nos serviettes.
Ayant rassemblé nos affaires, nous quittons la plage avec le souvenir de ce moment intense de plaisir.
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